Funérailles de Dadie Carline René
Les questions s'accumulent
Première publication 29 janvier 2012
Article à lire:
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Mort suspecte de la mère de Sandy Duperval (star académie 2
Mort de Dadie Carline René
Son ami nie en avoir voulu à son argent
Le Journal de Montréal - 30 janvier 2012
Pointé du doigt par la famille de la victime, l’ami de l’avocate montréalaise d’origine haïtienne décédée au début du mois dans son pays natal a livré sa version de l’accident et des événements qui ont mené à sa mort.
« Ça me fait mal toutes ces questions autour de sa mort, c’est comme si on la tuait une autre fois », a lâché M. Sylvain, joint au téléphone, hier.
Vers midi, le 3 janvier, Mme René et lui roulent en compagnie d’un guide sur la route nationale en direction de Saint-Marc, quand une piétonne s’engage pour traverser la voie.
Voulant l’esquiver, M. Sylvain lance le véhicule contre un mur, à sa gauche.
Refoulés d’hôpital en hôpital, ils sont finalement admis à l’Hôpital Français de Port-au-Prince, à 21 h.
Une radiographie de l’abdomen de Mme René inquiète les médecins, qui décident d’opérer trois jours plus tard. Après un succès apparent, son état se dégrade. Elle tient des propos incohérents et se désintube elle-même à deux reprises.
« Je lui ai dit en pleurant qu’on retournerait à Montréal dès le lendemain », a-t-il confié.
À 3 h du matin, le 10 janvier, l’infirmière l’appelle. Mme René ne respire plus. « J’ai tenté de la réanimer... Si j’ai fait tout ça pour elle, c’était pour qu’elle vive. »
Pointé par la famille
Du revers de la main, M. Sylvain a rejeté l’intérêt que la famille lui prêtait aux finances de la dame de 45 ans. M. Sylvain reconnaît avoir contacté le Club de golf d’Anjou, où Mme René avait déposé des chèques pour la tenue d’une fête qu’ils co-organisaient, mais il jure que c’était seulement pour annuler l’événement prévu le 11 février. « Jamais je n’ai voulu retirer cet argent, pas un centime. Ce n’est pas le mien. »
La soirée visait à amasser des fonds pour l’organisme « Livres pour la liberté » que Mme René tentait de mettre sur pied.
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Son ami nie en avoir voulu à son argent
Le Journal de Montréal - 30 janvier 2012
Pointé du doigt par la famille de la victime, l’ami de l’avocate montréalaise d’origine haïtienne décédée au début du mois dans son pays natal a livré sa version de l’accident et des événements qui ont mené à sa mort.
« Ça me fait mal toutes ces questions autour de sa mort, c’est comme si on la tuait une autre fois », a lâché M. Sylvain, joint au téléphone, hier.
Vers midi, le 3 janvier, Mme René et lui roulent en compagnie d’un guide sur la route nationale en direction de Saint-Marc, quand une piétonne s’engage pour traverser la voie.
Voulant l’esquiver, M. Sylvain lance le véhicule contre un mur, à sa gauche.
Refoulés d’hôpital en hôpital, ils sont finalement admis à l’Hôpital Français de Port-au-Prince, à 21 h.
Une radiographie de l’abdomen de Mme René inquiète les médecins, qui décident d’opérer trois jours plus tard. Après un succès apparent, son état se dégrade. Elle tient des propos incohérents et se désintube elle-même à deux reprises.
« Je lui ai dit en pleurant qu’on retournerait à Montréal dès le lendemain », a-t-il confié.
À 3 h du matin, le 10 janvier, l’infirmière l’appelle. Mme René ne respire plus. « J’ai tenté de la réanimer... Si j’ai fait tout ça pour elle, c’était pour qu’elle vive. »
Pointé par la famille
Du revers de la main, M. Sylvain a rejeté l’intérêt que la famille lui prêtait aux finances de la dame de 45 ans. M. Sylvain reconnaît avoir contacté le Club de golf d’Anjou, où Mme René avait déposé des chèques pour la tenue d’une fête qu’ils co-organisaient, mais il jure que c’était seulement pour annuler l’événement prévu le 11 février. « Jamais je n’ai voulu retirer cet argent, pas un centime. Ce n’est pas le mien. »
La soirée visait à amasser des fonds pour l’organisme « Livres pour la liberté » que Mme René tentait de mettre sur pied.
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