Enhanced searching with Firefox
Now Google's faster than ever on Firefox and Mozilla browsers. When you do a search on these browsers, we instruct them to download your top search result in advance, so if you click on it, you'll get to that page even more quickly.
http://www.google.com/googleblog/2005/0 ... refox.html
Traduction libre : Si vous utilisez le browser "Firefox" pour chercher sur Google, lorsque les résultats de recherche sont affichés, la page contient des informations qui permettent à Firefox de télécharger les pages les plus susceptibles de vous plaire (selon les résultats de recherche) pendant que vous regardez les résultats. Lorsque vous cliquez sur le lien, la page apparaît plus vite puisqu'elle est déjà en mémoire.
Maintenant, ce que ça fait en concret.
Si vous faites une recherche et que le premier résultat est celui que vous voulez voir, vous êtes content parce que la page se charge très rapidement.
Dans le cas contraire, votre système aura chargé une page que vous ne vuolez pas. Si vous avez des limites de download, ça pourrait vous déplaire. Aussi qu'il peut y avoir des pages qui se retrouvent dans votre cache sans que vous ne les ayiez vues...
Finalement, pour les webmestres, si votre site arrive dans les premiers résultats de recherche, il se pourrait que vos statistiques de nombre de visiteurs avec Firefox montent en flèche, et que ce ne soit qu'artificiel.
Finalement, si vous utilisez Firefox et que vous préférez annuler cette fonction, vous pouvez trouver les informations sur cette page (anglais) http://www.mozilla.org/projects/netlib/ ... g_FAQ.html
Google télécharge des pages pendant que vous attendez
Google lance la troisième version de sa barre d'outils
Alain Mc Kenna
collaboration spéciale, La Presse
Le populaire moteur de recherche Google a lancé cette semaine, non sans controverse, une nouvelle version de sa barre d'outils de recherche, pour le fureteur Internet Explorer.
La Google Toolbar 3.0 Beta ajoute à la version précédente de nouvelles fonctions d'aide à la navigation Web, dont un traducteur de termes anglophones (WordTranslator), un correcteur d'orthographe (SpellCheck), un champ de recherche personnalisé et une fonction qui crée des liens automatiques entre des sites traitant du même sujet (AutoLink).
Offerte en plusieurs langues (dont le français), la populaire barre d'outils permettait déjà d'effectuer des recherches instantanées sur la Toile sans avoir à passer par le site de Google, de bloquer automatiquement certaines fenêtres et de connaître la popularité des pages visitées selon un classement établi par l'entreprise spécialisée en recherche Internet.
Nouvelle fonction controversée
Cette troisième génération de la barre d'outils de Google a provoqué une certaine grogne dans le monde Internet, avec son nouveau bouton AutoLink. C'est qu'il mène à une modification automatique du contenu des pages Web, afin d'y ajouter des hyperliens externes au site visité.
La fonction AutoLink repère dans la page les adresses postales, numéros de colis, numéros d'identification du véhicule (NIV) ou codes ISBN (pour les livres) et les transforme en hyperliens. L'internaute peut ensuite cliquer sur ces liens pour accéder à de l'information additionnelle trouvée par Google, comme une photo de l'objet mentionné, ou une autre de même type.
Du point de vue des designers de sites Web, cette fonction dénature le travail de création derrière une page Web, ce qui en rend plusieurs furieux. Le site de nouvelles Silicon.fr n'hésite pas à voir derrière cette fonctionnalité une stratégie marchande sournoise, puisque Google pourrait éventuellement relier les articles trouvés à des sites de ventes en ligne, comme Amazon ou eBay. Cette initiative mènerait les internautes à quitter les sites qu'ils visitent au profit d'autres sites, potentiellement concurrents d'un point de vue d'affaires.
Pour sa part, le WordTranslator permet aux internautes moins à l'aise dans la langue de Shakespeare d'apprendre, en un clic de souris, la signification d'un mot inconnu affiché sur une page Web. De la même façon, la fonction SpellCheck fait la révision de l'orthographe des mots que l'usager tape à l'écran, dans des formulaires Web ou dans des messages électroniques composés dans une fenêtre du fureteur.
Avec les champs de recherche personnalisés, les utilisateurs de la Google Toolbar peuvent créer un outil de recherche qui ne fouille qu'un seul site donné. Par exemple, on peut ajouter à la barre un champ qui ne chercherait des données que dans le site Cyberpresse.
La Google Toolbar 3.0 est disponible gratuitement à l'adresse toolbar.google.com et ne fonctionne présentement qu'avec le fureteur Internet Explorer 5.5 (ou plus récent), sous le système d'exploitation Windows, de Microsoft. Elle est très facile à télécharger. Il suffit de choisir la langue dans le bloc à droite et cliquer sur la barre en-dessous. Vous pouvez ensuite ouvrir le programme, ce qui affiche les instructions.
Pour les utilisateurs qui préfèrent un autre navigateur ou qui utilisent une autre plate-forme informatique, comme Mac OS ou Linux, il existe la Googlebar(googlebar.mozdev.org), qui est compatible avec les logiciels Netscape 7.x, Mozilla et Firefox.
Alain Mc Kenna
collaboration spéciale, La Presse
Le populaire moteur de recherche Google a lancé cette semaine, non sans controverse, une nouvelle version de sa barre d'outils de recherche, pour le fureteur Internet Explorer.
La Google Toolbar 3.0 Beta ajoute à la version précédente de nouvelles fonctions d'aide à la navigation Web, dont un traducteur de termes anglophones (WordTranslator), un correcteur d'orthographe (SpellCheck), un champ de recherche personnalisé et une fonction qui crée des liens automatiques entre des sites traitant du même sujet (AutoLink).
Offerte en plusieurs langues (dont le français), la populaire barre d'outils permettait déjà d'effectuer des recherches instantanées sur la Toile sans avoir à passer par le site de Google, de bloquer automatiquement certaines fenêtres et de connaître la popularité des pages visitées selon un classement établi par l'entreprise spécialisée en recherche Internet.
Nouvelle fonction controversée
Cette troisième génération de la barre d'outils de Google a provoqué une certaine grogne dans le monde Internet, avec son nouveau bouton AutoLink. C'est qu'il mène à une modification automatique du contenu des pages Web, afin d'y ajouter des hyperliens externes au site visité.
La fonction AutoLink repère dans la page les adresses postales, numéros de colis, numéros d'identification du véhicule (NIV) ou codes ISBN (pour les livres) et les transforme en hyperliens. L'internaute peut ensuite cliquer sur ces liens pour accéder à de l'information additionnelle trouvée par Google, comme une photo de l'objet mentionné, ou une autre de même type.
Du point de vue des designers de sites Web, cette fonction dénature le travail de création derrière une page Web, ce qui en rend plusieurs furieux. Le site de nouvelles Silicon.fr n'hésite pas à voir derrière cette fonctionnalité une stratégie marchande sournoise, puisque Google pourrait éventuellement relier les articles trouvés à des sites de ventes en ligne, comme Amazon ou eBay. Cette initiative mènerait les internautes à quitter les sites qu'ils visitent au profit d'autres sites, potentiellement concurrents d'un point de vue d'affaires.
Pour sa part, le WordTranslator permet aux internautes moins à l'aise dans la langue de Shakespeare d'apprendre, en un clic de souris, la signification d'un mot inconnu affiché sur une page Web. De la même façon, la fonction SpellCheck fait la révision de l'orthographe des mots que l'usager tape à l'écran, dans des formulaires Web ou dans des messages électroniques composés dans une fenêtre du fureteur.
Avec les champs de recherche personnalisés, les utilisateurs de la Google Toolbar peuvent créer un outil de recherche qui ne fouille qu'un seul site donné. Par exemple, on peut ajouter à la barre un champ qui ne chercherait des données que dans le site Cyberpresse.
La Google Toolbar 3.0 est disponible gratuitement à l'adresse toolbar.google.com et ne fonctionne présentement qu'avec le fureteur Internet Explorer 5.5 (ou plus récent), sous le système d'exploitation Windows, de Microsoft. Elle est très facile à télécharger. Il suffit de choisir la langue dans le bloc à droite et cliquer sur la barre en-dessous. Vous pouvez ensuite ouvrir le programme, ce qui affiche les instructions.
Pour les utilisateurs qui préfèrent un autre navigateur ou qui utilisent une autre plate-forme informatique, comme Mac OS ou Linux, il existe la Googlebar(googlebar.mozdev.org), qui est compatible avec les logiciels Netscape 7.x, Mozilla et Firefox.
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