povr jean François
La grand mère de Jf à ecrit une lettre dans le journal de Montréal dénonçant Denise F, parce qu'elle a dit que son povr petit fils etait un boss des becosse. si jf est si memere et jaloux des autre on comprend pourquoi si a chaque embuche sa grand-maman et sa mouman viennent defendre le pauvre petit
Pour ce qui est de JF...il trouvera chaussure a son pied, comme on dit! A force de vouloir tout controler, il va se faire retourner, ca c'est sur! Il est vraiment un ti joe connaissant, d'apres lui!. Il en a encore des choses a apprendre, mais laissons lui la chance , il est a la bonne place, et comme on a pu le voir, quand ca fait pas l'affaire, des jeunes, ils lui disent!
Je regrette mais je ne suis pas d'accord avec toi Prunelle. Elle a bien fait de dénoncer Denise F. parce qu'en tant que Directrice elle n'avait pas à dire ça que ce soit vrai ou pas. Premièrement ce n'est pas une façon de régler un conflit en accusant la personne absente et en plus devant la province au complet ??? Elle a manqué de psychologie et d'après moi, a failli à son devoir de Directrice et devait être dénoncée.
ben voyons la,faudrait qu'a chaque fois que la directrice de l'academie parle contre un ou une academiciennes,les parents devraient se plaindre dans les journaux,vraiment stupides,aucun bon sens,c'est un jeu et de plus j-f est devenu une personnalité publique maintenant,imaginer quand il va sortir un album et les critiques n'aimeront pas ca...sa grand-mere va acheter du temps d'antenne pour denocer ca?...n'importe quoi. --Message edité par napoleon le 2004-03-11 13:47:43--
«Les grands ouvrages que j'ai exécutés et le code de lois que j'ai formé résisteront à l'épreuve du temps et les futurs historiens vengeront les torts que m'auront fait subir mes contemporains.»
Je suis tout a fait d'accord avec napoléon,si il faut que les parents et la parenté de chacun et chacunes des académiciens (ennes) commence a écrire au media pour rapporter un fait ou une parole de la directrice ou des profs qui n'as ou non pas plu et ben la il n'y auras plus de fin.Que chacun et chacunes des academiciens et (ennes) prenent leur resposabilitées,et ils ne sont quand même pas a l'école primaire.Je suis entierement contre cette façon d'agir des parents ou peut-être même amis (ies).Pauv ti-gas pauv ti-fil il l'ont blessés et ils pleurent,minute mounoune ça fait.Au départ tous les éleves s'avaient a quoi ça t'attendre avec le premier SA1.Tu vie avec 13 autres personnes que ne connait même pas alors c'est tout a fait normal des situations comme celle-ci,ce n'est pas facile je l'avoue,mais ils ont eu 9 semaines pour se faire une idée avec SA1.De toute façon il y en plusieurs qui sont la en pensant a la tournée et qu'ils sont dans un camp de vacances ou presque,et la disciplne, je trouve qu'elle est beaucoup relaché en comparaison au premier SA,et le premier mon humble opinion est bien Jean-Fraçois,pas mal énervé le jeune,il devrait ce calmé le ponpon un peu.
Voici le lettre de la grand-maman publiée en page 58 du Journal de Montréal de ce jeudi 11 mars 2004.
J'aimerais poser une question à l'Académie en raison de ce que j'ai vu hier soir à la télévision. Je suis sidérée, et vraiment je me demande s'il existe une neutralité des professeurs envers les candidats.
Je trouve indécent et déplorable qu'on permette à un membre de l'Académie de discuter, d'analyser, d'écraser et de salir un candidat avec un autre candidat.
J'ai toujours cru qu'un membre du jury se devait de ne jamais émettre, juger, abaisser un candidat avec un autre, c'est un manque de professionnalisme aberrant.
J'avais une grande admiration pour cette personne, croyant à son honnêteté, sa rigueur, son savoir et sa neutralité, mais aujourd'hui, quelle déception.
J'ose espérer que la haute direction corrigera cette lacune, car plutôt que de donner l'image de la solidarité, de l'unité, que je croyais essentielles à la bonne entente d'un groupe qui a mis toute sa confiance en ses professeurs; ce fait démontre toujours la magouille, la bassesse qui attend ceux qui arrivent dans ce milieu.
Dommage, je ne crois plus au concept de Star Académie, gentil, honnête et merveilleux pour les jeunes.
Encore un exemple pour eux qu'il faut se bitcher pour arriver. J'ose croire que d'autres que moi s'en sont aperçus.
Une grand-maman déçue,
Micheline Picard.
J'aimerais poser une question à l'Académie en raison de ce que j'ai vu hier soir à la télévision. Je suis sidérée, et vraiment je me demande s'il existe une neutralité des professeurs envers les candidats.
Je trouve indécent et déplorable qu'on permette à un membre de l'Académie de discuter, d'analyser, d'écraser et de salir un candidat avec un autre candidat.
J'ai toujours cru qu'un membre du jury se devait de ne jamais émettre, juger, abaisser un candidat avec un autre, c'est un manque de professionnalisme aberrant.
J'avais une grande admiration pour cette personne, croyant à son honnêteté, sa rigueur, son savoir et sa neutralité, mais aujourd'hui, quelle déception.
J'ose espérer que la haute direction corrigera cette lacune, car plutôt que de donner l'image de la solidarité, de l'unité, que je croyais essentielles à la bonne entente d'un groupe qui a mis toute sa confiance en ses professeurs; ce fait démontre toujours la magouille, la bassesse qui attend ceux qui arrivent dans ce milieu.
Dommage, je ne crois plus au concept de Star Académie, gentil, honnête et merveilleux pour les jeunes.
Encore un exemple pour eux qu'il faut se bitcher pour arriver. J'ose croire que d'autres que moi s'en sont aperçus.
Une grand-maman déçue,
Micheline Picard.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Journal de Montréal, jeudi 11 mars 2004 en page 58.
Certains doutes au sujet de la neutralité de Denise Filiatraut
Jessica Nadeau et Pascale Lévesque.
À la suite de l'entretien entre Denise Filiatraut et Martin Giroux diffusé hier soir pendant la quotidienne de Star Académie à TVA, la famille Prud'homme s'interroge sur le professionnalisme et la neutralité de la directrice de l'académie.
Lundi dernier, pendant le cours de danse, Jean-François s'est un peu trop impliqué au goût de certains. Martin s'est énervé et la chicane a éclaté en plein cours. Bouleversé, Jean-François s'est alors retiré dans sa chambre.
Dans l'émission de mardi, les téléspectateurs ont pu voir Martin se plaindre de Jean-François à la directrice de l'académie, Denise Filiatraut.
Celle-ci a alors répondu à Martin que J.-F. était «un petit boss des bécosses» et qu'il devrait apprendre que ça ne peut pas toujours marcher comme cela dans la vie.
Le questionnement d'une grand-mère
À la suite de la diffusion de cet extrait, les parents de jean-François se sont dits offusqués du manque de professionnalisme de madame Filiatraut.
Assommée par la nouvelle, la grand-mère de Jean-François a été jusqu'à rédiger une lettre que le Journal publie aujourd'hui.
«Je trouve indécent et déplorable qu'on permette à un membre de l'Académie de discuter, d'analyser, d'écraser et de salir un candidat avec (sic) un autre candidat», écrit entre autres Micheline Picard.
Linda Prud'homme, la maman de Jean-François, n'a pas du tout aimé entendre les commentaires de madame Filiatraut à la télévision.
«Elle aurait pu en parler en retrait à J.-F. Il a peut-être été un peu trop loin ou il n'a pas su s'exprimer, mais Denise Filiatraut n'avait pas à en parler devant Martin», ajoute la mère.
Julie Snyder à la défense de sa directrice
De son côté, Denise Filiatraut a préféré ne pas commenter et c'est Julie Snyder qui s'est portée à la défense de sa directrice.
«Denise Filiatraut est une professionnelle et j'ai entièrement confiance en elle», répond d'emblée Julie Snyder.
Selon elle, il n'y a pas eu de faute, car l'échange entre la directrice et Martin s'est déroulé dans le respect.
«Jamais Denise n'a écrasé ou sali J.-F. dans ses propos», déclare-t-elle.
Quant à l'expression «petit boss des bécosses», Julie Snyder souligne que Denise l'a dit «tellement gentiment».
Enfin, pour expliquer la diffusion de cet échange, Julie Snyder affirme: «Comme dans n'importe quelle école, il ya toujours quelque chose qui ne fait pas l'affaire de tout le monde. C'est cela qu'on voulait montrer», conclut-elle, en prenant soin de dire qu'elle comprend la grand-mère d'être émotive.
Certains doutes au sujet de la neutralité de Denise Filiatraut
Jessica Nadeau et Pascale Lévesque.
À la suite de l'entretien entre Denise Filiatraut et Martin Giroux diffusé hier soir pendant la quotidienne de Star Académie à TVA, la famille Prud'homme s'interroge sur le professionnalisme et la neutralité de la directrice de l'académie.
Lundi dernier, pendant le cours de danse, Jean-François s'est un peu trop impliqué au goût de certains. Martin s'est énervé et la chicane a éclaté en plein cours. Bouleversé, Jean-François s'est alors retiré dans sa chambre.
Dans l'émission de mardi, les téléspectateurs ont pu voir Martin se plaindre de Jean-François à la directrice de l'académie, Denise Filiatraut.
Celle-ci a alors répondu à Martin que J.-F. était «un petit boss des bécosses» et qu'il devrait apprendre que ça ne peut pas toujours marcher comme cela dans la vie.
Le questionnement d'une grand-mère
À la suite de la diffusion de cet extrait, les parents de jean-François se sont dits offusqués du manque de professionnalisme de madame Filiatraut.
Assommée par la nouvelle, la grand-mère de Jean-François a été jusqu'à rédiger une lettre que le Journal publie aujourd'hui.
«Je trouve indécent et déplorable qu'on permette à un membre de l'Académie de discuter, d'analyser, d'écraser et de salir un candidat avec (sic) un autre candidat», écrit entre autres Micheline Picard.
Linda Prud'homme, la maman de Jean-François, n'a pas du tout aimé entendre les commentaires de madame Filiatraut à la télévision.
«Elle aurait pu en parler en retrait à J.-F. Il a peut-être été un peu trop loin ou il n'a pas su s'exprimer, mais Denise Filiatraut n'avait pas à en parler devant Martin», ajoute la mère.
Julie Snyder à la défense de sa directrice
De son côté, Denise Filiatraut a préféré ne pas commenter et c'est Julie Snyder qui s'est portée à la défense de sa directrice.
«Denise Filiatraut est une professionnelle et j'ai entièrement confiance en elle», répond d'emblée Julie Snyder.
Selon elle, il n'y a pas eu de faute, car l'échange entre la directrice et Martin s'est déroulé dans le respect.
«Jamais Denise n'a écrasé ou sali J.-F. dans ses propos», déclare-t-elle.
Quant à l'expression «petit boss des bécosses», Julie Snyder souligne que Denise l'a dit «tellement gentiment».
Enfin, pour expliquer la diffusion de cet échange, Julie Snyder affirme: «Comme dans n'importe quelle école, il ya toujours quelque chose qui ne fait pas l'affaire de tout le monde. C'est cela qu'on voulait montrer», conclut-elle, en prenant soin de dire qu'elle comprend la grand-mère d'être émotive.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»