Les bonnes écoles font-elles les bons élèves...?
Une étude du Comité de gestion de la taxe scolaire de l'Île de Montréal confirme l'effet du milieu scolaire sur les chances de réussite des élèves du secondaire.
L'étude, menée auprès de 35 500 élèves montréalais, démontre que les élèves issus d'un milieu défavorisé améliorent leurs possibilités d'obtenir un diplôme d'études secondaires en fréquentant une école en milieu nanti.
À l'inverse, les élèves issus d'un milieu favorisé qui fréquentent un établissement dans un milieu pauvre, voient leurs chances de succès chuter. C'est ce qu'on appelle «l'effet école».
Quelle serait la solution pour améliorer les établissements en milieu défavorisé?
L'étude, menée auprès de 35 500 élèves montréalais, démontre que les élèves issus d'un milieu défavorisé améliorent leurs possibilités d'obtenir un diplôme d'études secondaires en fréquentant une école en milieu nanti.
À l'inverse, les élèves issus d'un milieu favorisé qui fréquentent un établissement dans un milieu pauvre, voient leurs chances de succès chuter. C'est ce qu'on appelle «l'effet école».
Quelle serait la solution pour améliorer les établissements en milieu défavorisé?
Je pense que ce n'est pas l'effet de l'école en tant que tel (j'entends par là professeurs, direction, parascolaires, etc.) mais plutôt l'effet indirect de la présence de ces jeunes défavorisés qui fréquentent l'école en question. Je m'explique.
Dans les écoles de milieu défavorisé, les jeunes souffrent davantage de problèmes d'inaptation scolaire, ils ont plus souvent été sous-stimulés intellectuellement et donc, ont plus de difficultés d'apprentissage et de comportement en classe. Évidemment, le climat qui règne dans la classe risque donc d'être moins propice à l'apprentissage et ce, pour l'ensemble des jeunes de la classe.
Il ne faut pas non plus perdre de vue que les écoles mieux nanties (donc les collèges privés) font une sélection de leurs élèves et ne prennent que ceux qui ont déjà un dossier scolaire favorable, que ce soit au niveau des notes ou du comportement. On éliomine donc d'entrée de jeu les possibles fauteurs de troubles, qui ne risquent alors pas de compromettre le climat d'apprentissage qui devrait régner en classe.
Je serais également très curieuse de savoir quelle méthodologie a été employée dans le cadre de cette étude...
Et pour répondre à la question, à savoir ce qui peut être fait pour améliorer les établissements en milieu défavorisé, je dirais peut-être qu'il serait intéressant de mettre sur pied des activités ou programmes afin de sucsciter un sentiment d'appartenance chez les élèves, de leur donner un intérêt et une motivation qui les inciterait à mieux performer au niveau scolaire. Pensons par exemple aux programmes sport-études, aux programmes axés sur les arts de la scène, sur les arts plastiques ou la musique qui sont, encore trop souvent, réservés aux écoles de milieu plus favorisés... J'avais vu un reportage montrant que ce type de programme motivait les jeunes à obtenir de meileurs résultats scolaires afin d'avoir le droit de demeurer dans ces programmes particuliers. C'est la première idée qui me vient en tête...
Dans les écoles de milieu défavorisé, les jeunes souffrent davantage de problèmes d'inaptation scolaire, ils ont plus souvent été sous-stimulés intellectuellement et donc, ont plus de difficultés d'apprentissage et de comportement en classe. Évidemment, le climat qui règne dans la classe risque donc d'être moins propice à l'apprentissage et ce, pour l'ensemble des jeunes de la classe.
Il ne faut pas non plus perdre de vue que les écoles mieux nanties (donc les collèges privés) font une sélection de leurs élèves et ne prennent que ceux qui ont déjà un dossier scolaire favorable, que ce soit au niveau des notes ou du comportement. On éliomine donc d'entrée de jeu les possibles fauteurs de troubles, qui ne risquent alors pas de compromettre le climat d'apprentissage qui devrait régner en classe.
Je serais également très curieuse de savoir quelle méthodologie a été employée dans le cadre de cette étude...
Et pour répondre à la question, à savoir ce qui peut être fait pour améliorer les établissements en milieu défavorisé, je dirais peut-être qu'il serait intéressant de mettre sur pied des activités ou programmes afin de sucsciter un sentiment d'appartenance chez les élèves, de leur donner un intérêt et une motivation qui les inciterait à mieux performer au niveau scolaire. Pensons par exemple aux programmes sport-études, aux programmes axés sur les arts de la scène, sur les arts plastiques ou la musique qui sont, encore trop souvent, réservés aux écoles de milieu plus favorisés... J'avais vu un reportage montrant que ce type de programme motivait les jeunes à obtenir de meileurs résultats scolaires afin d'avoir le droit de demeurer dans ces programmes particuliers. C'est la première idée qui me vient en tête...
Fourmi a écritJe pense que ce n'est pas l'effet de l'école en tant que tel (j'entends par là professeurs, direction, parascolaires, etc.) mais plutôt l'effet indirect de la présence de ces jeunes défavorisés qui fréquentent l'école en question. Je m'explique.
Dans les écoles de milieu défavorisé, les jeunes souffrent davantage de problèmes d'inaptation scolaire, ils ont plus souvent été sous-stimulés intellectuellement et donc, ont plus de difficultés d'apprentissage et de comportement en classe. Évidemment, le climat qui règne dans la classe risque donc d'être moins propice à l'apprentissage et ce, pour l'ensemble des jeunes de la classe.
Il ne faut pas non plus perdre de vue que les écoles mieux nanties (donc les collèges privés) font une sélection de leurs élèves et ne prennent que ceux qui ont déjà un dossier scolaire favorable, que ce soit au niveau des notes ou du comportement. On éliomine donc d'entrée de jeu les possibles fauteurs de troubles, qui ne risquent alors pas de compromettre le climat d'apprentissage qui devrait régner en classe.
Je serais également très curieuse de savoir quelle méthodologie a été employée dans le cadre de cette étude...
Et pour répondre à la question, à savoir ce qui peut être fait pour améliorer les établissements en milieu défavorisé, je dirais peut-être qu'il serait intéressant de mettre sur pied des activités ou programmes afin de sucsciter un sentiment d'appartenance chez les élèves, de leur donner un intérêt et une motivation qui les inciterait à mieux performer au niveau scolaire. Pensons par exemple aux programmes sport-études, aux programmes axés sur les arts de la scène, sur les arts plastiques ou la musique qui sont, encore trop souvent, réservés aux écoles de milieu plus favorisés... J'avais vu un reportage montrant que ce type de programme motivait les jeunes à obtenir de meileurs résultats scolaires afin d'avoir le droit de demeurer dans ces programmes particuliers. C'est la première idée qui me vient en tête...
Je pourrais pas mieux expliquer ma vision des choses
Tiens, ça me fait penser à quelque chose... J'ai une copine qui est prof en secondaire 1 dans une école en milieu défavorisé. Dans sa classe, il y avait une jeune fille très brillante, très vive d'esprit. Pourtant, cette jeune fille avait des notes médiocres. Un jour, mon amie a décidé de lui parler et de lui dire combien elle croyait en son potentiel. Elle lui a même offert de l'aider après les cours. La jeune fille lui a fait clairement comprendre qu'elle ne voulait pas se démarquer du lot (sa famille, ses amis)... et elle lui a dit " À ta place, je perdrais pas ton temps avec moi... à 18 ans, je veux avoir mon chèque. C'est tout ce que je veux !" Ma copine était sans mot...
Donc, tout ça pour dire, que oui, je suis certaine que le milieu scolaire (pas les enseignants) influence les résultats.
Dans les écoles de milieu défavorisé, les jeunes souffrent davantage de problèmes d'inaptation scolaire, ils ont plus souvent été sous-stimulés intellectuellement et donc, ont plus de difficultés d'apprentissage et de comportement en classe. Évidemment, le climat qui règne dans la classe risque donc d'être moins propice à l'apprentissage et ce, pour l'ensemble des jeunes de la classe.
Il ne faut pas non plus perdre de vue que les écoles mieux nanties (donc les collèges privés) font une sélection de leurs élèves et ne prennent que ceux qui ont déjà un dossier scolaire favorable, que ce soit au niveau des notes ou du comportement. On éliomine donc d'entrée de jeu les possibles fauteurs de troubles, qui ne risquent alors pas de compromettre le climat d'apprentissage qui devrait régner en classe.
Je serais également très curieuse de savoir quelle méthodologie a été employée dans le cadre de cette étude...
Et pour répondre à la question, à savoir ce qui peut être fait pour améliorer les établissements en milieu défavorisé, je dirais peut-être qu'il serait intéressant de mettre sur pied des activités ou programmes afin de sucsciter un sentiment d'appartenance chez les élèves, de leur donner un intérêt et une motivation qui les inciterait à mieux performer au niveau scolaire. Pensons par exemple aux programmes sport-études, aux programmes axés sur les arts de la scène, sur les arts plastiques ou la musique qui sont, encore trop souvent, réservés aux écoles de milieu plus favorisés... J'avais vu un reportage montrant que ce type de programme motivait les jeunes à obtenir de meileurs résultats scolaires afin d'avoir le droit de demeurer dans ces programmes particuliers. C'est la première idée qui me vient en tête...
Je pourrais pas mieux expliquer ma vision des choses
Tiens, ça me fait penser à quelque chose... J'ai une copine qui est prof en secondaire 1 dans une école en milieu défavorisé. Dans sa classe, il y avait une jeune fille très brillante, très vive d'esprit. Pourtant, cette jeune fille avait des notes médiocres. Un jour, mon amie a décidé de lui parler et de lui dire combien elle croyait en son potentiel. Elle lui a même offert de l'aider après les cours. La jeune fille lui a fait clairement comprendre qu'elle ne voulait pas se démarquer du lot (sa famille, ses amis)... et elle lui a dit " À ta place, je perdrais pas ton temps avec moi... à 18 ans, je veux avoir mon chèque. C'est tout ce que je veux !" Ma copine était sans mot...
Donc, tout ça pour dire, que oui, je suis certaine que le milieu scolaire (pas les enseignants) influence les résultats.
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Le classement des élèves n`est peut-être pas adéquat.
La distintion entre un éleve plus visuel qu`auditif ou kinesthésique change de beaucoup les résultats des tests.
Des examens ont déjà été passé en ce sens et 57% des élèves sont visuelles ,24% auditif et le reste kinesthésique.(en moyenne)
Tout les tests sont fait de manière à toucher le plus de gens possible donc en format visuel.
Dans ces formats visuel par exemple , les mots choisient touche les visuels .Il y a des mots clés comme voir,décrire,apercu etc...et toutes sortes de mots qui éveillent l`oeil lorsqu`ils sont prononcés.
Les mots utilisés pour les auditifs sont comprendre,entente,et ou d`autres mots qui eveillent chez l`étudiant le côté auditif.
(les futurs musiciens , chanteur)
Pour le kinesthésique ce sont les mots sensation , feeling,modeler.toucher etc...
Cette catégorie ne se classe que très rarement dans les grandes écoles.. Ce sont des personnes travaillant de leur mains,des ébénistes, des peintres,des sculpteurs etc...
Ils sont aussi rêveur , bohème...etc...
Classer tout ces gens avant et leur montrer leur force donnerait une meilleure idée de l`orientation à choisir.
Meme en milieu défavoriser la passion d`un éleve kinesthésique pour un but concret le ferait passer par dessus bien des barrieres.
Le fait de savoir réellement où on va et pourquoi ca donne un sens à sa vie.
Il serait inportant dès le jeune âge de montrer aux jeunes leurs forces et de les diriger dans la bonne direction.
Parle-t-on de réorganisation de fond en comble du système scolaire ?
La distintion entre un éleve plus visuel qu`auditif ou kinesthésique change de beaucoup les résultats des tests.
Des examens ont déjà été passé en ce sens et 57% des élèves sont visuelles ,24% auditif et le reste kinesthésique.(en moyenne)
Tout les tests sont fait de manière à toucher le plus de gens possible donc en format visuel.
Dans ces formats visuel par exemple , les mots choisient touche les visuels .Il y a des mots clés comme voir,décrire,apercu etc...et toutes sortes de mots qui éveillent l`oeil lorsqu`ils sont prononcés.
Les mots utilisés pour les auditifs sont comprendre,entente,et ou d`autres mots qui eveillent chez l`étudiant le côté auditif.
(les futurs musiciens , chanteur)
Pour le kinesthésique ce sont les mots sensation , feeling,modeler.toucher etc...
Cette catégorie ne se classe que très rarement dans les grandes écoles.. Ce sont des personnes travaillant de leur mains,des ébénistes, des peintres,des sculpteurs etc...
Ils sont aussi rêveur , bohème...etc...
Classer tout ces gens avant et leur montrer leur force donnerait une meilleure idée de l`orientation à choisir.
Meme en milieu défavoriser la passion d`un éleve kinesthésique pour un but concret le ferait passer par dessus bien des barrieres.
Le fait de savoir réellement où on va et pourquoi ca donne un sens à sa vie.
Il serait inportant dès le jeune âge de montrer aux jeunes leurs forces et de les diriger dans la bonne direction.
Parle-t-on de réorganisation de fond en comble du système scolaire ?
L'avantage d'être intelligent, c'est qu'on peut toujours faire l'imbécile, alors que l'inverse est totalement impossible
J'enseigne dans une école qui se trouve dans un milieu défavorisé. Et malheureusement, je vois bien que les jeunes ont peu de motivation face aux études. Ils vivent dans un petit village où les possibilités d'emploi sont pratiquement nulles. À cet âge, difficile pour eux de s'imaginer qu'ils pourront quitter ce village un jour. Alors où est l'importance de l'école pour eux...
Ce que je déplore, c'est que les écoles en milieu défavorisé sont aussi celles où les budgets sont plus limités. Alors qu'on sait qu'aucun projet n'est gratuit.
Malgré tout, nous redoublons d'efforts pour ouvrir les jeunes à d'autres réalités. Une chose que je trouve dommage aussi, c'est le haut taux de consommations de drogues chez les jeunes dans mon coin. Je ne veux pas avoir l'air de généraliser, mais arrivés au secondaire, beaucoup commencent à consommer... et la démotivation face à l'école grandit.
J'en aurais long à dire sur le sujet, ma tête est pleine d'idées, mais avec tous les problèmes de consommation, vandalisme, décrohage scolaire, les adultes en viennent à dire: Qu'est-ce que ça donne d'organiser ou de construire des centres d'activités, les jeunes s'en foutent et brisent tout...
Comme notre cours d'école. Ça fait dur pas à peu près... Mais à chaque année, c'est le même discours: Rien ne sert d'installer des nouveaux jeux et d'embellir la cour, les jeunes du secondaire du village vont tout détruire la fin de semaine. Et le plus plate, c'est que c'est vrai
Malgré cette réalité, c'était mon désir d'enseigner dans ce milieu. Et si je peux faire ne serait-ce qu'un petit quelque chose pour un jeune, je vais être contente.
Ce que je déplore, c'est que les écoles en milieu défavorisé sont aussi celles où les budgets sont plus limités. Alors qu'on sait qu'aucun projet n'est gratuit.
Malgré tout, nous redoublons d'efforts pour ouvrir les jeunes à d'autres réalités. Une chose que je trouve dommage aussi, c'est le haut taux de consommations de drogues chez les jeunes dans mon coin. Je ne veux pas avoir l'air de généraliser, mais arrivés au secondaire, beaucoup commencent à consommer... et la démotivation face à l'école grandit.
J'en aurais long à dire sur le sujet, ma tête est pleine d'idées, mais avec tous les problèmes de consommation, vandalisme, décrohage scolaire, les adultes en viennent à dire: Qu'est-ce que ça donne d'organiser ou de construire des centres d'activités, les jeunes s'en foutent et brisent tout...
Comme notre cours d'école. Ça fait dur pas à peu près... Mais à chaque année, c'est le même discours: Rien ne sert d'installer des nouveaux jeux et d'embellir la cour, les jeunes du secondaire du village vont tout détruire la fin de semaine. Et le plus plate, c'est que c'est vrai
Malgré cette réalité, c'était mon désir d'enseigner dans ce milieu. Et si je peux faire ne serait-ce qu'un petit quelque chose pour un jeune, je vais être contente.
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Moi je dis que la raison n'est pas nécessairement le fait que ce soit en milieu défavorisé ou non. Chaque cas peut être différent. Voici quelques exemples:
1. Je connais une personne, très pauvre et qui allait dans une école défavorisée. Sa famille le stimulait, le prof lui disait qu'il pouvait se sortir de cette misère en travaillant bien et en obtenant un bon emploi plus tard. Il a été assez stimulé qu'aujourd'hui il est un médecin estimé.
2. Mon fils a fréquenté une école privée, de bonne réputation. Or, une journée il avait un travail à faire sur la différence des coutumes sur les femmes de divers pays. Il a "niaisé" le prof en écrivant ceci (en abrégé): Cela revient à peu près au même car qu'elle soit: Egyptienne, terre-Neuvienne, Québécoise, Allemande....(en fait il avait pris le dictionnaire et avait épluché les pays, les villes et ce, durant pratiquement 2 pages. Il termine tout cela en disant qu'en fin de compte il n'y a pas beaucoup de différences. WOW! Quelle recherche!!! Il n'avait rien dit et quand j'ai lu, j'ai dit que moi avoir été le prof, j'aurais déchiré sa feuille ou aurait mis un gros zéro. Je regarde la note écrite: Très bon travail! Belle recherche...résultat: 97% J'en revenais pas.
À cette même école réputée, le prof de FRANÇAIS avait écrit pour un certain travail: Ne serais-tu pas un peu mYsogine? Ouf! Je n'ai pu m'empêcher d'écrire dans le cahier: Mon fils est peut-être mIsogYne mais sûrement pas mYsogine.
J'ai connu de ces élèves qui sont rendus dans la trentaine avancée et qui ne foutent rien dans la vie, d'autres par contre ont un bon emploi.
Loin de moi de jeter la pierre aux professeurx car l'inverse s'est aussi produit. J'ai connu de très bons professeurs qui malgré leurs efforts, certains élèves ne voulaient rien savoir que ce soit dans une école défavorisée ou pas.
Peut-être qu'en analisant le tout, le milieu défavorisé est perdant, je ne sais pas. Mais je pense que si les parents font leur part, les profs la leur, il y a moyen de stimuler l'enfant. Faut dire que des parents rejettent tout le travail sur les professeurs, qui ne regardent pas les notes et si ils les regardent et que c'est mauvais, vont gueuler que le prof est pas bon. Ça prend de tout pour faire un monde!!!!
C'est sûr que de rester dans un coin défavorisé c'est difficile mais pas impossible. Il s'agit de bien partir l'enfant de ne pas le laisser jouer avec n'importe qui; en un mot, d'élever son enfant, de le surveiller, de l'aider dans ses travaux. Y'a quand même des familles pauvres qui s'occupent de leurs jeunes et l'inverse (pour les familles bien nanties) se produit aussi.
Pourrait-il y avoir une émission tous les jours qui donnerait des petits trucs pour stimuler les élèves? Donner des idées aux parents pour qu'ils puissent aider leurs enfants dans leurs travaux et les stimuler? Il y a je ne sais plus combien d'émissions pour des recettes de nourriture pourquoi pas sur ça?Y'a peut-être un travail à faire au niveau de la société. Est-ce trop rêver en couleur?
J'ai vu une émission l'an passé ou vla 2 ans où on nous montrait une école défavorisée. Mais, laissez-moi vous dire que j'aurais été heureuse que mes enfants la fréquentent. Chaque classe était tellement accueillante, y'avait tellement de petites choses pour forcer les élèves à être attentifs, les profs avaient l'air tellement heureux, intéressés à rechercher ce qu'il y avait de bien pour développer l'intérêt des élèves que si ceux-ci ne voulaient rien savoir, ils n'auraient pas plus écoutés dans une école d'un milieu mieux nanti.
C'est mon opinion!
1. Je connais une personne, très pauvre et qui allait dans une école défavorisée. Sa famille le stimulait, le prof lui disait qu'il pouvait se sortir de cette misère en travaillant bien et en obtenant un bon emploi plus tard. Il a été assez stimulé qu'aujourd'hui il est un médecin estimé.
2. Mon fils a fréquenté une école privée, de bonne réputation. Or, une journée il avait un travail à faire sur la différence des coutumes sur les femmes de divers pays. Il a "niaisé" le prof en écrivant ceci (en abrégé): Cela revient à peu près au même car qu'elle soit: Egyptienne, terre-Neuvienne, Québécoise, Allemande....(en fait il avait pris le dictionnaire et avait épluché les pays, les villes et ce, durant pratiquement 2 pages. Il termine tout cela en disant qu'en fin de compte il n'y a pas beaucoup de différences. WOW! Quelle recherche!!! Il n'avait rien dit et quand j'ai lu, j'ai dit que moi avoir été le prof, j'aurais déchiré sa feuille ou aurait mis un gros zéro. Je regarde la note écrite: Très bon travail! Belle recherche...résultat: 97% J'en revenais pas.
À cette même école réputée, le prof de FRANÇAIS avait écrit pour un certain travail: Ne serais-tu pas un peu mYsogine? Ouf! Je n'ai pu m'empêcher d'écrire dans le cahier: Mon fils est peut-être mIsogYne mais sûrement pas mYsogine.
J'ai connu de ces élèves qui sont rendus dans la trentaine avancée et qui ne foutent rien dans la vie, d'autres par contre ont un bon emploi.
Loin de moi de jeter la pierre aux professeurx car l'inverse s'est aussi produit. J'ai connu de très bons professeurs qui malgré leurs efforts, certains élèves ne voulaient rien savoir que ce soit dans une école défavorisée ou pas.
Peut-être qu'en analisant le tout, le milieu défavorisé est perdant, je ne sais pas. Mais je pense que si les parents font leur part, les profs la leur, il y a moyen de stimuler l'enfant. Faut dire que des parents rejettent tout le travail sur les professeurs, qui ne regardent pas les notes et si ils les regardent et que c'est mauvais, vont gueuler que le prof est pas bon. Ça prend de tout pour faire un monde!!!!
C'est sûr que de rester dans un coin défavorisé c'est difficile mais pas impossible. Il s'agit de bien partir l'enfant de ne pas le laisser jouer avec n'importe qui; en un mot, d'élever son enfant, de le surveiller, de l'aider dans ses travaux. Y'a quand même des familles pauvres qui s'occupent de leurs jeunes et l'inverse (pour les familles bien nanties) se produit aussi.
Pourrait-il y avoir une émission tous les jours qui donnerait des petits trucs pour stimuler les élèves? Donner des idées aux parents pour qu'ils puissent aider leurs enfants dans leurs travaux et les stimuler? Il y a je ne sais plus combien d'émissions pour des recettes de nourriture pourquoi pas sur ça?Y'a peut-être un travail à faire au niveau de la société. Est-ce trop rêver en couleur?
J'ai vu une émission l'an passé ou vla 2 ans où on nous montrait une école défavorisée. Mais, laissez-moi vous dire que j'aurais été heureuse que mes enfants la fréquentent. Chaque classe était tellement accueillante, y'avait tellement de petites choses pour forcer les élèves à être attentifs, les profs avaient l'air tellement heureux, intéressés à rechercher ce qu'il y avait de bien pour développer l'intérêt des élèves que si ceux-ci ne voulaient rien savoir, ils n'auraient pas plus écoutés dans une école d'un milieu mieux nanti.
C'est mon opinion!
https://groups.msn.com/photographeenherbe
C'est grand la mort...il y a plein de vie là
J'en suis presque gênée, mais voici une partie de la cour de l'école où j'enseigne. Je trouve cela abominable! La forêt dense embarque par dessus la clôture. C'est à se demander s'il y en a une
Crime, ce n'est pas parce que le village se trouve dans un cul de sac entouré de bois que la cour est obligée de ressembler à cela Imaginez les moustiques au printemps, les jeunes se font dévorer...
Au début de l'année, j'en ai parlé à ma direction, pas très sûre de moi... J'ai lancé l'idée d'organiser en septembre prochain une activité bénévole afin de défricher le tour de la cour. J'aimerais bien que cela se réalise, mais je sais bien que les priorités de la direction et de la Commission scolaire sont toutes autres... M'adresser au maire du village peut-être??
Et pour regarnir un peu la cour avec des jeux, je me dis que s'il y avait un projet d'emploi d'été pour les étudiants, ils pourraient peut-être bâtir des structures de jeu, des tables de pique-nique ou des bancs...
En tout cas, ce sont deux projets que j'aimerais qui se réalisent.
--Message edité par jaskab le 2004-01-21 16:54:59--
Crime, ce n'est pas parce que le village se trouve dans un cul de sac entouré de bois que la cour est obligée de ressembler à cela Imaginez les moustiques au printemps, les jeunes se font dévorer...
Au début de l'année, j'en ai parlé à ma direction, pas très sûre de moi... J'ai lancé l'idée d'organiser en septembre prochain une activité bénévole afin de défricher le tour de la cour. J'aimerais bien que cela se réalise, mais je sais bien que les priorités de la direction et de la Commission scolaire sont toutes autres... M'adresser au maire du village peut-être??
Et pour regarnir un peu la cour avec des jeux, je me dis que s'il y avait un projet d'emploi d'été pour les étudiants, ils pourraient peut-être bâtir des structures de jeu, des tables de pique-nique ou des bancs...
En tout cas, ce sont deux projets que j'aimerais qui se réalisent.
--Message edité par jaskab le 2004-01-21 16:54:59--
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jaskab a écritJ'en suis presque gênée, mais voici une partie de la cour de l'école où j'enseigne. Je trouve cela abominable! La forêt dense embarque par dessus la clôture. C'est à se demander s'il y en a une
Crime, ce n'est pas parce que le village se trouve dans un cul de sac entouré de bois que la cour est obligée de ressembler à cela Imaginez les moustiques au printemps, les jeunes se font dévorer...
Au début de l'année, j'en ai parlé à ma direction, pas très sûre de moi... J'ai lancé l'idée d'organiser en septembre prochain une activité bénévole afin de défricher le tour de la cour. J'aimerais bien que cela se réalise, mais je sais bien que les priorités de la direction et de la Commission scolaire sont toutes autres... M'adresser au maire du village peut-être??
Et pour regarnir un peu la cour avec des jeux, je me dis que s'il y avait un projet d'emploi d'été pour les étudiants, ils pourraient peut-être bâtir des structures de jeu, des tables de pique-nique ou des bancs...
En tout cas, ce sont deux projets que j'aimerais qui se réalisent.
--Message edité par jaskab le 2004-01-21 16:49:09--
Bon, ça bien l'air que vous ne verrez rien, car Yamafoto fait des siennes...
Crime, ce n'est pas parce que le village se trouve dans un cul de sac entouré de bois que la cour est obligée de ressembler à cela Imaginez les moustiques au printemps, les jeunes se font dévorer...
Au début de l'année, j'en ai parlé à ma direction, pas très sûre de moi... J'ai lancé l'idée d'organiser en septembre prochain une activité bénévole afin de défricher le tour de la cour. J'aimerais bien que cela se réalise, mais je sais bien que les priorités de la direction et de la Commission scolaire sont toutes autres... M'adresser au maire du village peut-être??
Et pour regarnir un peu la cour avec des jeux, je me dis que s'il y avait un projet d'emploi d'été pour les étudiants, ils pourraient peut-être bâtir des structures de jeu, des tables de pique-nique ou des bancs...
En tout cas, ce sont deux projets que j'aimerais qui se réalisent.
--Message edité par jaskab le 2004-01-21 16:49:09--
Bon, ça bien l'air que vous ne verrez rien, car Yamafoto fait des siennes...
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- Caïd de la Causette
- Messages : 657
- Inscription : jeu. déc. 04, 2003 1:00 am
Moi, je n'y crois pas non plus que milieu favorisé économiquement. Le milieu famillial peu joué par contre.
J'ai un copain qui allait dans un collège privé souvent bien coté. Pour son tempérament quelques peu rebel c'est fait retirer du collège. Pê sous mon influence Il lui manquait le para-scolaire ce qui l'aurait sauvé et qui sauve plusieurs personne dont moi
Moi, je viens d'un milieu modeste et j'ai fais mes études dans des écoles modestes. j'étais dans les élèves modestes plusieurs me qualifiais d'enrichi mais ça ce n'est que leurs perception. Même si j'étais enrichi de leur savoir ça m'a pas empêché de décrocher en sec. IV
Je suis allée à l'école de la vie(sur le marché du travail, bénévolat de toutes sortes. Je me cherchais une profession autre que celle que j'avais tant rêver. Qu'on avait étouffer mon rêve car je n'avais pas la gueule pour
Et pourtant aujourd'hui, je gagne bien ma vie avec le métier de presque de mes rêves
Je regardais une émission ce matin qui parlait des dyslectifs comment ses personnes peuvent n'arracher à l'école et pourtant qui réussisse quand même en se donnant des trucs autres. C'est qui est une forme d'intelligence. Je fais la différence entre connaissance et intelligence.
J'ai un copain qui allait dans un collège privé souvent bien coté. Pour son tempérament quelques peu rebel c'est fait retirer du collège. Pê sous mon influence Il lui manquait le para-scolaire ce qui l'aurait sauvé et qui sauve plusieurs personne dont moi
Moi, je viens d'un milieu modeste et j'ai fais mes études dans des écoles modestes. j'étais dans les élèves modestes plusieurs me qualifiais d'enrichi mais ça ce n'est que leurs perception. Même si j'étais enrichi de leur savoir ça m'a pas empêché de décrocher en sec. IV
Je suis allée à l'école de la vie(sur le marché du travail, bénévolat de toutes sortes. Je me cherchais une profession autre que celle que j'avais tant rêver. Qu'on avait étouffer mon rêve car je n'avais pas la gueule pour
Et pourtant aujourd'hui, je gagne bien ma vie avec le métier de presque de mes rêves
Je regardais une émission ce matin qui parlait des dyslectifs comment ses personnes peuvent n'arracher à l'école et pourtant qui réussisse quand même en se donnant des trucs autres. C'est qui est une forme d'intelligence. Je fais la différence entre connaissance et intelligence.
ouin ouin
Moi aussi je pourrais donner des exemples de jeunes provenant de milieu défavorisé qui ont réussi. Tout comme des jeunes de familles aisées qui ont décroché.
Oui, le milieu familial a un grand rôle à jouer, mais quand on parle d'écoles en milieu défavorisé, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte, pas seulement le revenu familial.
Malheureusement, je ne les connais pas par coeur Mais j'avais jeté un coup d'oeil dans des documents du Ministère de l'éducation. Je me souviens que la moyenne de scolarité des parents et de la moyenne du salaire des familles. Il y a aussi les possibilités qu'offre le milieu, comme les infrastructures: possibilité pour les jeunes de suivre des cours de tout genre. Et les moyens de la commission scolaire. Dans ma région, il y a la problématique des petites écoles. Par exemple, où j'enseigne, il y a 35 élèves. Alors quand les budgets sont comptés en fonction du nombre de tête, ouf, ça fait dur
Moins d'argent veut dire moins d'équipement informatique de pointe, moins de matériel pour les sports.
Par exemple, nous sommes très limités dans le choix de cahiers d'activités ou autre matériel à faire acheter par les parents, car nous avons un maximum à respecter, étant donné que les familles n'ont pas beaucoup d'argent. Même chose pour la liste de matériel scolaire. Même chose aussi pour l'emploi de personnel. Moins d'heures en orthopédagogie, en éducation spécialisée, un directeur et une secrétaire pour 5 écoles...
Alors oui, il y a plus que le milieu familial à considérer. --Message edité par jaskab le 2004-01-21 18:45:05--
Oui, le milieu familial a un grand rôle à jouer, mais quand on parle d'écoles en milieu défavorisé, plusieurs facteurs entrent en ligne de compte, pas seulement le revenu familial.
Malheureusement, je ne les connais pas par coeur Mais j'avais jeté un coup d'oeil dans des documents du Ministère de l'éducation. Je me souviens que la moyenne de scolarité des parents et de la moyenne du salaire des familles. Il y a aussi les possibilités qu'offre le milieu, comme les infrastructures: possibilité pour les jeunes de suivre des cours de tout genre. Et les moyens de la commission scolaire. Dans ma région, il y a la problématique des petites écoles. Par exemple, où j'enseigne, il y a 35 élèves. Alors quand les budgets sont comptés en fonction du nombre de tête, ouf, ça fait dur
Moins d'argent veut dire moins d'équipement informatique de pointe, moins de matériel pour les sports.
Par exemple, nous sommes très limités dans le choix de cahiers d'activités ou autre matériel à faire acheter par les parents, car nous avons un maximum à respecter, étant donné que les familles n'ont pas beaucoup d'argent. Même chose pour la liste de matériel scolaire. Même chose aussi pour l'emploi de personnel. Moins d'heures en orthopédagogie, en éducation spécialisée, un directeur et une secrétaire pour 5 écoles...
Alors oui, il y a plus que le milieu familial à considérer. --Message edité par jaskab le 2004-01-21 18:45:05--
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pluiedétoiles a écritMoi, je n'y crois pas non plus que milieu favorisé économiquement. Le milieu famillial peu joué par contre.
...je suis d'accord...ne perdons pas de vue que c’est en fortifiant les familles que les enfants se fortifieront.
Ne perdons pas de vue que c’est en soignant la terre que nous aurons de jeunes pousses vigoureuses.
Donc, soignons et fortifions à la base. ;)
...je suis d'accord...ne perdons pas de vue que c’est en fortifiant les familles que les enfants se fortifieront.
Ne perdons pas de vue que c’est en soignant la terre que nous aurons de jeunes pousses vigoureuses.
Donc, soignons et fortifions à la base. ;)