je viens d'aller voir le film j'ai bien aimer, il manque un peur d'humour je croyait qu'il y en aurait plus, quel que bout sont un peu long, mais en générale c tres bien
j'ai quand beaucoup rit!!!!!! c pas une référence je ris a rien
pour ceux qui iront le voir vous me reparlerez des motards
camping sauvage
Modérateur : Elise-Gisèle
Lilou!!! a écritje viens d'aller voir le film j'ai bien aimer, il manque un peur d'humour je croyait qu'il y en aurait plus, quel que bout sont un peu long, mais en générale c tres bien
j'ai quand beaucoup rit!!!!!! c pas une référence je ris a rien
pour ceux qui iront le voir vous me reparlerez des motards
a oui j,avais oublier sylvie moreau est ecoeurante
j'ai quand beaucoup rit!!!!!! c pas une référence je ris a rien
pour ceux qui iront le voir vous me reparlerez des motards
a oui j,avais oublier sylvie moreau est ecoeurante
On était supposé y aller aussi samedi soir juste avant les feux d'artifices, on voulait aller au Quartier Latin, car on a des laisser-passer à utilisé, mais il y joue pas, alors ce n'est plus sur du tout qu'on y aille demain finalement! --Message edité par yautja88 le 2004-07-09 23:48:32--
Je t'aime Pinklily <3
Fourmi a écritS'il ne fait pas beau demain ou dimanche, je compte y aller aussi! Mon chum et moi avons pas mal hâte de voir c¸a! Les previews m'ont vriament donné envie de voir ça!
Moi c'est bizarre, c'est plutôt le contraire! Depuis que j'ai entendu parlé de ce projet j'ai toujours eu hâte de le voir étant donné que Guy A.Lepage est un de mes humoristes préférés.. Mais quand j'ai vu les previews j'ai été un peu déçu.. je m'attendais a quelque chose du même genre que sa série Un gars une fille, genre quelque chose de léger avec un humour intelligent et de bon gout.. et la ça semble être plutôt le contraire.. Encore le même genre de comédie que l'on sort a la pelle au Québec.. style humour gras et bête et ou on entend sacrer au 2 secondes.. Etk.. ce sont les impressions que les previews m'ont donné.. Peut-être que le film en est tout autrement.. je l'espere! ;)
Moi c'est bizarre, c'est plutôt le contraire! Depuis que j'ai entendu parlé de ce projet j'ai toujours eu hâte de le voir étant donné que Guy A.Lepage est un de mes humoristes préférés.. Mais quand j'ai vu les previews j'ai été un peu déçu.. je m'attendais a quelque chose du même genre que sa série Un gars une fille, genre quelque chose de léger avec un humour intelligent et de bon gout.. et la ça semble être plutôt le contraire.. Encore le même genre de comédie que l'on sort a la pelle au Québec.. style humour gras et bête et ou on entend sacrer au 2 secondes.. Etk.. ce sont les impressions que les previews m'ont donné.. Peut-être que le film en est tout autrement.. je l'espere! ;)
L inconnu a écrit
Moi c'est bizarre, c'est plutôt le contraire! Depuis que j'ai entendu parlé de ce projet j'ai toujours eu hâte de le voir étant donné que Guy A.Lepage est un de mes humoristes préférés.. Mais quand j'ai vu les previews j'ai été un peu déçu.. je m'attendais a quelque chose du même genre que sa série Un gars une fille, genre quelque chose de léger avec un humour intelligent et de bon gout.. et la ça semble être plutôt le contraire.. Encore le même genre de comédie que l'on sort a la pelle au Québec.. style humour gras et bête et ou on entend sacrer au 2 secondes.. Etk.. ce sont les impressions que les previews m'ont donné.. Peut-être que le film en est tout autrement.. je l'espere! ;)
Et bien la critique qui a été faite à TVA disait justement que c'était de l'humour à la Guy A. Lepage du même genre que Un gars, une fille!! Oui il va y avoir des gros gags à la con, mais il va y avoir beaucoup de satire aussi!!
Bref tu devrais aimer!
Moi c'est bizarre, c'est plutôt le contraire! Depuis que j'ai entendu parlé de ce projet j'ai toujours eu hâte de le voir étant donné que Guy A.Lepage est un de mes humoristes préférés.. Mais quand j'ai vu les previews j'ai été un peu déçu.. je m'attendais a quelque chose du même genre que sa série Un gars une fille, genre quelque chose de léger avec un humour intelligent et de bon gout.. et la ça semble être plutôt le contraire.. Encore le même genre de comédie que l'on sort a la pelle au Québec.. style humour gras et bête et ou on entend sacrer au 2 secondes.. Etk.. ce sont les impressions que les previews m'ont donné.. Peut-être que le film en est tout autrement.. je l'espere! ;)
Et bien la critique qui a été faite à TVA disait justement que c'était de l'humour à la Guy A. Lepage du même genre que Un gars, une fille!! Oui il va y avoir des gros gags à la con, mais il va y avoir beaucoup de satire aussi!!
Bref tu devrais aimer!
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Critique de La presse: les attentes étaient sans doute trop grandes...
Noix mélangées
Lepage, Aleksi K.
CAMPING SAUVAGE
Comédie de Guy A. Lepage, Sylvain Roy et André Ducharme. Avec Guy A.Lepage, Sylvie Moreau, Benoît Girard, Normand D'Amour.
Pour échapper à un brigand qui veut sa peau, le courtier Pierre-Louis Cinq-Mars est envoyé par la police, pour sa protection, dans un camping où il se passe des tas de choses bizarres.
Une comédie en courtepointe tricotée, avec amour, de très bonnes et de très mauvaises idées.
**1/2
Après être allé faire le paon (de mur) chez Thierry Ardisson dans les décors de Tout le monde en parle- où le franchouillard animateur lui a cruellement fait subir le supplice du silence-, notre Guy A. nous revient apparemment en super forme pour présenter son premier film.
Son film? Sans doute Lepage n'aimerait pas qu'on parle ainsi de Camping sauvage, oeuvre collective à laquelle ont collaboré Sylvain Roy à la réalisation, André Ducharme à la mise en scène et au scénario co-écrit par Luc Déry et Yves Lapierre d'après un concept de Tony Roman, aussi producteur.
Ça fait pas mal de monde. Reste que le seul nom de Guy A. Lepage équivaut dans nos esprits, de manière presque subliminale, à une sorte de sceau d'excellence et de qualité. C'est dire qu'on attendait beaucoup de cette nouvelle comédie québécoise...
Beaucoup trop, en vérité. Cela doit bien faire un an qu'on nous parle de ce film, cela fait des semaines qu'on le promeut avec grand bruit. Forcément, les espérances étant trop grandes, une partie exigeante du public risque d'être un peu déçue. Ce n'est quand même pas l'échec déprimant de Ding et Dong: le film, ni le triste fiasco des Dangereux, moins encore le naufrage total de Elvis Gratton XXX.
Beaucoup d'indiens...
Bien écrit, Camping sauvage recèle de bons moments. Mais tout se passe comme si personne, ni Lepage, ni Roy, ni Ducharme, n'avait voulu du poste de commandant en chef. On se retrouve avec un paquet de noix mélangées, une comédie en courtepointe, faite de petits bouts collés, parfois drôles, parfois plats; un film piétinant, désordonné, inabouti. C'est le grand risque du travail d'équipe. Farces grasses, mots d'esprit, cabrioles, humour visuel, humour musical; tout dans ce gros sac à surprises est très mal ramassé.
L'histoire: Pierre-Louis, un riche courtier brillant mais parfaitement chiant (Lepage) se trouve malgré lui impliqué dans une affaire mêlant la police et les motards. Pour sa protection, les autorités l'envoient niaiser quelques temps dans un gros camping bien quétaine où il ne risque pas d'être retracé par le bandit qui veut sa peau. Il fera la rencontre de la frétillante et charnelle Jackie (Sylvie Moreau), propriétaire du site avec son vieux père aigri (Benoît Girard.)
Maladroitement et sans le moindre enthousiasme, Pierre-Louis tentera de s'intégrer aux nombreux vacanciers et au petit gang de motards local, et découvrira en la frivole Jackie, après 300 retournements de situations et mille mésaventures, une personne intelligente et attachante qu'il finira par aimer vraiment. Et ils s'en iront sur la route...
Sylvie Moreau n'a vraiment plus rien à prouver dans le registre comique et vole facilement la vedette à Guy A., qui a ici tout le charisme d'un rouleau de tôles. On le sent hésitant, partagé entre le rôle exigent du courtier vaniteux et, pour ainsi dire, son propre rôle de boute-en-train surdoué.
Lepage n'a jamais prétendu être un acteur né, même s'il savait fort bien s'arranger avec ses personnages de RBO (Madame Brossard, Vanessa) et, surtout, avec celui du " Gars " dans la célèbre série. Mais puisqu'il tient ici la vedette, au centre d'une foule de professionnels chevronnés (Sylvie Moreau bien sûr, Benoît Girard, Normand D'Amour, Réal Bossé, Emmanuel Bioldeau et même Yves Pelletier), on est forcé, par comparaison, de voir et d'admettre (peut-être avec lui) les limites de ce grand humoriste.
Noix mélangées
Lepage, Aleksi K.
CAMPING SAUVAGE
Comédie de Guy A. Lepage, Sylvain Roy et André Ducharme. Avec Guy A.Lepage, Sylvie Moreau, Benoît Girard, Normand D'Amour.
Pour échapper à un brigand qui veut sa peau, le courtier Pierre-Louis Cinq-Mars est envoyé par la police, pour sa protection, dans un camping où il se passe des tas de choses bizarres.
Une comédie en courtepointe tricotée, avec amour, de très bonnes et de très mauvaises idées.
**1/2
Après être allé faire le paon (de mur) chez Thierry Ardisson dans les décors de Tout le monde en parle- où le franchouillard animateur lui a cruellement fait subir le supplice du silence-, notre Guy A. nous revient apparemment en super forme pour présenter son premier film.
Son film? Sans doute Lepage n'aimerait pas qu'on parle ainsi de Camping sauvage, oeuvre collective à laquelle ont collaboré Sylvain Roy à la réalisation, André Ducharme à la mise en scène et au scénario co-écrit par Luc Déry et Yves Lapierre d'après un concept de Tony Roman, aussi producteur.
Ça fait pas mal de monde. Reste que le seul nom de Guy A. Lepage équivaut dans nos esprits, de manière presque subliminale, à une sorte de sceau d'excellence et de qualité. C'est dire qu'on attendait beaucoup de cette nouvelle comédie québécoise...
Beaucoup trop, en vérité. Cela doit bien faire un an qu'on nous parle de ce film, cela fait des semaines qu'on le promeut avec grand bruit. Forcément, les espérances étant trop grandes, une partie exigeante du public risque d'être un peu déçue. Ce n'est quand même pas l'échec déprimant de Ding et Dong: le film, ni le triste fiasco des Dangereux, moins encore le naufrage total de Elvis Gratton XXX.
Beaucoup d'indiens...
Bien écrit, Camping sauvage recèle de bons moments. Mais tout se passe comme si personne, ni Lepage, ni Roy, ni Ducharme, n'avait voulu du poste de commandant en chef. On se retrouve avec un paquet de noix mélangées, une comédie en courtepointe, faite de petits bouts collés, parfois drôles, parfois plats; un film piétinant, désordonné, inabouti. C'est le grand risque du travail d'équipe. Farces grasses, mots d'esprit, cabrioles, humour visuel, humour musical; tout dans ce gros sac à surprises est très mal ramassé.
L'histoire: Pierre-Louis, un riche courtier brillant mais parfaitement chiant (Lepage) se trouve malgré lui impliqué dans une affaire mêlant la police et les motards. Pour sa protection, les autorités l'envoient niaiser quelques temps dans un gros camping bien quétaine où il ne risque pas d'être retracé par le bandit qui veut sa peau. Il fera la rencontre de la frétillante et charnelle Jackie (Sylvie Moreau), propriétaire du site avec son vieux père aigri (Benoît Girard.)
Maladroitement et sans le moindre enthousiasme, Pierre-Louis tentera de s'intégrer aux nombreux vacanciers et au petit gang de motards local, et découvrira en la frivole Jackie, après 300 retournements de situations et mille mésaventures, une personne intelligente et attachante qu'il finira par aimer vraiment. Et ils s'en iront sur la route...
Sylvie Moreau n'a vraiment plus rien à prouver dans le registre comique et vole facilement la vedette à Guy A., qui a ici tout le charisme d'un rouleau de tôles. On le sent hésitant, partagé entre le rôle exigent du courtier vaniteux et, pour ainsi dire, son propre rôle de boute-en-train surdoué.
Lepage n'a jamais prétendu être un acteur né, même s'il savait fort bien s'arranger avec ses personnages de RBO (Madame Brossard, Vanessa) et, surtout, avec celui du " Gars " dans la célèbre série. Mais puisqu'il tient ici la vedette, au centre d'une foule de professionnels chevronnés (Sylvie Moreau bien sûr, Benoît Girard, Normand D'Amour, Réal Bossé, Emmanuel Bioldeau et même Yves Pelletier), on est forcé, par comparaison, de voir et d'admettre (peut-être avec lui) les limites de ce grand humoriste.
Terrain vaseux
Par Véronique Juneau www.showbizz.net
Camping Sauvage |
Camping Sauvage a plus à voir avec Nuit de Noces et Mambo Italiano, qu’avec La Grande Séduction. D’énormes moyens ont été mis au service de ce film, qui a meilleure allure au niveau de sa forme que de son contenu. Guy A. Lepage, principal artisan de Camping Sauvage (avec Sylvain Roy), rappelle en entrevue que son produit n’a pas la prétention d’être autre chose qu’une vue. Ce qui est juste.
D’un point de vue formel, par contre, il faut souligner l’énorme contribution de Serge Desrosiers, à la direction photo, et applaudir les quelques procédés techniques utilisés par Roy afin de soigner l’ensemble, dont notamment le split screen, un dispositif affectionné par Brian De Palma. On constate dès le générique d’ouverture qu’un effort tout particulier a justement été consacré à l’enveloppe externe. Et de ce point de vue, disons que le résultat est très appréciable.
Malheureusement, on ne peut pas dire qu’il y a harmonisation entre le récit de Camping Sauvage et son aspect formel. La dimension humoristique de ce film, pourtant servi par un contingent d’humoristes chevronnés, n’est pas assez évocatrice de toute l’absurdité de la situation. Le contexte, d’une part, mais aussi le sujet, d’autre part, étaient pourtant porteur d’une multitude de possibilités. Et le regard acidulé de Lepage aurait dû servir un propos plus tranchant. Surtout qu’en ouverture, un commentaire savoureux dresse justement la table en ce sens.
L’image a beau être saturée de couleurs éclatées – censées correspondre aux vêtements de Jackie Pigeon, l’ensemble manque tout de même de pétillant. Mis à part Sylvie Moreau, impeccable en tous points, et Emmanuel Bilodeau, d’un talent comique insoupçonné, peu d’acteurs contribuent à réellement égayer l’atmosphère.
Il faut dire que la nature antipathique du personnage qu’incarne Guy A. Lepage n’aide pas non plus. Lepage est appelé à joué un individu fade, inodore, incolore et presque méprisable auquel il est difficile de s’intéresser. Et son Pierre-Louis Cinq-Mars, un courtier réfugié dans un camping tenu par Jackie Pigeon, alourdit même l’ambiance en jouant l’ennuyeux. Lepage, qui fait néanmoins de gros efforts, semble pourtant avoir de la difficulté à dompter son personnage, puisqu’à mi-chemin, celui-ci, déjà métamorphosé physiquement, change aussi de personnalité, en passant, sans raison, du type coincé sans envergure, au type méprisant trop sûr de lui.
Lepage, qui est notamment reconnu pour son audace, est plus aventureux dans sa recherche d’une forme adéquate que dans celle d’un contenu frais. Et les gags les plus réussis, à l’exception de ceux reliés à une mauvaise utilisation de la langue française, ont tous à voir avec le langage technique. Je pense à ce ralenti imaginé pour introduire le personnage de Jackie Pigeon, à cet hommage aux Bergers et à ce match de football, fichtrement bien filmé. Autrement, les gags visuels font aussi beaucoup plus que les textes pour décrocher les rires. Car côté répliques, on peut dire qu’on manque parfois d’inspiration.
L’intrigue amoureuse, plutôt improbable dans les circonstances, nuit aussi au maintien du rythme. Ce choix narratif amène un certain flottement. Et la cadence imposée par les gags mitraillés n’est malheureusement pas toujours maintenue. À mi-parcours en particulier, le film a peine à retrouver son rythme.
Cela dit, pour un premier film, Camping Sauvage ne se débrouille pas si mal. Et pour quelqu’un qui ne recherche qu’un divertissement léger, étiquette que Lepage persiste d’ailleurs à accoler à son bébé, la traversée est loin d’être désagréable. Mais reste que CAMPING SAUVAGE est une curiosité vite consommée. --Message edité par yautja88 le 2004-07-12 02:53:23--
Par Véronique Juneau www.showbizz.net
Camping Sauvage |
Camping Sauvage a plus à voir avec Nuit de Noces et Mambo Italiano, qu’avec La Grande Séduction. D’énormes moyens ont été mis au service de ce film, qui a meilleure allure au niveau de sa forme que de son contenu. Guy A. Lepage, principal artisan de Camping Sauvage (avec Sylvain Roy), rappelle en entrevue que son produit n’a pas la prétention d’être autre chose qu’une vue. Ce qui est juste.
D’un point de vue formel, par contre, il faut souligner l’énorme contribution de Serge Desrosiers, à la direction photo, et applaudir les quelques procédés techniques utilisés par Roy afin de soigner l’ensemble, dont notamment le split screen, un dispositif affectionné par Brian De Palma. On constate dès le générique d’ouverture qu’un effort tout particulier a justement été consacré à l’enveloppe externe. Et de ce point de vue, disons que le résultat est très appréciable.
Malheureusement, on ne peut pas dire qu’il y a harmonisation entre le récit de Camping Sauvage et son aspect formel. La dimension humoristique de ce film, pourtant servi par un contingent d’humoristes chevronnés, n’est pas assez évocatrice de toute l’absurdité de la situation. Le contexte, d’une part, mais aussi le sujet, d’autre part, étaient pourtant porteur d’une multitude de possibilités. Et le regard acidulé de Lepage aurait dû servir un propos plus tranchant. Surtout qu’en ouverture, un commentaire savoureux dresse justement la table en ce sens.
L’image a beau être saturée de couleurs éclatées – censées correspondre aux vêtements de Jackie Pigeon, l’ensemble manque tout de même de pétillant. Mis à part Sylvie Moreau, impeccable en tous points, et Emmanuel Bilodeau, d’un talent comique insoupçonné, peu d’acteurs contribuent à réellement égayer l’atmosphère.
Il faut dire que la nature antipathique du personnage qu’incarne Guy A. Lepage n’aide pas non plus. Lepage est appelé à joué un individu fade, inodore, incolore et presque méprisable auquel il est difficile de s’intéresser. Et son Pierre-Louis Cinq-Mars, un courtier réfugié dans un camping tenu par Jackie Pigeon, alourdit même l’ambiance en jouant l’ennuyeux. Lepage, qui fait néanmoins de gros efforts, semble pourtant avoir de la difficulté à dompter son personnage, puisqu’à mi-chemin, celui-ci, déjà métamorphosé physiquement, change aussi de personnalité, en passant, sans raison, du type coincé sans envergure, au type méprisant trop sûr de lui.
Lepage, qui est notamment reconnu pour son audace, est plus aventureux dans sa recherche d’une forme adéquate que dans celle d’un contenu frais. Et les gags les plus réussis, à l’exception de ceux reliés à une mauvaise utilisation de la langue française, ont tous à voir avec le langage technique. Je pense à ce ralenti imaginé pour introduire le personnage de Jackie Pigeon, à cet hommage aux Bergers et à ce match de football, fichtrement bien filmé. Autrement, les gags visuels font aussi beaucoup plus que les textes pour décrocher les rires. Car côté répliques, on peut dire qu’on manque parfois d’inspiration.
L’intrigue amoureuse, plutôt improbable dans les circonstances, nuit aussi au maintien du rythme. Ce choix narratif amène un certain flottement. Et la cadence imposée par les gags mitraillés n’est malheureusement pas toujours maintenue. À mi-parcours en particulier, le film a peine à retrouver son rythme.
Cela dit, pour un premier film, Camping Sauvage ne se débrouille pas si mal. Et pour quelqu’un qui ne recherche qu’un divertissement léger, étiquette que Lepage persiste d’ailleurs à accoler à son bébé, la traversée est loin d’être désagréable. Mais reste que CAMPING SAUVAGE est une curiosité vite consommée. --Message edité par yautja88 le 2004-07-12 02:53:23--
Je t'aime Pinklily <3
Je suis allé le voir , moi j'ai bien aimé ..........j'aime les film Québecois.....Par contre si le même scénario aurait été fait par des Américains ou autres , je ne suis pas sur...
Sylvie Moreau est extraordinaire .........mausus de bonne comédienne Le camping dans lequel ils ont tournés le film est le même ou j'ai passé ma jeunesse !
C'est pas le film du siècle , mais je ne me suis pas ennuyé une minute
Sylvie Moreau est extraordinaire .........mausus de bonne comédienne Le camping dans lequel ils ont tournés le film est le même ou j'ai passé ma jeunesse !
C'est pas le film du siècle , mais je ne me suis pas ennuyé une minute
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Camping Sauvage: un record pour un premier week-end
Le film Camping Sauvage est devenu le film québécois récoltant le plus important box-office pour un premier week-end en 2004.
Le distributeur Alliance Atlantis Vivafilm a annoncé que le film a amassé des recettes en salles de 826 068$ en incluant les taxes au cours de son premier week-end
.
La comédie québécoise a eu plus de succès que les gros films américains comme Spiderman 2, King Arthur et Harry Potter.
On s'attend à ce que le film obtienne une belle carrière en salles.
Camping Sauvage est le premier film réalisé par Guy A. Lepage et Sylvain Roy.
Le film Camping Sauvage est devenu le film québécois récoltant le plus important box-office pour un premier week-end en 2004.
Le distributeur Alliance Atlantis Vivafilm a annoncé que le film a amassé des recettes en salles de 826 068$ en incluant les taxes au cours de son premier week-end
.
La comédie québécoise a eu plus de succès que les gros films américains comme Spiderman 2, King Arthur et Harry Potter.
On s'attend à ce que le film obtienne une belle carrière en salles.
Camping Sauvage est le premier film réalisé par Guy A. Lepage et Sylvain Roy.
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
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Hmmm. Avec la distribution du film, je me disais... "Attaboy! Ca va être drôle ça! Faut que je le vois"...
Mais j'ai vu l'émission spéciale à Radio-Canne dimanche, et le film a l'air finalement plus ou moins bon... Je vais attendre la sortie vidéo...
Je m'attendais à de l'humour plus... intelligent. Un mix de Catherine et Un gars une fille...
Mais j'ai vu l'émission spéciale à Radio-Canne dimanche, et le film a l'air finalement plus ou moins bon... Je vais attendre la sortie vidéo...
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"The talent for being happy is appreciating and liking what you have, instead of what you don't have." - Woody Allen
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Mini-Froggy
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Anne-O-Nyme
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Anne-O-Nyme a écritJe l'ai vu au ciné-parc il y a quelques temps et je ne l'ai pas trouvé si bon que ça! Malheureusement, car je m'attendais à beaucoup! J'avais beaucoup aimé les previews.
Sylvie Moreau est excellente, évidemment!
Elle est bonne dans tout ce qu'elle fait! Mais va falloir que j'attende avant de faire ma critique, ma soirée est tombée à l'eau...
Sylvie Moreau est excellente, évidemment!
Elle est bonne dans tout ce qu'elle fait! Mais va falloir que j'attende avant de faire ma critique, ma soirée est tombée à l'eau...