Publié : ven. sept. 16, 2005 8:27 am
Le prochain film de Guy A. Lepage sera une comédie de 6 millions de dollars intitulée Bo$$é Inc. qu’il compte tourner dès l’été prochain.
Après le succès de Camping sauvage, qui a remporté près de 4 millions de dollars au box office l’an dernier, Guy A. Lepage remet cela et clenchera sur le projet dès la saison de Tout le monde en parle terminée au printemps.
La même équipe de scénaristes, André Ducharme, Luc Déry et Yves Lapierre, est à l’écriture de Bo$$é Inc. pour créer non pas une suite à Camping sauvage, mais une nouvelle comédie, une satire qui raconte l’histoire d’un homme d’affaires self made man, M. Bossé, de son entreprise et de ses affaires.
Piqûre du cinéma
Guy A. y jouera M. Bossé, le personnage central du scénario, mais pour l’instant, il en révèle peu. Il évite toujours de raconter les histoires trop longtemps avant les tournages. «J’ai eu la piqûre du cinéma, mais dans ce domaine les délais sont très longs. Quand on tourne enfin, on a l’impression de travailler sur un vieux projet.»
Bo$$é Inc. est produit par Lise Lafontaine et Productions Équinoxe et distribué par Michael Mosca et les Films Équinoxe. Le scénario sera déposé à Téléfilm Canada et à la Sodec pour financement le 15 novembre. Camping sauvage bénéficiera d’une enveloppe à la performance qui permet de financer un prochain projet, mais l’an prochain seulement.
Suite à Bo$$é Inc., c’est à une coproduction France/Québec que Guy A. travaillera en 2007. Il écrira le scénario et réalisera le film sur les relations amour-haine entre Français et Québécois, avec Hervé Palud. qui avait signé en 1994 Un Indien dans la ville.
Les look-outés
Guy A. Lepage invite cette semaine de grosses pointures, dont Paul Arcand, Gilles Proulx et André Boisclair. Il s’est intéressé lundi aux revendications des employés en lock-out de la CBC/Radio-Canada sur leur ligne de piquetage. Une trentaine de syndiqués l’ont alors entouré pour échanger des informations et suggérer qu’il les invite à son émission. À quand l’invitation ?
«Ce n’est pas lui qui décide seul, a déclaré au Journal Paul Bélanger, de la Guilde canadienne des médias, et sincèrement on ne s’attend pas à une invitation. Il faut comprendre que Guy A. Lepage doit d’abord penser à intéresser ses téléspectateurs.»
Après le succès de Camping sauvage, qui a remporté près de 4 millions de dollars au box office l’an dernier, Guy A. Lepage remet cela et clenchera sur le projet dès la saison de Tout le monde en parle terminée au printemps.
La même équipe de scénaristes, André Ducharme, Luc Déry et Yves Lapierre, est à l’écriture de Bo$$é Inc. pour créer non pas une suite à Camping sauvage, mais une nouvelle comédie, une satire qui raconte l’histoire d’un homme d’affaires self made man, M. Bossé, de son entreprise et de ses affaires.
Piqûre du cinéma
Guy A. y jouera M. Bossé, le personnage central du scénario, mais pour l’instant, il en révèle peu. Il évite toujours de raconter les histoires trop longtemps avant les tournages. «J’ai eu la piqûre du cinéma, mais dans ce domaine les délais sont très longs. Quand on tourne enfin, on a l’impression de travailler sur un vieux projet.»
Bo$$é Inc. est produit par Lise Lafontaine et Productions Équinoxe et distribué par Michael Mosca et les Films Équinoxe. Le scénario sera déposé à Téléfilm Canada et à la Sodec pour financement le 15 novembre. Camping sauvage bénéficiera d’une enveloppe à la performance qui permet de financer un prochain projet, mais l’an prochain seulement.
Suite à Bo$$é Inc., c’est à une coproduction France/Québec que Guy A. travaillera en 2007. Il écrira le scénario et réalisera le film sur les relations amour-haine entre Français et Québécois, avec Hervé Palud. qui avait signé en 1994 Un Indien dans la ville.
Les look-outés
Guy A. Lepage invite cette semaine de grosses pointures, dont Paul Arcand, Gilles Proulx et André Boisclair. Il s’est intéressé lundi aux revendications des employés en lock-out de la CBC/Radio-Canada sur leur ligne de piquetage. Une trentaine de syndiqués l’ont alors entouré pour échanger des informations et suggérer qu’il les invite à son émission. À quand l’invitation ?
«Ce n’est pas lui qui décide seul, a déclaré au Journal Paul Bélanger, de la Guilde canadienne des médias, et sincèrement on ne s’attend pas à une invitation. Il faut comprendre que Guy A. Lepage doit d’abord penser à intéresser ses téléspectateurs.»