Élections Fédérales 2004...
Lapierre dit ne pas avoir de leçon de propreté à prendre du Bloc
Lia Lévesque
Presse Canadienne
Granby
Le slogan du Bloc québécois «Un parti propre au Québec» agace visiblement les libéraux fédéraux, qui ne se sont pas gênés pour le critiquer, dimanche, à l'occasion d'une réunion des candidats du Québec en prévision de l'élection générale.
«Moi, je n'ai aucune leçon de propreté à prendre du Bloc», s'est exclamé le lieutenant québécois de Paul Martin, Jean Lapierre.
Celui-ci a rencontré la presse dans le cadre de la réunion de stratégie de deux jours des candidats libéraux du Québec, à quelques jours du déclenchement prévu de la campagne électorale.
Bien qu'il ne l'admette pas, M. Lapierre semble irrité par ce slogan du Bloc québécois, dévoilé samedi, et qui fait référence au scandale des commandites qui fait mal aux libéraux, particulièrement au Québec.
M. Lapierre a cherché à défendre l'intégrité des candidats libéraux. «Le Bloc ne devrait pas essayer de faire reposer sur des gens intègres toutes sortes de doutes. C'est facile des accusations gratuites. Est-ce qu'il y a un de ces hommes ou une de ces femmes qui a été accusé de quoi que ce soit?» a-t-il demandé, placé à quelques mètres des candidats du PLC au Québec.
Il a rappelé un vieux dicton au Bloc québécois: «quand tu craches en l'air, des fois, ça te retombe sur le nez».
M. Lapierre s'en est pris non seulement au slogan du Bloc, mais aussi à son programme, qu'il apparente à «un mirage», puisque le Bloc ne présentant des candidats qu'au Québec, il ne pourra jamais se faire élire comme gouvernement et le mettre en vigueur.
De son côté, disant parler en organisateur politique, Denis Coderre s'est questionné sur l'à-propos du slogan du Bloc québécois. «Cela peut être, sur le plan marketing, vendeur, mais c'est très, très dangereux de dire que finalement, la campagne va être juste sur un seul point», le scandale des commandites.
M. Coderre aussi semble ne guère apprécier le sous-entendu du slogan du Bloc québécois. «Pour un parti propre, qui dit être un parti propre, je trouve qu'ils garrochent pas mal de bouette.»
Il s'est attaqué à son tour au Bloc québécois, en le décrivant comme «le parti des amis de Pierre Falardeau» et en le reliant à Jacques Parizeau, qu'il accuse d'ailleurs de tenir à distance.
La table est mise pour le déclenchement ces jours-ci de la campagne électorale fédérale par le premier ministre Paul Martin.
«Je ne veux pas paraphraser d'autre campagne, mais nous sommes prêts», s'est exclamé Jean Lapierre, tout sourire, faisant référence au slogan des libéraux provinciaux en 2003.
M. Lapierre promet d'ailleurs «une semaine assez hyperactive» en politique fédérale d'ici là: allocution du premier ministre Martin devant la Chambre de commerce de Laval, assemblée d'investiture de Paul Martin jeudi, tournée de Denis Coderre, etc.
Des 75 candidats libéraux du Québec sur 308 au Canada, une quarantaine sont «nouveaux», en ce sens qu'ils ne siègent pas présentement à la Chambre des communes, a-t-on précisé dans l'organisation libérale.
Lia Lévesque
Presse Canadienne
Granby
Le slogan du Bloc québécois «Un parti propre au Québec» agace visiblement les libéraux fédéraux, qui ne se sont pas gênés pour le critiquer, dimanche, à l'occasion d'une réunion des candidats du Québec en prévision de l'élection générale.
«Moi, je n'ai aucune leçon de propreté à prendre du Bloc», s'est exclamé le lieutenant québécois de Paul Martin, Jean Lapierre.
Celui-ci a rencontré la presse dans le cadre de la réunion de stratégie de deux jours des candidats libéraux du Québec, à quelques jours du déclenchement prévu de la campagne électorale.
Bien qu'il ne l'admette pas, M. Lapierre semble irrité par ce slogan du Bloc québécois, dévoilé samedi, et qui fait référence au scandale des commandites qui fait mal aux libéraux, particulièrement au Québec.
M. Lapierre a cherché à défendre l'intégrité des candidats libéraux. «Le Bloc ne devrait pas essayer de faire reposer sur des gens intègres toutes sortes de doutes. C'est facile des accusations gratuites. Est-ce qu'il y a un de ces hommes ou une de ces femmes qui a été accusé de quoi que ce soit?» a-t-il demandé, placé à quelques mètres des candidats du PLC au Québec.
Il a rappelé un vieux dicton au Bloc québécois: «quand tu craches en l'air, des fois, ça te retombe sur le nez».
M. Lapierre s'en est pris non seulement au slogan du Bloc, mais aussi à son programme, qu'il apparente à «un mirage», puisque le Bloc ne présentant des candidats qu'au Québec, il ne pourra jamais se faire élire comme gouvernement et le mettre en vigueur.
De son côté, disant parler en organisateur politique, Denis Coderre s'est questionné sur l'à-propos du slogan du Bloc québécois. «Cela peut être, sur le plan marketing, vendeur, mais c'est très, très dangereux de dire que finalement, la campagne va être juste sur un seul point», le scandale des commandites.
M. Coderre aussi semble ne guère apprécier le sous-entendu du slogan du Bloc québécois. «Pour un parti propre, qui dit être un parti propre, je trouve qu'ils garrochent pas mal de bouette.»
Il s'est attaqué à son tour au Bloc québécois, en le décrivant comme «le parti des amis de Pierre Falardeau» et en le reliant à Jacques Parizeau, qu'il accuse d'ailleurs de tenir à distance.
La table est mise pour le déclenchement ces jours-ci de la campagne électorale fédérale par le premier ministre Paul Martin.
«Je ne veux pas paraphraser d'autre campagne, mais nous sommes prêts», s'est exclamé Jean Lapierre, tout sourire, faisant référence au slogan des libéraux provinciaux en 2003.
M. Lapierre promet d'ailleurs «une semaine assez hyperactive» en politique fédérale d'ici là: allocution du premier ministre Martin devant la Chambre de commerce de Laval, assemblée d'investiture de Paul Martin jeudi, tournée de Denis Coderre, etc.
Des 75 candidats libéraux du Québec sur 308 au Canada, une quarantaine sont «nouveaux», en ce sens qu'ils ne siègent pas présentement à la Chambre des communes, a-t-on précisé dans l'organisation libérale.
Bonne idée le vote d'avance... je serai en vacances cette semaine-là.
Pour ce qui est du choix... au Québec on n'a pas vraiment le choix il me semble. La gang de crosseurs, les racistes de l'Ouest Canadien qui se déguisent en parti Conservateur et le Bloc.
Mon vote va sans hésitation au Bloc même si je sais qu'ils ne formeront pas le gouvernement et que ça va possiblement se résulter en un gouvernement Libéral encore
Pour ce qui est du choix... au Québec on n'a pas vraiment le choix il me semble. La gang de crosseurs, les racistes de l'Ouest Canadien qui se déguisent en parti Conservateur et le Bloc.
Mon vote va sans hésitation au Bloc même si je sais qu'ils ne formeront pas le gouvernement et que ça va possiblement se résulter en un gouvernement Libéral encore

Le résultat est connu d'avance, mais je me dis qu'au moins ma députée a toutes les chances d'être réélue (Longueuil a essentiellement toujours voté PQ ry BQ). Je suis même en train de convaincre mon chum (qui n'est pourtant pas nationaliste) de voter pour le Bloc. Juste pour montrer aux libéraux que nous ne sommes paos aussi caves qu'ils le croient 9comment passer l'éponge sur un aussi gros scalnale).
Une femme a appelé pour vanter le candidat du Parti lébéral qui se présente dans mon secteur. Pauvre lui, il est parent avec l'ancien maire Gladu, il partait déjà en arrière. Et j'ai dit à la femme: les libéraux n'auront plus jamais mon vote, et d'ailleurs ils ne l'ont jamais eu! Après lui avoir expliqué mon point de vue, ben croyez-le ou non, elle avait carrémment l'air de me donner raison! Non mais tsé... Déjà que je ne suis pas libérale, comment peut-on passer par-dessus pareil scandale?
Le BQ n'est peut-être pas aussi propre que ce qu'il dit, mais il est assurmééemnt moins sale que toute cette histoire des commandites dont est coupable le parti libéral. C'est carrémment inacceptable! J'aimerais bien avoir une discussion avec les gens qui voteront libéral malgré toute cette histoire...
Une femme a appelé pour vanter le candidat du Parti lébéral qui se présente dans mon secteur. Pauvre lui, il est parent avec l'ancien maire Gladu, il partait déjà en arrière. Et j'ai dit à la femme: les libéraux n'auront plus jamais mon vote, et d'ailleurs ils ne l'ont jamais eu! Après lui avoir expliqué mon point de vue, ben croyez-le ou non, elle avait carrémment l'air de me donner raison! Non mais tsé... Déjà que je ne suis pas libérale, comment peut-on passer par-dessus pareil scandale?
Le BQ n'est peut-être pas aussi propre que ce qu'il dit, mais il est assurmééemnt moins sale que toute cette histoire des commandites dont est coupable le parti libéral. C'est carrémment inacceptable! J'aimerais bien avoir une discussion avec les gens qui voteront libéral malgré toute cette histoire...
C'est certain que je vote Bloc
Je peux pas comprendre qui ait des gens qui supporte encore le Libéral
Je peux pas comprendre qui ait des gens qui supporte encore le Libéral
C'est drôle que tu me dises que j'ai mauvais caractère parce que si tu parles à ceux qui me traitent avec respect et courtoisie et qui ne me mentent pas et qui ne tentent pas de me f******, ils vont probablement te dire qu'au contraire je suis très gentil- Jean-François Mercier
Parti libéral
Ken Dryden se lance en politique
(LCN et PC) - C'est confirmé, l'ancien gardien de but du Canadien de Montréal Ken Dryden passe du sport à la politique.
M. Dryden a confirmé qu'il quitte la présidence des Maple Leafs de Toronto pour se porter candidat libéral dans la circonscrption fédérale de York Centre, dans la région de Toronto.
Le député libéral de cette circonscrption, Art Eggleton, a annoncé la semaine dernière son retrait de la politique.
Jeudi dernier, Art Eggleton a cédé sa place dans le comté York-Centre, vraisemblablement au profit du candidat-vedette des libéraux.
Ken Dryden, 56 ans, un ancien gardien de but du Canadien de Montréal, affirme qu'il rêvait de politique depuis qu'il était enfant.
Vendredi, le premier ministre Paul Martin a fait l'éloge de Ken Dryden en soulignant sa contribution au monde du sport.
L'annonce de l'entrée en politique de M. Dryden arrive en pleine période de réchauffement des troupes libérales à quelques jours du déclenchement des élections au Canada.
York-Centre est une circonscrption résolument libérale. L'ex-ministre Eggleton avait remporté le comté haut la main aux dernières élections avec une avance de 20 000 votes. --Message edité par slick27 le 2004-05-17 17:39:54--
Ken Dryden se lance en politique
(LCN et PC) - C'est confirmé, l'ancien gardien de but du Canadien de Montréal Ken Dryden passe du sport à la politique.
M. Dryden a confirmé qu'il quitte la présidence des Maple Leafs de Toronto pour se porter candidat libéral dans la circonscrption fédérale de York Centre, dans la région de Toronto.
Le député libéral de cette circonscrption, Art Eggleton, a annoncé la semaine dernière son retrait de la politique.
Jeudi dernier, Art Eggleton a cédé sa place dans le comté York-Centre, vraisemblablement au profit du candidat-vedette des libéraux.
Ken Dryden, 56 ans, un ancien gardien de but du Canadien de Montréal, affirme qu'il rêvait de politique depuis qu'il était enfant.
Vendredi, le premier ministre Paul Martin a fait l'éloge de Ken Dryden en soulignant sa contribution au monde du sport.
L'annonce de l'entrée en politique de M. Dryden arrive en pleine période de réchauffement des troupes libérales à quelques jours du déclenchement des élections au Canada.
York-Centre est une circonscrption résolument libérale. L'ex-ministre Eggleton avait remporté le comté haut la main aux dernières élections avec une avance de 20 000 votes. --Message edité par slick27 le 2004-05-17 17:39:54--
Slick27 a écritParti libéral
Ken Dryden se lance en politique
(LCN et PC) - C'est confirmé, l'ancien gardien de but du Canadien de Montréal Ken Dryden passe du sport à la politique.
M. Dryden a confirmé qu'il quitte la présidence des Maple Leafs de Toronto pour se porter candidat libéral dans la circonscrption fédérale de York Centre, dans la région de Toronto.
Le député libéral de cette circonscrption, Art Eggleton, a annoncé la semaine dernière son retrait de la politique.
Jeudi dernier, Art Eggleton a cédé sa place dans le comté York-Centre, vraisemblablement au profit du candidat-vedette des libéraux.
Ken Dryden, 56 ans, un ancien gardien de but du Canadien de Montréal, affirme qu'il rêvait de politique depuis qu'il était enfant.
Vendredi, le premier ministre Paul Martin a fait l'éloge de Ken Dryden en soulignant sa contribution au monde du sport.
L'annonce de l'entrée en politique de M. Dryden arrive en pleine période de réchauffement des troupes libérales à quelques jours du déclenchement des élections au Canada.
York-Centre est une circonscrption résolument libérale. L'ex-ministre Eggleton avait remporté le comté haut la main aux dernières élections avec une avance de 20 000 votes.
Y a déjà un des pré-requis pour faire de la politique y sait patiner
Ken Dryden se lance en politique
(LCN et PC) - C'est confirmé, l'ancien gardien de but du Canadien de Montréal Ken Dryden passe du sport à la politique.
M. Dryden a confirmé qu'il quitte la présidence des Maple Leafs de Toronto pour se porter candidat libéral dans la circonscrption fédérale de York Centre, dans la région de Toronto.
Le député libéral de cette circonscrption, Art Eggleton, a annoncé la semaine dernière son retrait de la politique.
Jeudi dernier, Art Eggleton a cédé sa place dans le comté York-Centre, vraisemblablement au profit du candidat-vedette des libéraux.
Ken Dryden, 56 ans, un ancien gardien de but du Canadien de Montréal, affirme qu'il rêvait de politique depuis qu'il était enfant.
Vendredi, le premier ministre Paul Martin a fait l'éloge de Ken Dryden en soulignant sa contribution au monde du sport.
L'annonce de l'entrée en politique de M. Dryden arrive en pleine période de réchauffement des troupes libérales à quelques jours du déclenchement des élections au Canada.
York-Centre est une circonscrption résolument libérale. L'ex-ministre Eggleton avait remporté le comté haut la main aux dernières élections avec une avance de 20 000 votes.
Y a déjà un des pré-requis pour faire de la politique y sait patiner

C'est bobépine ou bépine SVP

La taxe sur l'essence, un enjeu électoral
Les prix des carburants ne cessent d'augmenter au Canada où le litre d'ordinaire oscille désormais autour d'un dollar.
À Montréal et Québec, l'essence ordinaire se vend actuellement 99,9 cents le litre et jusqu'à 1,10 dollar pour l'essence super. Dans les provinces maritimes, dont Terre-Neuve-et-Labrador, le seuil d'un dollar le litre est atteint et même dépassé dans plusieurs régions.
Selon les experts, si les prix actuels du brut se maintiennent, le litre d'essence ordinaire devrait passer cet été au dessus d'un dollar et se stabiliser autour de 1,03 à 1,10 cent le litre. Sur les marchés internationaux, le prix du baril de pétrole brut frôle toujours les 42 dollars américains. Un record absolu. La situation critique au Moyen-Orient serait à l'origine de cette flambée des prix du carburant.
Les taxes sur l'essence deviennent un enjeu électoral
Pendant ce temps, au Canada, les taxes gouvernementales sur l'essence sont en voie de devenir un enjeu électoral. Lundi, le Parti conservateur fédéral s'est engagé, s'il est élu, à ne prélever la TPS sur l'essence que sur les premiers 85 cents du litre
C'est le chef des conservateurs, Stephen Harper, qui a pris cet engagement lors d'un discours à Winnipeg. Selon lui, chaque augmentation d'un cent le litre à la pompe ajouterait 32 millions de dollars aux revenus du gouvernement canadien.
Pris de court par cette promesse électorale des conservateurs, les libéraux fédéraux n'ont pas tardé à réagir
Lundi soir, le ministre des Finances, Ralph Goodale, déclarait que tous les revenus supplémentaires provenant de la hausse des prix de l'essence seraient directement réaffectés à des investissements dans l'équipement médical
Dans un communiqué, le gouvernement précise que les revenus de la TPS sont d'environ 15 millions de dollars plus élevés qu'à la même date l'an dernier. Si les prix restent à leurs niveaux actuels, ce supplément pourrait toutefois atteindre 230 millions de dollars pour l'année 2004. --Message edité par slick27 le 2004-05-18 09:28:07--
Les prix des carburants ne cessent d'augmenter au Canada où le litre d'ordinaire oscille désormais autour d'un dollar.
À Montréal et Québec, l'essence ordinaire se vend actuellement 99,9 cents le litre et jusqu'à 1,10 dollar pour l'essence super. Dans les provinces maritimes, dont Terre-Neuve-et-Labrador, le seuil d'un dollar le litre est atteint et même dépassé dans plusieurs régions.
Selon les experts, si les prix actuels du brut se maintiennent, le litre d'essence ordinaire devrait passer cet été au dessus d'un dollar et se stabiliser autour de 1,03 à 1,10 cent le litre. Sur les marchés internationaux, le prix du baril de pétrole brut frôle toujours les 42 dollars américains. Un record absolu. La situation critique au Moyen-Orient serait à l'origine de cette flambée des prix du carburant.
Les taxes sur l'essence deviennent un enjeu électoral
Pendant ce temps, au Canada, les taxes gouvernementales sur l'essence sont en voie de devenir un enjeu électoral. Lundi, le Parti conservateur fédéral s'est engagé, s'il est élu, à ne prélever la TPS sur l'essence que sur les premiers 85 cents du litre
C'est le chef des conservateurs, Stephen Harper, qui a pris cet engagement lors d'un discours à Winnipeg. Selon lui, chaque augmentation d'un cent le litre à la pompe ajouterait 32 millions de dollars aux revenus du gouvernement canadien.
Pris de court par cette promesse électorale des conservateurs, les libéraux fédéraux n'ont pas tardé à réagir
Lundi soir, le ministre des Finances, Ralph Goodale, déclarait que tous les revenus supplémentaires provenant de la hausse des prix de l'essence seraient directement réaffectés à des investissements dans l'équipement médical
Dans un communiqué, le gouvernement précise que les revenus de la TPS sont d'environ 15 millions de dollars plus élevés qu'à la même date l'an dernier. Si les prix restent à leurs niveaux actuels, ce supplément pourrait toutefois atteindre 230 millions de dollars pour l'année 2004. --Message edité par slick27 le 2004-05-18 09:28:07--
Imacom
campagne électorale
Des vandales déjà à l'oeuvre
René-Charles Quirion
La Tribune
Sherbrooke
La campagne électorale est lancée depuis à peine 48 heures que déjà les vandales se sont mis à l'oeuvre en apposant des autocollants "Vendu" sur les panneaux électoraux du candidat du Parti libéral du Canada, Bruno-Marie Béchard, ainsi que du chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe.
Visiblement échaudé, le candidat du Parti libéral du Canada dans la circonscrption de Sherbrooke, Bruno-Marie Béchard considère ces gestes comme un manque de respect en contexte démocratique.
Sans porter d'accusation contre qui que ce soit, Bruno-Marie Béchard s'étonne que les seuls panneaux portant le visage d'un candidat dans la circonscrption de Sherbrooke qui ont été vandalisés soient les siens.
"Le terme propre n'est pas qu'un mot que l'on gargarise dans un slogan. Pour moi, il faut le prouver dans ses actions, dans son attitude. Je profite de cette journée pour faire le premier engagement, celui de tenir une campagne véritablement propre, digne des Sherbrookois. Nous devons ce respect à la population de Sherbrooke. Il est temps que nous passions à une nouvelle façon de faire de la politique", promet le candidat du PLC.
Le député sortant et candidat bloquiste dans Sherbrooke, Serge Cardin déplore aussi ces gestes.
Texte complet dans La Tribune de mardi. --Message edité par slick27 le 2004-05-25 12:59:20--
SANTÉ
Martin promet 9 milliards $
Gilles Toupin
La Presse
Cobourg, Ontario
Le premier ministre, Paul Martin, a annoncé ce matin dans un hôpital ontarien flambant neuf, l'hôpital Northumberland Hills, une proposition de réforme du système de santé canadien qui sera valable pour une génération et qui prévoit 9 milliards de dollars d'argent frais, dont une clause d'indexation des transferts aux provinces pour la santé et un projet d'assurance médicaments qui n'a pas encore été chiffré.
M. Martin a d'abord annoncé un montant supplémentaire de 3 milliards de dollars aux provinces, dont 1 milliard cette année et 2 milliards l'année prochaine pour combler le fameux «écart Romanow» à court terme.
Il a également annoncé une stratégie de réduction des temps d'attente dans les hôpitaux, une décision qui coûtera 5 milliards de dollars au gouvernement fédéral en cinq ans.
Du côté des soins de première ligne, le gouvernement libéral, s'il est élu, promet d'assurer aux Canadiens des services 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Il enrayera notamment la pénurie de personnel médical en augmentant le nombre de places disponibles en médecine dans les universités.
M. Martin a aussi promis un programme national de soins à domicile, qui inclura la couverture des médicaments et les services de réadaptation. Un nouveau fonds de 2 milliards de dollars sur cinq ans sera dégagé à cet effet.
En ce qui concerne les médicaments, les libéraux promettent également de créer un plan de couverture des médicaments d'ici 2006. Enfin, pour faire respecter la Loi canadienne sur la santé, Paul Martin mettra sur pied un nouveau mécanisme de différends, c'est-à-dire un panel de trois experts indépendants qui révisera les cas où il sera allégué qu'il y a eu violation des dispositions de la loi.
Le premier ministre a assuré que les excédents budgétaires prévus par son gouvernement seront amplement suffisants pour financer son projet.
Plus de détails dans La Presse de demain.
Martin promet 9 milliards $
Gilles Toupin
La Presse
Cobourg, Ontario
Le premier ministre, Paul Martin, a annoncé ce matin dans un hôpital ontarien flambant neuf, l'hôpital Northumberland Hills, une proposition de réforme du système de santé canadien qui sera valable pour une génération et qui prévoit 9 milliards de dollars d'argent frais, dont une clause d'indexation des transferts aux provinces pour la santé et un projet d'assurance médicaments qui n'a pas encore été chiffré.
M. Martin a d'abord annoncé un montant supplémentaire de 3 milliards de dollars aux provinces, dont 1 milliard cette année et 2 milliards l'année prochaine pour combler le fameux «écart Romanow» à court terme.
Il a également annoncé une stratégie de réduction des temps d'attente dans les hôpitaux, une décision qui coûtera 5 milliards de dollars au gouvernement fédéral en cinq ans.
Du côté des soins de première ligne, le gouvernement libéral, s'il est élu, promet d'assurer aux Canadiens des services 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Il enrayera notamment la pénurie de personnel médical en augmentant le nombre de places disponibles en médecine dans les universités.
M. Martin a aussi promis un programme national de soins à domicile, qui inclura la couverture des médicaments et les services de réadaptation. Un nouveau fonds de 2 milliards de dollars sur cinq ans sera dégagé à cet effet.
En ce qui concerne les médicaments, les libéraux promettent également de créer un plan de couverture des médicaments d'ici 2006. Enfin, pour faire respecter la Loi canadienne sur la santé, Paul Martin mettra sur pied un nouveau mécanisme de différends, c'est-à-dire un panel de trois experts indépendants qui révisera les cas où il sera allégué qu'il y a eu violation des dispositions de la loi.
Le premier ministre a assuré que les excédents budgétaires prévus par son gouvernement seront amplement suffisants pour financer son projet.
Plus de détails dans La Presse de demain.
Merci Slick27 pour les articles.
J'ai bien hâte de voir que va répondre le parti libéral provincial sur ce qu'annonce Martin dans la santé.
La santé c'est de juridiction provinciale.
J'ai bien hâte de voir que va répondre le parti libéral provincial sur ce qu'annonce Martin dans la santé.
La santé c'est de juridiction provinciale.
"Vous vous battez chaque jour contre la souffrance parce que vous n'avez pas encore compris quelle sagesse il y a dans la souffrance."
" Gardez votre âme en paix si vous voulez créer la paix autour de vous."
Citation :J'ai bien hâte de voir que va répondre le parti libéral provincial sur ce qu'annonce Martin dans la santé.
Santé
Québec prendra l'argent d'Ottawa mais pas les conditions
Jocelyne Richer
Québec
Le gouvernement du Québec refusera toute condition qui serait rattachée à un investissement accru en santé en provenance du gouvernement fédéral.
Si le chef libéral Paul Martin croyait amadouer les Québécois et le gouvernement Charest en s'engageant mardi, s'il est réélu, à investir des milliards dans le système de santé, il s'est trompé.
A Québec, il a plutôt mis de l'huile sur le feu, en annonçant que les sommes additionnelles ainsi versées aux provinces devra servir à des fins particulières et respecter des normes appliquées d'un océan à l'autre.
«Pour le gouvernement du Québec, il n'est pas question d'accepter quelque concession que ce soit quant à l'exercice plein de nos juridictions. Et en particulier, la question de l'adoption de normes et d'objectifs nationaux. C'est un sujet sur lequel nous allons nous opposer fermement», a dit le ministre de la Santé, Philippe Couillard, lors d'un point de presse, en rappelant que la santé était une compétence provinciale «exclusive».
En réagissant de la sorte, le gouvernement Charest se trouve à faire sienne la position historique du Québec, qui consiste à considérer que le gouvernement fédéral devrait accroître sa part dans le financement de la santé, tout en s'abstenant de toute ingérence dans la gestion du système de santé. --Message edité par tuberale le 2004-05-25 17:14:37--
Santé
Québec prendra l'argent d'Ottawa mais pas les conditions
Jocelyne Richer
Québec
Le gouvernement du Québec refusera toute condition qui serait rattachée à un investissement accru en santé en provenance du gouvernement fédéral.
Si le chef libéral Paul Martin croyait amadouer les Québécois et le gouvernement Charest en s'engageant mardi, s'il est réélu, à investir des milliards dans le système de santé, il s'est trompé.
A Québec, il a plutôt mis de l'huile sur le feu, en annonçant que les sommes additionnelles ainsi versées aux provinces devra servir à des fins particulières et respecter des normes appliquées d'un océan à l'autre.
«Pour le gouvernement du Québec, il n'est pas question d'accepter quelque concession que ce soit quant à l'exercice plein de nos juridictions. Et en particulier, la question de l'adoption de normes et d'objectifs nationaux. C'est un sujet sur lequel nous allons nous opposer fermement», a dit le ministre de la Santé, Philippe Couillard, lors d'un point de presse, en rappelant que la santé était une compétence provinciale «exclusive».
En réagissant de la sorte, le gouvernement Charest se trouve à faire sienne la position historique du Québec, qui consiste à considérer que le gouvernement fédéral devrait accroître sa part dans le financement de la santé, tout en s'abstenant de toute ingérence dans la gestion du système de santé. --Message edité par tuberale le 2004-05-25 17:14:37--
Mais comme on a dit à la télé: Comment un dû devient-il une promesse électorale????
Et pourquoi n'a-t-il rien fait pour la santé et que là, tout-à-coup, il va trouver l,argent dès qu'il sera élu????
Et dire que bien des gens vont y croire encore........
Et pourquoi n'a-t-il rien fait pour la santé et que là, tout-à-coup, il va trouver l,argent dès qu'il sera élu????
Et dire que bien des gens vont y croire encore........
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
Le scandale des commandites a mis à mal la crédibilité des libéraux qui, selon les analystes, auront de la difficulté à faire élire un gouvernement majoritaire.
Au Canada, le Parti libéral mène dans les sondages, mais au Québec, c'est le Bloc québécois qui est en tête. Cela démontre bien qu'il y aura deux élections le 28 juin : une au Québec et une autre dans le reste du Canada.
Au Québec, alors que le lieutenant québécois de Paul Martin, Jean Lapierre, tente de tourner la page sur le scandale des commandites, le Bloc mise là-dessus pour gagner quelques comtés supplémentaires. Gilles Duceppe insiste sur le fait que son parti est le plus à même de défendre les intérêts du Québec.
Dans le reste du pays, ce sera une course à trois. L'Ontario, en particulier, sera un terrain d'affrontement majeur où les conservateurs unis testeront leur force.
Au Canada, le Parti libéral mène dans les sondages, mais au Québec, c'est le Bloc québécois qui est en tête. Cela démontre bien qu'il y aura deux élections le 28 juin : une au Québec et une autre dans le reste du Canada.
Au Québec, alors que le lieutenant québécois de Paul Martin, Jean Lapierre, tente de tourner la page sur le scandale des commandites, le Bloc mise là-dessus pour gagner quelques comtés supplémentaires. Gilles Duceppe insiste sur le fait que son parti est le plus à même de défendre les intérêts du Québec.
Dans le reste du pays, ce sera une course à trois. L'Ontario, en particulier, sera un terrain d'affrontement majeur où les conservateurs unis testeront leur force.
Je suis déçu de voir que le NPD n'a pratiquement aucune visibilité dans nos médias. Les gens connaissent le nom du parti mais pas ses idées... Beaucoup de québécois, qui ne croient plus en l'indépendance et qui ont une vision sociale, ne connaissent même pas cette alternative et n'iront probablement pas voter.
Je crois qu'il serait important qu'autant de temps soit consacré à la couverture de chacun des partis dans nos médias.
Je crois qu'il serait important qu'autant de temps soit consacré à la couverture de chacun des partis dans nos médias.
Slick27 a écritJe suis déçu de voir que le NPD n'a pratiquement aucune visibilité dans nos médias. Les gens connaissent le nom du parti mais pas ses idées... Beaucoup de québécois, qui ne croient plus en l'indépendance et qui ont une vision sociale, ne connaissent même pas cette alternative et n'iront probablement pas voter.
Je crois qu'il serait important qu'autant de temps soit consacré à la couverture de chacun des partis dans nos médias.
Oui, je suis d'accord avec toi Slick. Moi je ne peux pas dire que je connais ce parti. Peut-être ouvrir un topic sur chaque parti, une idée comme ça ...
Je crois qu'il serait important qu'autant de temps soit consacré à la couverture de chacun des partis dans nos médias.
Oui, je suis d'accord avec toi Slick. Moi je ne peux pas dire que je connais ce parti. Peut-être ouvrir un topic sur chaque parti, une idée comme ça ...
"Vous vous battez chaque jour contre la souffrance parce que vous n'avez pas encore compris quelle sagesse il y a dans la souffrance."
" Gardez votre âme en paix si vous voulez créer la paix autour de vous."