Une autre crise d'Oka?
La tension monte à Kanesatake
Des membres de la communauté mohawk de Kanesatake ont bloqué la route 344 avec des troncs d'arbre et ont incendié la maison du grand chef du conseil de bande James Gabriel, lundi, faisant monter la tension au sein de la population autochtone.
L'augmentation du nombre de points de vente de cigarettes à Kanesatake contrarie le conseil de bande depuis déjà un certain temps. Les autorités autochtones souhaiteraient l'intervention des forces policières afin de contrer la vente illégale des produits du tabac.
Mais les vendeurs de tabac ne l'entendent pas ainsi et ont manifesté leur intention de continuer leurs affaires en bloquant la circulation sur la route 344.
Les manifestants ont également voulu protester contre le renvoi du chef des Peacekeepers par le conseil de bande, qui accuse les policiers locaux de fermer les yeux sur le trafic de cigarettes.
Les policiers de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada n'étaient toujours pas intervenus lundi soir.
Des membres de la communauté mohawk de Kanesatake ont bloqué la route 344 avec des troncs d'arbre et ont incendié la maison du grand chef du conseil de bande James Gabriel, lundi, faisant monter la tension au sein de la population autochtone.
L'augmentation du nombre de points de vente de cigarettes à Kanesatake contrarie le conseil de bande depuis déjà un certain temps. Les autorités autochtones souhaiteraient l'intervention des forces policières afin de contrer la vente illégale des produits du tabac.
Mais les vendeurs de tabac ne l'entendent pas ainsi et ont manifesté leur intention de continuer leurs affaires en bloquant la circulation sur la route 344.
Les manifestants ont également voulu protester contre le renvoi du chef des Peacekeepers par le conseil de bande, qui accuse les policiers locaux de fermer les yeux sur le trafic de cigarettes.
Les policiers de la Sûreté du Québec et de la Gendarmerie royale du Canada n'étaient toujours pas intervenus lundi soir.
Ils bloquent encore la mausus de route 344 pis ils ont dit que du sang coulerait s'il y avait des actions de poser. En plus ils chialent contre le renvoi de Tracy Cross (chef des Peacekeepers) car c'est ben normal, il a un frère qui opère un point de vente PFFFFFFFFF
En plus, ils ont osé prendre en chasse et intimider un journaliste et un caméran de SRC dans le but, paraitrait-il de simplement leur accorder une entrevue. Ben oui En entrevue, ils ont confier qu'une patrouille de Warriors patrouillaient maintenant le territoire 24hres/24....
mon commentaire est le suivant.........
--Message edité par bikeuse--
En plus, ils ont osé prendre en chasse et intimider un journaliste et un caméran de SRC dans le but, paraitrait-il de simplement leur accorder une entrevue. Ben oui En entrevue, ils ont confier qu'une patrouille de Warriors patrouillaient maintenant le territoire 24hres/24....
mon commentaire est le suivant.........
--Message edité par bikeuse--
Très mauvais souvenirs de la crise d'Oka, j'espère que cette fois on s'y prendra autrement. Avez-vs vu les écrits dans la neige autour des arbres sur la route? les gens se sentent pris en otage par les warriors, la mafia des cigarettes. Brûler la maison du chef, le chef caché en-dehors de la réserve par rapport à des menaces, cela fait très 60' du sud des états-Unis.
Melsy4 a écritLa seule chose uqe je me rapelle de la crise d'OKA c'est une casette qui parodiait la situation!
J'étais jeune a l'époque mais sans farce je sais que c'est pas des bons souvenirs et j'espère que ça dégénerera pas comme la dernière fois!
le 11/07/1990 un policier avait été tué....donc j'pense que personne va espérer que ca se reproduise
kin pour ceux que ca leur tente de revoir qq photos et vidéos de cette crise de 1990....
http://archives.radio-canada.ca/IDD-0-9 ... crise_oka/
J'étais jeune a l'époque mais sans farce je sais que c'est pas des bons souvenirs et j'espère que ça dégénerera pas comme la dernière fois!
le 11/07/1990 un policier avait été tué....donc j'pense que personne va espérer que ca se reproduise
kin pour ceux que ca leur tente de revoir qq photos et vidéos de cette crise de 1990....
http://archives.radio-canada.ca/IDD-0-9 ... crise_oka/
la presse 13 janvier
La réserve amérindienne de Kanesatake est en état de crise depuis hier, alors que la maison et la voiture du grand chef James Gabriel ont été incendiées par un groupe de Mohawks, dont certains étaient vêtus d'habits paramilitaires et masqués de cagoules.
Une décision du chef Gabriel de limoger le chef des peacekeepers et d'embaucher des policiers originaires d'autres territoires autochtones est à l'origine de la colère de certains résidants.
En entrevue à La Presse hier soir, le chef Gabriel s'est montré impassible et résolu. «Ils ont brûlé ma maison au complet. Je ne m'attendais pas à une réaction aussi forte, mais ce geste n'ébranlera pas ma détermination. Nous allons retrouver les criminels qui ont fait ça et nous allons mettre fin une fois pour toutes au règne de la terreur à Kanesatake. Ces personnes seront jugées et devront répondre de leurs actes.»
Selon M. Gabriel, ce sont des gens reliés au crime organisé qui s'en sont pris à sa demeure. «Ce sont des criminels armés, ce sont des bandits. Ils seront traités en conséquence», a dit le chef Gabriel, qui a quitté sa maison quelques minutes seulement avant qu'elle ne soit incendiée vers 20h. Pour sa sécurité, le chef a passé la nuit à l'extérieur des limites de Kanesatake.
La réserve amérindienne de Kanesatake est en état de crise depuis hier, alors que la maison et la voiture du grand chef James Gabriel ont été incendiées par un groupe de Mohawks, dont certains étaient vêtus d'habits paramilitaires et masqués de cagoules.
Une décision du chef Gabriel de limoger le chef des peacekeepers et d'embaucher des policiers originaires d'autres territoires autochtones est à l'origine de la colère de certains résidants.
En entrevue à La Presse hier soir, le chef Gabriel s'est montré impassible et résolu. «Ils ont brûlé ma maison au complet. Je ne m'attendais pas à une réaction aussi forte, mais ce geste n'ébranlera pas ma détermination. Nous allons retrouver les criminels qui ont fait ça et nous allons mettre fin une fois pour toutes au règne de la terreur à Kanesatake. Ces personnes seront jugées et devront répondre de leurs actes.»
Selon M. Gabriel, ce sont des gens reliés au crime organisé qui s'en sont pris à sa demeure. «Ce sont des criminels armés, ce sont des bandits. Ils seront traités en conséquence», a dit le chef Gabriel, qui a quitté sa maison quelques minutes seulement avant qu'elle ne soit incendiée vers 20h. Pour sa sécurité, le chef a passé la nuit à l'extérieur des limites de Kanesatake.
Ils font vraiment chier
Mais je ne comprend pas une chose, présentement ils retiennent en otage 60 policiers amérindiens dans leur poste de police, m'essemble dans un poste de police il à des armes non ? Voulez-vous bien me dire pourquoi ils sortent pas, sont 10x mieux armer que les amérindiens.. Je sais pas mais moi sa me donne l'impression qu'ils sont de manches, solidarité pour leur ancien chef de police renvoyer peut-etre ? Sinon ils ne resterait pas enfermer, sa ferait longtemps qu'ils seraient sortie de-la !
Mais je ne comprend pas une chose, présentement ils retiennent en otage 60 policiers amérindiens dans leur poste de police, m'essemble dans un poste de police il à des armes non ? Voulez-vous bien me dire pourquoi ils sortent pas, sont 10x mieux armer que les amérindiens.. Je sais pas mais moi sa me donne l'impression qu'ils sont de manches, solidarité pour leur ancien chef de police renvoyer peut-etre ? Sinon ils ne resterait pas enfermer, sa ferait longtemps qu'ils seraient sortie de-la !
je crois comprendre qu'il ne sont pas détenus en otages mais qu'ils ne sortent pas pour éviter l'escalade de violence. Voilà qui aurait pu servir d'exemple aux centaines de flics du sommet des Amériques ici à Québec = ils auraient pu éviter de sortir au lieu de ns bombarder ainsi avec des bombes de fumée.
Je n'en reviens pas criss!
Ils ont un conflit interne et bloque une route ce qui punie des citoyens qui n'ont rien à voir avec leur maudite chicane
Et les Mohawks qui ne sont pas d'accord avec ces protestations doivent s'abstenir de parler. Je trouve leur façon de protester tellement peu civilisée
Ils ont un conflit interne et bloque une route ce qui punie des citoyens qui n'ont rien à voir avec leur maudite chicane
Et les Mohawks qui ne sont pas d'accord avec ces protestations doivent s'abstenir de parler. Je trouve leur façon de protester tellement peu civilisée
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Raven a écrit
Ouais mais c'est dur d'agir en etre civilisé quand tu n'accepte pas la civilisation comme ils font ;)
Je sais... Et tu n'as pas du tout tort quand tu dis qu'ils n'acceptent pas la civilisation...
Ils en parlent en ce moment de leur façon de régler leurs problèmes internes. On parle de guerre de clans, de rapports de force. Les plus forts font la loi, et ce sont les criminels.
Ouais mais c'est dur d'agir en etre civilisé quand tu n'accepte pas la civilisation comme ils font ;)
Je sais... Et tu n'as pas du tout tort quand tu dis qu'ils n'acceptent pas la civilisation...
Ils en parlent en ce moment de leur façon de régler leurs problèmes internes. On parle de guerre de clans, de rapports de force. Les plus forts font la loi, et ce sont les criminels.
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Kanesatake
Dénouement pacifique de la crise
Presse Canadienne
Montréal
La soixantaine de policiers autochtones provenant de l'extérieur de Kanesatake ont finalement pu quitter vers 00h15 mercredi le poste de police où ils avaient été pris en otage lundi après-midi.
Les manifestants qui bloquaient la sortie de l'édifice avaient quitté les lieux dans les heures précédentes.
Plus tôt, en soirée, le ministre de la Sécurité publique du Québec, Jacques Chagnon, avait annoncé que les policiers pourraient quitter les lieux escortés de Peacekeepers de Kahnawake et d'Akwesasne. Une trentaine de policiers de Kahnawake et d'Akwesasne devaient ensuite prendre la relève.
Les policiers autochtones de l'extérieur de la réserve avaient été invités par le grand chef James Gabriel pour prêter main-forte aux policiers locaux dans leurs efforts pour mettre de l'ordre dans la vente de cigarettes à des non autochtones.
Les policiers ont été bloqués dans le poste de police local lundi par une vingtaine d'autochtones opposés au chef Gabriel et au congédiement par ce dernier de l'ancien chef de police de la réserve.
«J'invite tout d'abord les chefs de toutes les nations qui ont envoyé des membres de leur corps de police à Kanesatake de demander à leurs policiers de rentrer chez eux, a déclaré M. Chagnon, lors d'une conférence de presse télévisée. Nous allons assurer la sécurité du transfert du poste de police de Kanesatake avec l'aide de policiers qui vont venir de Kahnawake et d'Akwesasne.»
M. Chagnon avait auparavant dit qu'il avait été difficile de résister à la tentation d'intervenir dans le conflit. «Vaut mieux résister à la tentation de prendre des décisions qui pourraient causer des torts irréparables dans des situations comme celles-là», a-t-il dit.
Le ministre a également demandé la levée de toutes les barricades sur l'ensemble du territoire de Kanesatake.
En attendant la résolution du conflit, les policiers de Kahnawake et d'Akwesasne effectueront les patrouilles sur le territoire. M. Chagnon a d'autre part indiqué que ces derniers avaient également reçu l'ordre d'enquêter sur l'incendie de la maison du chef Gabriel et sur le vandalisme qui est survenu autour du poste de police.
Les opposants au grand chef James Gabriel ont semblé prendre l'annonce du ministre comme une victoire, estimant qu'il désapprouvait les actions de M. Gabriel ainsi que sa nomination d'un nouveau chef de police.
Dénouement pacifique de la crise
Presse Canadienne
Montréal
La soixantaine de policiers autochtones provenant de l'extérieur de Kanesatake ont finalement pu quitter vers 00h15 mercredi le poste de police où ils avaient été pris en otage lundi après-midi.
Les manifestants qui bloquaient la sortie de l'édifice avaient quitté les lieux dans les heures précédentes.
Plus tôt, en soirée, le ministre de la Sécurité publique du Québec, Jacques Chagnon, avait annoncé que les policiers pourraient quitter les lieux escortés de Peacekeepers de Kahnawake et d'Akwesasne. Une trentaine de policiers de Kahnawake et d'Akwesasne devaient ensuite prendre la relève.
Les policiers autochtones de l'extérieur de la réserve avaient été invités par le grand chef James Gabriel pour prêter main-forte aux policiers locaux dans leurs efforts pour mettre de l'ordre dans la vente de cigarettes à des non autochtones.
Les policiers ont été bloqués dans le poste de police local lundi par une vingtaine d'autochtones opposés au chef Gabriel et au congédiement par ce dernier de l'ancien chef de police de la réserve.
«J'invite tout d'abord les chefs de toutes les nations qui ont envoyé des membres de leur corps de police à Kanesatake de demander à leurs policiers de rentrer chez eux, a déclaré M. Chagnon, lors d'une conférence de presse télévisée. Nous allons assurer la sécurité du transfert du poste de police de Kanesatake avec l'aide de policiers qui vont venir de Kahnawake et d'Akwesasne.»
M. Chagnon avait auparavant dit qu'il avait été difficile de résister à la tentation d'intervenir dans le conflit. «Vaut mieux résister à la tentation de prendre des décisions qui pourraient causer des torts irréparables dans des situations comme celles-là», a-t-il dit.
Le ministre a également demandé la levée de toutes les barricades sur l'ensemble du territoire de Kanesatake.
En attendant la résolution du conflit, les policiers de Kahnawake et d'Akwesasne effectueront les patrouilles sur le territoire. M. Chagnon a d'autre part indiqué que ces derniers avaient également reçu l'ordre d'enquêter sur l'incendie de la maison du chef Gabriel et sur le vandalisme qui est survenu autour du poste de police.
Les opposants au grand chef James Gabriel ont semblé prendre l'annonce du ministre comme une victoire, estimant qu'il désapprouvait les actions de M. Gabriel ainsi que sa nomination d'un nouveau chef de police.
Slick27 a écritKanesatake
Dénouement pacifique de la crise
Presse Canadienne
Montréal
La soixantaine de policiers autochtones provenant de l'extérieur de Kanesatake ont finalement pu quitter vers 00h15 mercredi le poste de police où ils avaient été pris en otage lundi après-midi.
Les manifestants qui bloquaient la sortie de l'édifice avaient quitté les lieux dans les heures précédentes.
Moi, je dis que c'est parce qu'ils avaient trop froid
Dénouement pacifique de la crise
Presse Canadienne
Montréal
La soixantaine de policiers autochtones provenant de l'extérieur de Kanesatake ont finalement pu quitter vers 00h15 mercredi le poste de police où ils avaient été pris en otage lundi après-midi.
Les manifestants qui bloquaient la sortie de l'édifice avaient quitté les lieux dans les heures précédentes.
Moi, je dis que c'est parce qu'ils avaient trop froid
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