Le film les Voleurs d'enfance
Modérateur : Elise-Gisèle
Les Voleurs d'enfance, un film documentaire québécois sur les abus infligés aux enfants et qui est présenté comme étant bouleversant, a été montré à l'écran lundi soir, en première médiatique.
Le film, réalisé par Paul Arcand et distribué par Alliance Vivafilms, sera projeté dans une cinquantaine de salles de cinéma du Québec dès vendredi prochain, le 7 octobre, du jamais vu pour un documentaire. Il a été produit par Denise Robert.
Le documentaire de 90 minutes a été constitué grâce à quelque 100 heures d'entrevues avec des victimes et des abuseurs.
Il s'agit du tout premier film réalisé par Paul Arcand, qui s'est essentiellement fait connaître jusqu'ici pour son travail d'animation, surtout à la radio mais également à la télévision.
Denise Robert affirme qu'il s'agit du film le plus important de sa carrière de productrice, parce qu'elle estime que le sujet de l'enfance maltraitée mérite d'être largement traité.
Elle dit avoir eu l'idée de faire ce film alors qu'elle travaillait sur le long métrage Aurore. Certaines personnes lui auraient alors fait réaliser que la problématique des enfants maltraités existe encore aujourd'hui et qu'il serait important de s'y attarder.
Mme Robert veut, grâce à ce documentaire, provoquer la réflexion sociale et croit que le film Les Voleurs d'enfance ne laissera personne indifférent.
Allez vous allez voir se film (documentaire)?
Personnellement, je croit pas, parce que ma definition du cinema c'est de me changer les idées et de faire le vide pendant 2 hrs, Je trouve que les nouvelles a la télé et a la radio nous bombardent assez regulierement des horreurs et de la betise humaine, j'irais surement pas me torturer encore plus.
Le film, réalisé par Paul Arcand et distribué par Alliance Vivafilms, sera projeté dans une cinquantaine de salles de cinéma du Québec dès vendredi prochain, le 7 octobre, du jamais vu pour un documentaire. Il a été produit par Denise Robert.
Le documentaire de 90 minutes a été constitué grâce à quelque 100 heures d'entrevues avec des victimes et des abuseurs.
Il s'agit du tout premier film réalisé par Paul Arcand, qui s'est essentiellement fait connaître jusqu'ici pour son travail d'animation, surtout à la radio mais également à la télévision.
Denise Robert affirme qu'il s'agit du film le plus important de sa carrière de productrice, parce qu'elle estime que le sujet de l'enfance maltraitée mérite d'être largement traité.
Elle dit avoir eu l'idée de faire ce film alors qu'elle travaillait sur le long métrage Aurore. Certaines personnes lui auraient alors fait réaliser que la problématique des enfants maltraités existe encore aujourd'hui et qu'il serait important de s'y attarder.
Mme Robert veut, grâce à ce documentaire, provoquer la réflexion sociale et croit que le film Les Voleurs d'enfance ne laissera personne indifférent.
Allez vous allez voir se film (documentaire)?
Personnellement, je croit pas, parce que ma definition du cinema c'est de me changer les idées et de faire le vide pendant 2 hrs, Je trouve que les nouvelles a la télé et a la radio nous bombardent assez regulierement des horreurs et de la betise humaine, j'irais surement pas me torturer encore plus.
Lets Rock N'Roll all night
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J'ai des réserves à aller voir ça moi aussi...non pas que j'ai pas d'intérêt pour le sujet mais justement parce que ça vient trop me chercher...pi que je vais probablement en sortir enragé...et après la société, et après nos "bons" gouvernements..et peut-être aussi en raison du comment le sujet aura été traîté dans le film. Si le film jette le bébé avec l'eau du bain..m'en sortir en beau cliss itou...
Mais j'aimerais bien si des gens qui travaillent dans ce milieu le voit...nous donne leurs impressions!
Mais j'aimerais bien si des gens qui travaillent dans ce milieu le voit...nous donne leurs impressions!
https://pic.aceboard.net/img/5397/19958/1193531103.jpg
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Je vais aller le voir, mais en gardant à l'esprit que le film n'a aucune nuance, malheureusement. On démolit la DPJ et le système, mais il ne faut aps oublier qu'il y a aussi des enfants qui ont littéralement été sauvés en centres jeunesse. Des horreurs il y en a, et il y en a trop. Mais le film aurait sans doute gagné à être plus nuancé...
Pour avoir entendu des journaliste today dire, que certains on vomie, d'autre pleurer et d'autres etre sortie completement enragé c'est sur que sensible et emotif comme je suis, j'irais pas voir ca. Comme une autre personne a dit en haut de moi, pas que je suis indifferent a la cause , au contraire mets je veux pas le voir car pas besoin d'un documentaire pour me le dire, les nouvelles sent charge a chaque jour.
Faut-il faire des documentaire sur chaque horreur si oui! Bien commencons par les centres des personnes agées, désolé mais chaque cause aurais une raison d'avoir son propre film
Faut-il faire des documentaire sur chaque horreur si oui! Bien commencons par les centres des personnes agées, désolé mais chaque cause aurais une raison d'avoir son propre film
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Fourmi a écritJe vais aller le voir, mais en gardant à l'esprit que le film n'a aucune nuance, malheureusement. On démolit la DPJ et le système, mais il ne faut aps oublier qu'il y a aussi des enfants qui ont littéralement été sauvés en centres jeunesse. Des horreurs il y en a, et il y en a trop. Mais le film aurait sans doute gagné à être plus nuancé...
A écouter les commentaires aux différents postes de nouvelles...c'est ce qui me fait peur..qu'on nuance pas assez. :/
J'ai hâte de lire tes commentaires Fourmi ..je sais que tu connais le milieu un peu plus que nous. Moi je le connais pour aller dans les centres jeunesse souvent par mon travail et comme on doit tout prévoir pour les protéger d'eux-mêmes comme protéger les intervenants...ben on s'en fait raconter des vertes et des pas mûres. :/ J'en ressort souvent totalement abasourdie! Je trouve ça un peu moche qu'on mette tout sur le dos de la DPJ ou des intervenants...pour la lourdeur administrative oui, ça je suis d'accord...mais les trésors d'imagination qu'ils doivent déployer avec le peu de moyen qu'ils ont à leur disposition parfois...c'est plate qu'on ne donne pas toutes les facettes du dossier.
Je vais devoir me trouver une partner de cinéma, mon chéri veut pas aller voir ça! (c'est aussi ben pour sa pression! )
A écouter les commentaires aux différents postes de nouvelles...c'est ce qui me fait peur..qu'on nuance pas assez. :/
J'ai hâte de lire tes commentaires Fourmi ..je sais que tu connais le milieu un peu plus que nous. Moi je le connais pour aller dans les centres jeunesse souvent par mon travail et comme on doit tout prévoir pour les protéger d'eux-mêmes comme protéger les intervenants...ben on s'en fait raconter des vertes et des pas mûres. :/ J'en ressort souvent totalement abasourdie! Je trouve ça un peu moche qu'on mette tout sur le dos de la DPJ ou des intervenants...pour la lourdeur administrative oui, ça je suis d'accord...mais les trésors d'imagination qu'ils doivent déployer avec le peu de moyen qu'ils ont à leur disposition parfois...c'est plate qu'on ne donne pas toutes les facettes du dossier.
Je vais devoir me trouver une partner de cinéma, mon chéri veut pas aller voir ça! (c'est aussi ben pour sa pression! )
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Polémique autour du documentaire
Les Centres jeunesse du Québec répondent
Martin Ouellet
Presse Canadienne
Québec
Les Centres jeunesse du Québec estiment que le documentaire de Paul Arcand Les voleurs d'Enfance amènera la population à réfléchir sur la place que les enfants occupent et doivent occuper dans la société québécoise.
Le documentaire de Paul Arcand, — «Les voleurs d'enfance» —, est un film «sans nuance» qui se trompe de cible, a estimé, mardi, l'Association des centres jeunesse du Québec (ACJQ).
«Nous n'avons pas besoin d'un coup de poing, nous avons besoin d'un coup de main», a lancé Jean-Marc Potvin, directeur de la Protection de la jeunesse (DPJ) de Montréal, en conférence de presse à Québec.
Les dirigeants de la DPJ et des centres jeunesse (ACJQ) n'ont pas du tout apprécié camper le rôle des méchants de service dans le documentaire-pamphlet de l'animateur. Le visionnement du film leur a laissé un goût amer.
«Les voleurs d'enfance ce sont les pédophiles, les agresseurs. Jamais, au grand jamais, nous allons accepter d'être associés à des voleurs d'enfance», a commenté le directeur général de l'ACJQ, Jean-Pierre Hotte, pour qui le film d'Arcand manque singulièrement de nuances.
«Le documentaire présente le point de vue de l'auteur. Il a donc fait consciemment le choix d'écarter les témoignages positifs, d'écarter tout ce qui pourrait s'apparenter à un bon coup des acteurs du réseau de protection de la jeunesse. En ce sens, nous nous interrogeons sur ce choix-là», a-t-il analysé.
De fait, il y en a eu «des bons coups» depuis l'adoption de la loi sur la protection de la jeunesse en 1979, a fait remarquer le directeur général.
«Plus d'un million d'enfants ont été aidés par le réseau et des milliers de vies, j'en ai été témoin personnellement, ont été sauvées. Il faut aussi le signaler», a-t-il dit.
M. Hotte espère que le regard peu flatteur que pose le documentaire sur les acteurs du réseau n'aura pas pour effet de briser le lien de confiance des Québécois envers la DPJ et par conséquent, de réduire le nombre de signalements d'enfants en en détresse.
«J'ose espérer que ça n'aura pas comme conséquence de priver certains enfants d'une forme d'aide pour se sortir de la violence, qui comme vous le savez, est souvent cachée et non-dite», a-t-il mentionné.
Mais s'il verse dans le pamphlétaire, le documentaire de Paul Arcand a tout de même le mérite de «lever le voile sur la détresse et la violence subies par de trop nombreux enfants au Québec», a ajouté M. Hotte.
Tout n'est pas au beau fixe au sein de la DPJ, reconnaissent les intervenants du réseau.
«Il est intolérable et inadmissible qu'encore aujourd'hui, des enfants placés très tôt dans leur vie, parce qu'ils sont victimes de négligence et d'abus, puissent vivre autant d'instabilité, puissent vivre autant de déplacements», a souligné Jean-Marc Potvin.
En effet, la DPJ reconnaît qu'il faut cesser de «ballotter» les enfants pendant des années entre leur familles naturelles et différents foyers d'accueil.
Pour se faire, la loi doit imposer un délais précis aux parents pour se reprendre en main, délais au delà duquel un enfant pourrait être placé dans la même famille d'accueil jusqu'à sa majorité.
Cette mesure, «qui ne coûterait pas un sou» a pour sa part précisé M. Hotte, permettrait de mettre fin aux allers retours perpétuels que vivent certains enfants confrontés à des parents instables, incapables de se reprendre en main de façon durable.
Les centres jeunesse souhaitent que ce mécanisme soit inclus dans les amendements qui seront apportés à la loi cet automne par le gouvernement Charest.
Les Centres jeunesse du Québec répondent
Martin Ouellet
Presse Canadienne
Québec
Les Centres jeunesse du Québec estiment que le documentaire de Paul Arcand Les voleurs d'Enfance amènera la population à réfléchir sur la place que les enfants occupent et doivent occuper dans la société québécoise.
Le documentaire de Paul Arcand, — «Les voleurs d'enfance» —, est un film «sans nuance» qui se trompe de cible, a estimé, mardi, l'Association des centres jeunesse du Québec (ACJQ).
«Nous n'avons pas besoin d'un coup de poing, nous avons besoin d'un coup de main», a lancé Jean-Marc Potvin, directeur de la Protection de la jeunesse (DPJ) de Montréal, en conférence de presse à Québec.
Les dirigeants de la DPJ et des centres jeunesse (ACJQ) n'ont pas du tout apprécié camper le rôle des méchants de service dans le documentaire-pamphlet de l'animateur. Le visionnement du film leur a laissé un goût amer.
«Les voleurs d'enfance ce sont les pédophiles, les agresseurs. Jamais, au grand jamais, nous allons accepter d'être associés à des voleurs d'enfance», a commenté le directeur général de l'ACJQ, Jean-Pierre Hotte, pour qui le film d'Arcand manque singulièrement de nuances.
«Le documentaire présente le point de vue de l'auteur. Il a donc fait consciemment le choix d'écarter les témoignages positifs, d'écarter tout ce qui pourrait s'apparenter à un bon coup des acteurs du réseau de protection de la jeunesse. En ce sens, nous nous interrogeons sur ce choix-là», a-t-il analysé.
De fait, il y en a eu «des bons coups» depuis l'adoption de la loi sur la protection de la jeunesse en 1979, a fait remarquer le directeur général.
«Plus d'un million d'enfants ont été aidés par le réseau et des milliers de vies, j'en ai été témoin personnellement, ont été sauvées. Il faut aussi le signaler», a-t-il dit.
M. Hotte espère que le regard peu flatteur que pose le documentaire sur les acteurs du réseau n'aura pas pour effet de briser le lien de confiance des Québécois envers la DPJ et par conséquent, de réduire le nombre de signalements d'enfants en en détresse.
«J'ose espérer que ça n'aura pas comme conséquence de priver certains enfants d'une forme d'aide pour se sortir de la violence, qui comme vous le savez, est souvent cachée et non-dite», a-t-il mentionné.
Mais s'il verse dans le pamphlétaire, le documentaire de Paul Arcand a tout de même le mérite de «lever le voile sur la détresse et la violence subies par de trop nombreux enfants au Québec», a ajouté M. Hotte.
Tout n'est pas au beau fixe au sein de la DPJ, reconnaissent les intervenants du réseau.
«Il est intolérable et inadmissible qu'encore aujourd'hui, des enfants placés très tôt dans leur vie, parce qu'ils sont victimes de négligence et d'abus, puissent vivre autant d'instabilité, puissent vivre autant de déplacements», a souligné Jean-Marc Potvin.
En effet, la DPJ reconnaît qu'il faut cesser de «ballotter» les enfants pendant des années entre leur familles naturelles et différents foyers d'accueil.
Pour se faire, la loi doit imposer un délais précis aux parents pour se reprendre en main, délais au delà duquel un enfant pourrait être placé dans la même famille d'accueil jusqu'à sa majorité.
Cette mesure, «qui ne coûterait pas un sou» a pour sa part précisé M. Hotte, permettrait de mettre fin aux allers retours perpétuels que vivent certains enfants confrontés à des parents instables, incapables de se reprendre en main de façon durable.
Les centres jeunesse souhaitent que ce mécanisme soit inclus dans les amendements qui seront apportés à la loi cet automne par le gouvernement Charest.
serges a écritPour avoir entendu des journaliste today dire, que certains on vomie, d'autre pleurer et d'autres etre sortie completement enragé c'est sur que sensible et emotif comme je suis, j'irais pas voir ca. Comme une autre personne a dit en haut de moi, pas que je suis indifferent a la cause , au contraire mets je veux pas le voir car pas besoin d'un documentaire pour me le dire, les nouvelles sent charge a chaque jour.
Faut-il faire des documentaire sur chaque horreur si oui! Bien commencons par les centres des personnes agées, désolé mais chaque cause aurais une raison d'avoir son propre film
Donc ca veux dire que je devrais apporter un sac...
Faut-il faire des documentaire sur chaque horreur si oui! Bien commencons par les centres des personnes agées, désolé mais chaque cause aurais une raison d'avoir son propre film
Donc ca veux dire que je devrais apporter un sac...
- Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
Je vais aller le voir, d'abord avec ma mère qui a bien hâte qu'il prenne l'affiche ici. Ensuite, si je juge que ca apporterait quelque chose de bon à mes petites-filles (adolescentes) de le voir, je les y emènerai.
Quand je pense que ceux qui causent divers atrocités à leurs enfants n'oseront probablement pas aller le voir. Ca me choque Pour compenser, j'espère qu'ils le passeront dans les prisons, maisons de transition ect. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2005-10-05 03:30:07--
Quand je pense que ceux qui causent divers atrocités à leurs enfants n'oseront probablement pas aller le voir. Ca me choque Pour compenser, j'espère qu'ils le passeront dans les prisons, maisons de transition ect. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2005-10-05 03:30:07--


La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mar. août 05, 2003 12:00 am
Je vais aller le voir, dès qu'il sortira en salle ici...j'travaille dans le domaine de la protection de l'enfance et ca m'intéresse de voir comme le tout a été fait et présenté.
J'suis peut-êter maso, j'sais pas..je sais que je devrais en avoir assez avec mon travail mais c'est un sujet qui me touche quand même.
Je vous en donnerai des nouvelles.
J'suis peut-êter maso, j'sais pas..je sais que je devrais en avoir assez avec mon travail mais c'est un sujet qui me touche quand même.
Je vous en donnerai des nouvelles.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait qu'il y ait des témoignages positifs... Le but du film est justement de laisser la parole à certaines jeunes qui ont été maltraités par leur entourage et le système. C'est évident que le film présente un certain côté de la médaille, et c'était ca l'intention de Arcand.
Qu'il y ait des "success story" parmi certains jeunes qui ont eu aucun problème avec le système, *tant mieux pour eux*. Par contre, ca enlève pas la souffrance ou ca enlève pas le mal des jeunes qui n'ont pas eu cette chance.
Qu'il y ait des "success story" parmi certains jeunes qui ont eu aucun problème avec le système, *tant mieux pour eux*. Par contre, ca enlève pas la souffrance ou ca enlève pas le mal des jeunes qui n'ont pas eu cette chance.
Chico!
Ton raisonnement est une comme une équation mathématique.
Ta un probleme tu fais l'équation, tu trouves la réponse, tu passes a un autre probleme. Les belles histoire on en parle pas parce que on a pas besoin d'en parler.
Le filmn cherche a démontrer qu'il y a des failles et on veux trouver une solution sinon le film aurait pas sa raison d'etre.
Moi ds ma vie je m'occupe pas de ce qui va bien, j'essais de resoudre mes problemes en 1er et on a tous des problemes a tout les jours qu'elle que soit la grosseur du probleme.
Dans le fond on passe notre vie a resoudre des problemes
Ton raisonnement est une comme une équation mathématique.
Ta un probleme tu fais l'équation, tu trouves la réponse, tu passes a un autre probleme. Les belles histoire on en parle pas parce que on a pas besoin d'en parler.
Le filmn cherche a démontrer qu'il y a des failles et on veux trouver une solution sinon le film aurait pas sa raison d'etre.
Moi ds ma vie je m'occupe pas de ce qui va bien, j'essais de resoudre mes problemes en 1er et on a tous des problemes a tout les jours qu'elle que soit la grosseur du probleme.
Dans le fond on passe notre vie a resoudre des problemes
Lets Rock N'Roll all night
ben moi le systeme
j été abusée et battue
on me sort de la
je n,ai pas eu de rencontre avec de psychologue pour me parler essayer de comprendre ma situation ce que je vivais
je me refermais sur moi meme crise d,angoisse de panique j'avais 14 ans
je fugue 2 jours car j'en peut plus
punition 1 an et demi de garde fermé en centre d,accueuil j,appelle pas ca aider un jeune dans mon cas
j'ai aujourdhui 34 ans et ca a laissé des marques desolée
mais fallais que je le dise --Message edité par nancy31f le 2005-10-05 14:13:58--
j été abusée et battue
on me sort de la
je n,ai pas eu de rencontre avec de psychologue pour me parler essayer de comprendre ma situation ce que je vivais
je me refermais sur moi meme crise d,angoisse de panique j'avais 14 ans
je fugue 2 jours car j'en peut plus
punition 1 an et demi de garde fermé en centre d,accueuil j,appelle pas ca aider un jeune dans mon cas
j'ai aujourdhui 34 ans et ca a laissé des marques desolée
mais fallais que je le dise --Message edité par nancy31f le 2005-10-05 14:13:58--
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain


Mark Twain


nancy31f a écritben moi le systeme
j été abusée et battue
on me sort de la
je n,ai pas eu de rencontre avec de psychologue pour me parler essayer de comprendre ma situation ce que je vivais
je me refermais sur moi meme crise d,angoisse de panique j'avais 14 ans
je fugue 2 jours car j'en peut plus
punition 1 an et demi de garde fermé en centre d,accueuil j,appelle pas ca aider un jeune dans mon cas
j'ai aujourdhui 34 ans et ca a laissé des marques desolée
mais fallais que je le dise
Pauvre petite chouette...Tu as réussi à t'en sortir avec l'aide de qui? Quelqu'un t'a aider? Ou bien tu t,es démerdée toute seule?
Ils t'ont enfermé dans un centre d'accueil en gardé fermée, même quand ils ont su que tu étais maltraitée?
C'est épouvantable.
Je te trouve extrêmement courageuse et tu as toute mon admiration. Je te comprend d'en vouloir au système
j été abusée et battue
on me sort de la
je n,ai pas eu de rencontre avec de psychologue pour me parler essayer de comprendre ma situation ce que je vivais
je me refermais sur moi meme crise d,angoisse de panique j'avais 14 ans
je fugue 2 jours car j'en peut plus
punition 1 an et demi de garde fermé en centre d,accueuil j,appelle pas ca aider un jeune dans mon cas
j'ai aujourdhui 34 ans et ca a laissé des marques desolée
mais fallais que je le dise
Pauvre petite chouette...Tu as réussi à t'en sortir avec l'aide de qui? Quelqu'un t'a aider? Ou bien tu t,es démerdée toute seule?
Ils t'ont enfermé dans un centre d'accueil en gardé fermée, même quand ils ont su que tu étais maltraitée?
C'est épouvantable.
Je te trouve extrêmement courageuse et tu as toute mon admiration. Je te comprend d'en vouloir au système
Citation :Pauvre petite chouette...Tu as réussi à t'en sortir avec l'aide de qui? Quelqu'un t'a aider? Ou bien tu t,es démerdée toute seule?
Ils t'ont enfermé dans un centre d'accueil en gardé fermée, même quand ils ont su que tu étais maltraitée?
C'est épouvantable.
Je te trouve extrêmement courageuse et tu as toute mon admiration. Je te comprend d'en vouloir au système
remaruqe que ca fait quand meme plus de 20 ans
mais je l,ai sur le coeur peut etre a ce moment la s'il m'aurait fait rencontré les personnes adequoite
on m'a fait sortir de chez moi mais on me m'a pas demandé vraiment comment je me sentais on m,a mis dans une maison au debut genre en attendant ensuite famille d,accueuil
le monsieur etait gentil mais la dame je sais pas je la sentais froide je faisait deja des crises de panique dpuis l,age de 4 ans
et la ca continuait je suis parti en fugue avec une fille de la maison
la police m,a retracé disons que je me suis fait sttoler par le garcon que j,etais parti voir passe devant le juge
paf la sentence
je me souviens de m,etre enfermée dans les toilette de la cour car je voulais pas y aller
je crois que ca m,a pas aidéée dans ma vie et le parcour que j suivi
je pourrais en ecrire un livre
Ils t'ont enfermé dans un centre d'accueil en gardé fermée, même quand ils ont su que tu étais maltraitée?
C'est épouvantable.
Je te trouve extrêmement courageuse et tu as toute mon admiration. Je te comprend d'en vouloir au système
remaruqe que ca fait quand meme plus de 20 ans
mais je l,ai sur le coeur peut etre a ce moment la s'il m'aurait fait rencontré les personnes adequoite
on m'a fait sortir de chez moi mais on me m'a pas demandé vraiment comment je me sentais on m,a mis dans une maison au debut genre en attendant ensuite famille d,accueuil
le monsieur etait gentil mais la dame je sais pas je la sentais froide je faisait deja des crises de panique dpuis l,age de 4 ans
et la ca continuait je suis parti en fugue avec une fille de la maison
la police m,a retracé disons que je me suis fait sttoler par le garcon que j,etais parti voir passe devant le juge
paf la sentence
je me souviens de m,etre enfermée dans les toilette de la cour car je voulais pas y aller
je crois que ca m,a pas aidéée dans ma vie et le parcour que j suivi
je pourrais en ecrire un livre
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
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