Projet de loi 103
Publié : ven. oct. 15, 2010 11:10 am
Source Agence QMI
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/ ... 03731.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Le gouvernement Charest convoque les parlementaires afin d'adopter sous le bâillon le projet de loi 103 sur les écoles passerelles.
«À la demande du premier ministre, l'Assemblée nationale est convoquée en séances extraordinaires, le lundi 18 octobre 2010 à compter de 9h, selon le calendrier et l'horaire qui seront déterminés par l'Assemblée, afin de permettre la présentation d'un projet de loi faisant suite aux décisions judiciaires en matière de langue d'enseignement ainsi que de procéder à toutes les étapes de son étude», indiquait un message émis vendredi matin.
Jeudi, la ministre Christine Saint-Pierre avait indiqué «l'urgence d'agir», soulignant que le «Parti québécois fait de l'obstruction systématique».
Le PQ a d'ores et déjà dénoncé cette façon de faire : «Donner naissance à une loi bâtarde que tout le monde rejette et l'imposer sous le bâillon, le dossier commence à être lourd, il est temps que ce gouvernement-là débarrasse», a soutenu le député péquiste Pierre Curzi, jeudi. Pour l'opposition officielle, la seule voie envisageable, c'est l'application de la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées et le recours à la clause dérogatoire. Selon le député de Borduas, cet entêtement du gouvernement à prôner une solution qui permettra encore à des parents d'acheter une éducation en anglais à leur progéniture risque d'entraîner le Québec dans une guerre linguistique. (TVA Nouvelles et l'Agence QMI)
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Le gouvernement Charest convoque les parlementaires afin d'adopter sous le bâillon le projet de loi 103 sur les écoles passerelles.
«À la demande du premier ministre, l'Assemblée nationale est convoquée en séances extraordinaires, le lundi 18 octobre 2010 à compter de 9h, selon le calendrier et l'horaire qui seront déterminés par l'Assemblée, afin de permettre la présentation d'un projet de loi faisant suite aux décisions judiciaires en matière de langue d'enseignement ainsi que de procéder à toutes les étapes de son étude», indiquait un message émis vendredi matin.
Jeudi, la ministre Christine Saint-Pierre avait indiqué «l'urgence d'agir», soulignant que le «Parti québécois fait de l'obstruction systématique».
Le PQ a d'ores et déjà dénoncé cette façon de faire : «Donner naissance à une loi bâtarde que tout le monde rejette et l'imposer sous le bâillon, le dossier commence à être lourd, il est temps que ce gouvernement-là débarrasse», a soutenu le député péquiste Pierre Curzi, jeudi. Pour l'opposition officielle, la seule voie envisageable, c'est l'application de la Loi 101 aux écoles privées non subventionnées et le recours à la clause dérogatoire. Selon le député de Borduas, cet entêtement du gouvernement à prôner une solution qui permettra encore à des parents d'acheter une éducation en anglais à leur progéniture risque d'entraîner le Québec dans une guerre linguistique. (TVA Nouvelles et l'Agence QMI)