La fin d'une époque à Trois-Rivières
Lancée en mai 2007, l'exposition «le Phénomène Passe-Partout» prend fin lundi au Musée québécois de la culture populaire de Trois-Rivières.
Plus de 83 000 personnes l'ont visité, ce qui en fait l'une des plus belles réussites du musée.
Le directeur, Benoît Gauthier, n'envisage pas pour autant, à court terme, de développer d'autres expositions en lien avec l'univers de la télévision. La priorité sera accordée à des expositions en lien avec les Fêtes du 375e de Trois-Rivières et avec le 40e Grand-Prix de Trois-Rivières, en 2009.
source:
http://www.corusnouvelles.com/nouvelle- ... 883-4.html
Tous sur La fin de L,expositon et le dernier Coffret PASSE-Partout!
Modérateur : Elise-Gisèle
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Le mardi 02 septembre 2008
«Le phénomène Passe-partout» attire 83 000 visiteurs au Musée québécois de culture populaire
L’exposition «Le phénomène Passe-partout», présentée depuis mai 2007 au Musée québécois de la culture populaire à Trois-Rivières, a battu des records d’achalandage. Même les petits poussinots d’aujourd’hui, comme le démontre la photo, ont eu un coup de coeur pour Passe-partout et ses amis.
Photo: Stéphane Lessard
Le rideau est peut-être tombé, hier, sur l’exposition «Le phénomène Passe-partout» mais pas sur le Musée québécois de culture populaire à Trois-Rivières.
L’exposition, qui a attiré pas moins de 83 000 poussinots et poussinettes au cours des 16 derniers mois, a en effet permis au Musée de consolider sa notoriété à la grandeur du Québec.
Si, au départ, le fait de présenter pareille exposition pouvait s’avérer un pari risqué, le Musée peut maintenant se féliciter puisqu’il a remporté la mise.
«C’était dangereux et on le savait. Le phénomène Passe-partout avait tellement marqué l’imaginaire de toute une génération qu’il était possible de décevoir les gens. C’était audacieux mais on a réussi à les faire entrer dans cet univers grâce aux décors, aux costumes et à leur expliquer tout le travail de création et de planification derrière chaque émission», a indiqué Mme Claire Plourde, responsable des communications au Musée.
Ainsi, sur les quelque 83 000 visiteurs, 75% venaient de l’extérieur, ce qui laisse croire que la présentation de l’exposition a bel et bien eu un impact sur l’industrie touristique de la Mauricie.
«Généralement, nous avons 40 000 visiteurs en un an. Là, on parle de 83 000 en 16 mois. Au départ, la clientèle était surtout composée de gens de la région puis, les touristes des autres régions ont commencé à affluer à leur tour. Cette exposition nous a vraiment permis de nous faire connaître», a-t-elle ajouté.
La popularité de l’exposition peut bien sûr s’expliquer par une importante couverture médiatique qui a eu lieu à son ouverture.
Il faut dire que celle-ci a été faite conjointement avec le lancement du deuxième DVD de l’émission par Atlantis Vivafilm.
Toutefois, le succès tient davantage à la très grande popularité de cette émission.
À ce sujet, Mme Plourde ne peut s’empêcher de croire qu’il s’agit d’un phénomène unique au monde.
«Les autres émissions comme Bobino par exemple n’ont pas eu le même impact. On parle quand même d’une génération Passe-partout. Un sociologue devrait se pencher là-dessus», a-t-elle ajouté.
Danielle Pinard de Sainte-Monique-de-Nicolet a elle-même été marquée par Passe-partout.
«J’ai adoré cette émission et j’ai continué longtemps à la regarder, même si je n’avais plus l’âge cible. Lorsque le premier coffret DVD est sorti, je me suis fait un cadeau en l’achetant. Par la suite, il a fallu acheter les autres coffrets car c’était aussi devenu le cadeau des enfants. Ils sont tombés en amour avec cette émissions», a-t-elle raconté..
Anthony et Elizabeth Champagne, âgés de 9 et 8 ans, confirment ses dires: «C’est bien mieux que les émissions d’aujourd’hui, c’est plus calme, plus vrai, plus nature. En plus, il y a un mélange d’imaginaire et de réel qui est unique», ont-ils conclu.•
source:
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... OUVELLISTE
«Le phénomène Passe-partout» attire 83 000 visiteurs au Musée québécois de culture populaire
L’exposition «Le phénomène Passe-partout», présentée depuis mai 2007 au Musée québécois de la culture populaire à Trois-Rivières, a battu des records d’achalandage. Même les petits poussinots d’aujourd’hui, comme le démontre la photo, ont eu un coup de coeur pour Passe-partout et ses amis.
Photo: Stéphane Lessard
Le rideau est peut-être tombé, hier, sur l’exposition «Le phénomène Passe-partout» mais pas sur le Musée québécois de culture populaire à Trois-Rivières.
L’exposition, qui a attiré pas moins de 83 000 poussinots et poussinettes au cours des 16 derniers mois, a en effet permis au Musée de consolider sa notoriété à la grandeur du Québec.
Si, au départ, le fait de présenter pareille exposition pouvait s’avérer un pari risqué, le Musée peut maintenant se féliciter puisqu’il a remporté la mise.
«C’était dangereux et on le savait. Le phénomène Passe-partout avait tellement marqué l’imaginaire de toute une génération qu’il était possible de décevoir les gens. C’était audacieux mais on a réussi à les faire entrer dans cet univers grâce aux décors, aux costumes et à leur expliquer tout le travail de création et de planification derrière chaque émission», a indiqué Mme Claire Plourde, responsable des communications au Musée.
Ainsi, sur les quelque 83 000 visiteurs, 75% venaient de l’extérieur, ce qui laisse croire que la présentation de l’exposition a bel et bien eu un impact sur l’industrie touristique de la Mauricie.
«Généralement, nous avons 40 000 visiteurs en un an. Là, on parle de 83 000 en 16 mois. Au départ, la clientèle était surtout composée de gens de la région puis, les touristes des autres régions ont commencé à affluer à leur tour. Cette exposition nous a vraiment permis de nous faire connaître», a-t-elle ajouté.
La popularité de l’exposition peut bien sûr s’expliquer par une importante couverture médiatique qui a eu lieu à son ouverture.
Il faut dire que celle-ci a été faite conjointement avec le lancement du deuxième DVD de l’émission par Atlantis Vivafilm.
Toutefois, le succès tient davantage à la très grande popularité de cette émission.
À ce sujet, Mme Plourde ne peut s’empêcher de croire qu’il s’agit d’un phénomène unique au monde.
«Les autres émissions comme Bobino par exemple n’ont pas eu le même impact. On parle quand même d’une génération Passe-partout. Un sociologue devrait se pencher là-dessus», a-t-elle ajouté.
Danielle Pinard de Sainte-Monique-de-Nicolet a elle-même été marquée par Passe-partout.
«J’ai adoré cette émission et j’ai continué longtemps à la regarder, même si je n’avais plus l’âge cible. Lorsque le premier coffret DVD est sorti, je me suis fait un cadeau en l’achetant. Par la suite, il a fallu acheter les autres coffrets car c’était aussi devenu le cadeau des enfants. Ils sont tombés en amour avec cette émissions», a-t-elle raconté..
Anthony et Elizabeth Champagne, âgés de 9 et 8 ans, confirment ses dires: «C’est bien mieux que les émissions d’aujourd’hui, c’est plus calme, plus vrai, plus nature. En plus, il y a un mélange d’imaginaire et de réel qui est unique», ont-ils conclu.•
source:
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... OUVELLISTE
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Patricia a écritSelon le Super Club Vidéotron, le dernier coffret sortirait le 18 novembre, mais pas de détail sur son contenu pour l'instant
effectivement, j,ai bien vu ca:
http://superclub.videotron.com/film.aspx?id=3436
effectivement, j,ai bien vu ca:
http://superclub.videotron.com/film.aspx?id=3436
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Hé oui le dernier coffret de Passe-partout est pour le 18 novembre!
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Dans ce cinquième coffret de 5 DVD comprenant 25 épisodes qui viennent compléter cette première série, vous assisterez, entre autres, aux retrouvailles de Zig Zag et ses parents, au cinquième anniversaire de Cannelle et Pruneau ainsi qu'aux adieux de Passe-Carreau, Passe-Montagne et Passe-Partout. En prime, vous pourrez voir un documentaire sur « le phénomène Passe-Partout ». En effet, depuis 1977, cette série culte a touché tous les enfants de toutes origines ethniques et culturelles. La série Passe-Partout est devenue une tradition familiale, un héritage culturel incontournable.
Dans ce cinquième coffret de 5 DVD comprenant 25 épisodes qui viennent compléter cette première série, vous assisterez, entre autres, aux retrouvailles de Zig Zag et ses parents, au cinquième anniversaire de Cannelle et Pruneau ainsi qu'aux adieux de Passe-Carreau, Passe-Montagne et Passe-Partout. En prime, vous pourrez voir un documentaire sur « le phénomène Passe-Partout ». En effet, depuis 1977, cette série culte a touché tous les enfants de toutes origines ethniques et culturelles. La série Passe-Partout est devenue une tradition familiale, un héritage culturel incontournable.
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Le coffret sort tres bientot!
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Bon reste 1 mois et 6 jours avant la sortie du dernier coffret de Passe-Partout!
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La poursuite du créateur de «Passe-Partout» pourra aller de l'avant
Le créateur de «Passe-Partout», Laurent Lachance, pourra poursuivre les procédures judiciaires liées à ses droits d'auteur. Si un verdict est rendu en sa faveur, il pourra ainsi toucher une part des profits des DVD de la célèbre émission pour enfants. La Cour supérieur a refusé une requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Marie Eykel et Jacques L'Heureux, les producteurs des coffrets de «Passe-Partout», disaient que la demande de reconnaissance des droits d'auteur de M. Lachance était mal fondée, rappelle le Journal de Montréal. Ils en avaient demandé le rejet en janvier 2008.
Le tribunal a rejeté cette requête vendredi dernier. La Cour jugeait «l'analyse du comportement fautif de M. Lachance requérait une audition complète du dossier afin de permettre un jugement basé sur toute la preuve pertinente sur cette question», selon le quotidien.
Les producteurs plaident que Laurent Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes de la série. Même s'ils présument qu'il est effectivement le père de l'émission, il n'est pas titulaire des droits d'auteur. La création s'est faite dans le cadre de son travail et c'est l'employeur qui détiendrait donc ces droits, peut-on lire dans le journal.
Les producteurs disent dans leur requête que M. Lachance n'a jamais demandé une part des fruits de la vente des produits dérivés de «Passe-Partout». Ils supposaient ainsi que l'homme ne considérait pas posséder un droit sur la série, explique le Journal de Montréal.
«Les droits qui sont réclamés aujourd'hui par le demandeur existaient-ils il y a 30 ans? On ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connaît pas», a cependant répliqué le tribunal.
Laurent Lachance a entrepris ses démarches en septembre 2007. Il veut que ses droits d'auteur et ses droits moraux soient reconnus. Il réclame des redevances (15% des recettes) sur la vente des coffrets de «Passe-Partout» déjà mis en marché ou à venir.
http://www.showbizz.net/articles/200810 ... avant.html
Le créateur de «Passe-Partout», Laurent Lachance, pourra poursuivre les procédures judiciaires liées à ses droits d'auteur. Si un verdict est rendu en sa faveur, il pourra ainsi toucher une part des profits des DVD de la célèbre émission pour enfants. La Cour supérieur a refusé une requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Marie Eykel et Jacques L'Heureux, les producteurs des coffrets de «Passe-Partout», disaient que la demande de reconnaissance des droits d'auteur de M. Lachance était mal fondée, rappelle le Journal de Montréal. Ils en avaient demandé le rejet en janvier 2008.
Le tribunal a rejeté cette requête vendredi dernier. La Cour jugeait «l'analyse du comportement fautif de M. Lachance requérait une audition complète du dossier afin de permettre un jugement basé sur toute la preuve pertinente sur cette question», selon le quotidien.
Les producteurs plaident que Laurent Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes de la série. Même s'ils présument qu'il est effectivement le père de l'émission, il n'est pas titulaire des droits d'auteur. La création s'est faite dans le cadre de son travail et c'est l'employeur qui détiendrait donc ces droits, peut-on lire dans le journal.
Les producteurs disent dans leur requête que M. Lachance n'a jamais demandé une part des fruits de la vente des produits dérivés de «Passe-Partout». Ils supposaient ainsi que l'homme ne considérait pas posséder un droit sur la série, explique le Journal de Montréal.
«Les droits qui sont réclamés aujourd'hui par le demandeur existaient-ils il y a 30 ans? On ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connaît pas», a cependant répliqué le tribunal.
Laurent Lachance a entrepris ses démarches en septembre 2007. Il veut que ses droits d'auteur et ses droits moraux soient reconnus. Il réclame des redevances (15% des recettes) sur la vente des coffrets de «Passe-Partout» déjà mis en marché ou à venir.
http://www.showbizz.net/articles/200810 ... avant.html
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mercredi 15 octobre 2008 à 10H23
Passe-Partout: son créateur pourra poursuivre
Le créateur de Passe-Partout, Laurence Lachance, pourra poursuivre les procédures judicaires sur les droits d'auteur de la série. S'il y a un verdict en sa faveur, il pourra toucher des profits de la vente des DVD. La Cour supérieure a refusé la requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Passe-Partout et Passe-Montagne, Marie Eykel et Jacques L'Heureux, qui ont produit le coffret, estimaient que la demande de reconnaissance de droits d'auteurs de Laurent Lachance était infondée. Ils avaient demandé le rejet de cette requête en janvier dernier.
La Cour a soutenu que l'analyse du comportement fautif de M. Lachance nécessitait une audition complète du dossier pour poser un jugement pertinent dans ce dossier.
Les producteurs soutiennent que M. Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes de la série-culte et que même si ce dernier soutient qu'il l'est, il n'est pas le titulaire des droits d'auteur parce que la création s'est faite dans le cadre de son travail, ce qui veut dire que l'employeur posséderait les droits.
M. Lachance dit qu'il travaillerait aussi sur ce projet hors des heures de travail, le tribunal a donc signifié que la nature des relations entre M. Lachance et son employeur était mal définie.
Mme Eykel et M. L'Heureux estiment que Laurent Lachance n'a jamais demandé les fruits de la vente des produits dérivés de l'émission, ce qui les faisait supposer que ce dernier ne considérait pas lui-même posséder un droit quelconque sur la série.
Le tribunal a rétorqué qu'on ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connait pas.
En septembre 2007, Laurent Lachance avait commencé des démarches pour faire reconnaitre ses droits d'auteurs et ses droits moraux sur l'œuvre.
Il demande des redevances de plus de 200 000 coffrets vendus des 25 premiers épisodes et des redevances sur les autres coffrets parus et à venir. Il exige 15% des recettes des ventes.
(Source: Le Journal de Montréal)
http://matin.branchez-vous.com/nouvelle ... r_pou.html
Passe-Partout: son créateur pourra poursuivre
Le créateur de Passe-Partout, Laurence Lachance, pourra poursuivre les procédures judicaires sur les droits d'auteur de la série. S'il y a un verdict en sa faveur, il pourra toucher des profits de la vente des DVD. La Cour supérieure a refusé la requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Passe-Partout et Passe-Montagne, Marie Eykel et Jacques L'Heureux, qui ont produit le coffret, estimaient que la demande de reconnaissance de droits d'auteurs de Laurent Lachance était infondée. Ils avaient demandé le rejet de cette requête en janvier dernier.
La Cour a soutenu que l'analyse du comportement fautif de M. Lachance nécessitait une audition complète du dossier pour poser un jugement pertinent dans ce dossier.
Les producteurs soutiennent que M. Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes de la série-culte et que même si ce dernier soutient qu'il l'est, il n'est pas le titulaire des droits d'auteur parce que la création s'est faite dans le cadre de son travail, ce qui veut dire que l'employeur posséderait les droits.
M. Lachance dit qu'il travaillerait aussi sur ce projet hors des heures de travail, le tribunal a donc signifié que la nature des relations entre M. Lachance et son employeur était mal définie.
Mme Eykel et M. L'Heureux estiment que Laurent Lachance n'a jamais demandé les fruits de la vente des produits dérivés de l'émission, ce qui les faisait supposer que ce dernier ne considérait pas lui-même posséder un droit quelconque sur la série.
Le tribunal a rétorqué qu'on ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connait pas.
En septembre 2007, Laurent Lachance avait commencé des démarches pour faire reconnaitre ses droits d'auteurs et ses droits moraux sur l'œuvre.
Il demande des redevances de plus de 200 000 coffrets vendus des 25 premiers épisodes et des redevances sur les autres coffrets parus et à venir. Il exige 15% des recettes des ventes.
(Source: Le Journal de Montréal)
http://matin.branchez-vous.com/nouvelle ... r_pou.html
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PASSE-PARTOUT
La poursuite du créateur pourra aller de l'avant
Joanie Godin
Le Journal de Montréal
15-10-2008 | 09h36
Le créateur de Passe-Partout, Laurent Lachance, pourra poursuivre les procédures judiciaires concernant ses droits d'auteur sur la série et ainsi toucher une part des profits de la vente des DVD advenant un verdict en sa faveur. C'est que la Cour supérieure a dit non à la requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Selon Marie Eykel et Jacques L'Heureux, producteurs des coffrets de l'émission-culte, la demande de reconnaissance de droits d'auteur de Laurent Lachance était mal fondée. C'est pourquoi ils en ont demandé le rejet le 16 janvier 2008.
La Cour a cependant rejeté cette requête vendredi dernier, jugeant que «l'analyse du comportement fautif de M. Lachance requérait une audition complète du dossier afin de permettre un jugement basé sur toute la preuve pertinente sur cette question».
Les producteurs plaident entre autres que M. Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes et que même s'ils présument qu'il est effectivement l'auteur de la série, il n'est pas titulaire des droits d'auteur parce que la création s'est faite dans le cadre de son travail et que l'employeur serait le titulaire de ces droits.
Mais comme M. Lachance indique qu'il travaillait également sur ce projet à l'extérieur des heures de travail, le tribunal a jugé que la nature exacte des relations existant entre son employeur et lui n'était pas parfaitement bien définie.
Trente ans plus tard
Les producteurs ont précisé dans la requête que M. Lachance n'avait jamais réclamé les fruits de la vente des produits dérivés de l'émission. Ils supposaient ainsi que le créateur ne considérait pas lui-même posséder un quelconque droit sur la série.
À cela, le tribunal répond: «Les droits qui sont réclamés aujourd'hui par le demandeur existaient-ils il y a 30 ans? On ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connaît pas.»
Redevances
Laurent Lachance avait entrepris en septembre 2007 les démarches pour reconnaître ses droits d'auteur et ses droits moraux sur l'oeuvre.
Il réclame des redevances issues de la vente de plus de 200000 coffrets des 25 premiers épisodes, ainsi que des autres coffrets parus ou à venir.
Le «père de Passe-Partout» exige 15% des recettes des ventes.
http://www2.canoe.com/divertissement/te ... 6-jdm.html
La poursuite du créateur pourra aller de l'avant
Joanie Godin
Le Journal de Montréal
15-10-2008 | 09h36
Le créateur de Passe-Partout, Laurent Lachance, pourra poursuivre les procédures judiciaires concernant ses droits d'auteur sur la série et ainsi toucher une part des profits de la vente des DVD advenant un verdict en sa faveur. C'est que la Cour supérieure a dit non à la requête en rejet d'action des producteurs des coffrets.
Selon Marie Eykel et Jacques L'Heureux, producteurs des coffrets de l'émission-culte, la demande de reconnaissance de droits d'auteur de Laurent Lachance était mal fondée. C'est pourquoi ils en ont demandé le rejet le 16 janvier 2008.
La Cour a cependant rejeté cette requête vendredi dernier, jugeant que «l'analyse du comportement fautif de M. Lachance requérait une audition complète du dossier afin de permettre un jugement basé sur toute la preuve pertinente sur cette question».
Les producteurs plaident entre autres que M. Lachance n'est pas l'auteur des 125 premiers épisodes et que même s'ils présument qu'il est effectivement l'auteur de la série, il n'est pas titulaire des droits d'auteur parce que la création s'est faite dans le cadre de son travail et que l'employeur serait le titulaire de ces droits.
Mais comme M. Lachance indique qu'il travaillait également sur ce projet à l'extérieur des heures de travail, le tribunal a jugé que la nature exacte des relations existant entre son employeur et lui n'était pas parfaitement bien définie.
Trente ans plus tard
Les producteurs ont précisé dans la requête que M. Lachance n'avait jamais réclamé les fruits de la vente des produits dérivés de l'émission. Ils supposaient ainsi que le créateur ne considérait pas lui-même posséder un quelconque droit sur la série.
À cela, le tribunal répond: «Les droits qui sont réclamés aujourd'hui par le demandeur existaient-ils il y a 30 ans? On ne peut renoncer à un droit qui n'existe pas et qu'on ne connaît pas.»
Redevances
Laurent Lachance avait entrepris en septembre 2007 les démarches pour reconnaître ses droits d'auteur et ses droits moraux sur l'oeuvre.
Il réclame des redevances issues de la vente de plus de 200000 coffrets des 25 premiers épisodes, ainsi que des autres coffrets parus ou à venir.
Le «père de Passe-Partout» exige 15% des recettes des ventes.
http://www2.canoe.com/divertissement/te ... 6-jdm.html
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UN PREMIER LIVRE POUR CLAIRE PIMPARÉ
Ces parents que tout enfant est en droit d’avoir
Par arc-André Boivin
21-10-2008 | 15h42
Dernière modification : 16h17
On connaît tellement Claire Pimparé pour son rôle de Passe-Carreau dans la série Passe-Partout, qu’on a souvent l’impression que celle-ci n’a rien fait d’autre. Pourtant, la comédienne a eu un parcours pour le moins impressionnant et c’est grâce à son expérience auprès des jeunes qu’elle nous livre aujourd’hui son premier livre, Ces parents que tout enfant est en droit d’avoir, ouvrage qui vise à motiver parents et grands-parents dans l’éducation des tout-petits.
Une chose à retenir au départ. Nous sommes tous de bons parents, mais il faut avant tout apprendre à bien se connaître pour devenir meilleur dans ce rôle important et ensuite être capable de passer à l’action, mettre des balises aux enfants et faire preuve d’une certaine constance entre ce qui est dit et ce qui est fait. Ils sont peut-être jeunes, mais ils comprennent assez rapidement et s’il y a des failles, ils ne mettront pas de temps à les découvrir.
«Mon livre n’est pas un mode d’emploi, mais il permet une période de réflexion, un certain recul afin de corriger certaines choses. Comme parent, on peut se sentir coupable et on a le droit à l’erreur car nous sommes uniques. Les enfants aussi le sont. Personne n’accouche de la même façon. C’est aussi unique comme situation et il n’y a pas lieu de se comparer. Les enfants ont des forces et des talents que les autres n’ont pas», affirme-t-elle d’entrée de jeu.
Mme Pimparé a dû se retrouver elle-même avant de se lancer dans pareille aventure, elle qui a vécu quelques années plus difficiles au cours de sa vie et elle admet qu’elle s’est fait quelque peu prier par ses proches avant de débuter l’écriture. Et maintenant que livre est disponible, c’est Mme Lucie Douville du Magazine Vivre à Québec, qu’il faut selon elle remercier.
«On m’a achalée pendant 12 ans pour que j’écrive un livre à ce sujet. J’ai rencontré Lucie à Québec. J’animais L’école des parents sur les ondes de CHRC entre 19h et 21h, après l’émission de sports de Marc Simoneau, une émission qui traitait de toutes sortes de sujets pour les parents. Puis nous avons démarré le magazine elle et moi. Pour écrire mon livre, j’avais besoin d’un coach et c’est à Lucie que je l’ai demandé. Elle est géniale et je savais qu’elle avait les capacités pour le faire. Elle était emballée par le projet, mais elle m’a donné des règles. Je n’avais pas le droit de me relire, de corriger les pages écrites et de me censurer», ajoute Mme Pimparé qui avoue que l’année passée à écrire n’a pas été de tout repos.
«Lucie m’a souvent redonné confiance parce que dès le départ, quand j’ai vu la page blanche, je me suis demandé dans quoi je m’étais embarquée. J’ai même perdu une trentaine de pages à un certain moment, mais Lucie a été en quelque sorte mon guide», mentionne-t-elle.
Une chose est certaine c’est que Mme Pimparé, même si son mur n’est pas rempli de diplômes de toutes sortes reliés à ce domaine, touche des points forts intéressants que ce soit au niveau de la confiance, de la cohérence ou encore de l’écoute et de la vie à l’école. «Les diplômes, je n’en ai rien à cirer. Un chirurgien qui vient de terminer la théorie n’a pas le choix de passer à la pratique. Moi, j’ai été sur le terrain alors j’ai fait la théorie et la pratique en même temps et je le partage pour amener les gens à une réflexion. Et ça s’adresse autant aux parents qu’aux gens qui guident les enfants comme les enseignants», explique-t-elle.
À ce sujet, elle estime qu’il faut lire le chapitre sur l’école, un endroit où les parents doivent mettre les pieds pour connaître l’univers dans lequel leur enfant évolue, mais où il doit aussi apprendre à être responsable, alors il ne faut pas non plus en faire trop. «Il y a un passage où je parle de la première professeure que mon aîné a eu. Tout le monde devrait le lire car ce qu’elle avait dit alors était exceptionnel. C’était du bonbon et c’était le fun de commencer comme ça», confie l’auteure, une maman de trois enfants et grand-maman de la petite Raphaëlle.
SALON DU LIVRE, DANS MA BULLE ET PASSE-PARTOUT Claire Pimparé prend la route dès cette semaine histoire de se promener d’un Salon du livre à l’autre. Elle sera notamment à Sherbrooke au cours de la prochaine fin de semaine et devrait également se rendre à Rimouski dans les semaines à venir.
Mme Pimparé a aussi accepté d’accompagner le Dr Gilles Julien, qui signe également la préface de son livre, en devenant la porte-parole du projet Dans ma bulle, projet qui vise les droits des enfants et qui permet notamment, via le site Web www.dansmabulle.org,, à des enseignants d’amasser des sous pour des idées originales d’activités scolaires qui ne font pas nécessairement partie des activités financées par les commissions scolaires. Quatre écoles participent à ce projet cette année. Le tout, un peu avant de s’attaquer à la promotion du tout dernier coffret de Passe-Partout.
«Nous allons sortir le cinquième et dernier coffret en novembre. Ce sera accompagné d’une mini-tournée dans les centres d’achats où nous allons inviter les gens à venir chanter les chansons de Passe-Partout avec nous en plus de profiter de cette occasion pour amasser des denrées non-périssables pour des paniers de Noël. Il y aura une signature d’autographes, mais ce sera la dernière fois qu’on pourra nous voir tous les trois réunis», conclut-elle.
source:
http://www2.canoe.com/divertissement/li ... 06-ca.html
Ces parents que tout enfant est en droit d’avoir
Par arc-André Boivin
21-10-2008 | 15h42
Dernière modification : 16h17
On connaît tellement Claire Pimparé pour son rôle de Passe-Carreau dans la série Passe-Partout, qu’on a souvent l’impression que celle-ci n’a rien fait d’autre. Pourtant, la comédienne a eu un parcours pour le moins impressionnant et c’est grâce à son expérience auprès des jeunes qu’elle nous livre aujourd’hui son premier livre, Ces parents que tout enfant est en droit d’avoir, ouvrage qui vise à motiver parents et grands-parents dans l’éducation des tout-petits.
Une chose à retenir au départ. Nous sommes tous de bons parents, mais il faut avant tout apprendre à bien se connaître pour devenir meilleur dans ce rôle important et ensuite être capable de passer à l’action, mettre des balises aux enfants et faire preuve d’une certaine constance entre ce qui est dit et ce qui est fait. Ils sont peut-être jeunes, mais ils comprennent assez rapidement et s’il y a des failles, ils ne mettront pas de temps à les découvrir.
«Mon livre n’est pas un mode d’emploi, mais il permet une période de réflexion, un certain recul afin de corriger certaines choses. Comme parent, on peut se sentir coupable et on a le droit à l’erreur car nous sommes uniques. Les enfants aussi le sont. Personne n’accouche de la même façon. C’est aussi unique comme situation et il n’y a pas lieu de se comparer. Les enfants ont des forces et des talents que les autres n’ont pas», affirme-t-elle d’entrée de jeu.
Mme Pimparé a dû se retrouver elle-même avant de se lancer dans pareille aventure, elle qui a vécu quelques années plus difficiles au cours de sa vie et elle admet qu’elle s’est fait quelque peu prier par ses proches avant de débuter l’écriture. Et maintenant que livre est disponible, c’est Mme Lucie Douville du Magazine Vivre à Québec, qu’il faut selon elle remercier.
«On m’a achalée pendant 12 ans pour que j’écrive un livre à ce sujet. J’ai rencontré Lucie à Québec. J’animais L’école des parents sur les ondes de CHRC entre 19h et 21h, après l’émission de sports de Marc Simoneau, une émission qui traitait de toutes sortes de sujets pour les parents. Puis nous avons démarré le magazine elle et moi. Pour écrire mon livre, j’avais besoin d’un coach et c’est à Lucie que je l’ai demandé. Elle est géniale et je savais qu’elle avait les capacités pour le faire. Elle était emballée par le projet, mais elle m’a donné des règles. Je n’avais pas le droit de me relire, de corriger les pages écrites et de me censurer», ajoute Mme Pimparé qui avoue que l’année passée à écrire n’a pas été de tout repos.
«Lucie m’a souvent redonné confiance parce que dès le départ, quand j’ai vu la page blanche, je me suis demandé dans quoi je m’étais embarquée. J’ai même perdu une trentaine de pages à un certain moment, mais Lucie a été en quelque sorte mon guide», mentionne-t-elle.
Une chose est certaine c’est que Mme Pimparé, même si son mur n’est pas rempli de diplômes de toutes sortes reliés à ce domaine, touche des points forts intéressants que ce soit au niveau de la confiance, de la cohérence ou encore de l’écoute et de la vie à l’école. «Les diplômes, je n’en ai rien à cirer. Un chirurgien qui vient de terminer la théorie n’a pas le choix de passer à la pratique. Moi, j’ai été sur le terrain alors j’ai fait la théorie et la pratique en même temps et je le partage pour amener les gens à une réflexion. Et ça s’adresse autant aux parents qu’aux gens qui guident les enfants comme les enseignants», explique-t-elle.
À ce sujet, elle estime qu’il faut lire le chapitre sur l’école, un endroit où les parents doivent mettre les pieds pour connaître l’univers dans lequel leur enfant évolue, mais où il doit aussi apprendre à être responsable, alors il ne faut pas non plus en faire trop. «Il y a un passage où je parle de la première professeure que mon aîné a eu. Tout le monde devrait le lire car ce qu’elle avait dit alors était exceptionnel. C’était du bonbon et c’était le fun de commencer comme ça», confie l’auteure, une maman de trois enfants et grand-maman de la petite Raphaëlle.
SALON DU LIVRE, DANS MA BULLE ET PASSE-PARTOUT Claire Pimparé prend la route dès cette semaine histoire de se promener d’un Salon du livre à l’autre. Elle sera notamment à Sherbrooke au cours de la prochaine fin de semaine et devrait également se rendre à Rimouski dans les semaines à venir.
Mme Pimparé a aussi accepté d’accompagner le Dr Gilles Julien, qui signe également la préface de son livre, en devenant la porte-parole du projet Dans ma bulle, projet qui vise les droits des enfants et qui permet notamment, via le site Web www.dansmabulle.org,, à des enseignants d’amasser des sous pour des idées originales d’activités scolaires qui ne font pas nécessairement partie des activités financées par les commissions scolaires. Quatre écoles participent à ce projet cette année. Le tout, un peu avant de s’attaquer à la promotion du tout dernier coffret de Passe-Partout.
«Nous allons sortir le cinquième et dernier coffret en novembre. Ce sera accompagné d’une mini-tournée dans les centres d’achats où nous allons inviter les gens à venir chanter les chansons de Passe-Partout avec nous en plus de profiter de cette occasion pour amasser des denrées non-périssables pour des paniers de Noël. Il y aura une signature d’autographes, mais ce sera la dernière fois qu’on pourra nous voir tous les trois réunis», conclut-elle.
source:
http://www2.canoe.com/divertissement/li ... 06-ca.html
https://prise2.tv/emissions/chambresenv ... n4/concept" onclick="window.open(this.href);return false;
Ca va etre tres triste de plus les voir par la suite!
Disons que je vais réésayé d,avoir une autre photos avec eux!
cest ma derniere Chance .
espéons quils viennent a Laurier Québec!
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Voici les derniers Épisodes qui se retrouveront sur le derniers coffrets de Passe-Partout!
Les épisodes
- On joue
- Matériaux et outils
- Fleurs séchées
- Pipi au lit, Le
- Patience, La
- Plus grosse menterie, La
- Histoire de chaise
- Bibliothèque, La
- Vêtements, Les
- Cheveux et poils
- Ça va mal aujourd'hui
- Petit matin, Le
- Muscles, Les
- Goûts et aptitudes
- Qui est où?
- Trop et assez
- Village, Le
- Trois petits singes
- Glace, La
- Plombier, Le
- Faits, Les
- C'est le temps des fraises
- En avant la musique
- Zoo, Le
- Au revoir!
http://www.archambault.ca/store/Product ... 915&type=2 --Message edité par nick11f le 2008-10-27 21:57:52--
Les épisodes
- On joue
- Matériaux et outils
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- Patience, La
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- Histoire de chaise
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- Cheveux et poils
- Ça va mal aujourd'hui
- Petit matin, Le
- Muscles, Les
- Goûts et aptitudes
- Qui est où?
- Trop et assez
- Village, Le
- Trois petits singes
- Glace, La
- Plombier, Le
- Faits, Les
- C'est le temps des fraises
- En avant la musique
- Zoo, Le
- Au revoir!
http://www.archambault.ca/store/Product ... 915&type=2 --Message edité par nick11f le 2008-10-27 21:57:52--
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j,ai hate d,avoir le dernier coffret! Jvais le demander a Noel!
En dessous du sapin de Noel!
Ca va me rappeler ben des souvenir !
En dessous du sapin de Noel!
Ca va me rappeler ben des souvenir !
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LeFan a écritc'est bien le 5e dans la collection de DVD de Passe-Partout ?
oui tout à fait!
oui tout à fait!
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