Une mère incestueuse réclame la clémence
Publié : mar. oct. 13, 2009 10:37 pm
Une mère incestueuse réclame la clémence
Une femme de 55 ans qui s'est servi de son fils adolescent pour assouvir ses pulsions sexuelles pendant un an a demandé la clémence du tribunal en sanglotant, hier, au palais de justice de Québec.
«Je regrette amèrement. C'était une fois de trop et ça n'aurait jamais dû se passer», a balbutié la mère incestueuse - dont on ne peut révéler l'identité afin de protéger celle de sa victime - devant le juge Jogues Lavoie.
La quinquagénaire de Québec a été déclarée coupable, au terme d'un procès, d'avoir masturbé son fils de 13 ans et de l'avoir incité à la caresser, à raison de deux fois par semaine, sur une période d'une année. Elle reconnaissait avoir posé ces gestes à une seule et unique reprise.
«Abuser de son propre enfant ne peut attirer la clémence de la cour. Que ces gestes soient commis par un homme ou par une femme, ils doivent être punis sévèrement pour envoyer un message clair», a plaidé Me Valérie Lahaie pour la poursuite, en suggérant l'imposition d'une peine de prison ferme se situant entre 15 et 24 mois.
Sa vis-à-vis en défense, Me Gilberte Deschênes, a demandé au juge de faire bénéficier sa cliente d'une peine à purger dans la communauté.
«C'est une mère éplorée, un être humain effondré, brisé, qui a posé un geste isolé», a argué l'avocate, en expliquant que «le délit» fut commis par une femme dont l'état psychologique était «grandement affecté» par un premier mariage «désastreux» sur les plans émotifs et sexuels avec un homme violent.
Pendant ce temps, le fils de l'accusée, présent dans la salle d'audience, hochait la tête comme s'il se demandait qui était la victime dans cette sordide histoire.
«Pour moi, l'important est le moment où vous avez dit que j'étais crédible et que ma mère ne l'était pas, au procès. Je n'ai pas fondé d'espoir sur la sentence qu'elle va avoir», a témoigné le jeune homme maintenant âgé d'une trentaine d'années lorsqu'interrogé par le juge.
Le magistrat a dit vouloir réfléchir avant de prononcer la peine, fixée au 20 novembre. Mais il a déjà laissé entendre, par une question à l'accusée, que le remboursement des frais de thérapie de son fils, soit 3500 $, pourrait faire partie de la sentence.
source...
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 84902.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Une femme de 55 ans qui s'est servi de son fils adolescent pour assouvir ses pulsions sexuelles pendant un an a demandé la clémence du tribunal en sanglotant, hier, au palais de justice de Québec.
«Je regrette amèrement. C'était une fois de trop et ça n'aurait jamais dû se passer», a balbutié la mère incestueuse - dont on ne peut révéler l'identité afin de protéger celle de sa victime - devant le juge Jogues Lavoie.
La quinquagénaire de Québec a été déclarée coupable, au terme d'un procès, d'avoir masturbé son fils de 13 ans et de l'avoir incité à la caresser, à raison de deux fois par semaine, sur une période d'une année. Elle reconnaissait avoir posé ces gestes à une seule et unique reprise.
«Abuser de son propre enfant ne peut attirer la clémence de la cour. Que ces gestes soient commis par un homme ou par une femme, ils doivent être punis sévèrement pour envoyer un message clair», a plaidé Me Valérie Lahaie pour la poursuite, en suggérant l'imposition d'une peine de prison ferme se situant entre 15 et 24 mois.
Sa vis-à-vis en défense, Me Gilberte Deschênes, a demandé au juge de faire bénéficier sa cliente d'une peine à purger dans la communauté.
«C'est une mère éplorée, un être humain effondré, brisé, qui a posé un geste isolé», a argué l'avocate, en expliquant que «le délit» fut commis par une femme dont l'état psychologique était «grandement affecté» par un premier mariage «désastreux» sur les plans émotifs et sexuels avec un homme violent.
Pendant ce temps, le fils de l'accusée, présent dans la salle d'audience, hochait la tête comme s'il se demandait qui était la victime dans cette sordide histoire.
«Pour moi, l'important est le moment où vous avez dit que j'étais crédible et que ma mère ne l'était pas, au procès. Je n'ai pas fondé d'espoir sur la sentence qu'elle va avoir», a témoigné le jeune homme maintenant âgé d'une trentaine d'années lorsqu'interrogé par le juge.
Le magistrat a dit vouloir réfléchir avant de prononcer la peine, fixée au 20 novembre. Mais il a déjà laissé entendre, par une question à l'accusée, que le remboursement des frais de thérapie de son fils, soit 3500 $, pourrait faire partie de la sentence.
source...
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 84902.html" onclick="window.open(this.href);return false;
.....ben voyons donc voir si tout ceux qui pratiquent l'inceste et la pédophilie sortent d'un divorce désastreux...
C'est ce qui est rassurant. Comme s'il y avait une seule raison qui justifie un comportement comme celui-là. Je crois même que c'est pire encore venant d'une maman, la relation d'un enfant avec sa mère est très différente de celle du père, le lien et la confiance aussi. C'est souvent plus dévastateur dans une vie l'absence d'une mère alors on peut aisément imaginer les conséquences psychologiques sur un garcon qui subit l'inceste de celle-ci. 
