samedi 10 septembre 2005, 15h59
Difficile renaissance pour le site de Ground Zero
NEW YORK (AP) - L'endroit leur rappelle davantage "un chantier de construction" que le lieu désormais profondément ancré dans la conscience collective américaine. Quatre ans après les attentats du 11 septembre, Steve et Marta Pilling, un couple de Californiens en visite à Ground Zero à New York, sont surpris de ne rien trouver d'autre, en guise de mémorial, que les noms des 2.749 victimes attachés à la barrière de métal entourant l'immense site à moitié vide.
Depuis 2001, les 6,4 hectares dans le bas de Manhattan, où s'élevaient les tours jumelles du World Trade Center, sont au coeur d'un processus de reconstruction difficile.
Dans ce lieu qui est à la fois la zone où le terrorisme a frappé le coeur de l'Amérique et un très lucratif projet immobilier, négociations et passions battent leur plein entre représentants politiques, familles de victimes, entrepreneurs et architectes.
"C'est le projet de construction le plus chargé d'émotion du monde", note Robert Yaro, responsable d'une association de planification régionale new-yorkaise.
Les bâtiments ambitieux, dont cette "Freedom Tower" (Tour de la liberté) haute de 533 mètres, sont toujours virtuels, la construction de la plupart des édifices n'ayant pas encore commencé.
Lundi, au lendemain d'une cérémonie marquant le quatrième anniversaire des attentats, doit débuter la concrétisation d'un de ces projets: l'édification d'un nouveau centre de transports qui doit remplacer la station temporaire ouverte en 2003.
Daniel Libeskind, l'architecte auteur du projet global de Ground Zero, se justifie en notant l'"urgence" et la "complexité" de l'affaire: "Les gens doivent comprendre, ce n'est pas juste construire quelques immeubles".
Certains critiques dénoncent des projets trop flous et la priorité donnée à des espaces de bureaux pour lesquels il n'y a pas de demande... Parmi eux, le professeur d'histoire Fred Siegel, qui déplore qu'on ait laissé passer l'occasion rêvée de "repenser le bas de Manhattan dans sa totalité".
La "Freedom Tower", futur plus haut gratte-ciel au monde, a connu encore plus de déboires et de ratés que les autres projets du site: quatre autres tours, un mémorial entouré d'une forêt de chênes, un espace artistique et culturel avec deux théâtres et des musées.
Les travaux de la "Freedom Tower" ont débuté le 4 juillet 2004, et une dalle de granite commémorative de 20 tonnes a été installée. Mais la police a jugé que le bâtiment ne pourrait pas résister à une éventuelle attaque terroriste et a réclamé une révision des plans. Du coup, la dalle va devoir être déplacée...
Et la tour, qu'on pensait pouvoir voir terminée en 2006, ne devrait désormais pas ouvrir ses portes avant 2010 ou 2011. Elle a été redessinée par David Child, avec un "sommet" élancé que l'entrepreneur privé du projet Larry Silverstein juge plus "élégant" que l'originel...
Une nouvelle cérémonie de pose de la première pierre de la "Freedom Tower" aura lieu dans six mois, ont annoncé le gouverneur de l'Etat de New York George Pataki et le maire de la ville Michael Bloomberg, ainsi que la pose de la première pierre du mémorial, "Reflet de l'Absence"...
Juste après les attentats, George Pataki et le maire d'alors Rudolph Giuliana avaient lancé la reconstruction, en créant à cette fin la société Lower Manhattan Development. En mai, le gouverneur de l'Etat, critiqué de toutes parts, a nommé son directeur de cabinet John Cahill comme "tsar" du site, chargé de mieux coordonner les différents intervenants: le propriétaire du site, la Port Authority of New York and New Jersey, qui supervise la construction du centre de transports, la société de Silverstein qui construit des bureaux, la Lower Manhattan Development et une fondation à but non lucratif qui supervisent le mémorial et les sites culturels.
C'est cet espace culturel et de mémoire qui déclenche le plus de passions. Des groupes de familles s'insurgent à l'idée que le site comprenne un musée sur autre chose que le drame du 11-Septembre. D'autres sont furieux que le musée du memorial soit prévu en souterrain... "Je n'irai jamais sous terre pour me souvenir de mon frère", pompier mort sur le site, dénonce Rosaleen Tallon. "Nous ne faisons pas ce qu'il faut sur ce site sacré".
En attendant, le sort de deux autres musées reste en suspens... Signe de la difficulté, comme dit Daniel Libeskind, de créer un espace qui puisse d'une part "honorer la mémoire de ceux qui sont morts" et être "une partie vivante et opérationnelle de la ville". AP
nc/v/cr
------- 11 septembre -------
samedi 10 septembre 2005, 15h16
11-Septembre, un quatrième anniversaire sous le signe Katrina
WASHINGTON (AP) - L'Amérique qui commémore dimanche les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, est plongée dans une ambiance à des années-lumière de l'extraordinaire démonstration d'unité nationale et politique qui suivit le drame, à l'heure du chaos et des divisions provoqués par l'ouragan Katrina.
Les accusations et la colère ont remplacé les images de l'époque, de ces Américains sous le choc, resserrant les rangs autour du président George W. Bush et des membres du Congrès, chantant "God Bless America" sur les marches du Capitole.
Les deux événements sont similaires en terme de dévastation, près de 3.000 morts le 11-septembre, peut-être des milliers de morts dans le sillage de Katrina, des milliards de dollars de dégâts, des vies bouleversées. Mais leurs symboliques sont presque à l'opposé l'une de l'autre, même si les drames imposent chacun leur marque à la présidence de George W. Bush.
Andrew Kohut, directeur du Pew Research Center pour la population et la presse, note que l'unité post-11 Septembre était liée au sentiment d'agression venu de l'extérieur. "L'énorme différence ici, est que nous n'avons pas un ennemi sur lequel concentrer notre colère".
Pour Daniel Laufer, enseignant en marketing qui étudie la réponse populaire aux événements, il faut avoir un coupable à montrer du doigt, Oussama Ben Laden pour le 11 septembre. "Un ouragan, la Nature, l'environnement, c'est quelque chose qui ne peut pas porter de responsabilité".
Du coup, selon la dernière enquête Pew, les deux-tiers des Américains interrogés ont choisi leurs responsables pour Katrina, ceux de l'échelon fédéral: Bush, et le patron de l'agence fédérale des secours d'urgence, la FEMA, Michael Brown, à qui le dossier Katrina a été retiré vendredi. Washington de son côté accuse les responsables au niveau local, Etat et ville...
Après le 11 Septembre, la cote de popularité de Bush grimpa au-dessus des 90%... "Il y avait un sursaut de patriotisme, dû au sentiment d'être tous embarqués dans le même bateau", estime l'analyste en psychologie politique Stanley Renshon, enseignant à la City University de New York. Katrina n'a pas frappé toute l'Amérique, juste une région, même si la situation scandalise tout le pays.
"Ce n'est plus l'histoire d'un type au sommet et de comment il répliquera à une attaque sans précédent sur la communauté nationale américaine. C'est l'histoire de plusieurs strates gouvernementales censées être efficaces mais qui finissent par avoir énormément de mal à faire ce qu'elles sont censées faire".
Il y a quatre ans, les attentats avaient renforcé l'image de Bush, président offensif d'un pays en guerre, l'aidant à remporter un second mandat. Les partis politiques s'unissaient derrière la promesse de protéger le pays de quelque danger susceptible de le menacer.
C'est ensemble que républicains et démocrates travaillèrent à la création d'un super-ministère censé assurer cette tâche et répondre également à l'absence de coordination qui aurait débouché sur l'ignorance des signes avant-coureurs du 11 septembre: le Département à la Sécurité intérieure. Ce mammouth fut chargé à la fois des catastrophes naturelles et des attaques terroristes majeures... Des milliards de dollars furent consacrés à ce dossier, et un vaste arsenal de loi-antiterroristes votées.
Le consensus commença à se dissiper après l'invasion de l'Irak et le chaos dans lequel se retrouva l'Amérique. Puis avec les questions sur ce que le pays n'aurait pas fait pour éviter les attentats.
Aujourd'hui, dans le sillage de Katrina, la désunion est la règle sur la scène politique. Les dirigeants ne se sont mis d'accord que pour débloquer plus de 62 milliards de dollars (50 milliards d'euros) pour aider les victimes de l'ouragan. Les démocrates refusent de participer à une commission d'enquête du Congrès sur les manquements de l'administration Bush pour l'organisation des secours. Ils préfèrent une enquête indépendante.
En revanche, la première réponse de la population au passage de Katrina est similaire à celle qui avait suivi les attentats du 11 septembre: les dons affluent dans les organisations caritatives, et les Américains accueillent les rescapés. AP
nc/v/cr
11-Septembre, un quatrième anniversaire sous le signe Katrina
WASHINGTON (AP) - L'Amérique qui commémore dimanche les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, est plongée dans une ambiance à des années-lumière de l'extraordinaire démonstration d'unité nationale et politique qui suivit le drame, à l'heure du chaos et des divisions provoqués par l'ouragan Katrina.
Les accusations et la colère ont remplacé les images de l'époque, de ces Américains sous le choc, resserrant les rangs autour du président George W. Bush et des membres du Congrès, chantant "God Bless America" sur les marches du Capitole.
Les deux événements sont similaires en terme de dévastation, près de 3.000 morts le 11-septembre, peut-être des milliers de morts dans le sillage de Katrina, des milliards de dollars de dégâts, des vies bouleversées. Mais leurs symboliques sont presque à l'opposé l'une de l'autre, même si les drames imposent chacun leur marque à la présidence de George W. Bush.
Andrew Kohut, directeur du Pew Research Center pour la population et la presse, note que l'unité post-11 Septembre était liée au sentiment d'agression venu de l'extérieur. "L'énorme différence ici, est que nous n'avons pas un ennemi sur lequel concentrer notre colère".
Pour Daniel Laufer, enseignant en marketing qui étudie la réponse populaire aux événements, il faut avoir un coupable à montrer du doigt, Oussama Ben Laden pour le 11 septembre. "Un ouragan, la Nature, l'environnement, c'est quelque chose qui ne peut pas porter de responsabilité".
Du coup, selon la dernière enquête Pew, les deux-tiers des Américains interrogés ont choisi leurs responsables pour Katrina, ceux de l'échelon fédéral: Bush, et le patron de l'agence fédérale des secours d'urgence, la FEMA, Michael Brown, à qui le dossier Katrina a été retiré vendredi. Washington de son côté accuse les responsables au niveau local, Etat et ville...
Après le 11 Septembre, la cote de popularité de Bush grimpa au-dessus des 90%... "Il y avait un sursaut de patriotisme, dû au sentiment d'être tous embarqués dans le même bateau", estime l'analyste en psychologie politique Stanley Renshon, enseignant à la City University de New York. Katrina n'a pas frappé toute l'Amérique, juste une région, même si la situation scandalise tout le pays.
"Ce n'est plus l'histoire d'un type au sommet et de comment il répliquera à une attaque sans précédent sur la communauté nationale américaine. C'est l'histoire de plusieurs strates gouvernementales censées être efficaces mais qui finissent par avoir énormément de mal à faire ce qu'elles sont censées faire".
Il y a quatre ans, les attentats avaient renforcé l'image de Bush, président offensif d'un pays en guerre, l'aidant à remporter un second mandat. Les partis politiques s'unissaient derrière la promesse de protéger le pays de quelque danger susceptible de le menacer.
C'est ensemble que républicains et démocrates travaillèrent à la création d'un super-ministère censé assurer cette tâche et répondre également à l'absence de coordination qui aurait débouché sur l'ignorance des signes avant-coureurs du 11 septembre: le Département à la Sécurité intérieure. Ce mammouth fut chargé à la fois des catastrophes naturelles et des attaques terroristes majeures... Des milliards de dollars furent consacrés à ce dossier, et un vaste arsenal de loi-antiterroristes votées.
Le consensus commença à se dissiper après l'invasion de l'Irak et le chaos dans lequel se retrouva l'Amérique. Puis avec les questions sur ce que le pays n'aurait pas fait pour éviter les attentats.
Aujourd'hui, dans le sillage de Katrina, la désunion est la règle sur la scène politique. Les dirigeants ne se sont mis d'accord que pour débloquer plus de 62 milliards de dollars (50 milliards d'euros) pour aider les victimes de l'ouragan. Les démocrates refusent de participer à une commission d'enquête du Congrès sur les manquements de l'administration Bush pour l'organisation des secours. Ils préfèrent une enquête indépendante.
En revanche, la première réponse de la population au passage de Katrina est similaire à celle qui avait suivi les attentats du 11 septembre: les dons affluent dans les organisations caritatives, et les Américains accueillent les rescapés. AP
nc/v/cr
Quatre ans après les attentats du 11 septembre 2001, New York s'est souvenue
Presse Canadienne
Les familles qui ont perdu un proche dans les attentats du 11 septembre 2001 à New York confieront aux frères et soeurs des 2.749 victimes le soin de lire leur nom pour commémorer dimanche le quatrième anniversaire de la destruction du World Trade Center.
Les noms des victimes seront lus par 320 couples de frères et soeurs sur les ruines des tours jumelles. L'an dernier, ce sont leurs parents qui avaient rempli ce rôle, après les enfants des victimes en 2003.
La ville de New York a demandé aux lieux de culte de faire sonner leurs cloches dans toute la ville juste après la minute de silence qui sera respectée à 8h46 (12h46 GMT), l'heure précise à laquelle le premier avion a frappé la tour nord du World Trade Center il y a quatre ans.
Trois autres minutes de silence marqueront à 9h03 l'impact du second avion dans l'autre tour puis à 9h59 et à 10h29 l'effondrement des deux bâtiments.
Le gouverneur George Pataki, le maire de la ville Michael Bloomberg son prédécesseur Rudolph Giuliani et la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice devraient prendre la parole au cours de la cérémonie.
L'autorité portuaire de New York célébrera la mémoire de ses 84 employés décédés le 11 septembre et les pompiers de la ville sortiront de leurs casernes pour respecter un moment de silence à la mémoire de leur 343 collègues disparus.
Comme les années passées, des proches des victimes pourront déposer des gerbes de fleurs sur "Ground zéro" où se tenaient les deux tours. La nuit venue, deux spots lumineux rappelleront le souvenir du World Trade Center jusqu'à l'aube de lundi.
Presse Canadienne
Les familles qui ont perdu un proche dans les attentats du 11 septembre 2001 à New York confieront aux frères et soeurs des 2.749 victimes le soin de lire leur nom pour commémorer dimanche le quatrième anniversaire de la destruction du World Trade Center.
Les noms des victimes seront lus par 320 couples de frères et soeurs sur les ruines des tours jumelles. L'an dernier, ce sont leurs parents qui avaient rempli ce rôle, après les enfants des victimes en 2003.
La ville de New York a demandé aux lieux de culte de faire sonner leurs cloches dans toute la ville juste après la minute de silence qui sera respectée à 8h46 (12h46 GMT), l'heure précise à laquelle le premier avion a frappé la tour nord du World Trade Center il y a quatre ans.
Trois autres minutes de silence marqueront à 9h03 l'impact du second avion dans l'autre tour puis à 9h59 et à 10h29 l'effondrement des deux bâtiments.
Le gouverneur George Pataki, le maire de la ville Michael Bloomberg son prédécesseur Rudolph Giuliani et la secrétaire d'Etat Condoleezza Rice devraient prendre la parole au cours de la cérémonie.
L'autorité portuaire de New York célébrera la mémoire de ses 84 employés décédés le 11 septembre et les pompiers de la ville sortiront de leurs casernes pour respecter un moment de silence à la mémoire de leur 343 collègues disparus.
Comme les années passées, des proches des victimes pourront déposer des gerbes de fleurs sur "Ground zéro" où se tenaient les deux tours. La nuit venue, deux spots lumineux rappelleront le souvenir du World Trade Center jusqu'à l'aube de lundi.
Je me souviendrai tjs de cette journée...
Je n'ai su que vers 17h ce drame affreux...Trop occupée a consumer cette amour naissant la même journée!
Drame et amour qui reste encore ds mon coeur d'ailleurs...J'ai une pensée pour les familles durement éprouvées aujourd'hui!!
Je n'ai su que vers 17h ce drame affreux...Trop occupée a consumer cette amour naissant la même journée!
Drame et amour qui reste encore ds mon coeur d'ailleurs...J'ai une pensée pour les familles durement éprouvées aujourd'hui!!
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Je tente ma chance...voici un lien qui vous menera j'espère bien à un clip video que j'avais concocté quelques jours après la tragédie...
Des images et une musique qui me trotaient dans la tête pendant des jours et des jourséééet qui encore aujourd'hui me donne toujours froid dans le dos...
Bon visionnement en espèrant que tout fonctionne...(patience pour ceux qui ont une connection lente...et ne faites pas le saut ca part assez raide... )
http://media.putfile.com/Ultimate-Attack
Des images et une musique qui me trotaient dans la tête pendant des jours et des jourséééet qui encore aujourd'hui me donne toujours froid dans le dos...
Bon visionnement en espèrant que tout fonctionne...(patience pour ceux qui ont une connection lente...et ne faites pas le saut ca part assez raide... )
http://media.putfile.com/Ultimate-Attack
Je sème en moi ce que je souhaite récolter dans ma vie.
-
Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5728
- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
Renton a écritJe tente ma chance...voici un lien qui vous menera j'espère bien à un clip video que j'avais concocté quelques jours après la tragédie...
Des images et une musique qui me trotaient dans la tête pendant des jours et des jourséééet qui encore aujourd'hui me donne toujours froid dans le dos...
Bon visionnement en espèrant que tout fonctionne...(patience pour ceux qui ont une connection lente...et ne faites pas le saut ca part assez raide... )
http://media.putfile.com/Ultimate-Attack Super ton vidéo, très bon.
Des images et une musique qui me trotaient dans la tête pendant des jours et des jourséééet qui encore aujourd'hui me donne toujours froid dans le dos...
Bon visionnement en espèrant que tout fonctionne...(patience pour ceux qui ont une connection lente...et ne faites pas le saut ca part assez raide... )
http://media.putfile.com/Ultimate-Attack Super ton vidéo, très bon.
Tu vois pour moi cet événement hier a été souligner par un pique-nique seule avec ma fille près d'une église ou il y a eu la bataille de Châteauguay avec une visite chez des gens âgées extraordinaires. Un artiste de valeur et de sagesse. Tout ça pour te dire que la vie doit nous ramener a l'essentiel.
-
marie lilly
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1485
- Inscription : jeu. mai 26, 2005 12:00 am
-
thefreeman
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 2123
- Inscription : lun. nov. 03, 2003 1:00 am
Annouk a écritIl y a présentement à TQS une reconstitution des évènements survenus sur le vol 93 damerican air line du 11 septembre 2001. Cette reconstitution a été faite grâce à tous les enregistrements recueilli auprès des autorités et des familles des victimes.
je suis présentement en train de lécouter. c'est très bien fait et très intéressant. disons que ça fait réfléchir..
je suis présentement en train de lécouter. c'est très bien fait et très intéressant. disons que ça fait réfléchir..
Je fais me faire lancer des tomates, mais personnellement j'ai évité toutes les émissions radiophoniques et télévisées concernant cette tragédie pour la simple et unique raison que je devais être dans un avion en partance des États-Unis vers le Canada ce 11 septembre 2001. Par contre, c'est une véritable tragédie qui mérite d'être commémorée par ceux qui en ont la force. Je laisse cela à ceux qui en sont capable, moi je passe mon tour.
La mesure de l'amour c'est d'aimer sans mesure (Saint-Augustin)