On a nationalisé nos enfants!

[.anthurium.]

On a nationalisé nos enfants!
Le Journal de Montréal, p. 23 / Nathalie Elgrably-Lévy, 01 avril 2010

L’enseignement religieux dans les écoles indispose. Après l’avoir supprimé dans les écoles publiques, on s’attaque maintenant aux écoles privées subventionnées.

Or, pourquoi pareil acharnement? À l’instar du réseau public, les écoles privées acceptent de se faire imposer les programmes, l’approche pédagogique, les bulletins et autres directives ministérielles. Elles font l’objet d’inspections et doivent prouver qu’elles se conforment à toutes les exigences.

Certes, les écoles privées sont financées à 60% par l’État. Toutefois, si l’on considère le degré élevé de standardisation et les rares prérogatives dont jouissent ces établissements, il serait plus honnête de dire que les écoles privées n’existent pas! On a plutôt l’impression qu’il s’agit d’écoles publiques financées à 40% par les parents.

Or, pourquoi les parents défraieraient-ils plusieurs milliers de dollars sinon parce que ces établissements répondent à des besoins que écoles publiques laïques négligent? Certains mettent l’accent sur les sports, ou les langues; d’autres garantissent un milieu de vie sain ou préparent au baccalauréat français. Évidemment, certains dispensent un enseignement religieux. Pourquoi est-il donc acceptable que des écoles offrent des cours de tout acabit, exception faite des cours de religion?

On dit que la religion est un choix privé qui ne devrait pas être financé par l’État. La formule, certes ronflante, repose sur une logique boiteuse. Dans notre système étatique, l’argent de nos impôts sert à financer une multitude de programmes et de services que nous n’approuvons pas nécessairement. Les pacifistes paient pour l’armée. Les végétariens subventionnent l’industrie porcine. Des militants pro-vie supportent financièrement les avortements tandis que les impôts de citoyens sans enfants sont destinés à la publication d’un guide sur les devoirs.

À chaque instant, les uns financent les désirs des autres, et on trouve cela normal. Dans le vocabulaire néosocialiste, c’est ce qu’on appelle la «solidarité»! Or, si la solidarité justifie qu’on finance, par exemple, le festival du cowboy, pourquoi tant d’indignation face à l’enseignement religieux?

Et puis, rappelons que, dans les faits, l’État ne paie rien. Ce sont les contribuables qui financent tout. Les parents croyants qui souhaitent un enseignement religieux paient aussi leur juste part d’impôt. En vertu de quel principe n’auraient-ils donc pas également droit au service éducatif de leur choix?

Certes, il est légitime de soumettre tous les élèves de la province à des examens uniformes pour l’enseignement séculaire. C’est un moyen efficace de s’assurer que les objectifs pédagogiques sont atteints. Si les résultats sont probants, en quoi un enseignement religieux additionnel constitue-t-il un problème?

Mais nos bureaucrates semblent malheureusement plus préoccupés par la méthode que par le résultat. En plus de décider des objectifs communs à respecter, ils veulent imposer leur conception de l’école ainsi que le type d’enseignement qu’ils jugent moralement acceptable. Dans les faits, l’État a volé aux parents la liberté de choisir l’éducation de leurs enfants. La classe politique, convaincue de sa supériorité morale, agit comme si les jeunes Québécois étaient la propriété de l’État et veut imposer sa volonté. C’est la dictature dans l’enseignement!

Or, pourquoi un modèle étatique universel serait-il supérieur à un système où les écoles laïques côtoieraient les écoles confessionnelles? Une société qui respecte les principes, les convictions et les choix de chacun, sans nuire à personne, serait incontestablement préférable à une société où un groupe impose par la force sa volonté à l’ensemble de la population. Mais nos dirigeants semblent insensibles au gros bon sens. À l’insu des parents, ils ont «nationalisés» la jeunesse québécoise pour assurer le règne de l’école publique laïque. C’est du néosocialisme, et c’est carrément sauvage!

Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.

* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.

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[Earendil]

a la peur de pas pouvoir envoyé son ou ses enfants dans une école privée à ce que je vois

[anaisse]

La classe politique, convaincue de sa supériorité morale, agit comme si les jeunes Québécois étaient la propriété de l'état et veut imposer sa volonté .

C'est comme ça dans d'autres secteurs, par exemple la ''malbouffe'' dans la boîte à lunch des enfants(une barre tendre c'est même pu accepté ), dans les hopitaux on est entrain d'enlever tout ce qui est grignotines dans les distributrices (chips, liqueurs, chocolat..) et la friture à la café. On prétexte quoi? Que les gens n'ont plus le droit de faire des choix qu'ils soient acceptables du point de vue public ou non?C'est une question individuel et ce n'est pas garant de ce que tu es en tant que personne...Par exemple, si tu vas à l'urgence et que tu lui donne un yogourt en attendant, ça veux tu dire que c'est courant toute la semaine d'avoir des menus santé à la maison?Peut-être pas pour toi, mais c'est les autres qui paie parce qu'ils ont le goût d'un chips....
Moi j'en ai marre de l'état maman qui me prends par la main et qui me dit quoi penser ou quoi faire. Pour les cours de religions, ben coudon, j'en aie eue, je ne suis pas morte et en plus je ne crois pas en toutes ces sornettes (quoique j'ai encore l'image de Jésus avec un nez en triangle ...)C'est peut-être bon d'avoir une base de l'histoire biblique si tes parents ne sont pas ouverts aux autres cultures en te faisant faire le cour d'éthique. Qu'ils laissent donc aux parents l'occasion de faire le choix pour leurs enfants, ils grandissent assez vite et vivant dans des milieux comme ici au Québec, ils sont à même de se faire une opinion. C'est du niaisage cette façon de penser de l'état.

[jumbo]

La classe politique, convaincue de sa supériorité morale, agit comme si les jeunes Québécois étaient la propriété de l'état et veut imposer sa volonté .

C'est comme ça dans d'autres secteurs, par exemple la ''malbouffe'' dans la boîte à lunch des enfants(une barre tendre c'est même pu accepté ), dans les hopitaux on est entrain d'enlever tout ce qui est grignotines dans les distributrices (chips, liqueurs, chocolat..) et la friture à la café. On prétexte quoi? Que les gens n'ont plus le droit de faire des choix qu'ils soient acceptables du point de vue public ou non?C'est une question individuel et ce n'est pas garant de ce que tu es en tant que personne...Par exemple, si tu vas à l'urgence et que tu lui donne un yogourt en attendant, ça veux tu dire que c'est courant toute la semaine d'avoir des menus santé à la maison?Peut-être pas pour toi, mais c'est les autres qui paie parce qu'ils ont le goût d'un chips....
Moi j'en ai marre de l'état maman qui me prends par la main et qui me dit quoi penser ou quoi faire. Pour les cours de religions, ben coudon, j'en aie eue, je ne suis pas morte et en plus je ne crois pas en toutes ces sornettes (quoique j'ai encore l'image de Jésus avec un nez en triangle ...)C'est peut-être bon d'avoir une base de l'histoire biblique si tes parents ne sont pas ouverts aux autres cultures en te faisant faire le cour d'éthique. Qu'ils laissent donc aux parents l'occasion de faire le choix pour leurs enfants, ils grandissent assez vite et vivant dans des milieux comme ici au Québec, ils sont à même de se faire une opinion. C'est du niaisage cette façon de penser de l'état.

C'est pour ça que le gouvernement a fait les garderies à 7$, il veut les robotiser à partir du berceau.

[mllecoconut]

Les écoles fonctionnaient très bien à l'époque ou on pouvait choisir l'option du cours de religion ou l'option du cour de morale. En ce qui me concerne, je trouve qu'on nous a imposé les écoles "laiques" de force.
Les cours de religion ne nuisaient à personne. Tout le monde avait le choix de le suivre ou non.
En région, les cours de religion étaient même plus fréquentés que les cours de morale.
Le gouvernement a fait ce changement sans l'appui de la majorité des parents .
La réalité des grandes villes est surement différente, mais ca ne change rien au fait que tout le monde avait le choix.
Pourquoi ce chambardement? Pour le progrès?
Ce n'est pas du progrès que d'enlever aux individus la possibilité de choisir!

[.anthurium.]

Les écoles fonctionnaient très bien à l'époque ou on pouvait choisir l'option du cours de religion ou l'option du cour de morale. En ce qui me concerne, je trouve qu'on nous a imposé les écoles "laiques" de force.
Les cours de religion ne nuisaient à personne. Tout le monde avait le choix de le suivre ou non.
En région, les cours de religion étaient même plus fréquentés que les cours de morale.
Le gouvernement a fait ce changement sans l'appui de la majorité des parents .
La réalité des grandes villes est surement différente, mais ca ne change rien au fait que tout le monde avait le choix.
Pourquoi ce chambardement? Pour le progrès?
Ce n'est pas du progrès que d'enlever aux individus la possibilité de choisir!

Ça me fait penser aussi aux féministes qui ridiculisent les femmes qui choisissent de rester à la maison pour élever leurs enfants. Je pensait qu'elles se battaient pour que la femme aie la liberté de choix. Mais non on veut nous imposer un modèle.

[Nikki]

[...]
[/surligneur]

Ça me fait penser aussi aux féministes qui ridiculisent les femmes qui choisissent de rester à la maison pour élever leurs enfants. Je pensait qu'elles se battaient pour que la femme aie la liberté de choix. Mais non on veut nous imposer un modèle.

T'es fais pas... C'est égal, puisque j'entends autant de femmes qui jugent durement le fait de travailler à l'extérieur...

[Placeress]

[...]


T'en fais pas... C'est égal, puisque j'entends autant de femmes qui jugent durement le fait de travailler à l'extérieur...

[Placeress]

Les écoles fonctionnaient très bien à l'époque ou on pouvait choisir l'option du cours de religion ou l'option du cour de morale. En ce qui me concerne, je trouve qu'on nous a imposé les écoles "laiques" de force.
Les cours de religion ne nuisaient à personne. Tout le monde avait le choix de le suivre ou non.
En région, les cours de religion étaient même plus fréquentés que les cours de morale.
Le gouvernement a fait ce changement sans l'appui de la majorité des parents .
La réalité des grandes villes est surement différente, mais ca ne change rien au fait que tout le monde avait le choix.
Pourquoi ce chambardement? Pour le progrès?
Ce n'est pas du progrès que d'enlever aux individus la possibilité de choisir!

A partir du moment où tu donnes un cours de religion précise dans un pays où il y plusieurs religions vécues, en plus, d'une proportion comparable de gens qui veulent une éducation laique, tu dois garder la neutralité de te institutions, si non, il sera bien difficile d'empêcher quiconque d'exiger l'enseignement d'une autre religion à l'école.

Il y a des cours et des rencontres possibles à l'extérieure des institutions pour les familles qui le veulent.

[.anthurium.]

[...]


T'es fais pas... C'est égal, puisque j'entends autant de femmes qui jugent durement le fait de travailler à l'extérieur...

Ben non elles sont supposé se battrent pour la liberté de la femme, pas pour leur modèle idéal.
Et des femmes qui jugent durement celles qui travaille à l'extérieur j'en ai pas entendu beaucoup.

[Red K]

[...]



A partir du moment où tu donnes un cours de religion précise dans un pays où il y plusieurs religions vécues, en plus, d'une proportion comparable de gens qui veulent une éducation laique, tu dois garder la neutralité de te institutions, si non, il sera bien difficile d'empêcher quiconque d'exiger l'enseignement d'une autre religion à l'école.

Il y a des cours et des rencontres possibles à l'extérieure des institutions pour les familles qui le veulent.

Je pense qu'on a passé d'un extrème à l'autre pour ce qui est de la religion.

Personnelement, je ne vois aucun problème que des écoles juives ou musulmanes enseignent leur religion (sauf la propagande fanatique évidemment) alors, je me demande pourquoi purger toutes les écoles du Québec de ce qui reste de la religion catholique. La religion reste un choix et on ne doit pas oublier qu'au Québec, notre histoire est a très forte tendance catholique. C'est ridicule d'en faire cette chasse extrémiste.

Comme d'autres matières, le libre-choix devrait exister pour l'enseignement de la religion. Je dirais qu'au même titre qu'un cours d'histoire du Québec, l'enseignement historique ''des'' religions devraient être obligatoire au moins une année au secondaire. Et l'enseignement catholique devrait être disponible et non obligatoire.

Je conçois que celà peut poser problème à la métropole multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse mais hormis cette tour de Babel, je ne vois aucun problème de disposer de ce choix dans le reste du Québec.

[Galena]

[...]


T'es fais pas... C'est égal, puisque j'entends autant de femmes qui jugent durement le fait de travailler à l'extérieur...

On ne s'en sort jamais, peu importe ce qu'on décide de faire il y a quelqu'un dans le détour pour te juger

[Nikki]

[...]


Ben non elles sont supposé se battrent pour la liberté de la femme, pas pour leur modèle idéal.
Et des femmes qui jugent durement celles qui travaille à l'extérieur j'en ai pas entendu beaucoup.

Ah bizarre. Je l'ai lu en masse ici même que de travailler à l'extérieur, c'était de parquer nos enfants, les faire élever par d'autres... Tu n'as jamais lu de tels propos ici même?

[Nikki]

[...]




On ne s'en sort jamais, peu importe ce qu'on décide de faire il y a quelqu'un dans le détour pour te juger

Et malheureusement, c'est bien souvent sur le dos des femmes que ça se fait, peu importe le choix qui est fait... J'en vois pas beaucoup pour juger du fait qu'un homme travaille à l'extérieur du foyer...

[jaskab]

[...]



Je pense qu'on a passé d'un extrème à l'autre pour ce qui est de la religion.

Personnelement, je ne vois aucun problème que des écoles juives ou musulmanes enseignent leur religion (sauf la propagande fanatique évidemment) alors, je me demande pourquoi purger toutes les écoles du Québec de ce qui reste de la religion catholique. La religion reste un choix et on ne doit pas oublier qu'au Québec, notre histoire est a très forte tendance catholique. C'est ridicule d'en faire cette chasse extrémiste.

Comme d'autres matières, le libre-choix devrait exister pour l'enseignement de la religion. Je dirais qu'au même titre qu'un cours d'histoire du Québec, l'enseignement historique ''des'' religions devraient être obligatoire au moins une année au secondaire. Et l'enseignement catholique devrait être disponible et non obligatoire.

Je conçois que celà peut poser problème à la métropole multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse mais hormis cette tour de Babel, je ne vois aucun problème de disposer de ce choix dans le reste du Québec.

Je suis entièrement d'accord avec tes propos.

[Placeress]

[...]



Je pense qu'on a passé d'un extrème à l'autre pour ce qui est de la religion.

Personnelement, je ne vois aucun problème que des écoles juives ou musulmanes enseignent leur religion (sauf la propagande fanatique évidemment) alors, je me demande pourquoi purger toutes les écoles du Québec de ce qui reste de la religion catholique. La religion reste un choix et on ne doit pas oublier qu'au Québec, notre histoire est a très forte tendance catholique. C'est ridicule d'en faire cette chasse extrémiste.

Comme d'autres matières, le libre-choix devrait exister pour l'enseignement de la religion. Je dirais qu'au même titre qu'un cours d'histoire du Québec, l'enseignement historique ''des'' religions devraient être obligatoire au moins une année au secondaire. Et l'enseignement catholique devrait être disponible et non obligatoire.

Je conçois que celà peut poser problème à la métropole multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse mais hormis cette tour de Babel, je ne vois aucun problème de disposer de ce choix dans le reste du Québec.

Bien, je ne vois pas d'extrémiste dans ça perso... je pense qu'effectivement, on a un libre choix... et on peu le pratiquer chez soi..... pour laisser les institutions enseigner les matières de bases à nos enfants.... (on manque déjà assez de temps pour le faire).

Et pour ta dernière phrase... bon, si tu veux changer le débat en débat Montréal/Québec/Région.... t'as pas trouvé la bonne fille.... ce genre de débat futile ne m'intéresse pas du tout.... je viens de Rimouski, mais je reste à Montréal, et la réalité de tous m'intéresse... les guéguerres régions/mtl ne m'ont jamais interpelé.... dsl.

[Jadomo]

[...]



Je pense qu'on a passé d'un extrème à l'autre pour ce qui est de la religion.

Personnelement, je ne vois aucun problème que des écoles juives ou musulmanes enseignent leur religion (sauf la propagande fanatique évidemment) alors, je me demande pourquoi purger toutes les écoles du Québec de ce qui reste de la religion catholique. La religion reste un choix et on ne doit pas oublier qu'au Québec, notre histoire est a très forte tendance catholique. C'est ridicule d'en faire cette chasse extrémiste.

Comme d'autres matières, le libre-choix devrait exister pour l'enseignement de la religion. Je dirais qu'au même titre qu'un cours d'histoire du Québec, l'enseignement historique ''des'' religions devraient être obligatoire au moins une année au secondaire. Et l'enseignement catholique devrait être disponible et non obligatoire.

Je conçois que celà peut poser problème à la métropole multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse mais hormis cette tour de Babel, je ne vois aucun problème de disposer de ce choix dans le reste du Québec.

J'habite à l'extérieur de Montréal, en banlieue de la banlieue... et je te dirais que la plupart des amis de mes enfants sont d'une autre nationalité (et fort probablement d'une autre religion aussi) Ça doit être un joyeux casse-tête pour la planification de l'enseignement religieux catholique à l'école...

Donc cette population multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse tend de plus en plus à s'étendre à l'extérieur des grands centres.

[jaskab]

Je suis d'accord avec Red K dans le sens où un parent devrait avoir le choix d'envoyer son enfant dans une école où on offre le cours d'enseignement religieux ou non. Personnellement, je ne vois pas de problème à ce que des écoles privées offrent ce cours. Il y a des écoles juives, pourquoi pas des écoles catholiques. Plusieurs parents étaient en désaccord avec l'abolition des cours de religion catholique.

[jaskab]

[...]



J'habite à l'extérieur de Montréal, en banlieue de la banlieue... et je te dirais que la plupart des amis de mes enfants sont d'une autre nationalité (et fort probablement d'une autre religion aussi) Ça doit être un joyeux casse-tête pour la planification de l'enseignement religieux catholique à l'école...

Donc cette population multi-culturo-ethnico-racialo-linguistico-religieuse tend de plus en plus à s'étendre à l'extérieur des grands centres.

Les enfants de nationalité différente n'étaient pas obligés d'assister aux cours d'enseignement religieux. Il y avait l'enseignement moral.

[Jadomo]

[...]

Les enfants de nationalité différente n'étaient pas obligés d'assister aux cours d'enseignement religieux. Il y avait l'enseignement moral.

Oui je sais. Mais (je dis ça comme ça là, j'ai aucune idée...) je présume qu'il y a plus d'enfants d'autres religions que catholique que de catholiques comme tel dans les écoles. Je présume aussi que chacun tirait la couverture de leur bord pour que leur religion soit enseignée...