Lu sur Cyberpresse :
Parallèlement, à l'approche du déclenchement d'une campagne électorale fédérale, le premier ministre Jean Charest a rappelé samedi, comme il l'avait fait jeudi, son intention de faire pression sur les chefs des quatre grands partis pour qu'ils se commettent sur le déséquilibre fiscal.
Jean Charest avait comme ministre des Finances le plus grand pourfendeur du déséquilibre fiscal en la personne d'Yves Séguin et il lui a montré la porte... Puis tout à coup, le premier ministre de l'Ontario est parti en guerre conre le déséquilibre fiscal et voilà que Don Quichotte Charest monte aux barricades lui aussi...
Quelle girouette, mais quelle girouette!
Tiens, tiens! Charest revient au déséquilibre fiscal...
Déséquilibre fiscal: Charest ne lâchera pas
Mise à jour le samedi 30 avril 2005 à 19 h 33
.
À l'issue du conseil général du Parti libéral à Saint-Hyacinthe, samedi, le premier ministre Jean Charest s'est engagé à faire du déséquilibre fiscal un enjeu « incontournable » de la prochaine élection fédérale.
Comme l'an dernier, M. Charest compte se servir du Conseil de la fédération pour faire pression sur les chefs des partis fédéraux afin qu'ils prennent position sur cette question. Exception faite du Parti libéral de Paul Martin, tous les partis ont déjà reconnu l'importance de rétablir l'équilibre dans le partage des recettes entre Ottawa et les provinces.
Selon le premier ministre Charest, le problème du déséquilibre fiscal est comme une « porte ouverte à l'arbitraire, à l'empiètement sur les compétences » des provinces. Il a dénoncé les commentaires récents du ministre fédéral du Revenu, John McCallum, qui reprochait au premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, de « menacer l'unité nationale » en dénonçant le déséquilibre fiscal entre Ottawa et les provinces.
Devant l'imminence d'élections fédérales, l'organisateur en chef du Parti conservateur au Québec, Norm Vocino, est allé chercher des appuis au conseil général du PLQ, comme il l'avait fait la semaine dernière au conseil général de l'Action démocratique du Québec.
D'après la consigne officielle édictée par M. Charest, chaque membre du PLQ peut prendre part à l'organisation d'une élection fédérale, mais seulement à titre individuel.
Vanter le bilan du gouvernement Charest
Par ailleurs, les libéraux du Québec ont reçu la consigne de vanter le bilan des deux premières années du gouvernement Charest afin de regagner la faveur populaire.
« On n'explique pas assez, on tient pour acquis que les gens savent », a déclaré le ministre des Finances, Michel Audet, lors de son allocution sur les points saillants de son budget.
De son côté, le ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, les a exhortés à « vendre » le bilan gouvernemental dans leur famille et leurs lieux de travail. Il leur a aussi suggéré de ne jamais accepter entendre dire que Jean Charest n'avait pas « la passion du Québec ».
Le premier ministre Charest s'en est de nouveau pris à « l'obsession » du Parti québécois pour la « séparation » du Québec.
Il a tourné en dérision le futur budget de l'an 1, que le porte-parole péquiste en matière de finances, François Legault, devrait présenter sous peu. Selon lui, « le budget hypothétique d'un budget virtuel à mille lieues du Québec réel, fidèle à son parti, va également être le grand budget de l'hypothèque du Québec ».
Mise à jour le samedi 30 avril 2005 à 19 h 33
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À l'issue du conseil général du Parti libéral à Saint-Hyacinthe, samedi, le premier ministre Jean Charest s'est engagé à faire du déséquilibre fiscal un enjeu « incontournable » de la prochaine élection fédérale.
Comme l'an dernier, M. Charest compte se servir du Conseil de la fédération pour faire pression sur les chefs des partis fédéraux afin qu'ils prennent position sur cette question. Exception faite du Parti libéral de Paul Martin, tous les partis ont déjà reconnu l'importance de rétablir l'équilibre dans le partage des recettes entre Ottawa et les provinces.
Selon le premier ministre Charest, le problème du déséquilibre fiscal est comme une « porte ouverte à l'arbitraire, à l'empiètement sur les compétences » des provinces. Il a dénoncé les commentaires récents du ministre fédéral du Revenu, John McCallum, qui reprochait au premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, de « menacer l'unité nationale » en dénonçant le déséquilibre fiscal entre Ottawa et les provinces.
Devant l'imminence d'élections fédérales, l'organisateur en chef du Parti conservateur au Québec, Norm Vocino, est allé chercher des appuis au conseil général du PLQ, comme il l'avait fait la semaine dernière au conseil général de l'Action démocratique du Québec.
D'après la consigne officielle édictée par M. Charest, chaque membre du PLQ peut prendre part à l'organisation d'une élection fédérale, mais seulement à titre individuel.
Vanter le bilan du gouvernement Charest
Par ailleurs, les libéraux du Québec ont reçu la consigne de vanter le bilan des deux premières années du gouvernement Charest afin de regagner la faveur populaire.
« On n'explique pas assez, on tient pour acquis que les gens savent », a déclaré le ministre des Finances, Michel Audet, lors de son allocution sur les points saillants de son budget.
De son côté, le ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, les a exhortés à « vendre » le bilan gouvernemental dans leur famille et leurs lieux de travail. Il leur a aussi suggéré de ne jamais accepter entendre dire que Jean Charest n'avait pas « la passion du Québec ».
Le premier ministre Charest s'en est de nouveau pris à « l'obsession » du Parti québécois pour la « séparation » du Québec.
Il a tourné en dérision le futur budget de l'an 1, que le porte-parole péquiste en matière de finances, François Legault, devrait présenter sous peu. Selon lui, « le budget hypothétique d'un budget virtuel à mille lieues du Québec réel, fidèle à son parti, va également être le grand budget de l'hypothèque du Québec ».
Citation :Le premier ministre Charest s'en est de nouveau pris à « l'obsession » du Parti québécois pour la « séparation » du Québec.
On dirait l'émule de Jean Chrétien torrieux. Il développe le même langage méprisant que l'autre avait. Stie !
On dirait l'émule de Jean Chrétien torrieux. Il développe le même langage méprisant que l'autre avait. Stie !
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritCitation :Le premier ministre Charest s'en est de nouveau pris à « l'obsession » du Parti québécois pour la « séparation » du Québec.
On dirait l'émule de Jean Chrétien torrieux. Il développe le même langage méprisant que l'autre avait. Stie !
incroyable!
On dirait l'émule de Jean Chrétien torrieux. Il développe le même langage méprisant que l'autre avait. Stie !
incroyable!
Puisque les choses sont ainsi, je prétends moi aussi avoir mon franc parler, et, à l'exception des choses et des personnes auxquelles je dois respect, je dirai mon avis sur le reste.