Mémoire oubliée
Un jeune chercheur montréalais a démontré qu'il était possible d'effacer un souvenir traumatisant de la mémoire d'un rat à l'aide d'une drogue. Il espère maintenant démontrer que le même phénomène peut se produire chez l'humain. Si c'est le cas, les thérapeutes posséderaient un outil supplémentaire pour traiter les grands traumatisés.
...pour en savoir plus... --Message edité par slick27 le 2004-05-19 16:13:29--
...LE CERVEAU...la mémoire...!
Slick27 a écritMémoire oubliée
Un jeune chercheur montréalais a démontré qu'il était possible d'effacer un souvenir traumatisant de la mémoire d'un rat à l'aide d'une drogue. Il espère maintenant démontrer que le même phénomène peut se produire chez l'humain. Si c'est le cas, les thérapeutes posséderaient un outil supplémentaire pour traiter les grands traumatisés.
...pour en savoir plus... Je viens de comprendre pourquoi j'oublie pleins d'affaires ;) Non , c'est un sujet sérieux
Un jeune chercheur montréalais a démontré qu'il était possible d'effacer un souvenir traumatisant de la mémoire d'un rat à l'aide d'une drogue. Il espère maintenant démontrer que le même phénomène peut se produire chez l'humain. Si c'est le cas, les thérapeutes posséderaient un outil supplémentaire pour traiter les grands traumatisés.
...pour en savoir plus... Je viens de comprendre pourquoi j'oublie pleins d'affaires ;) Non , c'est un sujet sérieux
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L'histoire me fait penser aux films Freddy ;)
Sérieux c'est une grande découverte, mais je ne suis pas capable de prendre position pour dire si je suis pour cette pratique ou non.. Faudrait je me documente plus Car selon moi tout ce qui t'arrive dans la vie fait parti de ton bagage personnel et tu doit composer avec, mais en meme temps j'ai jamais vécu de situation vraiment traumatisante, alors je ne parle pas avec connaissance de cause..
Sérieux c'est une grande découverte, mais je ne suis pas capable de prendre position pour dire si je suis pour cette pratique ou non.. Faudrait je me documente plus Car selon moi tout ce qui t'arrive dans la vie fait parti de ton bagage personnel et tu doit composer avec, mais en meme temps j'ai jamais vécu de situation vraiment traumatisante, alors je ne parle pas avec connaissance de cause..
puisqu'il ne s'agit pas de perdre complètement la mémoire cela peut aller et en effet pourrait être pratique pour les traumatisés mais je ne peux pas dire que je suis folle de joie en les voyant développer ce genre d'avenues = imaginer ce que la défense américaine va pouvoir encore inventer avec un procédé semblable.......
La mémoire est déjà une falcutée qui oublie, mais la mémoire reviens quand tu la travaille , et les souvenirs reviennes aussi , ils disent aux personnes âgés de se re-mémororé ses souvenirs souvent .
Alors là une drogue pour oublier , je suis contre que car j'aime me re-mémorer mes souvenirs que ils sois bon où mauvais , les mauvais je les laisses de côté dans ma mémoire , mais je ne voudrais pas les oubliers , quand même si ça fais mal ! Que ce soit je sois négatif où positif.
J'ai pas fait d'expression c'est un message Éclair !
Alors là une drogue pour oublier , je suis contre que car j'aime me re-mémorer mes souvenirs que ils sois bon où mauvais , les mauvais je les laisses de côté dans ma mémoire , mais je ne voudrais pas les oubliers , quand même si ça fais mal ! Que ce soit je sois négatif où positif.
J'ai pas fait d'expression c'est un message Éclair !
La vie est belle et est de plus en plus belle de jours en jours ! ))
tuberale a écritpuisqu'il ne s'agit pas de perdre complètement la mémoire cela peut aller et en effet pourrait être pratique pour les traumatisés mais je ne peux pas dire que je suis folle de joie en les voyant développer ce genre d'avenues = imaginer ce que la défense américaine va pouvoir encore inventer avec un procédé semblable.......
Une drogue qui agirait sur un souvenir spécifique? Ben voyons...
Une drogue qui agirait sur un souvenir spécifique? Ben voyons...
Ça me fais penser à Eternal Sunshine of the Spotless Mind....
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Le cerveau
Organe mystérieux et irremplaçable, le cerveau ne se laisse pas facilement décoder. Il a été étudié sous tous les angles, et nous n’arrivons toujours pas à le comprendre vraiment. Il est la pièce maîtresse de notre être, presque toutes les parties de notre corps fonctionnent sous ses ordres. Mais si nous arrivons à interpréter son langage, la science ne sait toujours pas ce qui le motive parfois à se taire ou à donner des commandements incontrôlés.
Dans ce dossier, l'émission Découverte a réuni tous ses reportages qui touchent de près et de loin aux recherches scientifiques sur le cerveau.
Le Cerveau
Organe mystérieux et irremplaçable, le cerveau ne se laisse pas facilement décoder. Il a été étudié sous tous les angles, et nous n’arrivons toujours pas à le comprendre vraiment. Il est la pièce maîtresse de notre être, presque toutes les parties de notre corps fonctionnent sous ses ordres. Mais si nous arrivons à interpréter son langage, la science ne sait toujours pas ce qui le motive parfois à se taire ou à donner des commandements incontrôlés.
Dans ce dossier, l'émission Découverte a réuni tous ses reportages qui touchent de près et de loin aux recherches scientifiques sur le cerveau.
Le Cerveau
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mousseline
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26327
- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
Oh le beau lien...merci Slick, j'ai une fascination pour les études qui portent sur le cerveau! J'ai encore des regrets de ne pas avoir enregistré la série britannique passée à radio-québec ya 10 ans sur le cerveau...une mine d'or d'informations et surtout de ravissement!
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gingerstar
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C'est bien beau un médicament qui efface la mémoire d'événements traumatisants mais justement comment pourrait-il agir spécifiquement sur un souvenir plutôt qu'un autre à moins de l'induire au moment de l'événement donc déjà prévu mais n'est-ce pas ce que fait déjà le versed en ce moment?
Pour ce qui est de son application, je crois qu'il serait soumis à une équipe qui n'agirait qu'en cas de traumatismes avec de graves répercussions.
À suivre...
Slick27 a écritMémoire oubliée
Un jeune chercheur montréalais a démontré qu'il était possible d'effacer un souvenir traumatisant de la mémoire d'un rat à l'aide d'une drogue. Il espère maintenant démontrer que le même phénomène peut se produire chez l'humain. Si c'est le cas, les thérapeutes posséderaient un outil supplémentaire pour traiter les grands traumatisés.
...pour en savoir plus... --Message edité par slick27 le 2004-05-19 16:13:29--
Coudonc!!!Comment un chercheur peu savoir que le rat avait un souvenir traumatisant!!! Il a parlé au rat avant il a psychanalysé le rat !!Je ne comprend pas qu'une personne peut se mettre dans la tête d'un rat et dire qu'une drogue peut lui enlever un mauvais souvenir traumatisant.Ça se peut mais j'ai beaucoup misère avec un rat ou une souris car sur le coté physique la génénique ou tout ce qu'il y a rapport avec le vu oké mais là c'est le souvenir c'est plutôt le mystérieux ça le cérébral d'un animal !!!non!! Je dois être dans les patates mais je ne comprend pas du tout!!
Un jeune chercheur montréalais a démontré qu'il était possible d'effacer un souvenir traumatisant de la mémoire d'un rat à l'aide d'une drogue. Il espère maintenant démontrer que le même phénomène peut se produire chez l'humain. Si c'est le cas, les thérapeutes posséderaient un outil supplémentaire pour traiter les grands traumatisés.
...pour en savoir plus... --Message edité par slick27 le 2004-05-19 16:13:29--
Coudonc!!!Comment un chercheur peu savoir que le rat avait un souvenir traumatisant!!! Il a parlé au rat avant il a psychanalysé le rat !!Je ne comprend pas qu'une personne peut se mettre dans la tête d'un rat et dire qu'une drogue peut lui enlever un mauvais souvenir traumatisant.Ça se peut mais j'ai beaucoup misère avec un rat ou une souris car sur le coté physique la génénique ou tout ce qu'il y a rapport avec le vu oké mais là c'est le souvenir c'est plutôt le mystérieux ça le cérébral d'un animal !!!non!! Je dois être dans les patates mais je ne comprend pas du tout!!
Soyez libre comme l'air sacavent!!!
Soyez heureux sacavent!!!
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gingerstar
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. sept. 21, 2003 12:00 am
colombine a écrit
Gingestar... en lisant ton message, je me suis dit que le mien n'avait pas de sens et je suis retournée lire beaucoup plus attentivement le lien que Slick nous a donné et que j'ai sûrement dû lire à la verticale la première fois car je réalise à quel point c'était stupide ce que j'avais répondu. Entre se faire prescrire un somnifère et subir un traitement par rapport à un grave traumatisme... oufff!!!
De toute évidence, il ne s'agit pas d'un médicament que l'on prescrira un jour à un patient. D'après ce que je comprends, c'est en faisant revivre à un patient un grave traumatisme qu'il a subi, que l'on interviendra immédiatement et c'est certain que si un jour ce traitement existe vraiment pour les humains, il se fera sous un sérieux contrôle médical et non sous forme d'un médicament prescrit. Ça se ferait dans l'immédiat avec tout un arsenal de médecins et d'équipements technologiques, si j'ai bien compris.
Je suppose aussi qu'il faudra vraiment que ce soit un très grave traumatisme pour qu'on en vienne là. Pour ce que j'en sais, lorsque l'on décide de tenter ce genre d'expérience sur les humains, ça prend des cobayes. Sûrement des patients d'hôpitaux psychiatriques qui n'ont rien à perdre.
N'empêche... ce qui me chicote là-dedans, c'est comment réagira un patient qui soudain aura totalement oublié un grave traumatisme qu'il aura subi et POUR TOUJOURS!?!? Et si quelqu'un de son entourage s'échappe et lui en parle???
M'enfin... je me pose trop de questions. Est-ce qu'il existe un remède pour empêcher de se poser constamment des questions???
Je viens de me rendre compte en te lisant que j'avais moi aussi sauté cet article sans m'en rendre compte, ça répond à pas mal de questions et je crois que nous ne sommes pas les seules à ne pas avoir lu
Je trouve cette découverte extrêmement intéressante, et comme ils disent, il ne s'agit pas nécessairement d'effacer complètement le souvenir :
"On se retrouverait avec un souvenir qui aurait perdu une grande partie de son intensité émotionnelle. Pas toute son intensité, mais suffisamment pour rendre la victime plus réceptive à une psychothérapie ou à une intervention psychiatrique."
Je pense par exemple aux traumatisés de la guerre aux prises avec des souvenirs atroces, ce pourrait les aider à vivre plus harmonieusement. Je suis certaine qu'il y a des cas qui profiteront positivement de cette découverte.
Gingestar... en lisant ton message, je me suis dit que le mien n'avait pas de sens et je suis retournée lire beaucoup plus attentivement le lien que Slick nous a donné et que j'ai sûrement dû lire à la verticale la première fois car je réalise à quel point c'était stupide ce que j'avais répondu. Entre se faire prescrire un somnifère et subir un traitement par rapport à un grave traumatisme... oufff!!!
De toute évidence, il ne s'agit pas d'un médicament que l'on prescrira un jour à un patient. D'après ce que je comprends, c'est en faisant revivre à un patient un grave traumatisme qu'il a subi, que l'on interviendra immédiatement et c'est certain que si un jour ce traitement existe vraiment pour les humains, il se fera sous un sérieux contrôle médical et non sous forme d'un médicament prescrit. Ça se ferait dans l'immédiat avec tout un arsenal de médecins et d'équipements technologiques, si j'ai bien compris.
Je suppose aussi qu'il faudra vraiment que ce soit un très grave traumatisme pour qu'on en vienne là. Pour ce que j'en sais, lorsque l'on décide de tenter ce genre d'expérience sur les humains, ça prend des cobayes. Sûrement des patients d'hôpitaux psychiatriques qui n'ont rien à perdre.
N'empêche... ce qui me chicote là-dedans, c'est comment réagira un patient qui soudain aura totalement oublié un grave traumatisme qu'il aura subi et POUR TOUJOURS!?!? Et si quelqu'un de son entourage s'échappe et lui en parle???
M'enfin... je me pose trop de questions. Est-ce qu'il existe un remède pour empêcher de se poser constamment des questions???
Je viens de me rendre compte en te lisant que j'avais moi aussi sauté cet article sans m'en rendre compte, ça répond à pas mal de questions et je crois que nous ne sommes pas les seules à ne pas avoir lu
Je trouve cette découverte extrêmement intéressante, et comme ils disent, il ne s'agit pas nécessairement d'effacer complètement le souvenir :
"On se retrouverait avec un souvenir qui aurait perdu une grande partie de son intensité émotionnelle. Pas toute son intensité, mais suffisamment pour rendre la victime plus réceptive à une psychothérapie ou à une intervention psychiatrique."
Je pense par exemple aux traumatisés de la guerre aux prises avec des souvenirs atroces, ce pourrait les aider à vivre plus harmonieusement. Je suis certaine qu'il y a des cas qui profiteront positivement de cette découverte.
Les chemins de nos pensées
Mise à jour le mercredi 14 juillet 2004 à 15 h 11
.
Des scientifiques français et canadiens ont dévoilé le deuxième volet d'une importante étude liée à la mémoire. Les chercheurs de l'Université McGill de Montréal, de l'Université de Toronto et du Centre national de recherche scientifique de France ont démontré que des itinéraires différents sont empruntés pour rappeler les souvenirs, selon qu'ils sont positifs ou négatifs.
Ainsi, les équipes de recherche ont démontré que les réseaux de mémoire activés lors du rappel des mots positifs sont différents du réseau de mémoire activé lors du rappel des mots négatifs.
Leurs travaux montrent que les souvenirs positifs (en rouge sur l'image) activent particulièrement les régions antérieures et internes du cerveau. Les traits de personnalité négatifs (en bleu) activent, pour leur part, les structures antérieures et latérales du cerveau, et surtout, des structures plus postérieures.
Ce travail démontre ainsi que l'organisation des connaissances du sujet sur lui-même est distribuée sur un vaste réseau neuronal et que les aspects positifs et négatifs de la personnalité sont pris en charge par des structures cérébrales différentes.
Cette capacité pourrait témoigner d'une adaptation du cerveau humain à la richesse de son environnement social, à ses interactions avec les autres.
Ces résultats pourraient faire avancer les connaissances des pathologies de la personnalité, souvent marquées par la prédominance des aspects négatifs de la personnalité des individus.
Le premier volet de l'étude, publié en 2003, avait confirmé que l'enregistrement de ce qui est relatif à soi activait des parties spécifiques du cortex préfrontal.
Les résultats complets sont publiés dans la revue NeuroImage.
Mise à jour le mercredi 14 juillet 2004 à 15 h 11
.
Des scientifiques français et canadiens ont dévoilé le deuxième volet d'une importante étude liée à la mémoire. Les chercheurs de l'Université McGill de Montréal, de l'Université de Toronto et du Centre national de recherche scientifique de France ont démontré que des itinéraires différents sont empruntés pour rappeler les souvenirs, selon qu'ils sont positifs ou négatifs.
Ainsi, les équipes de recherche ont démontré que les réseaux de mémoire activés lors du rappel des mots positifs sont différents du réseau de mémoire activé lors du rappel des mots négatifs.
Leurs travaux montrent que les souvenirs positifs (en rouge sur l'image) activent particulièrement les régions antérieures et internes du cerveau. Les traits de personnalité négatifs (en bleu) activent, pour leur part, les structures antérieures et latérales du cerveau, et surtout, des structures plus postérieures.
Ce travail démontre ainsi que l'organisation des connaissances du sujet sur lui-même est distribuée sur un vaste réseau neuronal et que les aspects positifs et négatifs de la personnalité sont pris en charge par des structures cérébrales différentes.
Cette capacité pourrait témoigner d'une adaptation du cerveau humain à la richesse de son environnement social, à ses interactions avec les autres.
Ces résultats pourraient faire avancer les connaissances des pathologies de la personnalité, souvent marquées par la prédominance des aspects négatifs de la personnalité des individus.
Le premier volet de l'étude, publié en 2003, avait confirmé que l'enregistrement de ce qui est relatif à soi activait des parties spécifiques du cortex préfrontal.
Les résultats complets sont publiés dans la revue NeuroImage.
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