Publié : mer. août 01, 2007 11:17 am
Y a un beau petit vidéo en plus
Philippe Meilleur
Le Journal de Montréal
01-08-2007 | 13h47
La carte blanche d’Annie Villeneuve, hier soir au théâtre Maisonneuve, s’est déroulée sous le signe de l’amusement et de la célébration.
D’abord timide dans sa fine robe noire, Annie Villeneuve a paru légèrement impressionnée en livrant La Moitié de moi en introduction. Si on ne pouvait reprocher à sa voix de sonner faux, on ne lui trouvait pas ce timbre à la fois doux et puissant qu’on lui connaît habituellement. Peut-être était-ce à cause de l’ensemble à neuf cordes qui l’accompagnait sur scène aux côtés du pianiste, du batteur et du guitariste?
Il n’aura finalement fallu que d’une seule chanson pour que l’interprète trouve ses repères. Dès que Marc Dupré, le premier d’une série d’invités intéressants, est apparu pour En silence, la soirée a pris son envol.
Annie Villeneuve acoustique
S’amuser
«Amusez-vous!» a lancé Annie Villeneuve après l’arrivée de son premier invité. Cela ressemblait plutôt à un mot d’ordre qu’à une invitation tant les deux heures qui allaient suivre se sont déroulées dans une ambiance festive et sereine.
Calogero est entre autres venu chanter une très intimiste Prendre racine qui a visiblement plu à ce théâtre Maisonneuve plein à craquer, tandis que Marc-André Fortin a livré une Bien entendue aux accents légèrement artificiels.
Moment cocasse en fin de première partie, lorsque la jumelle Suzie est apparue habillée de la même robe noire que sa sœur. Même si la scène sentait tout, sauf le drôle de hasard, elle collait parfaitement à l’ambiance légère de la soirée.
Comme les deux sœurs ont fait leurs premières armes au sein d’une chorale, c’est accompagnées par une vingtaine de choristes qu’elles ont interprété une saisissante Toi et Moi.
Plus énergique
La deuxième partie s’est révélée beaucoup plus énergique, autant sur le plan de l’interprétation de la vedette principale que sur celui du choix des invités. La flamboyante Laurence Jalbert a notamment participé à Tomber et Évidemment, deux morceaux émotifs et puissants.
Antoine Gratton, avec son jeu de piano aussi feutré que sa voix, est finalement venu comme un gâteau sucré à la fin d’un excellent repas.
Source:
http://www.canoe.com/divertissement/mus ... 3-jdm.html
Philippe Meilleur
Le Journal de Montréal
01-08-2007 | 13h47
La carte blanche d’Annie Villeneuve, hier soir au théâtre Maisonneuve, s’est déroulée sous le signe de l’amusement et de la célébration.
D’abord timide dans sa fine robe noire, Annie Villeneuve a paru légèrement impressionnée en livrant La Moitié de moi en introduction. Si on ne pouvait reprocher à sa voix de sonner faux, on ne lui trouvait pas ce timbre à la fois doux et puissant qu’on lui connaît habituellement. Peut-être était-ce à cause de l’ensemble à neuf cordes qui l’accompagnait sur scène aux côtés du pianiste, du batteur et du guitariste?
Il n’aura finalement fallu que d’une seule chanson pour que l’interprète trouve ses repères. Dès que Marc Dupré, le premier d’une série d’invités intéressants, est apparu pour En silence, la soirée a pris son envol.
Annie Villeneuve acoustique
S’amuser
«Amusez-vous!» a lancé Annie Villeneuve après l’arrivée de son premier invité. Cela ressemblait plutôt à un mot d’ordre qu’à une invitation tant les deux heures qui allaient suivre se sont déroulées dans une ambiance festive et sereine.
Calogero est entre autres venu chanter une très intimiste Prendre racine qui a visiblement plu à ce théâtre Maisonneuve plein à craquer, tandis que Marc-André Fortin a livré une Bien entendue aux accents légèrement artificiels.
Moment cocasse en fin de première partie, lorsque la jumelle Suzie est apparue habillée de la même robe noire que sa sœur. Même si la scène sentait tout, sauf le drôle de hasard, elle collait parfaitement à l’ambiance légère de la soirée.
Comme les deux sœurs ont fait leurs premières armes au sein d’une chorale, c’est accompagnées par une vingtaine de choristes qu’elles ont interprété une saisissante Toi et Moi.
Plus énergique
La deuxième partie s’est révélée beaucoup plus énergique, autant sur le plan de l’interprétation de la vedette principale que sur celui du choix des invités. La flamboyante Laurence Jalbert a notamment participé à Tomber et Évidemment, deux morceaux émotifs et puissants.
Antoine Gratton, avec son jeu de piano aussi feutré que sa voix, est finalement venu comme un gâteau sucré à la fin d’un excellent repas.
Source:
http://www.canoe.com/divertissement/mus ... 3-jdm.html