Une avocate victime d'harcèlement criminel
Une avocate victime d'harcèlement criminel
Ca démontre les limites des autorités à gérer les cas d'harcèlement criminel. Si une avocate, en pleine possession de ses moyens, ne réussit pas à régler son propre cas avec tous les contacts qu'elle peut avoir, j'imagine comment les femmes qui vivent ça au quotidien peuvent se sentir démunies.
Ca doit être un enfer, pis en plus dans le cas de l'avocate Myriam De Blois j'imagine qu'elle doit vraiment craindre pour son intégrité physique, car le gars il n'est vraiment pas bien. Je ne peux pas croire que ce gars là va être à nouveau dans la collectivité alors que c'est évident qu'il représente un degré de dangerosité assez élevé. On dirait que les lois sont faites pour attendre qu'un drame se produise pour réagir.
Ca doit être un enfer, pis en plus dans le cas de l'avocate Myriam De Blois j'imagine qu'elle doit vraiment craindre pour son intégrité physique, car le gars il n'est vraiment pas bien. Je ne peux pas croire que ce gars là va être à nouveau dans la collectivité alors que c'est évident qu'il représente un degré de dangerosité assez élevé. On dirait que les lois sont faites pour attendre qu'un drame se produise pour réagir.
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Sujet intéressant...
Mais est ce possible d'avoir un lien pour la nouvelle ?
Merci
Mais est ce possible d'avoir un lien pour la nouvelle ?
Merci

[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Elle a passé à Denis Lévesque hier et c'est bizarre car dans les archives de l'émission je ne trouve pas son entrevue seulement les autres sujets de l'émission. Je vais faire des recherches dans le Journal de Montréal car ils en ont parlé dans les derniers jours. Si je trouve je vais mettre le ou les liens, mais si quelqu'un d'autre est plus habile que moi ne vous gênez pas, car j'ai pas vraiment de talent en ordinateur.kapucine a écrit : Sujet intéressant...
Mais est ce possible d'avoir un lien pour la nouvelle ?
Merci

Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 85100.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Voici le lien que j'ai trouvé et si l'entrevue avec Denis Lévesque devenait disponible je le mettrai.
Voici le lien que j'ai trouvé et si l'entrevue avec Denis Lévesque devenait disponible je le mettrai.
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Justice - Harcèlement
Elle était sa proie
Serge Labrosse
Le Journal de Montréal
09/02/2010 06h22
Pendant deux ans, d'abord à son insu, une avocate de la DPJ a été suivie, épiée, puis harcelée par un employé de la Ville de Montréal, qui avait développé une fixation maladive à son égard.
Cet homme, André Martel, 49 ans, de Montréal, était littéralement obnubilé par sa victime. Si bien que même démasqué, il n'a pas lâché prise.
Il réussissait jusqu'à récemment à échapper aux policiers, mais a finalement été identifié grâce à la plaque du véhicule de la Ville à bord duquel il poursuivait la femme sans répit, du matin au soir.
On l'a arrêté à bord du véhicule de la Ville, traduit en justice et envoyé en cure fermée, lundi. Il est passible d'une peine de 12 mois de prison.
Sa victime, Myriam De Blois, est avocate pour le Directeur de la protection de la jeunesse et l'homme lui était inconnu avant qu'il ne tende vers elle ses filets.
Le procureur de la Couronne au dossier, Me Simon Lavoie, a décrit le cas au tribunal comme particulièrement grave, marqué par une déviance sexuelle évidente.
D'autres victimes ?
Me De Blois dit avoir hésité avant de rendre publique cette affaire, mais le fait aujourd'hui, encouragée par son père, «parce que je refuse de poser en victime passive et qu'il y a peut-être d'autres victimes, qui doivent dénoncer elles aussi.»
«Je refuse de rester cachée, de vivre dans la peur, de me sentir traquée comme une bête, de rester prisonnière chez moi.»
Myriam De Blois, 39 ans, se dit consciente de l'image qu'elle projette, avec ses cheveux blonds jusqu'aux fesses, sa tenue vestimentaire parfois criarde et nettement distincte des standards de sa profession.
«J'imagine même ce que des gens vont dire : avec son allure, elle a couru après.»
Pas une question de look
«Mais je refuse de croire que ce genre de chose puisse nous arriver parce qu'on a un look différent. Je pense que ça arrive à n'importe qui, aux femmes -et même aux hommes -les plus discrets.»
Informé de l'arrestation de l'employé, un porte-parole de la Ville de Montréal a déclaré qu'il était trop tôt pour qu'une décision soit prise quant à la suite des choses et au sort qu'on réservera à M. Martel.
Ce dernier aurait demandé l'assistance de son syndicat, qui lui aurait promis de lui rembourser la moitié des frais de sa thérapie à même les cotisations de ses collègues, a appris la victime. Le syndicat des cols bleus de la Ville a été interpellé à ce sujet, mais n'a pas rappelé le Journal.
Fixation maladive
«C'est terrible: ce gars-là savait où je travaillais, où j'habitais, où je mangeais et où je prenais mon café le matin...»
Myriam De Blois: «La première fois, en juin 2009, c'est dans un café, sur Mont-Royal, que je l'ai remarqué. Mais j'ai appris, plus tard, qu'il faisait une fixation maladive sur moi depuis un an déjà.»
Je l'ai revu à l'épicerie et au café, puis rue Saint-Denis. Le 4 juillet, ça ne pouvait être un hasard : il me suivait et s'arrêtait quand j'entrais dans une boutique.»
«Ça m'a énervée. Je lui ai fait face et j'ai dit : T'arrêtes de me suivre ou je fais 9-1-1. Mais je l'ai revu encore près de mon lieu de travail. Je l'ai engueulé. Il est parti.»
Un jour, elle sort de chez elle. Martel sort de nulle part et marche près d'elle, son bras frôlant le sien. Elle croit devenir folle.
«Je veux prendre un verre avec toi», dit-il. L'avocate rétorque : «T'as pas compris ? C'est non». Alors, «il se met à crier, à sacrer après moi, à me traiter de vache, à demander pourquoi je dis non ; il sait que j'étais avec un homme la veille ; il se prend la tête à deux mains et a un regard de fou.» Elle appelle la police. Il disparaît.
Un camion de la ville
Elle revoit Martel en octobre, au volant d'un camion de la Ville de Montréal. Sur ses heures de travail, matin, midi et soir.
«Je ne dormais plus, je pleurais, je souffrais d'asthme et chaque fois que je voyais un camion de la Ville, je capotais. Était-il assez fou pour défoncer chez moi ?»
Le 12 novembre, elle réussit à noter la plaque du véhicule, il est arrêté. On lui interdit tout contact. Il récidive le 28 décembre. Elle panique, on la conduit à l'hôpital en ambulance et Martel est arrêté au volant du camion de la Ville. La cour se contente de reconduire les conditions.
Le 21 janvier, puis le 27, il est près du lieu de travail de Me De Blois. Une collègue note le (même) numéro de plaque. Cette fois, Martel, arrêté une troisième fois et accusé de harcèlement criminel, plaide coupable, est envoyé en thérapie, passible de prison.
«Je suis tranquille jusqu'au 23 avril, dit Myriam De Blois en soupirant. Mais après ?»
Lien: http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 62232.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Elle était sa proie
Serge Labrosse
Le Journal de Montréal
09/02/2010 06h22
Pendant deux ans, d'abord à son insu, une avocate de la DPJ a été suivie, épiée, puis harcelée par un employé de la Ville de Montréal, qui avait développé une fixation maladive à son égard.
Cet homme, André Martel, 49 ans, de Montréal, était littéralement obnubilé par sa victime. Si bien que même démasqué, il n'a pas lâché prise.
Il réussissait jusqu'à récemment à échapper aux policiers, mais a finalement été identifié grâce à la plaque du véhicule de la Ville à bord duquel il poursuivait la femme sans répit, du matin au soir.
On l'a arrêté à bord du véhicule de la Ville, traduit en justice et envoyé en cure fermée, lundi. Il est passible d'une peine de 12 mois de prison.
Sa victime, Myriam De Blois, est avocate pour le Directeur de la protection de la jeunesse et l'homme lui était inconnu avant qu'il ne tende vers elle ses filets.
Le procureur de la Couronne au dossier, Me Simon Lavoie, a décrit le cas au tribunal comme particulièrement grave, marqué par une déviance sexuelle évidente.
D'autres victimes ?
Me De Blois dit avoir hésité avant de rendre publique cette affaire, mais le fait aujourd'hui, encouragée par son père, «parce que je refuse de poser en victime passive et qu'il y a peut-être d'autres victimes, qui doivent dénoncer elles aussi.»
«Je refuse de rester cachée, de vivre dans la peur, de me sentir traquée comme une bête, de rester prisonnière chez moi.»
Myriam De Blois, 39 ans, se dit consciente de l'image qu'elle projette, avec ses cheveux blonds jusqu'aux fesses, sa tenue vestimentaire parfois criarde et nettement distincte des standards de sa profession.
«J'imagine même ce que des gens vont dire : avec son allure, elle a couru après.»
Pas une question de look
«Mais je refuse de croire que ce genre de chose puisse nous arriver parce qu'on a un look différent. Je pense que ça arrive à n'importe qui, aux femmes -et même aux hommes -les plus discrets.»
Informé de l'arrestation de l'employé, un porte-parole de la Ville de Montréal a déclaré qu'il était trop tôt pour qu'une décision soit prise quant à la suite des choses et au sort qu'on réservera à M. Martel.
Ce dernier aurait demandé l'assistance de son syndicat, qui lui aurait promis de lui rembourser la moitié des frais de sa thérapie à même les cotisations de ses collègues, a appris la victime. Le syndicat des cols bleus de la Ville a été interpellé à ce sujet, mais n'a pas rappelé le Journal.
Fixation maladive
«C'est terrible: ce gars-là savait où je travaillais, où j'habitais, où je mangeais et où je prenais mon café le matin...»
Myriam De Blois: «La première fois, en juin 2009, c'est dans un café, sur Mont-Royal, que je l'ai remarqué. Mais j'ai appris, plus tard, qu'il faisait une fixation maladive sur moi depuis un an déjà.»
Je l'ai revu à l'épicerie et au café, puis rue Saint-Denis. Le 4 juillet, ça ne pouvait être un hasard : il me suivait et s'arrêtait quand j'entrais dans une boutique.»
«Ça m'a énervée. Je lui ai fait face et j'ai dit : T'arrêtes de me suivre ou je fais 9-1-1. Mais je l'ai revu encore près de mon lieu de travail. Je l'ai engueulé. Il est parti.»
Un jour, elle sort de chez elle. Martel sort de nulle part et marche près d'elle, son bras frôlant le sien. Elle croit devenir folle.
«Je veux prendre un verre avec toi», dit-il. L'avocate rétorque : «T'as pas compris ? C'est non». Alors, «il se met à crier, à sacrer après moi, à me traiter de vache, à demander pourquoi je dis non ; il sait que j'étais avec un homme la veille ; il se prend la tête à deux mains et a un regard de fou.» Elle appelle la police. Il disparaît.
Un camion de la ville
Elle revoit Martel en octobre, au volant d'un camion de la Ville de Montréal. Sur ses heures de travail, matin, midi et soir.
«Je ne dormais plus, je pleurais, je souffrais d'asthme et chaque fois que je voyais un camion de la Ville, je capotais. Était-il assez fou pour défoncer chez moi ?»
Le 12 novembre, elle réussit à noter la plaque du véhicule, il est arrêté. On lui interdit tout contact. Il récidive le 28 décembre. Elle panique, on la conduit à l'hôpital en ambulance et Martel est arrêté au volant du camion de la Ville. La cour se contente de reconduire les conditions.
Le 21 janvier, puis le 27, il est près du lieu de travail de Me De Blois. Une collègue note le (même) numéro de plaque. Cette fois, Martel, arrêté une troisième fois et accusé de harcèlement criminel, plaide coupable, est envoyé en thérapie, passible de prison.
«Je suis tranquille jusqu'au 23 avril, dit Myriam De Blois en soupirant. Mais après ?»
Lien: http://fr.canoe.ca/infos/societe/archiv ... 62232.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Merci beaucoup Placeress et Capuchino pour l'article 

[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Merci beaucoup Placeress.


Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Ai-je bien lu
LE SYNDICAT l'aidera
Ouf pas possible
LE SYNDICAT l'aidera
Ouf pas possible
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Ils n'ont malheureusement pas le choix de le défendre.Diane a écrit : Ai-je bien lu
LE SYNDICAT l'aidera
Ouf pas possible


Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois

Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
oui un syndicat a le choix
j'ai connu un gars qui apres 20 ans dans une entreprise
s'est mis à faire le con, violence à la contremaitre
boire sur son heure de diner dans la salle communautaire
L'entreprise l"a mis dehors , il etait le deuxieme dans l'anciennete et le syndicat a decliné l'aide
j'ai connu un gars qui apres 20 ans dans une entreprise
s'est mis à faire le con, violence à la contremaitre
boire sur son heure de diner dans la salle communautaire
L'entreprise l"a mis dehors , il etait le deuxieme dans l'anciennete et le syndicat a decliné l'aide
Dernière modification par Diane le mer. févr. 17, 2010 2:07 pm, modifié 1 fois.
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
me fait penser à mon ex celui-là
Pauvre fille j'espère que d'ici avril elle aura trouvé d'autres recours s'il revient à la charge....


Pauvre fille j'espère que d'ici avril elle aura trouvé d'autres recours s'il revient à la charge....
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Je ne suis pas spécialiste des syndicats alors je ne peux me prononcer mais je crois tout de même que ce n'est pas si facile de décliner. S'en prendre à un contremaître c'est visible et surprendre qqun à boire sur son travail c'est aussi facile à en faire la preuve. Là la faute professionnelle est moins évidente. A mon avis c'est du cas par cas. Mais je n'ai pas d'exemples pour étayer mes propos.Diane a écrit : oui un syndicat a le choix
j'ai connu un gars qui apres 20 ans dans une entreprise
s'est mis à faire le con, violence à la contremaitre
boire sur son heure de diner dans la salle communautaire
L'entreprise l"a mis dehors , il etait le deuxieme dans l'anciennete et le syndicat a decliné l'aide

Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois

Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Malike a écrit : [...]
Je ne suis pas spécialiste des syndicats alors je ne peux me prononcer mais je crois tout de même que ce n'est pas si facile de décliner. S'en prendre à un contremaître c'est visible et surprendre qqun à boire sur son travail c'est aussi facile à en faire la preuve. Là la faute professionnelle est moins évidente. A mon avis c'est du cas par cas. Mais je n'ai pas d'exemples pour étayer mes propos.
C'est un fait que ça doit être difficile de gérer le cas. Il n,a pas fait ça envers une citoyenne pendant l,exercice d'une fonction d'un employé de la ville, comme exemple le gars vient réparer un tuyau sur ton terrain et en profite pour harceler. En fait on pourrait même reduire le truc à utilisation de matériel de la ville à des fins personnels ou effectuer des faits personnels pendant les heures de travail concernant le syndicat s'il est finalement condamné face à son harcèlement.

Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Il y a des employeurs qui passent des accords avec les syndiqués dont le vol, agression envers quiconque et consommer de l'alcool sur le lieux de travail qui sont décidé indéfendable par le syndicat et qui font l'objet d'un renvoie immédiat. Mais le cas de cet employé de la ville semble un peu plus complexe.Diane a écrit : oui un syndicat a le choix
j'ai connu un gars qui apres 20 ans dans une entreprise
s'est mis à faire le con, violence à la contremaitre
boire sur son heure de diner dans la salle communautaire
L'entreprise l"a mis dehors , il etait le deuxieme dans l'anciennete et le syndicat a decliné l'aide
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Il est possible que le syndicat décide de le défendre de peur des représailles de sa part en cas de refus. Il m'a l'air assez dangereux le monsieur et ça beau être majoritairement des hommes dans le syndicat des cols bleus mais ça se peut aussi qu'il y en ait des peureux.
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Capuchino a écrit : Il est possible que le syndicat décide de le défendre de peur des représailles de sa part en cas de refus. Il m'a l'air assez dangereux le monsieur et ça beau être majoritairement des hommes dans le syndicat des cols bleus mais ça se peut aussi qu'il y en ait des peureux.
Oui, mais sauf dans des situations bien précises, les syndicats n'ont pas le choix de défendre leurs membres..... ont paient des cotisations pour cela.
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Oui par contre le syndicat n'a pas rapport , le harcelement se fait
ailleurs
ailleurs
[img]http://i80.servimg.com/u/f80/09/00/38/05/image310.jpg[/img]
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Le syndicat aurait dit qu'ils vont payer la moitié des frais médicaux..
Personnellement, je me demande ce que le syndicat vient faire là-dedans... Moi mes frais médicaux, c'est mon assurance collective qui en assume les frais remboursables... Pas mon syndicat...
Y'a de quoi que je ne comprends pas là...
Personnellement, je me demande ce que le syndicat vient faire là-dedans... Moi mes frais médicaux, c'est mon assurance collective qui en assume les frais remboursables... Pas mon syndicat...
Y'a de quoi que je ne comprends pas là...
Re: Une avocate victime d'harcèlement criminel
Oui, effectivement, y'a un truc qui cloche........ mais peut-être que c'est ce que le syndicat veut dire, que c'est son assurance qui va payer......puisque nos assurances collectives sont négociées par nos syndicats.