Sondage Le gouv... doit réduire le nombre de fonctionnaire.

[.anthurium.]

Sondage Angus Reid – Institut économique de Montréal – Budget: le gouvernement doit réduire le nombre de fonctionnaires


Montreal, 16 mars 2009 - Selon un sondage Angus Reid commandé par l’Institut économique de Montréal (IEDM), 56% des Québécois veulent que, dans un contexte de crise économique et de diminution de ses revenus, le gouvernement équilibre ses finances en réduisant le nombre de fonctionnaires. Seulement 7% souhaitent une augmentation des tarifs des services publics.
Par ailleurs, les syndicats sont considérés par près de la moitié des répondants comme une force qui bloque négativement les changements nécessaires. Seulement 27% y voient une force positive alors que, fait à noter, plus de 39% des travailleurs québécois sont membres d’un syndicat.

Le sondage a été mené auprès de 801 personnes les 6 et 7 mars derniers, avec une marge d’erreur de + ou – 3,5%, 19 fois sur 20.

L’IEDM a commandé ce sondage début mars, avant que n’éclate le scandale dans la FTQ-Construction.

Le président de l’Institut, Michel Kelly-Gagnon, juge que «le gouvernement aura besoin de courage pour faire le ménage dans sa cour avant de demander d’autres sacrifices aux Québécois». Il sera disponible lundi pour commenter le sondage.

* * *

L’Institut économique de Montréal est un organisme de recherche et d’éducation indépendant, non partisan et sans but lucratif. Par ses études et ses conférences, l’IEDM alimente les débats sur les politiques publiques au Québec et au Canada en proposant des réformes créatrices de richesse et fondées sur des mécanismes de marché.

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Renseignements et demandes d’ent

[.anthurium.]

Le passage sur les syndicats est intéressant

[Nikki]

J'imagine que ce serait beaucoup mieux de leur payer des prestations de bien-être social...

Ouin, bonne idée, privons les gens de leurs revenus!

[Beppo]

J'imagine que ce serait beaucoup mieux de leur payer des prestations de bien-être social...

Ouin, bonne idée, privons les gens de leurs revenus!

Et après ça on pourra se plaindre de la lenteur des services.

[Ely]

11 Mars 2009
08:21:25, Jean-Luc Mongrain, 168 mots

Commissions scolaires: beaucoup de chefs pour peu d'indiens!
Vous connaissez sans doute cette expression qui traduit bien le principe de la surreprésentation dont je veux vous parler. 108 dirigeants de commissions scolaires se sont partagés 800 000$ en bonis l'année dernière, selon le Journal de Montréal. Hey! Wo minute! 108 boss pour les commissions scolaires au Québec. On ferme des écoles, les classes débordent, on fait des levées de fonds pour acheter des livres, et on dénombre 108 grands patrons pour les commissions scolaires.

Et le pire, c'est que c'est comme ça à tous les niveaux: au municipal, au provincial, au fédéral et j'en passe!

On est en crise économique. Les compagnies ferment. Les gens perdent leur boulot. Serait-il possible que tout le monde mette l'épaule à la roue? Pu de bonus! Moins de boss parce que moins d'employés! Il me semble que c'est logique, non?

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[Mary40]

Je suis moi-même une fonctionnaire mais faudrait pas toute les mettres dans le même panier quand même. Je suis secrétaire et je ne crois pas avoir un salaire de débile sans dire que j'ai un salaire de crève faim. Je dirais que je suis choyé ou je suis et jamais je me plains de ce que j'ai au grand jamais. Oui dans les cadres y en a peut-être qui se servent haut la main mais pas tous. Avant de couper dans les fonctionnaires on devrait penser à couper dans les sénateurs qui passent leur maudite journée soit à lire le journal ou bien ronflé grassement sur leur chaise. Aussi les gouveneurs général je leur ferais prendre le bord assez raide pour ce qu'ils apportent dans notre société a part voyager et manger dans les grands restaurant sur notre bras. Vous savez je travaille dans une université et des coupures de poste il y en a bien plus qu'on pense. Encore aujourd'hui sur mon propre département, ils ont couper un poste et c'est pas un poste de cadre là mais un poste de pauvre ptite secrétaire. En tout cas j'en aurais long à dire mais je veut pas faire un roman.

[sawman]

En effet on a bcp trop de fonctionnaire ,si on compare avec l Ontario qui sont 11 millions d habitant et qui compte moins de fonctionnaire que nous .

[.anthurium.]

J'imagine que ce serait beaucoup mieux de leur payer des prestations de bien-être social...

Ouin, bonne idée, privons les gens de leurs revenus!

Comme si le BS était la seule avenue.

[Nikki]

[...]


Comme si le BS était la seule avenue.

Tu as raison. On peut aussi devenir caissière chez McDonald, pousseur de paniers chez Maxi et si on est chanceux, serveuse dans un bar à la mode... Toutes des belles jobs bien exploitées pour faire faire de l'argent à un riche homme d'affaire privé...

[.anthurium.]

[...]


Tu as raison. On peut aussi devenir caissière chez McDonald, pousseur de paniers chez Maxi et si on est chanceux, serveuse dans un bar à la mode... Toutes des belles jobs bien exploitées pour faire faire de l'argent à un riche homme d'affaire privé...

Ben voyon t'es donc bien pessimiste.

[Ely]

[...]


Tu as raison. On peut aussi devenir caissière chez McDonald, pousseur de paniers chez Maxi et si on est chanceux, serveuse dans un bar à la mode... Toutes des belles jobs bien exploitées pour faire faire de l'argent à un riche homme d'affaire privé...

Excuse moi Nikki, mais la ont parle de job qui aurait du jamais exister au départ. Est-ce qu'il y a plus de BS en Ontario parce qu'il y a moins de fonctionnaire per capita ? Est-ce qu'il y plus de pauvre en Californie parce qu'il y a seulement 55 représentants pour 38 million de personnes (en comptant le sénateur et le gouverneur!) ?

Est-ce que ce serais à dire que toute ces personnes ont aucune compétence acceptable pour avoir le même emploi au privé, au point de devoir travailler dans un Mcdo? Est-ce que se serais à dire que de travaillé au privé c'est de ce faire exploité à tout coup par un richissime homme d'affaire ? Les PME ca existe pas ? Moi je travaille à mon compte et j'ai beaucoup plus d'avantages sociaux et je fais beaucoup plus d'argent qu'un fonctionnaire avec la même job.

A t'entendre parler, on dirais que tu as pas une très grande estime des compétences de nos fonctionnaires.

[Nikki]

[...]


Ben voyon t'es donc bien pessimiste.

Je ne suis pas pessimiste. Mais je constate que dans le discours criant à la coupe dans la fonction publique, on oublie toujours 2-3 points d'importance, comme de mentionner que les gens qui seront coupés risquent de se ramasser au chômage et ensuite, sur le BS. On oublie de mentionner aussi que si on coupe, on coupe des services. Donc, c'est sûr que on ne peut avoir le beurre et l'argent du beurre et que les listes d'attente des hôpitaux vont allonger, le délai de traitement des rapports d'impôt va s'allonger aussi, ainsi que les demandes d'aide à toutes sortes d'organismes, comme la régie du loyer, les normes du travail (non c'est vrai, eux on devrait les faire disparaitre avec les syndicats je présume), la csst, la Saaq et j'en passe... Probable qu'à plus ou moins longue échéance, on va engager des fonctionnaires supplémentaires pour accélérer les demandes de chômage et de caissier à la SAQ pour répondre à la demande d'une société en mal de jobs.

On aime mieux payer des prestations que des salaires ça a l'air....

Tsé une secrétaire dans la fonction publique, ça gagne quelque chose comme 32 ou 33 milles à son plus haut niveau, je ne crois vraiment pas que c'est en les coupant qu'on va redresser l'économie du pays, encore moins l'économie des familles à faibles revenus.

C'est un discours qui revient continuellement, mais personne n'apporte des suggestions vraiment intéressantes pour les gens qui devraient se faire couper et perdre ainsi leurs revenus.

On pourrait peut-être couper les femmes et les renvoyer à la maison??

[Nikki]

[...]


Excuse moi Nikki, mais la ont parle de job qui aurait du jamais exister au départ. Est-ce qu'il y a plus de BS en Ontario parce qu'il y a moins de fonctionnaire per capita ? Est-ce qu'il y plus de pauvre en Californie parce qu'il y a seulement 55 représentants pour 38 million de personnes (en comptant le sénateur et le gouverneur!) ?

Est-ce que ce serais à dire que toute ces personnes ont aucune compétence acceptable pour avoir le même emploi au privé, au point de devoir travailler dans un Mcdo? Est-ce que se serais à dire que de travaillé au privé c'est de ce faire exploité à tout coup par un richissime homme d'affaire ? Les PME ca existe pas ? Moi je travaille à mon compte et j'ai beaucoup plus d'avantages sociaux et je fais beaucoup plus d'argent qu'un fonctionnaire avec la même job.

A t'entendre parler, on dirais que tu as pas une très grande estime des compétences de nos fonctionnaires.

Je ne connais pas les chiffres.
C'est bien beau d'avancer des choses comme ça, mais beaucoup de compagnies privées font affaire justement et vivent par les contrats gouvernementaux. Si tu défais d'une part une partie de l'économie, je ne crois pas que le privé n'en souffrira pas à plus ou moins longue échéance...
Je ne dis pas qu'il ne faut pas couper certains postes vraiment inutiles, comme il y en a dans toutes les sphères de la société, mais je persiste à croire que le discours est au fond le même...

On ne veut pas attendre 2 heures à l'urgence, on ne veut pas que notre cause traine à la csst, mais coupons pareil...

[Ely]

Mais Nikki, si tu vas au bout de ta pensée, l'argent épargné par les coupures de poste chez les fonctionnaires, ca retournera pas dans des coupures d'impôts. Ils vont pouvoir ce servir de cette argent pour les aidants naturelles, les ainées, l'éducation, l'aide aux parents d'enfants en difficulté, etc. Plus d'argent pour combattre le décrochage et ainsi envoyer moins de monde travailler toute leur vie chez Mcdo.

[tipet]

Mais Nikki, si tu vas au bout de ta pensée, l'argent épargné par les coupures de poste chez les fonctionnaires, ca retournera pas dans des coupures d'impôts. Ils vont pouvoir ce servir de cette argent pour les aidants naturelles, les ainées, l'éducation, l'aide aux parents d'enfants en difficulté, etc. Plus d'argent pour combattre le décrochage et ainsi envoyer moins de monde travailler toute leur vie chez Mcdo.

Dans un monde idéal oui. Sauf que l'argent récupérée des coupures est rarement réinvesti aux bons endroits.

[Nikki]

[...]


Dans un monde idéal oui. Sauf que l'argent récupérée des coupures est rarement réinvesti aux bons endroits.

Exactement.

J'ai tellement l'impression qu'on apprend jamais ou qu'on est au dessus des autres... On voit à tous les jours aux nouvelles à quel point la situation aux USA et en Europe est dramatique parce que les gens perdent leur emploi!... Il y a de plus en plus de gens pour vivre dans la rue, pour n'être plus capable de se payer les services courants comme le téléphone et l'électricité!... Et nous, ce qu'on propose comme solution, c'est coupons les jobs?...
J'ai pas de Bac en économie mais me semble que c'est évident que c'est la pire chose à faire en situation de crise?...

Anyway, les effectifs gouvernementaux liés aux nombreux problèmes sociaux ne pourront qu'augmenter me semble?...

C'est sûr que de couper des choses évidentes ça pourrait aider, mais les petits salariés, on pourrait pas essayer de les garder?...

Je ne comprend pas, c'est reconnu que ce qui fait tomber l'économie, c'est la perte massive d'emplois?

[Oliver]

La pensée magique de la droite
Stéphane Gendron
17/03/2009 09h28

Dans son édition d'hier, le Journal de Montréal rapportait les données d'un sondage commandé par l'Institut économique de Montréal. On y faisait aussi état d'une conférence de son président, Michel Kelly-Gagnon, à l'Université Laval, en fin de semaine.


Dans ce sondage, on demande candidement aux Québécois la meilleure façon d'équilibrer le budget du Québec en temps de crise économique et on leur offre deux options: augmenter les tarifs des services gouvernementaux ou réduire le nombre de fonctionnaires. Évidemment, le troupeau s'est dirigé bêtement vers la seconde option: couper dans le nombre de fonctionnaires. Et Kelly-Gagnon de dire, en conférence: «J'espère que le gouvernement trouvera le courage de faire ce que les Québécois veulent clairement qu'il pose comme geste.»


Depuis toujours, il est politiquement rentable de faire du bashing sur le dos des fonctionnaires. C'est bon pour les cotes d'écoute, les sondages et les campagnes électorales. L'ADQ et son think thank, et l'Institut économique de Montréal sont convaincus qu'en coupant across the board le nombre de fonctionnaires, nous allons nécessairement dégraisser la machine et «faire le ménage» dans la cour. Rien de plus fou, rien de plus faux.


Il ne faut vraiment pas avoir été en contact avec la réalité de la fonction publique pour tenir un tel langage. Oui, il existe des cas d'abus dans la fonction publique, comme dans toutes les organisations publiques ou privées. Oui, il faut s'y attarder en tant que gouvernement, non pas dans l'objectif de réduire le nombre de fonctionnaires, mais plutôt dans celui de revoir les missions de l'État.

Quelles sont les sphères d'intervention que nous voulons conserver, et quels sont les programmes qui fonctionnent? Dans un second temps, nous pourrons revoir le nombre de fonctionnaires à l'emploi de l'État et réorganiser de façon intelligente.

Ce que propose l'Institut économique relève davantage de la sauvagerie de l'entreprise privée: on n'a plus d'argent, on ferme et on vous met à la porte. «Désolé, monsieur le fonctionnaire, vous avez 20 ans de service, mais on doit vous mettre dehors. L'État n'a plus les moyens de vous engager.» Perdre son emploi dans la fonction publique, c'est aussi dramatique que de le perdre dans une shop de textile. L'Institut n'en a rien à cirer des considérations humaines.


SURCHARGE DE TRAVAIL


Mais ce qui étonne d'un tel discours de la droite mythique au Québec, c'est de penser que notre fonction publique est surabondante et trop bien avantagée. Depuis l'adoption de la Loi 198, en 1993, par l'Assemblée nationale, la fonction publique subit régulièrement des compressions au niveau des effectifs et des dépenses. L'embauche dans la fonction publique est anémique. Monique Jérôme-Forget se vante de remplacer deux fonctionnaires à la retraite par un seul, souvent sans permanence d'emploi. Le phénomène du downsizing, lié à l'augmentation de la tâche administrative, est devenu une réalité quotidienne et généralisée. On demande de faire plus avec moins d'effectifs. Puis, on s'étonne de la hausse des cas d'épuisement professionnel.

Contrairement à ce que pense Kelly-Gagnon et son groupuscule, notre fonction publique québécoise est xcellente et mérite plus de respect. Travailler pour l'État peut sembler un privilège pour bien des gens. Mais il s'agit tout de même d'êtres humains. Mettre à la porte une personne humaine au nom d'une idéologie de droite relève du pur ridicule.

source : http://www.canoe.com/infos/chroniques/s ... 92800.html" onclick="window.open(this.href);return false;

[tipet]

La pensée magique de la droite
Stéphane Gendron
17/03/2009 09h28

Dans son édition d'hier, le Journal de Montréal rapportait les données d'un sondage commandé par l'Institut économique de Montréal. On y faisait aussi état d'une conférence de son président, Michel Kelly-Gagnon, à l'Université Laval, en fin de semaine.


Dans ce sondage, on demande candidement aux Québécois la meilleure façon d'équilibrer le budget du Québec en temps de crise économique et on leur offre deux options: augmenter les tarifs des services gouvernementaux ou réduire le nombre de fonctionnaires. Évidemment, le troupeau s'est dirigé bêtement vers la seconde option: couper dans le nombre de fonctionnaires. Et Kelly-Gagnon de dire, en conférence: «J'espère que le gouvernement trouvera le courage de faire ce que les Québécois veulent clairement qu'il pose comme geste.»


Depuis toujours, il est politiquement rentable de faire du bashing sur le dos des fonctionnaires. C'est bon pour les cotes d'écoute, les sondages et les campagnes électorales. L'ADQ et son think thank, et l'Institut économique de Montréal sont convaincus qu'en coupant across the board le nombre de fonctionnaires, nous allons nécessairement dégraisser la machine et «faire le ménage» dans la cour. Rien de plus fou, rien de plus faux.


Il ne faut vraiment pas avoir été en contact avec la réalité de la fonction publique pour tenir un tel langage. Oui, il existe des cas d'abus dans la fonction publique, comme dans toutes les organisations publiques ou privées. Oui, il faut s'y attarder en tant que gouvernement, non pas dans l'objectif de réduire le nombre de fonctionnaires, mais plutôt dans celui de revoir les missions de l'État.

Quelles sont les sphères d'intervention que nous voulons conserver, et quels sont les programmes qui fonctionnent? Dans un second temps, nous pourrons revoir le nombre de fonctionnaires à l'emploi de l'État et réorganiser de façon intelligente.

Ce que propose l'Institut économique relève davantage de la sauvagerie de l'entreprise privée: on n'a plus d'argent, on ferme et on vous met à la porte. «Désolé, monsieur le fonctionnaire, vous avez 20 ans de service, mais on doit vous mettre dehors. L'État n'a plus les moyens de vous engager.» Perdre son emploi dans la fonction publique, c'est aussi dramatique que de le perdre dans une shop de textile. L'Institut n'en a rien à cirer des considérations humaines.


SURCHARGE DE TRAVAIL


Mais ce qui étonne d'un tel discours de la droite mythique au Québec, c'est de penser que notre fonction publique est surabondante et trop bien avantagée. Depuis l'adoption de la Loi 198, en 1993, par l'Assemblée nationale, la fonction publique subit régulièrement des compressions au niveau des effectifs et des dépenses. L'embauche dans la fonction publique est anémique. Monique Jérôme-Forget se vante de remplacer deux fonctionnaires à la retraite par un seul, souvent sans permanence d'emploi. Le phénomène du downsizing, lié à l'augmentation de la tâche administrative, est devenu une réalité quotidienne et généralisée. On demande de faire plus avec moins d'effectifs. Puis, on s'étonne de la hausse des cas d'épuisement professionnel.

Contrairement à ce que pense Kelly-Gagnon et son groupuscule, notre fonction publique québécoise est xcellente et mérite plus de respect. Travailler pour l'État peut sembler un privilège pour bien des gens. Mais il s'agit tout de même d'êtres humains. Mettre à la porte une personne humaine au nom d'une idéologie de droite relève du pur ridicule.

source : http://www.canoe.com/infos/chroniques/s ... 92800.html" onclick="window.open(this.href);return false;

Est-ce "ze" Stéphane Gendron, maire d'Huntingdon, dont on parle ici?

[Oliver]

[...]


Est-ce "ze" Stéphane Gendron, maire d'Huntingdon, dont on parle ici?

Oui c'est bien lui, étonnant n'est-ce pas?

[tipet]

[...]


Oui c'est bien lui, étonnant n'est-ce pas?

Coudonc, il as-tu un problème de personnalités-multiples lui?

Il y a pas un mois, il disait vouloir devenir chef de l'ADQ, disait que l'ADQ ne devrait pas avoir honte d'être à droite blablaba, et là il sort un article de même

Il est pas ben ce gars-là.