Nathalie Simard et son conjoint condamnés à payer 100 000$
Publié : sam. mars 14, 2009 12:18 am
Justice
Nathalie Simard et son conjoint condamnés à payer 100 000$
Agence QMI Stéphane Dion
13/03/2009 23h54 - Mise à jour 14/03/2009 00h11
La chanteuse Nathalie Simard et son conjoint, Lévy Guay, sont condamnés à payer 100 000 $ à l’ex-conjointe de ce dernier pour bris de contrat.
Dans un jugement écrit, rendu jeudi soir, dont Le Journal a obtenu une copie, le juge de la Cour supérieure du Québec oblige Nathalie Simard à honorer une entente hors cour conclue le 3 juillet dernier.
L’honorable Roger Banford accueille donc favorablement la requête en homologation de transaction présentée par Audrey Sergerie.
La femme de Jonquière a intenté, en avril 2008, une poursuite de 2,3 millions contre le couple parce que l’interprète avait annulé sa tournée de spectacles qu’elle produisait, avant de s’enfuir en République dominicaine avec son mari.
Mère de deux enfants, Mme Sergerie est soulagée par la décision du tribunal. «Ma cliente est très heureuse de mettre un terme à toute cette histoire, rapporte son avocat, Me Yves Laperrière. Ça lui permet de fermer ce dossier pour passer à autre chose. Elle a trouvé ça très difficile.»
L’avocat de Mme Sergerie qualifie cette histoire d’événement regrettable qui a causé des torts considérables à sa cliente. Il précise qu’elle a perdu sa maison depuis et qu’elle a dû payer des dettes importantes.
«C’est un baume, mais ce n’est pas une réparation intégrale, soutient-il. Elle a vécu une tempête médiatique malgré elle. Si le dossier s’était réglé le 3 juillet, ça aurait permis d’éviter beaucoup de frais.»
Déclaration surprenante de Nathalie
Afin de mettre un terme au litige, le couple Simard-Guay en serait venu, selon la preuve, à un accord avec Mme Sergerie. L’artiste a cependant nié avec instance, lors de son témoignage du 4 mars, avoir conclu une entente à l’amiable.
Elle avait alors déclaré: «Dans ma vie, on a abusé de mon corps. On a abusé de mon esprit. On a abusé de mon argent. C’est assez. J’ai respecté mes engagements envers Mme Sergerie, je ne lui dois rien et je vais me tenir debout.»
Des déclarations surprenantes, selon le juge Banford: «Mme Simard a clamé haut et fort, lors de son témoignage, qu’elle n’avait jamais accepté de verser un sou à qui que ce soit pour régler ce dossier. Cette affirmation étonne, puisque c’était la première fois que la défenderesse dénonçait l’existence d’un prétendu vice de consentement affectant la transaction en cause.»
Cette décision de la Cour supérieure vient mettre un terme à la saga juridique entre Audrey Sergerie et le couple Simard-Guay à moins que ceux-ci fassent appel du jugement dans un délai de 30 jours.
source::
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 35421.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Nathalie Simard et son conjoint condamnés à payer 100 000$
Agence QMI Stéphane Dion
13/03/2009 23h54 - Mise à jour 14/03/2009 00h11
La chanteuse Nathalie Simard et son conjoint, Lévy Guay, sont condamnés à payer 100 000 $ à l’ex-conjointe de ce dernier pour bris de contrat.
Dans un jugement écrit, rendu jeudi soir, dont Le Journal a obtenu une copie, le juge de la Cour supérieure du Québec oblige Nathalie Simard à honorer une entente hors cour conclue le 3 juillet dernier.
L’honorable Roger Banford accueille donc favorablement la requête en homologation de transaction présentée par Audrey Sergerie.
La femme de Jonquière a intenté, en avril 2008, une poursuite de 2,3 millions contre le couple parce que l’interprète avait annulé sa tournée de spectacles qu’elle produisait, avant de s’enfuir en République dominicaine avec son mari.
Mère de deux enfants, Mme Sergerie est soulagée par la décision du tribunal. «Ma cliente est très heureuse de mettre un terme à toute cette histoire, rapporte son avocat, Me Yves Laperrière. Ça lui permet de fermer ce dossier pour passer à autre chose. Elle a trouvé ça très difficile.»
L’avocat de Mme Sergerie qualifie cette histoire d’événement regrettable qui a causé des torts considérables à sa cliente. Il précise qu’elle a perdu sa maison depuis et qu’elle a dû payer des dettes importantes.
«C’est un baume, mais ce n’est pas une réparation intégrale, soutient-il. Elle a vécu une tempête médiatique malgré elle. Si le dossier s’était réglé le 3 juillet, ça aurait permis d’éviter beaucoup de frais.»
Déclaration surprenante de Nathalie
Afin de mettre un terme au litige, le couple Simard-Guay en serait venu, selon la preuve, à un accord avec Mme Sergerie. L’artiste a cependant nié avec instance, lors de son témoignage du 4 mars, avoir conclu une entente à l’amiable.
Elle avait alors déclaré: «Dans ma vie, on a abusé de mon corps. On a abusé de mon esprit. On a abusé de mon argent. C’est assez. J’ai respecté mes engagements envers Mme Sergerie, je ne lui dois rien et je vais me tenir debout.»
Des déclarations surprenantes, selon le juge Banford: «Mme Simard a clamé haut et fort, lors de son témoignage, qu’elle n’avait jamais accepté de verser un sou à qui que ce soit pour régler ce dossier. Cette affirmation étonne, puisque c’était la première fois que la défenderesse dénonçait l’existence d’un prétendu vice de consentement affectant la transaction en cause.»
Cette décision de la Cour supérieure vient mettre un terme à la saga juridique entre Audrey Sergerie et le couple Simard-Guay à moins que ceux-ci fassent appel du jugement dans un délai de 30 jours.
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