Lien entre le vaccin contre l'hépatite B et la sclérose en plaques
Lien entre le vaccin contre l'hépatite B et la sclérose en plaques
Mise à jour le mardi 14 septembre 2004 à 19 h 20
.
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Nouvelle controverse dans le domaine médical. Des chercheurs américains soutiennent que les individus qui sont vaccinés contre l'hépatite virale B courent trois fois plus de risque de souffrir de la sclérose en plaques.
Les résultats, obtenus par une équipe de l'École de santé publique de l'université Havard (Harvard School of Public Health), contredisent cependant ceux de dizaines d'autres études.
Les auteurs estiment que leurs données ne remettent pas en cause, pour le moment, les bénéfices de la vaccination pour prévenir une infection potentiellement mortelle.
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Plus de 350 millions de personnes sur la planète sont infectées par l'hépatite B. Parmi elles, 65 millions mourront de cirrhose ou d'un cancer du foie, faute d'avoir été vaccinées.
Environ 3000 cas d'hépatite B sont déclarés chaque année au Canada.
La sclérose en plaques est une maladie neurologique chronique et invalidante. D'évolution capricieuse, elle débute en général vers la trentaine. Environ 50 000 Canadiens sont atteints de cette maladie.
Les résultats complets sont publiés dans le magazine Neurology.
Encore un épouvantail a moineaux....... --Message edité par Rénatane le --
Mise à jour le mardi 14 septembre 2004 à 19 h 20
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Nouvelle controverse dans le domaine médical. Des chercheurs américains soutiennent que les individus qui sont vaccinés contre l'hépatite virale B courent trois fois plus de risque de souffrir de la sclérose en plaques.
Les résultats, obtenus par une équipe de l'École de santé publique de l'université Havard (Harvard School of Public Health), contredisent cependant ceux de dizaines d'autres études.
Les auteurs estiment que leurs données ne remettent pas en cause, pour le moment, les bénéfices de la vaccination pour prévenir une infection potentiellement mortelle.
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Plus de 350 millions de personnes sur la planète sont infectées par l'hépatite B. Parmi elles, 65 millions mourront de cirrhose ou d'un cancer du foie, faute d'avoir été vaccinées.
Environ 3000 cas d'hépatite B sont déclarés chaque année au Canada.
La sclérose en plaques est une maladie neurologique chronique et invalidante. D'évolution capricieuse, elle débute en général vers la trentaine. Environ 50 000 Canadiens sont atteints de cette maladie.
Les résultats complets sont publiés dans le magazine Neurology.
Encore un épouvantail a moineaux....... --Message edité par Rénatane le --
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Je ne sais pas ce que tu veux dire par encore un épouvantail à moineaux mais cela m'intéresse vraiment cette recherche
J'ai reli et reli l'article que tu as mis ici et j'ai vérifié la date de mon vaccin pour l'hépatite B, alors que je travaillais dans un CLSC et que nous avions la possibilité de nous faire vacciner pour l'hépatite B, ainsi que la date du début de ma sclérose en plaques.
J'espère vraiment qu'il n'y a aucun rapport entre les deux car personne(neurologue, urologue, physio, ergo, médecin général etc..) ne m'a parlé de ca.
Renatate si tu connais un lien sur internet ou je pourrais avoir plus d'info à ce sujet cela m'interesserait vraiment. Par exemple le temps entre le vaccin de l'hépatite B et le début des manifestions et la déclaration de la sclérose, les tests que l'on peut passer, etc... afin de voir si le début de la SP à un lien direct ou indirect avec le vaccin de l'hépatite B ou tout autres informations.
Car je suis atteinte de SP et j'avais cessé de faire des recherche et lire les informations à ce sujet car cela me torturait beaucoup trop selon mes médecins vu que je ne l'acceptais pas.
Merci --Message edité par lélé le --
J'ai reli et reli l'article que tu as mis ici et j'ai vérifié la date de mon vaccin pour l'hépatite B, alors que je travaillais dans un CLSC et que nous avions la possibilité de nous faire vacciner pour l'hépatite B, ainsi que la date du début de ma sclérose en plaques.
J'espère vraiment qu'il n'y a aucun rapport entre les deux car personne(neurologue, urologue, physio, ergo, médecin général etc..) ne m'a parlé de ca.
Renatate si tu connais un lien sur internet ou je pourrais avoir plus d'info à ce sujet cela m'interesserait vraiment. Par exemple le temps entre le vaccin de l'hépatite B et le début des manifestions et la déclaration de la sclérose, les tests que l'on peut passer, etc... afin de voir si le début de la SP à un lien direct ou indirect avec le vaccin de l'hépatite B ou tout autres informations.
Car je suis atteinte de SP et j'avais cessé de faire des recherche et lire les informations à ce sujet car cela me torturait beaucoup trop selon mes médecins vu que je ne l'acceptais pas.
Merci --Message edité par lélé le --
Je dit ça parcequ'il faut faire attention.......il y a déja eu le même genre d'article pour un autre vaccin ( hélas , je ne me souviens plus lequel ) ça eu pour effet que des parents ont céssé de faire vacciner leurs enfants....
des liens la dessus , il y en a des tonnes sauf qu'ils datent de 2001 et moin....
L'article viens d'un magazine médicale * neurology *
http://www.neurology.org/
Il faut s'abonner et c'est en anglais.......
des liens la dessus , il y en a des tonnes sauf qu'ils datent de 2001 et moin....
L'article viens d'un magazine médicale * neurology *
http://www.neurology.org/
Il faut s'abonner et c'est en anglais.......
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Merci pour le lien mais je lis pas l'anglais
Je vais tenter de trouver sur Google des informations sur le sujet.
Dommage que des parents décident de cesser la vaccination de leurs enfants car, si je ne me trompe pas, le vaccin pour l'hépatite B n'est pas obligatoire et il est offert surtout pour les gens qui sont en contact direct avec des personnes malades(Hopitaux, CLSC, Clinique médicale etc..). Mais je peux faire erreur.
Et j'avoue que si cela était à refaire, je me ferai vacciner de toute facon. Car le danger il est bien présent surtout quant tu travailles dans les services de santé et que tu est en lien direct avec des personnes susceptibles d'avoir le virus qui est très souvent asymptomatique.
Je vais tenter de trouver sur Google des informations sur le sujet.
Dommage que des parents décident de cesser la vaccination de leurs enfants car, si je ne me trompe pas, le vaccin pour l'hépatite B n'est pas obligatoire et il est offert surtout pour les gens qui sont en contact direct avec des personnes malades(Hopitaux, CLSC, Clinique médicale etc..). Mais je peux faire erreur.
Et j'avoue que si cela était à refaire, je me ferai vacciner de toute facon. Car le danger il est bien présent surtout quant tu travailles dans les services de santé et que tu est en lien direct avec des personnes susceptibles d'avoir le virus qui est très souvent asymptomatique.
keena a écritJ'ai une hantise face à la sclérose en plaque et j'ai reçu le vaccin contre l'hépatite B quand j'avais environ 12 ans... Je suis hypocondriaque alors là vous me foutez la trouille
C'est exactement ça que je ne voulais pas ......en disant que les médias jouaient aux épouventails a moineaux.....le pire c'est que c'est moi qui ai pris ce rôle :/
C'est exactement ça que je ne voulais pas ......en disant que les médias jouaient aux épouventails a moineaux.....le pire c'est que c'est moi qui ai pris ce rôle :/
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
keena a écritJ'ai une hantise face à la sclérose en plaque et j'ai reçu le vaccin contre l'hépatite B quand j'avais environ 12 ans... Je suis hypocondriaque alors là vous me foutez la trouille
Désolé keena, loin de moi l'idée de te foutre la trouille en demandant à Rénatate des explications et encore moins en disant que j'avais eu le vaccin contre l'hépatite B et que par après ma sclérose en plaque c'est déclarée.
Je ne pense pas qu'il y ai un rapport, du moins dans mon cas, entre les deux. --Message edité par lélé le --
Désolé keena, loin de moi l'idée de te foutre la trouille en demandant à Rénatate des explications et encore moins en disant que j'avais eu le vaccin contre l'hépatite B et que par après ma sclérose en plaque c'est déclarée.
Je ne pense pas qu'il y ai un rapport, du moins dans mon cas, entre les deux. --Message edité par lélé le --
linus611 a écritTélé, est ce que ca fait longtemps que tu as la sclérose en plaques
Le diagnostic officiel c'est en 1996 que je l'ai eu suite à 3 raisonnances magnétiques et divers autres tests, car j'ai paralysé, je voyais double et embrouillé(nystagmus rotatoire) et des troubles d'élocution ainsi que d'autres petits symptômes.
J'ai été hospitalisé d'urgence, à l'Institut neurologique de Montréal pendant 3 mois afin de passer des tests pour la recherche et suivre différents traitements.
Je ne connaissais pas cette maladie avant le diagnostic, je pensais que j'étais épuisée tout simplement. J'ai même demandé au neurologue, lorsqu'il nous l'a dit(conjoint et moi) dans combien de temps je vais être guérie.
Et le vaccin contre l'hépatite B je l'ai recu en août 1995 mais, selon moi cela n'a pas de rapport car avant 1995 j'avais des petits symptômes comme des étourdissements, vision brouillée, engourdissement etc...
PS: Keena ne t'inquiète pas, les symptômes que j'ai énumérés peuvent aussi être causés par une grande fatigue
Le diagnostic officiel c'est en 1996 que je l'ai eu suite à 3 raisonnances magnétiques et divers autres tests, car j'ai paralysé, je voyais double et embrouillé(nystagmus rotatoire) et des troubles d'élocution ainsi que d'autres petits symptômes.
J'ai été hospitalisé d'urgence, à l'Institut neurologique de Montréal pendant 3 mois afin de passer des tests pour la recherche et suivre différents traitements.
Je ne connaissais pas cette maladie avant le diagnostic, je pensais que j'étais épuisée tout simplement. J'ai même demandé au neurologue, lorsqu'il nous l'a dit(conjoint et moi) dans combien de temps je vais être guérie.
Et le vaccin contre l'hépatite B je l'ai recu en août 1995 mais, selon moi cela n'a pas de rapport car avant 1995 j'avais des petits symptômes comme des étourdissements, vision brouillée, engourdissement etc...
PS: Keena ne t'inquiète pas, les symptômes que j'ai énumérés peuvent aussi être causés par une grande fatigue
lélé a écrit
Le diagnostic officiel c'est en 1996 que je l'ai eu suite à 3 raisonnances magnétiques et divers autres tests, car j'ai paralysé, je voyais double et embrouillé(nystagmus rotatoire) et des troubles d'élocution ainsi que d'autres petits symptômes.
J'ai été hospitalisé d'urgence, à l'Institut neurologique de Montréal pendant 3 mois afin de passer des tests pour la recherche et suivre différents traitements.
Je ne connaissais pas cette maladie avant le diagnostic, je pensais que j'étais épuisée tout simplement. J'ai même demandé au neurologue, lorsqu'il nous l'a dit(conjoint et moi) dans combien de temps je vais être guérie.
Et le vaccin contre l'hépatite B je l'ai recu en août 1995 mais, selon moi cela n'a pas de rapport car avant 1995 j'avais des petits symptômes comme des étourdissements, vision brouillée, engourdissement etc...
PS: Keena ne t'inquiète pas, les symptômes que j'ai énumérés peuvent aussi être causés par une grande fatigue
Comment en est la recherche ? as tu beaucoup de périodes de rémissions ? les médicaments sont ils plus efficaces ?
Je suis curieuse......je suis infirmière et la sclérose en plaque c'est une maladie que je ne cotoie jamais.........
Le diagnostic officiel c'est en 1996 que je l'ai eu suite à 3 raisonnances magnétiques et divers autres tests, car j'ai paralysé, je voyais double et embrouillé(nystagmus rotatoire) et des troubles d'élocution ainsi que d'autres petits symptômes.
J'ai été hospitalisé d'urgence, à l'Institut neurologique de Montréal pendant 3 mois afin de passer des tests pour la recherche et suivre différents traitements.
Je ne connaissais pas cette maladie avant le diagnostic, je pensais que j'étais épuisée tout simplement. J'ai même demandé au neurologue, lorsqu'il nous l'a dit(conjoint et moi) dans combien de temps je vais être guérie.
Et le vaccin contre l'hépatite B je l'ai recu en août 1995 mais, selon moi cela n'a pas de rapport car avant 1995 j'avais des petits symptômes comme des étourdissements, vision brouillée, engourdissement etc...
PS: Keena ne t'inquiète pas, les symptômes que j'ai énumérés peuvent aussi être causés par une grande fatigue
Comment en est la recherche ? as tu beaucoup de périodes de rémissions ? les médicaments sont ils plus efficaces ?
Je suis curieuse......je suis infirmière et la sclérose en plaque c'est une maladie que je ne cotoie jamais.........
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Rénatane a écrit
Comment en est la recherche ? as tu beaucoup de périodes de rémissions ? les médicaments sont ils plus efficaces ?
Je suis curieuse......je suis infirmière et la sclérose en plaque c'est une maladie que je ne cotoie jamais.........
La recherche avance mais pas très vite, il y a le Betaseron(interféron-bêta-1b) qui semble bien fonctionner pour certaines personnes.
Les chercheurs ont identifié un enzyme clé qui pourrai jouer un rôle important dans l'enclenchement et l'évolution de la SP selon des tests pratiqués sur les souris mais ne savent pas combien de temps il faudra pour fabriquer un médicaments afin de faire l'essai d'un traitement.De plus, ils ont fait des essais avec du sérum de chèvre mais qui n'ont pas été concluant sauf pour le côté anti-inflamatoire et des études sont en cours en Angleterre sur ce traitement.
Au début de ma maladie, je n'avais pratiquement pas de rémissions, dès qu'ils cessaient les traitements je fesais à nouveau une poussée, et à chacune j'avais de nouvelles séquelles.
Mais depuis environ 2 ans, je fais 1 à 2 poussée par année. Ce qui, pour moi, est vraiment très bien. Mais cela dépend aussi beaucoup de la tolérance de chacun avec les médicaments.
Dans mon cas si le nombre de poussés à diminué c'est en grande partie grâce au nouveau médicament(Betaseron).
Lorsque je parle de poussée c'est lorsque mes troubles neurologiques sont plus intensifs et que de nouvelles lésions apparaissent avec des séquelles.
Si tu veux d'autres informations ne te gène surtout pas, je resortirai de mon grenier la documention que j'ai recu de l'Institut Neurologique et de l'Association de la SP. --Message edité par lélé le --
Comment en est la recherche ? as tu beaucoup de périodes de rémissions ? les médicaments sont ils plus efficaces ?
Je suis curieuse......je suis infirmière et la sclérose en plaque c'est une maladie que je ne cotoie jamais.........
La recherche avance mais pas très vite, il y a le Betaseron(interféron-bêta-1b) qui semble bien fonctionner pour certaines personnes.
Les chercheurs ont identifié un enzyme clé qui pourrai jouer un rôle important dans l'enclenchement et l'évolution de la SP selon des tests pratiqués sur les souris mais ne savent pas combien de temps il faudra pour fabriquer un médicaments afin de faire l'essai d'un traitement.De plus, ils ont fait des essais avec du sérum de chèvre mais qui n'ont pas été concluant sauf pour le côté anti-inflamatoire et des études sont en cours en Angleterre sur ce traitement.
Au début de ma maladie, je n'avais pratiquement pas de rémissions, dès qu'ils cessaient les traitements je fesais à nouveau une poussée, et à chacune j'avais de nouvelles séquelles.
Mais depuis environ 2 ans, je fais 1 à 2 poussée par année. Ce qui, pour moi, est vraiment très bien. Mais cela dépend aussi beaucoup de la tolérance de chacun avec les médicaments.
Dans mon cas si le nombre de poussés à diminué c'est en grande partie grâce au nouveau médicament(Betaseron).
Lorsque je parle de poussée c'est lorsque mes troubles neurologiques sont plus intensifs et que de nouvelles lésions apparaissent avec des séquelles.
Si tu veux d'autres informations ne te gène surtout pas, je resortirai de mon grenier la documention que j'ai recu de l'Institut Neurologique et de l'Association de la SP. --Message edité par lélé le --
Moi j'avais entendu dire que des accouchements difficiles pouvaient mener à la sclérose en plaque. Imaginez ma peur quand j'ai accouché de mon 2ième qui pesait 10 lbs à 36 semaines et qui m'a fait forcé le yiable pour sortir de sa cachette. J'ai d'énorme problème de dos depuis... Mais je vais avoir 30 ans bientôt et cette maladie me terrorise au max.
lélé comment est ta condition en ce moment. Je sais que c'est une maladie dégénérescente
lélé comment est ta condition en ce moment. Je sais que c'est une maladie dégénérescente
The hardest thing in this world, is to living it
Merci lélé j'apprécie beaucoup ta réponse....
En diminuant les *poussés* est-ce que les séquelles sont plus légères ? ( une séquelle n'est jamais légère.... , mais tu comprend ce que je veux dire ) ou bien c'est aléatoire ?
Donc si je comprend bien , étant donné qu'il y moin de *poussée* ça ralentie énormément la maladie ?
En diminuant les *poussés* est-ce que les séquelles sont plus légères ? ( une séquelle n'est jamais légère.... , mais tu comprend ce que je veux dire ) ou bien c'est aléatoire ?
Donc si je comprend bien , étant donné qu'il y moin de *poussée* ça ralentie énormément la maladie ?
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linus611 a écritquelqu'un sait si des enfants de parents atteint de scléroque en plaques sont plus sujet a avoir la maladie
Concernant le côté génétique, il y a présentement un projet d'étude en cours et des travaux qui pourraient faire un peu la lumière sur les facteurs génétiques de la SP. Ils croient que plusieurs gènes pourraient être en cause et que chacun apporterait une petite contribution au risque de développer la SP.
De plus, il est possible que la SP pédiatrique se manifeste chez des enfants fortement prédisposés en raison de leur profil génétique.
Ce projet de 5 ans sera effectué dans différents centres qui étudiera les cas d'enfants ayant présenté une première poussée appelé Syndrome Clinique Isolé mais pas tous développeront la SP.
Donc, les recherches se poursuivent mais pour l'instant ils sont dans l'impossibilité de confirmer un lien génétique.
Pour ma part, côté génétique de près( parents, frère, soeur, oncle, tante, cousin(e)) personne n'a de maladie neurologique. Mais si on va plus loin( Tante de mon père et tante de ma grand-mère maternelle)elles avaient des troubles neurologique(signes et symptômes de la SP) mais aucun diagnostic précis car les tests étaient moins poussés et la SP beaucoup moins connue.
Concernant le côté génétique, il y a présentement un projet d'étude en cours et des travaux qui pourraient faire un peu la lumière sur les facteurs génétiques de la SP. Ils croient que plusieurs gènes pourraient être en cause et que chacun apporterait une petite contribution au risque de développer la SP.
De plus, il est possible que la SP pédiatrique se manifeste chez des enfants fortement prédisposés en raison de leur profil génétique.
Ce projet de 5 ans sera effectué dans différents centres qui étudiera les cas d'enfants ayant présenté une première poussée appelé Syndrome Clinique Isolé mais pas tous développeront la SP.
Donc, les recherches se poursuivent mais pour l'instant ils sont dans l'impossibilité de confirmer un lien génétique.
Pour ma part, côté génétique de près( parents, frère, soeur, oncle, tante, cousin(e)) personne n'a de maladie neurologique. Mais si on va plus loin( Tante de mon père et tante de ma grand-mère maternelle)elles avaient des troubles neurologique(signes et symptômes de la SP) mais aucun diagnostic précis car les tests étaient moins poussés et la SP beaucoup moins connue.
keena a écritMoi j'avais entendu dire que des accouchements difficiles pouvaient mener à la sclérose en plaque. Imaginez ma peur quand j'ai accouché de mon 2ième qui pesait 10 lbs à 36 semaines et qui m'a fait forcé le yiable pour sortir de sa cachette. J'ai d'énorme problème de dos depuis... Mais je vais avoir 30 ans bientôt et cette maladie me terrorise au max.
lélé comment est ta condition en ce moment. Je sais que c'est une maladie dégénérescente
Pour ce qui est du lien entre un accouchement difficile et la SP, j'en ai jamais entendu parlé. D'ailleurs ma dernière accouchement en 90 a été très très courte( 1 heure) et très facile .Par contre, j'ai souvent entendu que la grossesse pouvait avoir un lien avec les premiers signes et symptômes, mais aucune confirmation de mes spécialistes ni des documentations qui m'ont été donné.
Effectivement c'est une maladie dégénératrice qui attaque le système nerveux central.
Ma condition actuelle est bonne, c'est-à-dire que je peux marcher avec aide sur de courte distance malgré l'ataxie, ma vision est assez bonne malgré mon nystagmus et ma diplopie, j'ai toujours des engourdissements, de la fatigue ect. Il y a des séquelles, plus difficiles à accepter pour moi, qui m'empêche de faire certaine chose.
Je me considère très chanceuse d'avoir de très bons spécialistes qui me suivent régulièrement et qui tente de trouver les bons médicaments pour moi et qui me donnent l'espoir qu'un jour les poussés diminiront en quantité et en force.
lélé comment est ta condition en ce moment. Je sais que c'est une maladie dégénérescente
Pour ce qui est du lien entre un accouchement difficile et la SP, j'en ai jamais entendu parlé. D'ailleurs ma dernière accouchement en 90 a été très très courte( 1 heure) et très facile .Par contre, j'ai souvent entendu que la grossesse pouvait avoir un lien avec les premiers signes et symptômes, mais aucune confirmation de mes spécialistes ni des documentations qui m'ont été donné.
Effectivement c'est une maladie dégénératrice qui attaque le système nerveux central.
Ma condition actuelle est bonne, c'est-à-dire que je peux marcher avec aide sur de courte distance malgré l'ataxie, ma vision est assez bonne malgré mon nystagmus et ma diplopie, j'ai toujours des engourdissements, de la fatigue ect. Il y a des séquelles, plus difficiles à accepter pour moi, qui m'empêche de faire certaine chose.
Je me considère très chanceuse d'avoir de très bons spécialistes qui me suivent régulièrement et qui tente de trouver les bons médicaments pour moi et qui me donnent l'espoir qu'un jour les poussés diminiront en quantité et en force.
entk moi hcui piqué pour l'hépattite mes 2 premie`res doses en avril et mai ma 3ième ca etre en octobre pis avec mon empploi jai pas lae choix jai bcp de clients qui ont l'hépatite
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Rénatane a écritMerci lélé j'apprécie beaucoup ta réponse....
En diminuant les *poussés* est-ce que les séquelles sont plus légères ? ( une séquelle n'est jamais légère.... , mais tu comprend ce que je veux dire ) ou bien c'est aléatoire ?
Donc si je comprend bien , étant donné qu'il y moin de *poussée* ça ralentie énormément la maladie ?
Malheureusement non, les séquelles ne sont pas plus légères du moins au niveau des symptômes.
Le médicament diminue le nombre de poussés mais ne diminue pas l'intensité et les séquelles.
Durant les 3 premières années, mon neurologue traitait mes poussés avec des corticostéroides intraveineux durant 5 jours et par la suite en comprimés que je diminuais durant environ 2-3 mois. Ce qui diminuait les symptômes et je n'avais pas de séquelles.
Avec le dernier médicament (Bétaseron(interféron-bêta)) j'ai moins de poussés mais j'ai des séquelles permanentes comme de l'ataxie, dysartrie, une ophtalmoplégie(OIN) et une incontinence urinaire et plusieurs autres médicaments à prendre en complément et beaucoup d'intolérance vis à vis ses médicaments.
Oui j'ai moins de poussés avec le Bétaseron donc cela ralentie, d'une certaine facon, la maladie. Par contre j'ai des séquelles plus graves lorsque j'ai des poussés.
Est-ce que tu sais qu'il existe plusieurs sorte de SP?
En diminuant les *poussés* est-ce que les séquelles sont plus légères ? ( une séquelle n'est jamais légère.... , mais tu comprend ce que je veux dire ) ou bien c'est aléatoire ?
Donc si je comprend bien , étant donné qu'il y moin de *poussée* ça ralentie énormément la maladie ?
Malheureusement non, les séquelles ne sont pas plus légères du moins au niveau des symptômes.
Le médicament diminue le nombre de poussés mais ne diminue pas l'intensité et les séquelles.
Durant les 3 premières années, mon neurologue traitait mes poussés avec des corticostéroides intraveineux durant 5 jours et par la suite en comprimés que je diminuais durant environ 2-3 mois. Ce qui diminuait les symptômes et je n'avais pas de séquelles.
Avec le dernier médicament (Bétaseron(interféron-bêta)) j'ai moins de poussés mais j'ai des séquelles permanentes comme de l'ataxie, dysartrie, une ophtalmoplégie(OIN) et une incontinence urinaire et plusieurs autres médicaments à prendre en complément et beaucoup d'intolérance vis à vis ses médicaments.
Oui j'ai moins de poussés avec le Bétaseron donc cela ralentie, d'une certaine facon, la maladie. Par contre j'ai des séquelles plus graves lorsque j'ai des poussés.
Est-ce que tu sais qu'il existe plusieurs sorte de SP?
lélé a écrit
Malheureusement non, les séquelles ne sont pas plus légères du moins au niveau des symptômes.
Le médicament diminue le nombre de poussés mais ne diminue pas l'intensité et les séquelles.
Durant les 3 premières années, mon neurologue traitait mes poussés avec des corticostéroides intraveineux durant 5 jours et par la suite en comprimés que je diminuais durant environ 2-3 mois. Ce qui diminuait les symptômes et je n'avais pas de séquelles.
Avec le dernier médicament (Bétaseron(interféron-bêta)) j'ai moins de poussés mais j'ai des séquelles permanentes comme de l'ataxie, dysartrie, une ophtalmoplégie(OIN) et une incontinence urinaire et plusieurs autres médicaments à prendre en complément et beaucoup d'intolérance vis à vis ses médicaments.
Oui j'ai moins de poussés avec le Bétaseron donc cela ralentie, d'une certaine facon, la maladie. Par contre j'ai des séquelles plus graves lorsque j'ai des poussés.
Est-ce que tu sais qu'il existe plusieurs sorte de SP?
Tu connais surement tous ça , mais voici ce que j'ai trouvé...
Formes cliniques
Le polymorphisme que peuvent réaliser les associations entre les syndromes précédemment décrits permet de passer rapidement sur le chapitre des formes symptomatiques en mentionnant seulement quelques aspects atypiques ou peu habituels :
- des formes hémiplégiques soit soudaines, pseudo-vasculaires, très rarement à bascule, soit progressives simulant une T.C.,
- des formes médullaires, sous la forme d'un syndrome de Brown-Sequard, ou d'une myélite transverse, ou d'une sclérose combinée de la moëlle, d'une paraplégie en flexion ou d'un syndrome du cone terminal. A l'I.R.M. certains cas de lésions purement médullaires peuvent ne pas comporter d'images anormales au niveau de l'encéphale,
- des formes cérébelleuses avec incoordination du tronc, de la tête et des membres ; ce sont des formes rapidement invalidantes chez des sujets jeunes.
Formes évolutives :
Le profil de la courbe évolutive distingue, nous l'avons dit, des formes rémittentes, rémittentes-progressives et progressives d'emblée.
Le rythme des poussées et/ou de la progression des déficits individualise :
- des formes aiguës graves qui installent très vite des handicaps sévères, complétés et remaniés en quelques mois de poussées ininterrompues. Après un ou deux ans elles peuvent finalement se stabiliser en laissant un état déficitaire majeur.
- des formes moyennes, qui, en 10 ans, atteignent le niveau 4 sur une échelle en 10 points (= conserve une activité malgré de sérieuses difficultés), en 20 à 25 ans, le niveau 6 (= déplacements limités et difficiles).
- des formes bénignes, sous forme de poussées espacées, faites de troubles sensitifs régressant chaque fois sans séquelle, ou bien débutant de manière quelconque mais cessant de se manifester après 2 à 3 poussées.
- il y a même des formes muettes, entièrement latentes, découvertes d'autopsie (chez un sujet mort d'une autre affection).
Il faut retenir l'extrême diversité de ces évolutions, bien différente de l'image univoque d'invalidité rapide habituellement attachée à la SEP (et qui correspond aux formes graves : environ 10 pour 100 des cas). Les formes bénignes doivent être connues car, pour elles, aucun risque thérapeutique n'est justifié.
Quelques indications permettent de prévoir à quelle forme évolutive on se trouve confronté :
- l'intervalle entre la première et la deuxième poussée
- le nombre de poussées dans les 2 premières années
- la date d'entrée dans une progression continue
- le niveau atteint sur l'échelle d'invalidité à 5 ans, à 10 ans.
Mais il ne s'agit jamais que de probabilité, la prévision pouvant se trouver démentie, en bien lorsqu'une très longue stabilisation complète intervient (même au cours d'une progression continue), en mal lorsqu'après des années de stabilité sans aucune manifestation de la maladie survient une grave poussée qui augmente sérieusement le déficit séquellaire.
Il y a des formes éteintes de SEP. S'il est habituel de voir l'intervalle s'allonger entre les poussées avec les années, d'observer après 10, 15 ou 20 ans de longues périodes de stabilité, il arrive de rencontrer des patients âgés de 70 ans et plus, chez qui la maladie ne manifeste aucune activité depuis 20 ans et dont l'état neurologique ne changera plus.
Malheureusement non, les séquelles ne sont pas plus légères du moins au niveau des symptômes.
Le médicament diminue le nombre de poussés mais ne diminue pas l'intensité et les séquelles.
Durant les 3 premières années, mon neurologue traitait mes poussés avec des corticostéroides intraveineux durant 5 jours et par la suite en comprimés que je diminuais durant environ 2-3 mois. Ce qui diminuait les symptômes et je n'avais pas de séquelles.
Avec le dernier médicament (Bétaseron(interféron-bêta)) j'ai moins de poussés mais j'ai des séquelles permanentes comme de l'ataxie, dysartrie, une ophtalmoplégie(OIN) et une incontinence urinaire et plusieurs autres médicaments à prendre en complément et beaucoup d'intolérance vis à vis ses médicaments.
Oui j'ai moins de poussés avec le Bétaseron donc cela ralentie, d'une certaine facon, la maladie. Par contre j'ai des séquelles plus graves lorsque j'ai des poussés.
Est-ce que tu sais qu'il existe plusieurs sorte de SP?
Tu connais surement tous ça , mais voici ce que j'ai trouvé...
Formes cliniques
Le polymorphisme que peuvent réaliser les associations entre les syndromes précédemment décrits permet de passer rapidement sur le chapitre des formes symptomatiques en mentionnant seulement quelques aspects atypiques ou peu habituels :
- des formes hémiplégiques soit soudaines, pseudo-vasculaires, très rarement à bascule, soit progressives simulant une T.C.,
- des formes médullaires, sous la forme d'un syndrome de Brown-Sequard, ou d'une myélite transverse, ou d'une sclérose combinée de la moëlle, d'une paraplégie en flexion ou d'un syndrome du cone terminal. A l'I.R.M. certains cas de lésions purement médullaires peuvent ne pas comporter d'images anormales au niveau de l'encéphale,
- des formes cérébelleuses avec incoordination du tronc, de la tête et des membres ; ce sont des formes rapidement invalidantes chez des sujets jeunes.
Formes évolutives :
Le profil de la courbe évolutive distingue, nous l'avons dit, des formes rémittentes, rémittentes-progressives et progressives d'emblée.
Le rythme des poussées et/ou de la progression des déficits individualise :
- des formes aiguës graves qui installent très vite des handicaps sévères, complétés et remaniés en quelques mois de poussées ininterrompues. Après un ou deux ans elles peuvent finalement se stabiliser en laissant un état déficitaire majeur.
- des formes moyennes, qui, en 10 ans, atteignent le niveau 4 sur une échelle en 10 points (= conserve une activité malgré de sérieuses difficultés), en 20 à 25 ans, le niveau 6 (= déplacements limités et difficiles).
- des formes bénignes, sous forme de poussées espacées, faites de troubles sensitifs régressant chaque fois sans séquelle, ou bien débutant de manière quelconque mais cessant de se manifester après 2 à 3 poussées.
- il y a même des formes muettes, entièrement latentes, découvertes d'autopsie (chez un sujet mort d'une autre affection).
Il faut retenir l'extrême diversité de ces évolutions, bien différente de l'image univoque d'invalidité rapide habituellement attachée à la SEP (et qui correspond aux formes graves : environ 10 pour 100 des cas). Les formes bénignes doivent être connues car, pour elles, aucun risque thérapeutique n'est justifié.
Quelques indications permettent de prévoir à quelle forme évolutive on se trouve confronté :
- l'intervalle entre la première et la deuxième poussée
- le nombre de poussées dans les 2 premières années
- la date d'entrée dans une progression continue
- le niveau atteint sur l'échelle d'invalidité à 5 ans, à 10 ans.
Mais il ne s'agit jamais que de probabilité, la prévision pouvant se trouver démentie, en bien lorsqu'une très longue stabilisation complète intervient (même au cours d'une progression continue), en mal lorsqu'après des années de stabilité sans aucune manifestation de la maladie survient une grave poussée qui augmente sérieusement le déficit séquellaire.
Il y a des formes éteintes de SEP. S'il est habituel de voir l'intervalle s'allonger entre les poussées avec les années, d'observer après 10, 15 ou 20 ans de longues périodes de stabilité, il arrive de rencontrer des patients âgés de 70 ans et plus, chez qui la maladie ne manifeste aucune activité depuis 20 ans et dont l'état neurologique ne changera plus.
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