On croit toujours que cela ce produit loin de nous, que nous ne pouvons pas avoir pas de lien avec ces histoires horribles. Cette fois, il s'agit de l'histoire de la famille d'une fille avec qui j'allais à l'école (La soeur de la victime). Je suis complètement troublée par cette histoire.
Première publication 1 octobre 2011 à 09h18
Mise à jour : 1 octobre 2011 à 13h56
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Agence QMI
Une femme de 27 ans aurait été tuée par son conjoint dans leur appartement du secteur du Cap-de-la-Madeleine, à Trois-Rivières, dans la nuit de vendredi à samedi.
Les policiers de Trois-Rivières ont été appelés vers 1h par un individu qui leur a demandé de se présenter au 12A, rue des Ormeaux. Sur les lieux, un homme a ouvert la porte aux agents.
C'est alors qu'ils ont vu le corps inerte de la jeune femme, qui présentait des marques de violences infligées par une arme blanche, selon l'agent Michel Letarte, porte-parole de la Sécurité publique de Trois-Rivières.
La victime a été transportée à l'hôpital, où son décès a été constaté.
Les forces de l'ordre ont procédé à l'arrestation de l'homme de 26 ans, le conjoint de la victime.
Une fillette de moins de deux ans était aussi sur les lieux du meurtre. Fort heureusement, «elle a été retrouvée souriante avec sa suce dans son lit», a indiqué M. Letarte.
L'enquête suit son cours, mais des accusations pourraient être portées contre le jeune homme d'ici lundi.
Un couple calme
Patty Hamelin, qui habite dans le même immeuble, ne pouvait réaliser ce qui venait de se dérouler trois étages sous son appartement.
«C'est un jeune couple qui a une fille de 17 mois, a-t-elle affirmé. Je n'aurais jamais cru ça possible. À ma connaissance, je n'ai jamais vu de signes de violence entre eux.»
Selon Mme Hamelin, la jeune famille avait aménagé dans le logement en juillet dernier.
TR - Une jeune femme de 27 ans tuée par son conjoint
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MsPontchartrain
- Immortel du Domaine
- Messages : 11649
- Inscription : mar. mai 04, 2010 1:55 am
Re: TR - Une jeune femme de 27 ans tuée par son conjoint
Un autre lâche ... au moins il n'a pas fait de mal à l'enfant 
Je ne l'avais pas compris de cette manière, désolée Bouquet. 
Meurtre à Trois-Rivières
Un drame prévisible croit la mère de la victime
4 octobre 2011 à 19h00
«Pour le coeur d'une mère, il n'y a rien de pire»
Sylvie Harvey savait depuis un certain temps déjà que sa fille Édith était victime de violence de la part de son conjoint. Des accusations pour violence conjugale avaient d'ailleurs été déposées contre Louis-Pier Noël mais, malgré tout, la jeune femme refusait de le quitter.
«On ne pouvait rien faire, à part la conseiller et lui dire : sors de là et viens-t-en. Je ne pouvais pas faire plus. Je ne pouvais pas aller la ramasser par les cheveux et lui dire : tu t'en viens.»
Dans la nuit de samedi dernier, on le sait, Édith Bolduc a été retrouvée morte, poignardée, dans son logement de Trois-Rivières. Son conjoint, Louis-Pier Noël, a été arrêté sur place et accusé, lundi, de meurtre non-prémédité.
Comme un mauvais présage, la mère de la victime avait contacté la mère de Louis-Pier Noël pour lui faire part des ses inquiétudes.
«Elle a ri de moi : "Ben voyons donc, Sylvie. Louis-Pier ne ferait pas quelque chose comme ça" (...) Elle ne connaissait pas son fils parce, moi, ce n'est pas mon fils et je ne m'étais pas trompée.»
Le procès n'est pas commencé que, déjà, la famille de la victime s'inquiète de la suite des procédures judiciaires. L'avocat de l'accusé a émis un doute sur la responsabilité criminelle de son client lors des événements, parce qu'il a déjà été hospitalisé dans le passé pour des problèmes psychiatriques.
«Je sais qu'on a écopé une sentence-bonbon parce que la justice est ainsi faite. Il n'y en a pas de justice. Ce sont quasiment les gens honnêtes qui passent pour les meurtriers.» s'exclame Sylvie Henri.
Et puis, les parents de la victime se désolent de voir que le seul enfant du couple, une petite fille de 17 mois, ait été confié par la DPJ à un membre de la famille de l'accusé.
Sans commenter plus précisément le cas, la DPJ de Trois-Rivières explique qu'il est d'usage, dans ce genre de situations, de placer temporairement les enfants dans l'endroit jugé le plus approprié pour eux, le temps de prendre une décision finale
Les funérailles d'Édith Bolduc auront lieu lundi prochain.
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Un drame prévisible croit la mère de la victime
4 octobre 2011 à 19h00
«Pour le coeur d'une mère, il n'y a rien de pire»
Sylvie Harvey savait depuis un certain temps déjà que sa fille Édith était victime de violence de la part de son conjoint. Des accusations pour violence conjugale avaient d'ailleurs été déposées contre Louis-Pier Noël mais, malgré tout, la jeune femme refusait de le quitter.
«On ne pouvait rien faire, à part la conseiller et lui dire : sors de là et viens-t-en. Je ne pouvais pas faire plus. Je ne pouvais pas aller la ramasser par les cheveux et lui dire : tu t'en viens.»
Dans la nuit de samedi dernier, on le sait, Édith Bolduc a été retrouvée morte, poignardée, dans son logement de Trois-Rivières. Son conjoint, Louis-Pier Noël, a été arrêté sur place et accusé, lundi, de meurtre non-prémédité.
Comme un mauvais présage, la mère de la victime avait contacté la mère de Louis-Pier Noël pour lui faire part des ses inquiétudes.
«Elle a ri de moi : "Ben voyons donc, Sylvie. Louis-Pier ne ferait pas quelque chose comme ça" (...) Elle ne connaissait pas son fils parce, moi, ce n'est pas mon fils et je ne m'étais pas trompée.»
Le procès n'est pas commencé que, déjà, la famille de la victime s'inquiète de la suite des procédures judiciaires. L'avocat de l'accusé a émis un doute sur la responsabilité criminelle de son client lors des événements, parce qu'il a déjà été hospitalisé dans le passé pour des problèmes psychiatriques.
«Je sais qu'on a écopé une sentence-bonbon parce que la justice est ainsi faite. Il n'y en a pas de justice. Ce sont quasiment les gens honnêtes qui passent pour les meurtriers.» s'exclame Sylvie Henri.
Et puis, les parents de la victime se désolent de voir que le seul enfant du couple, une petite fille de 17 mois, ait été confié par la DPJ à un membre de la famille de l'accusé.
Sans commenter plus précisément le cas, la DPJ de Trois-Rivières explique qu'il est d'usage, dans ce genre de situations, de placer temporairement les enfants dans l'endroit jugé le plus approprié pour eux, le temps de prendre une décision finale
Les funérailles d'Édith Bolduc auront lieu lundi prochain.
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Re: TR - Une jeune femme de 27 ans tuée par son conjoint
J'ai une petite cousine qui est amie avec Edith.
Et elle écrivait que Louis-Pier est schizophrène et qu'il était pas fin avec et Edith avait porté plainte contre lui.
Ma belle-mère travaille dans un centre pour femmes et cette jeune femme avait un dossier ouvert (par la police) et elle pouvait se rendre au centre quand elle voulait. Elle appelait parfois au centre. Mais elle n'y a jamais été.
Et elle écrivait que Louis-Pier est schizophrène et qu'il était pas fin avec et Edith avait porté plainte contre lui.
Ma belle-mère travaille dans un centre pour femmes et cette jeune femme avait un dossier ouvert (par la police) et elle pouvait se rendre au centre quand elle voulait. Elle appelait parfois au centre. Mais elle n'y a jamais été.
Après une attente interminable et parsemée d'embûches, bébé Hugo est dans nos vies depuis mars 2017.
BB2 est arrivée !
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lorraine48
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mar. janv. 13, 2009 10:17 pm
Re: TR - Une jeune femme de 27 ans tuée par son conjoint
cette mort était presque inévitable, ses parents ont essayé autant comme autant de lui faire entendre raison mais elle n a jamais voulu les écouter, ou elle aimait trop cet homme ou elle savait que même parti elle ne serait pas en sécurité quel destin cruel
Victime d'un meurtre
Des adieux à Édith Bolduc
Par Claudie Côté | TVA Nouvelles
Mise à jour : 10 octobre 2011 à 17h46
Une cinquantaine de proches d'Édith Bolduc, cette femme de 27 ans qui aurait été assassinée par son conjoint le 1er octobre à Trois-Rivières, lui ont rendu un dernier hommage lundi.
Les funérailles ont eu lieu à 14h à Saint-Émile, dans la région de Québec.
La tante de la victime, Nathalie Pleau, a souligné le dynamisme et la bonne humeur de la jeune femme. C'est selon elle, de cette Édith-là qu'il faut se rappeler.
«Ce qui lui est arrivé, je trouve ça injuste, mais en même temps, on ne peut plus rien faire...», raconte Nathalie Pleau, très attristée par la disparition de sa nièce.
Le 1er octobre dernier, Édith Bolduc a été trouvée sans vie dans son appartement situé dans la rue des Ormeaux à Trois-Rivières. Son ami de coeur, Louis-Pier Noël, a été formellement accusé de meurtre au deuxième degré. Au printemps dernier, il avait été accusé à trois reprises de violence conjugale sur sa conjointe.
En entrevue sur les ondes de TVA, les parents d'Édith Bolduc avaient avoué savoir que quelque chose se tramait. La mère de la victime, Sylvie Henri, avait même contacté la mère de Louis-Pier Noël pour lui dire qu'elle craignait qu'un drame se produise.
Le jeune enfant du couple, une fillette de 17 mois, a été confié à sa marraine, qui provient de la famille de Louis-Pier Noël.
L'accusé demeurera détenu tout au long des procédures judiciaires. Son avocat a émis un doute sur la responsabilité criminelle de son client lors des événements, lui qui a déjà été hospitalisé dans le passé pour des problèmes psychiatriques. La requête sera présentée en cours le 26 octobre prochain.
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Des adieux à Édith Bolduc
Par Claudie Côté | TVA Nouvelles
Mise à jour : 10 octobre 2011 à 17h46
Une cinquantaine de proches d'Édith Bolduc, cette femme de 27 ans qui aurait été assassinée par son conjoint le 1er octobre à Trois-Rivières, lui ont rendu un dernier hommage lundi.
Les funérailles ont eu lieu à 14h à Saint-Émile, dans la région de Québec.
La tante de la victime, Nathalie Pleau, a souligné le dynamisme et la bonne humeur de la jeune femme. C'est selon elle, de cette Édith-là qu'il faut se rappeler.
«Ce qui lui est arrivé, je trouve ça injuste, mais en même temps, on ne peut plus rien faire...», raconte Nathalie Pleau, très attristée par la disparition de sa nièce.
Le 1er octobre dernier, Édith Bolduc a été trouvée sans vie dans son appartement situé dans la rue des Ormeaux à Trois-Rivières. Son ami de coeur, Louis-Pier Noël, a été formellement accusé de meurtre au deuxième degré. Au printemps dernier, il avait été accusé à trois reprises de violence conjugale sur sa conjointe.
En entrevue sur les ondes de TVA, les parents d'Édith Bolduc avaient avoué savoir que quelque chose se tramait. La mère de la victime, Sylvie Henri, avait même contacté la mère de Louis-Pier Noël pour lui dire qu'elle craignait qu'un drame se produise.
Le jeune enfant du couple, une fillette de 17 mois, a été confié à sa marraine, qui provient de la famille de Louis-Pier Noël.
L'accusé demeurera détenu tout au long des procédures judiciaires. Son avocat a émis un doute sur la responsabilité criminelle de son client lors des événements, lui qui a déjà été hospitalisé dans le passé pour des problèmes psychiatriques. La requête sera présentée en cours le 26 octobre prochain.
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