La pensée unique au Québec, réalité ou légende?
Sur des sujets dernièrement il y a été metionné, une pensée unique à cause des médias. Sommes-nous bien informés?
Croyez-vous à cette pensée unique?
Si oui, quelle est-elle cette pensée unique?
Si non, quelle sont nos ressources pour ne pas faire partie de cette pensée unique?
Et vous êtes-vous de la pensée unique? --Message edité par tuberale le 2005-03-26 21:13:35--
Croyez-vous à cette pensée unique?
Si oui, quelle est-elle cette pensée unique?
Si non, quelle sont nos ressources pour ne pas faire partie de cette pensée unique?
Et vous êtes-vous de la pensée unique? --Message edité par tuberale le 2005-03-26 21:13:35--
Rénatane a écritDis moi donc , c'est quoi au juste cette pensée unique ? Méchante bonne question!
Pour ma part, je dirais plutôt que c'est une utopie. Si on n'écoute (ou lit) un seul média à long terme c’est très possible que nos opinions en soient influencés, mais de nos jours il y en a tellement des différents, incluant ceux de l’étrangers qui nous sont maintenant accessibles, qu’à mon sens notre information me semble très bien.
Bon, il y a toujours place à l’amélioration (sensationnalisme), mais si on compare notre information à celle de générations inférieures je pense qu’on a pas trop à se plaindre, faut juste savoir où aller la chercher … dans le fond, l’information c’est nous qui la choisi, si les côtes d’écoutes n’exploraient pas quand Mongrain montre le drame tragique d’une femme qui a perdu son chien (et je ne l’invente pas) peut-être que ça irait mieux… --Message edité par Acrux le 2005-03-20 12:08:39--
Pour ma part, je dirais plutôt que c'est une utopie. Si on n'écoute (ou lit) un seul média à long terme c’est très possible que nos opinions en soient influencés, mais de nos jours il y en a tellement des différents, incluant ceux de l’étrangers qui nous sont maintenant accessibles, qu’à mon sens notre information me semble très bien.
Bon, il y a toujours place à l’amélioration (sensationnalisme), mais si on compare notre information à celle de générations inférieures je pense qu’on a pas trop à se plaindre, faut juste savoir où aller la chercher … dans le fond, l’information c’est nous qui la choisi, si les côtes d’écoutes n’exploraient pas quand Mongrain montre le drame tragique d’une femme qui a perdu son chien (et je ne l’invente pas) peut-être que ça irait mieux… --Message edité par Acrux le 2005-03-20 12:08:39--
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
La pensée unique
Par Ignacio Ramonet
ENGLUÉS. Dans les démocraties actuelles, de plus en plus de citoyens libres se sentent englués, poissés par une sorte de visqueuse doctrine qui, insensiblement, enveloppe tout raisonnement rebelle, l’inhibe, le trouble, le paralyse et finit par l’étouffer. Cette doctrine, c’est la pensée unique, la seule autorisée par une invisible et omniprésente police de l’opinion.
Depuis la chute du mur de Berlin, l’effondrement des régimes communistes et la démoralisation du socialisme, l’arrogance, la morgue et l’insolence de ce nouvel Evangile ont atteint un tel degré qu’on peut, sans exagérer, qualifier cette fureur idéologique de moderne dogmatisme.
Qu’est-ce que la pensée unique ? La traduction en termes idéologiques à prétention universelle des intérêts d’un ensemble de forces économiques, celles, en particulier, du capital international. Elle a été, pour ainsi dire, formulée et définie dès 1944, à l’occasion des accords de Bretton-Woods. Ses sources principales sont les grandes institutions économiques et monétaires - Banque mondiale, Fonds monétaire international, Organisation de coopération et de développement économiques, Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, Commission européenne, Banque de France, etc. - qui, par leur financement, enrôlent au service de leurs idées, à travers toute la planète, de nombreux centres de recherches, des universités, des fondations, lesquels, à leur tour, affinent et répandent la bonne parole.
Ce discours anonyme est repris et reproduit par les principaux organes d’information économique, et notamment par les « bibles » des investisseurs et des boursiers - The Wall Street Journal, Financial Times, The Economist, Far Eastern Economic Review, les Echos, Agence Reuter, etc. -, propriétés, souvent, de grands groupes industriels ou financiers. Un peu partout, des facultés de sciences économiques, des journalistes, des essayistes, des hommes politiques, enfin, reprennent les principaux commandements de ces nouvelles tables de la loi et, par le relais des grands médias de masse, les répètent à satiété. Sachant pertinemment que, dans nos sociétés médiatiques, répétition vaut démonstration.
Le premier principe de la pensée unique est d’autant plus fort qu’un marxiste distrait ne le renierait point : l’économique l’emporte sur le politique. C’est en se fondant sur un tel principe que, par exemple, un instrument aussi important dans les mains de l’exécutif que la Banque de France a été, sans opposition notable, rendu indépendant en 1994 et, en quelque sorte, « mis à l’abri des aléas politiques ». « La Banque de France est indépendante, apolitique et transpartisane », affirme en effet son gouverneur, M. Jean-Claude Trichet, qui ajoute cependant : « Nous demandons de réduire les déficits publics », [et] « nous poursuivons une stratégie de monnaie stable ». Comme si ces deux objectifs n’étaient pas politiques ! Au nom du « réalisme » et du « pragmatisme » - que M. Alain Minc formule de la manière suivante : « Le capitalisme ne peut s’effondrer, c’est l’état naturel de la société. La démocratie n’est pas l’état naturel de la société. Le marché, oui. » -, l’économie est placée au poste de commandement. Une économie débarrassée, il va de soi, de l’obstacle du social, sorte de gangue pathétique dont la lourdeur serait cause de régression et de crise.
LES autres concepts-clés de la pensée unique sont connus : le marché, idole dont « la main invisible corrige les aspérités et les dysfonctionnements du capitalisme », et tout particulièrement les marchés financiers, dont « les signaux orientent et déterminent le mouvement général de l’économie » ; la concurrence et la compétitivité, qui « stimulent et dynamisent les entreprises, les amenant à une permanente et bénéfique modernisation » ; le libre-échange sans rivages, « facteur de développement ininterrompu du commerce, et donc des sociétés » ; la mondialisation aussi bien de la production manufacturière que des flux financiers ; la division internationale du travail, qui « modère les revendications syndicales et abaisse les coûts salariaux » ; la monnaie forte, « facteur de stabilisation » ; la déréglementation ; la privatisation ; la libéralisation, etc. Toujours « moins d’Etat », un arbitrage constant en faveur des revenus du capital au détriment de ceux du travail. Et une indifférence à l’égard du coût écologique.
La répétition constante, dans tous les médias, de ce catéchisme par presque tous les hommes politiques, de droite comme de gauche, lui confère une telle force d’intimidation qu’elle étouffe toute tentative de réflexion libre, et rend fort difficile la résistance contre ce nouvel obscurantisme.
On en viendrait presque à considérer que les 17,4 millions de chômeurs européens, le désastre urbain, la précarisation générale, la corruption, les banlieues en feu, le saccage écologique, le retour des racismes, des intégrismes et des extrémismes religieux, et la marée des exclus sont de simples mirages, des hallucinations coupables, fortement discordantes dans ce meilleur des mondes qu’édifie, pour nos consciences anesthésiées, la pensée unique.
Par Ignacio Ramonet
ENGLUÉS. Dans les démocraties actuelles, de plus en plus de citoyens libres se sentent englués, poissés par une sorte de visqueuse doctrine qui, insensiblement, enveloppe tout raisonnement rebelle, l’inhibe, le trouble, le paralyse et finit par l’étouffer. Cette doctrine, c’est la pensée unique, la seule autorisée par une invisible et omniprésente police de l’opinion.
Depuis la chute du mur de Berlin, l’effondrement des régimes communistes et la démoralisation du socialisme, l’arrogance, la morgue et l’insolence de ce nouvel Evangile ont atteint un tel degré qu’on peut, sans exagérer, qualifier cette fureur idéologique de moderne dogmatisme.
Qu’est-ce que la pensée unique ? La traduction en termes idéologiques à prétention universelle des intérêts d’un ensemble de forces économiques, celles, en particulier, du capital international. Elle a été, pour ainsi dire, formulée et définie dès 1944, à l’occasion des accords de Bretton-Woods. Ses sources principales sont les grandes institutions économiques et monétaires - Banque mondiale, Fonds monétaire international, Organisation de coopération et de développement économiques, Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce, Commission européenne, Banque de France, etc. - qui, par leur financement, enrôlent au service de leurs idées, à travers toute la planète, de nombreux centres de recherches, des universités, des fondations, lesquels, à leur tour, affinent et répandent la bonne parole.
Ce discours anonyme est repris et reproduit par les principaux organes d’information économique, et notamment par les « bibles » des investisseurs et des boursiers - The Wall Street Journal, Financial Times, The Economist, Far Eastern Economic Review, les Echos, Agence Reuter, etc. -, propriétés, souvent, de grands groupes industriels ou financiers. Un peu partout, des facultés de sciences économiques, des journalistes, des essayistes, des hommes politiques, enfin, reprennent les principaux commandements de ces nouvelles tables de la loi et, par le relais des grands médias de masse, les répètent à satiété. Sachant pertinemment que, dans nos sociétés médiatiques, répétition vaut démonstration.
Le premier principe de la pensée unique est d’autant plus fort qu’un marxiste distrait ne le renierait point : l’économique l’emporte sur le politique. C’est en se fondant sur un tel principe que, par exemple, un instrument aussi important dans les mains de l’exécutif que la Banque de France a été, sans opposition notable, rendu indépendant en 1994 et, en quelque sorte, « mis à l’abri des aléas politiques ». « La Banque de France est indépendante, apolitique et transpartisane », affirme en effet son gouverneur, M. Jean-Claude Trichet, qui ajoute cependant : « Nous demandons de réduire les déficits publics », [et] « nous poursuivons une stratégie de monnaie stable ». Comme si ces deux objectifs n’étaient pas politiques ! Au nom du « réalisme » et du « pragmatisme » - que M. Alain Minc formule de la manière suivante : « Le capitalisme ne peut s’effondrer, c’est l’état naturel de la société. La démocratie n’est pas l’état naturel de la société. Le marché, oui. » -, l’économie est placée au poste de commandement. Une économie débarrassée, il va de soi, de l’obstacle du social, sorte de gangue pathétique dont la lourdeur serait cause de régression et de crise.
LES autres concepts-clés de la pensée unique sont connus : le marché, idole dont « la main invisible corrige les aspérités et les dysfonctionnements du capitalisme », et tout particulièrement les marchés financiers, dont « les signaux orientent et déterminent le mouvement général de l’économie » ; la concurrence et la compétitivité, qui « stimulent et dynamisent les entreprises, les amenant à une permanente et bénéfique modernisation » ; le libre-échange sans rivages, « facteur de développement ininterrompu du commerce, et donc des sociétés » ; la mondialisation aussi bien de la production manufacturière que des flux financiers ; la division internationale du travail, qui « modère les revendications syndicales et abaisse les coûts salariaux » ; la monnaie forte, « facteur de stabilisation » ; la déréglementation ; la privatisation ; la libéralisation, etc. Toujours « moins d’Etat », un arbitrage constant en faveur des revenus du capital au détriment de ceux du travail. Et une indifférence à l’égard du coût écologique.
La répétition constante, dans tous les médias, de ce catéchisme par presque tous les hommes politiques, de droite comme de gauche, lui confère une telle force d’intimidation qu’elle étouffe toute tentative de réflexion libre, et rend fort difficile la résistance contre ce nouvel obscurantisme.
On en viendrait presque à considérer que les 17,4 millions de chômeurs européens, le désastre urbain, la précarisation générale, la corruption, les banlieues en feu, le saccage écologique, le retour des racismes, des intégrismes et des extrémismes religieux, et la marée des exclus sont de simples mirages, des hallucinations coupables, fortement discordantes dans ce meilleur des mondes qu’édifie, pour nos consciences anesthésiées, la pensée unique.
Et pour ceux que ça peut intéresser, voilà le site "officiel" contre la Pensée Unique...:
http://penseeunique.com/
http://penseeunique.com/
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Je pense que c'est le politicly correct........Y en a qui en ont assez........Mais les Jeff Filion de ce monde vont trop loin dans l'autre sens , pas besoin d'insulter les gens aux passage......Mais c'est vrai qu'il n'y a pu moyen de rien dire......Sur :
Les pauvres , les noirs , les juifs , les musulmans , les catholiques , les femmes , les handicapées etc.......
Par contre on a le droit avec , les politiciens , les hommes , les riches........en autant que ce soit pour *chi...* dessus..... --Message edité par Rénatane le 2005-03-21 20:56:12--
Les pauvres , les noirs , les juifs , les musulmans , les catholiques , les femmes , les handicapées etc.......
Par contre on a le droit avec , les politiciens , les hommes , les riches........en autant que ce soit pour *chi...* dessus..... --Message edité par Rénatane le 2005-03-21 20:56:12--
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
J'ai parti le débat et je n'y suis pas venu. Problème domestique oblige. Je prend un petit peu temps quand même.
Le terme, "pensée unique" est à mon avis un terme galvaudé et repris par tout ceux qui ne supportes qu'une grande partie de la population ne se joigne à leur pensée ou vérité.
Les plus grands pourfendeurs de la pensée unique ne sont-ils pas ceux qui font parties de groupes dont les idées sont tranchées et sans appel? Ceux qui croient que la société est divisée en deux. Eux qui sont dans le droit chemin et les autres détenteurs d'un pensée unique qui n'est pas la leur?
J'ai trouvé un texte qui assez intéressant qui dépeint en gros notre société de pensée unique.
Étant donné que je cite, je n'ai pas changé les célèbres qui dans certains cas seront contestés. Toutefois la définition de chaque groupe est assez réaliste à mon avis.
Je vous donne le lien à la fin, seulement pour que vous lisiez les groupes avec les célèbres..
La pensée unique, c’est un phénomène de société selon lequel une majorité adhère aveuglément à une idéologie.
À droite
L’économiste bien intentionné
Les célèbres: Mario Dumont, Jean Charest
Le religieux conservateur.
Les célèbres: Georges W. Bush, Osama Ben Laden
L’éxtrémiste de droite
Les célèbres: Ann Coutler, Don Cherry, Jeff Fillion, Jean-Marie Le Pen
À gauche
L’environnementaliste (aka, l’écolo le grano)
Célèbre: Brigitte Bardot
Socialiste syndicaliste
Les célèbres: Michel Chartrand, le prof Lauzon
L’atermondialiste
Célèbre: José Bové, Ferdinando Marcos, Noami Klein
http://www.lereverbere.com/archives/000174.html
Le terme, "pensée unique" est à mon avis un terme galvaudé et repris par tout ceux qui ne supportes qu'une grande partie de la population ne se joigne à leur pensée ou vérité.
Les plus grands pourfendeurs de la pensée unique ne sont-ils pas ceux qui font parties de groupes dont les idées sont tranchées et sans appel? Ceux qui croient que la société est divisée en deux. Eux qui sont dans le droit chemin et les autres détenteurs d'un pensée unique qui n'est pas la leur?
J'ai trouvé un texte qui assez intéressant qui dépeint en gros notre société de pensée unique.
Étant donné que je cite, je n'ai pas changé les célèbres qui dans certains cas seront contestés. Toutefois la définition de chaque groupe est assez réaliste à mon avis.
Je vous donne le lien à la fin, seulement pour que vous lisiez les groupes avec les célèbres..
La pensée unique, c’est un phénomène de société selon lequel une majorité adhère aveuglément à une idéologie.
À droite
L’économiste bien intentionné
Les célèbres: Mario Dumont, Jean Charest
Le religieux conservateur.
Les célèbres: Georges W. Bush, Osama Ben Laden
L’éxtrémiste de droite
Les célèbres: Ann Coutler, Don Cherry, Jeff Fillion, Jean-Marie Le Pen
À gauche
L’environnementaliste (aka, l’écolo le grano)
Célèbre: Brigitte Bardot
Socialiste syndicaliste
Les célèbres: Michel Chartrand, le prof Lauzon
L’atermondialiste
Célèbre: José Bové, Ferdinando Marcos, Noami Klein
http://www.lereverbere.com/archives/000174.html
Aujourd'hui,à l'émission de gilles,ils en ont parlé un peu à cause d'une lettre d'un auditeur.Il disait que le genre de discours qu'il tenait à cette radio,étais des idées de droite et que la pensée unique c'étais un discours de la gauche !!!
Puisque les choses sont ainsi, je prétends moi aussi avoir mon franc parler, et, à l'exception des choses et des personnes auxquelles je dois respect, je dirai mon avis sur le reste.
william2 a écritAujourd'hui,à l'émission de gilles,ils en ont parlé un peu à cause d'une lettre d'un auditeur.Il disait que le genre de discours qu'il tenait à cette radio,étais des idées de droite et que la pensée unique c'étais un discours de la gauche !!!
... à l'émission de Gilles ? Gilles Proulx, Gilles Latulippe, Gilles Vigneault, Gilles... Lequel ?
... à l'émission de Gilles ? Gilles Proulx, Gilles Latulippe, Gilles Vigneault, Gilles... Lequel ?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
william2 a écritAujourd'hui,à l'émission de gilles,ils en ont parlé un peu à cause d'une lettre d'un auditeur.Il disait que le genre de discours qu'il tenait à cette radio,étais des idées de droite et que la pensée unique c'étais un discours de la gauche !!!
Comme je disais, la pensée unique est la pensée des autres qui ne sont pas de notre groupe d'idéologie.
Ce qu'il dit, Gilles Parent, si tu rapportes bien ses dires est qu'a CHOI à cause de leur idée de droite ils ne font pas partie de la pensée unique, la pensée unique est pour tout les autres qui sont de gauche.
La société au Québec n'est pas divisée en deux groupe extrémiste de droite et de gauche. Je crois que la majorité sont plutôt située dans un grand spectre voguant tout dépendant du sujet au centre.
Et que dire des États-Unis? Cela voudrait-il dire que la pensée unique n'existe pas car Bush homme de droite a été élu par la majorité.
Si être de gauche c'est faire partie de la pensée unique, les marxiste-léniliste ou simplement les communistes sont des as de la pensée unique.
Étant donné le nombre de personnes qui se disent communiste au Québec c'est vrai qu'il ne sont pas loin d'être unique.
Je ne connais pas Gilles Parent mais j'espère que sa manière d'expliquer la pensée unique est un peu plus rigoureuse.
Comme je disais, la pensée unique est la pensée des autres qui ne sont pas de notre groupe d'idéologie.
Ce qu'il dit, Gilles Parent, si tu rapportes bien ses dires est qu'a CHOI à cause de leur idée de droite ils ne font pas partie de la pensée unique, la pensée unique est pour tout les autres qui sont de gauche.
La société au Québec n'est pas divisée en deux groupe extrémiste de droite et de gauche. Je crois que la majorité sont plutôt située dans un grand spectre voguant tout dépendant du sujet au centre.
Et que dire des États-Unis? Cela voudrait-il dire que la pensée unique n'existe pas car Bush homme de droite a été élu par la majorité.
Si être de gauche c'est faire partie de la pensée unique, les marxiste-léniliste ou simplement les communistes sont des as de la pensée unique.
Étant donné le nombre de personnes qui se disent communiste au Québec c'est vrai qu'il ne sont pas loin d'être unique.
Je ne connais pas Gilles Parent mais j'espère que sa manière d'expliquer la pensée unique est un peu plus rigoureuse.
La façon dont je perçois tout ça, c'est que si on pense autrement que comme les animateurs de CHOI, on est considérés comme faisant partie d,une clique prônant la pensée unique, donc une pensée qui diffère de la leur...
Le contraire pourrait pourtant être aussi vrai... On pourrait dire que tous ceux qui pensent comme eux possèdent une pensée unique puisuq'ils pensent tous pareils non?
Perso, je suis parfois à gauche, parfois à droite, tout dépend vraiment des questions! C'est vraiment trop facile de catégoriser les gens en 2 clans! Dans la vie, tout n'est pas aussi tranché, il y a beaucoup de zones grises...
Le contraire pourrait pourtant être aussi vrai... On pourrait dire que tous ceux qui pensent comme eux possèdent une pensée unique puisuq'ils pensent tous pareils non?
Perso, je suis parfois à gauche, parfois à droite, tout dépend vraiment des questions! C'est vraiment trop facile de catégoriser les gens en 2 clans! Dans la vie, tout n'est pas aussi tranché, il y a beaucoup de zones grises...