Si vous vous ennuyez d'André Boisclair...
André BOISCLAIR
Né à Montréal le 14 avril 1966, fils de Marc-André Boisclair, financier et d'Élaine Viau.
A étudié au collège Jean-de-Brébeuf de 1983 à 1986 et à l'université de Montréal, en sciences économique, de 1986 à 1988.
Vice-président aux affaires externes de l'Association des étudiants du collège Jean-de-Brébeuf en 1984, président de la Fédération des associations étudiantes collégiales du Québec en 1984-1985, fondateur et président de 1985 à 1988 du Groupe Engage inc., groupe-conseil spécialisé dans le démarrage de micro-entreprises. Cofondateur du Forum international des jeunes en 1985. Président du comité national des jeunes du Parti québécois en 1988 et 1989.
Élu député du Parti québécois dans Gouin en 1989, réélu en 1994. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 12 septembre 1994 au 29 janvier 1996, adjoint parlementaire de la ministre responsable de l'Immigration et des Communautés culturelles du 29 novembre 1995 au 29 janvier 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens du 29 janvier au 4 septembre 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens et à l'Immigration du 4 septembre au 4 décembre 1996 et ministre des Relations avec les citoyens et de l'Immigration du 4 décembre 1996 au 15 décembre 1998.
Réélu aux élections de 1998 et de 2003. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 9 décembre 1998 au 30 janvier 2002, ministre de la Solidarité sociale du 15 décembre 1998 au 8 mars 2001, ministre responsable de la Régie des installations olympiques du 10 novembre 1999 au 29 avril 2003, ministre d'État à l'Environnement et à l'Eau du 13 novembre 2001 au 30 janvier 2002, ministre d'État aux Affaires municipales et à la Métropole, à l'Environnement et à l'Eau du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, leader parlementaire du gouvernement du 30 janvier 2002 au 12 mars 2003. Leader parlementaire de l'Opposition officielle du 29 avril 2003 au 17 août 2004 date de sa démissionne comme leader de l'Opposition officielle et député.
Merci NetRoll, c'est comme un cadeau que je reçois.
J'aime sa tête, ce qu'il y à l'intérieur quoique qu'il est pas mal cute aussi. Je suis convaincu qu'un jour il sera à la tête du Québec ce gars-là, il est encore jeune.
Bourrassa ne c'était-il pas fait élire une deuxième fois comme premier ministre après son retour d'étude, je ne suis pas certaine si c'était à Londres ou à Boston.
J'aime sa tête, ce qu'il y à l'intérieur quoique qu'il est pas mal cute aussi. Je suis convaincu qu'un jour il sera à la tête du Québec ce gars-là, il est encore jeune.
Bourrassa ne c'était-il pas fait élire une deuxième fois comme premier ministre après son retour d'étude, je ne suis pas certaine si c'était à Londres ou à Boston.
Soleil47 a écrit
André BOISCLAIR
Né à Montréal le 14 avril 1966, fils de Marc-André Boisclair, financier et d'Élaine Viau.
A étudié au collège Jean-de-Brébeuf de 1983 à 1986 et à l'université de Montréal, en sciences économique, de 1986 à 1988.
Vice-président aux affaires externes de l'Association des étudiants du collège Jean-de-Brébeuf en 1984, président de la Fédération des associations étudiantes collégiales du Québec en 1984-1985, fondateur et président de 1985 à 1988 du Groupe Engage inc., groupe-conseil spécialisé dans le démarrage de micro-entreprises. Cofondateur du Forum international des jeunes en 1985. Président du comité national des jeunes du Parti québécois en 1988 et 1989.
Élu député du Parti québécois dans Gouin en 1989, réélu en 1994. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 12 septembre 1994 au 29 janvier 1996, adjoint parlementaire de la ministre responsable de l'Immigration et des Communautés culturelles du 29 novembre 1995 au 29 janvier 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens du 29 janvier au 4 septembre 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens et à l'Immigration du 4 septembre au 4 décembre 1996 et ministre des Relations avec les citoyens et de l'Immigration du 4 décembre 1996 au 15 décembre 1998.
Réélu aux élections de 1998 et de 2003. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 9 décembre 1998 au 30 janvier 2002, ministre de la Solidarité sociale du 15 décembre 1998 au 8 mars 2001, ministre responsable de la Régie des installations olympiques du 10 novembre 1999 au 29 avril 2003, ministre d'État à l'Environnement et à l'Eau du 13 novembre 2001 au 30 janvier 2002, ministre d'État aux Affaires municipales et à la Métropole, à l'Environnement et à l'Eau du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, leader parlementaire du gouvernement du 30 janvier 2002 au 12 mars 2003. Leader parlementaire de l'Opposition officielle du 29 avril 2003 au 17 août 2004 date de sa démissionne comme leader de l'Opposition officielle et député.
Merci Soleil47, pour ceux qui ne le connaisse pas ça donne une bonne idée.
Je le croyais un peu plus jeune. J'ai hâte de le voir revenir, ce sera une bouffée d'air frais. Un vrai X comme je les aime.
André BOISCLAIR
Né à Montréal le 14 avril 1966, fils de Marc-André Boisclair, financier et d'Élaine Viau.
A étudié au collège Jean-de-Brébeuf de 1983 à 1986 et à l'université de Montréal, en sciences économique, de 1986 à 1988.
Vice-président aux affaires externes de l'Association des étudiants du collège Jean-de-Brébeuf en 1984, président de la Fédération des associations étudiantes collégiales du Québec en 1984-1985, fondateur et président de 1985 à 1988 du Groupe Engage inc., groupe-conseil spécialisé dans le démarrage de micro-entreprises. Cofondateur du Forum international des jeunes en 1985. Président du comité national des jeunes du Parti québécois en 1988 et 1989.
Élu député du Parti québécois dans Gouin en 1989, réélu en 1994. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 12 septembre 1994 au 29 janvier 1996, adjoint parlementaire de la ministre responsable de l'Immigration et des Communautés culturelles du 29 novembre 1995 au 29 janvier 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens du 29 janvier au 4 septembre 1996, ministre délégué aux Relations avec les citoyens et à l'Immigration du 4 septembre au 4 décembre 1996 et ministre des Relations avec les citoyens et de l'Immigration du 4 décembre 1996 au 15 décembre 1998.
Réélu aux élections de 1998 et de 2003. Leader parlementaire adjoint du gouvernement du 9 décembre 1998 au 30 janvier 2002, ministre de la Solidarité sociale du 15 décembre 1998 au 8 mars 2001, ministre responsable de la Régie des installations olympiques du 10 novembre 1999 au 29 avril 2003, ministre d'État à l'Environnement et à l'Eau du 13 novembre 2001 au 30 janvier 2002, ministre d'État aux Affaires municipales et à la Métropole, à l'Environnement et à l'Eau du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, ministre des Affaires municipales et ministre de l'Environnement du 30 janvier 2002 au 29 avril 2003, leader parlementaire du gouvernement du 30 janvier 2002 au 12 mars 2003. Leader parlementaire de l'Opposition officielle du 29 avril 2003 au 17 août 2004 date de sa démissionne comme leader de l'Opposition officielle et député.
Merci Soleil47, pour ceux qui ne le connaisse pas ça donne une bonne idée.
Je le croyais un peu plus jeune. J'ai hâte de le voir revenir, ce sera une bouffée d'air frais. Un vrai X comme je les aime.
L'ex-ministre péquiste André Boisclair met fin à son aventure universitaire, sans pour autant replonger en politique.
Dès août prochain, il se joindra à une firme de consultants de Toronto et ne compte pas être candidat aux prochaines élections.
Un an après son admission à Harvard, une maîtrise en administration publique en poche, M. Boisclair a abandonné l'idée de poursuivre ses études en Europe, pour des raisons financières.
Malgré son embauche par la firme MacKinsey et cie, il ne fait pas une croix sur la chose publique. Il refuse toutefois de spéculer sur un éventuel retour à la politique.
C'est quoi cette histoire-là? Il s'en va travailler pour les Anglais!!! J'en reviens juste pas, c'est vraiment une gifle dans le visage que je viens d'avoir en lisant cela. C'est quoi que notre futur Premier Ministre qui était supposer de guider notre peuple vers la liberté va faire à travailler pour les capitalistes ontariens!?!? Suis vraiment décu sérieusement..
Prochain arrêt: TORONTO
En primeur pour vous, nouveaux lecteurs. Je vous annonce qu’au mois d’août prochain, je joindrai à Toronto la firme de consultants McKinsey et Compagnie.
Je veux tout d’abord les remercier pour leur confiance. McKinsey m’offre une chance unique de travailler auprès des meilleurs entrepreneurs. Avec beaucoup d’enthousiasme j’ai accepté leur proposition.
Cela signifie que je ne serai pas candidat à la prochaine élection. Est-ce que je mets pour autant une croix sur la chose publique? NON. Je reviendrai sur le sujet.
Avant tout, je dois vous dire que mon année à Harvard n’est pas encore terminée que j’imagine déjà le plaisir que j’aurais à poursuivre des études dans un autre domaine. Je n’ai pas regretté une seul instant ma décision de quitter la politique. Il n’y a pas un matin où j'ai quitté la maison sans me dire combien j'étais privilégié. Je serai éternellement reconnaissant à la vie et au cadeau qu’elle me fait. Si tout va comme prévu, je graduerai le 9 juin. J'aurai ma maîtrise en administration publique.
J’aurais cependant aimé poursuivre mon expérience universitaire. Certains qui me connaissent davantage, savent que j’avais initié des démarches auprès de l’INSEAD à Fontainebleau pour y faire un MBA. Mais tout cela a un prix et mes économies ne sont pas sans un puits sans fonds!
J’ai donc cherché un emploi dans le secteur privé qui me permettrait d’accomplir trois choses: développer une robuste expertise du milieu des affaires, approfondir mes connaissances de l’économie internationale et mettre en œuvre mon expertise ne matière de leadership. McKinsey m’offre ce privilège. Mon travail sera exigeant, je voyagerai sans doute beaucoup, mais il sera formateur. Tous ceux que j’ai consultés sont unanimes pour affirmer que deux ans chez McKinsey valent autant qu’un MBA!
Et puis oui, je travaillerai de la ville reine, Toronto! 10 ans après le dernier référendum, c’est à mon tour d’aller les saluer. J’ai toujours parlé du Canada en le regardant de notre côté de l’Outaouais. J’accepte aujourd’hui volontiers l’offre qui m’est faite d’aller y vivre. J’essaierai d’observer, de mieux comprendre.
Je sais que je fais les choses un peu à l’envers. Normalement on étudie en administration publique pour s’y consacrer, non pour faire une transition vers le secteur privé. Mais j’ose croire que mon choix est juste. Essentiellement, je pense que les espaces communs entre les secteurs publiques, privés et communautaires seront plus importants dans les prochaines années. Si je veux demeurer pertinent, je dois savoir naviguer dans chacun d’entre eux.
J’enrichis ainsi mon capital, je cultive mon indépendance.
Au sujet de mon avenir politique, je ne vous cacherai pas qu’il est flatteur de lire ce que certains d’entre vous écrivent à mon sujet. J'apprécie énormément la confiance qui m'est offerte. Je sais cependant combien il est difficile de l'entretenir lorsque l'on souhaite transformer le Québec. Tout cela est bien fragile. Au-delà de ma personne, je préfère donc voir dans ces appuis une volonté bien réelle de bâtir ce que Bernard Landry appelle une nouvelle "alliance inter-générationnelle". Il y a là un vrai défi.
Servir le peuple québécois est le plus grand des privilèges qui puisse être offert à l’un ou l’autre d’entre nous. Comme vous, je vois les Québec tourner en rond. Je vous assure que je n’ai rien perdu de mes espoirs, ni de mon désire d’abattre des murs, surtout lorsque je vois l’ignominie dans laquelle sombre le gouvernement Charest. Ce n'est cependant pas une personne seule qui fera le travail. Il est possible de bâtir ce Québec nouveau, fier et généreux. Les souverainistes sont responsables, ils ont de l'ardeur. Sils étaient juste plus généreux envers eux-mêmes et plus fiers de leurs succès, ils parviendraient à bâtir une toute nouvelle synthèse des intérêts du Québec. Je rêve du jour ou après avoir vraiment appris de leurs malheurs, ils sauront s'en libérer. Au rythme où le Québec se transforme, je pense que c'est là un devoir. Il y a à l'horizon bien plus qu'une brise.
Finalement, vous souvenez-vous de ce slogan « Je suis prêt!»? Si un jour j'ai à prononcer ces paroles devant les membres du PQ, ce ne sera pas pour la frime. Je serai vraiment prêt.
Avec plaisir je les retrouverai d'ailleurs au Congrès du mois de juin.
Merci de partager mon enthousiasme. Je quitte ce soir pour le Japon, de retour le 5. À très bientôt!
En primeur pour vous, nouveaux lecteurs. Je vous annonce qu’au mois d’août prochain, je joindrai à Toronto la firme de consultants McKinsey et Compagnie.
Je veux tout d’abord les remercier pour leur confiance. McKinsey m’offre une chance unique de travailler auprès des meilleurs entrepreneurs. Avec beaucoup d’enthousiasme j’ai accepté leur proposition.
Cela signifie que je ne serai pas candidat à la prochaine élection. Est-ce que je mets pour autant une croix sur la chose publique? NON. Je reviendrai sur le sujet.
Avant tout, je dois vous dire que mon année à Harvard n’est pas encore terminée que j’imagine déjà le plaisir que j’aurais à poursuivre des études dans un autre domaine. Je n’ai pas regretté une seul instant ma décision de quitter la politique. Il n’y a pas un matin où j'ai quitté la maison sans me dire combien j'étais privilégié. Je serai éternellement reconnaissant à la vie et au cadeau qu’elle me fait. Si tout va comme prévu, je graduerai le 9 juin. J'aurai ma maîtrise en administration publique.
J’aurais cependant aimé poursuivre mon expérience universitaire. Certains qui me connaissent davantage, savent que j’avais initié des démarches auprès de l’INSEAD à Fontainebleau pour y faire un MBA. Mais tout cela a un prix et mes économies ne sont pas sans un puits sans fonds!
J’ai donc cherché un emploi dans le secteur privé qui me permettrait d’accomplir trois choses: développer une robuste expertise du milieu des affaires, approfondir mes connaissances de l’économie internationale et mettre en œuvre mon expertise ne matière de leadership. McKinsey m’offre ce privilège. Mon travail sera exigeant, je voyagerai sans doute beaucoup, mais il sera formateur. Tous ceux que j’ai consultés sont unanimes pour affirmer que deux ans chez McKinsey valent autant qu’un MBA!
Et puis oui, je travaillerai de la ville reine, Toronto! 10 ans après le dernier référendum, c’est à mon tour d’aller les saluer. J’ai toujours parlé du Canada en le regardant de notre côté de l’Outaouais. J’accepte aujourd’hui volontiers l’offre qui m’est faite d’aller y vivre. J’essaierai d’observer, de mieux comprendre.
Je sais que je fais les choses un peu à l’envers. Normalement on étudie en administration publique pour s’y consacrer, non pour faire une transition vers le secteur privé. Mais j’ose croire que mon choix est juste. Essentiellement, je pense que les espaces communs entre les secteurs publiques, privés et communautaires seront plus importants dans les prochaines années. Si je veux demeurer pertinent, je dois savoir naviguer dans chacun d’entre eux.
J’enrichis ainsi mon capital, je cultive mon indépendance.
Au sujet de mon avenir politique, je ne vous cacherai pas qu’il est flatteur de lire ce que certains d’entre vous écrivent à mon sujet. J'apprécie énormément la confiance qui m'est offerte. Je sais cependant combien il est difficile de l'entretenir lorsque l'on souhaite transformer le Québec. Tout cela est bien fragile. Au-delà de ma personne, je préfère donc voir dans ces appuis une volonté bien réelle de bâtir ce que Bernard Landry appelle une nouvelle "alliance inter-générationnelle". Il y a là un vrai défi.
Servir le peuple québécois est le plus grand des privilèges qui puisse être offert à l’un ou l’autre d’entre nous. Comme vous, je vois les Québec tourner en rond. Je vous assure que je n’ai rien perdu de mes espoirs, ni de mon désire d’abattre des murs, surtout lorsque je vois l’ignominie dans laquelle sombre le gouvernement Charest. Ce n'est cependant pas une personne seule qui fera le travail. Il est possible de bâtir ce Québec nouveau, fier et généreux. Les souverainistes sont responsables, ils ont de l'ardeur. Sils étaient juste plus généreux envers eux-mêmes et plus fiers de leurs succès, ils parviendraient à bâtir une toute nouvelle synthèse des intérêts du Québec. Je rêve du jour ou après avoir vraiment appris de leurs malheurs, ils sauront s'en libérer. Au rythme où le Québec se transforme, je pense que c'est là un devoir. Il y a à l'horizon bien plus qu'une brise.
Finalement, vous souvenez-vous de ce slogan « Je suis prêt!»? Si un jour j'ai à prononcer ces paroles devant les membres du PQ, ce ne sera pas pour la frime. Je serai vraiment prêt.
Avec plaisir je les retrouverai d'ailleurs au Congrès du mois de juin.
Merci de partager mon enthousiasme. Je quitte ce soir pour le Japon, de retour le 5. À très bientôt!