C'est pareil.
Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
Modérateur : Elise-Gisèle
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Rose-des-bois
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Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
Vous pouvez aussi suivre ce lien : http://www.lapresse.ca/le-soleil/arts-e ... et-eve.php" onclick="window.open(this.href);return false;
C'est pareil.
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Dernière modification par Rose-des-bois le ven. mai 04, 2012 6:14 pm, modifié 1 fois.
Mamie vous aime mes petits amours !!!
Oh, surtout n'éteignez pas la lumière en l'enfant!!!
Adam et Ève: des transformations surprenantes!
http://7jours.ca/videos/video-iadam-et- ... I.facebook" onclick="window.open(this.href);return false;
À travers sa nouvelle comédie, Adam et Ève, Claude Meunier dresse le portrait d’un couple moderne à trois étapes de son existence, soit à 25, 45 et 80 ans. Le maquillage joue donc un rôle crucial dans la crédibilité des personnages et du scénario. 7jours.ca a eu la chance d’assister à la transformation vers la quarantaine des comédiens Pierre-François Legendre, Sophie Cadieux et Patrice Bélanger.
La comédie Adam et Ève sera diffusée dès septembre, à Radio-Canada.
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À travers sa nouvelle comédie, Adam et Ève, Claude Meunier dresse le portrait d’un couple moderne à trois étapes de son existence, soit à 25, 45 et 80 ans. Le maquillage joue donc un rôle crucial dans la crédibilité des personnages et du scénario. 7jours.ca a eu la chance d’assister à la transformation vers la quarantaine des comédiens Pierre-François Legendre, Sophie Cadieux et Patrice Bélanger.
La comédie Adam et Ève sera diffusée dès septembre, à Radio-Canada.
ADAM ET ÈVE
L'histoire d'une vie
Samuel Pradier / 05-08-2012
La vision de l’amour et du couple change avec l’âge. Claude Meunier s’est inspiré de cette constatation pour écrire sa nouvelle série, Adam et Ève, en ondes cet automne à Radio-Canada.
«Toute l’idée de la série est venue assez rapidement, en imaginant comment un même couple pourrait vivre les mêmes émotions à différents âges de leur vie, a expliqué l’auteur et réalisateur. J’ai donc imaginé la convention selon laquelle, dans un triplex, le même couple vit à trois âges différents. Au troisième étage, on trouve le couple dans la vingtaine. Au milieu, ils ont la mi-quarantaine et, au rez-de-chaussée, c’est quand ils sont très vieux, dans les 80 ans. Mais les trois âges vivent à la même époque.»
Pour les deux comédiens principaux, Sophie Cadieux et Pierre-François Legendre, le travail a été démultiplié, car ils doivent finalement jouer chacun trois versions du même personnage.
«J’ai vraiment travaillé ce rôle comme s’il s’agissait de personnages différents, a raconté Sophie Cadieux. Au départ, je devais jouer des âges que je ne connais pas encore, comme la mi-quarantaine ou l’âge avancé. Mon travail était plus de construire des attitudes, de déterminer la position du corps... Au fil des jours, quand on s’est mis à faire les trois personnages dans une même journée, je me suis rendu compte qu’il y avait une Ève commune, un lien entre les trois âges de sa vie.»
Le travail de Pierre-François Legendre a été semblable. «Il y avait de grandes lignes identiques, mais on change, dans la vie. Moi, je ne suis pas le même que j’étais lorsque j’avais 22 ans. Mon devoir, chaque jour de tournage, était de raccorder certains liens entre les différents âges.»
Comédie de situation
La série Adam et Ève se veut avant tout une comédie. Chaque épisode tourne autour d’un thème développé sur chaque tranche d’âge. Claude Meunier a essayé de garder une certaine authenticité, et il est clair que les téléspectateurs devraient se reconnaître dans les différentes situations. «Il y a beaucoup de situations vécues dans ma jeunesse et à tous les âges, a raconté l’auteur. J’ai 60 ans, et il y a, dans la série, des choses que j’ai vécues à 20 ans, à 45 ans ou même à 58 ans.»
Le fait de jouer un personnage à différentes étapes de sa vie a conforté Pierre-François Legendre dans ses choix personnels. «Je m’aperçois, en jouant un personnage plus âgé que moi, que je pose maintenant les bons gestes pour être heureux, plus tard. Cette série m’a permis de mener une bonne réflexion sur la vie.»
Sophie Cadieux s’est aussi fait la même remarque. «Présentement, dans ma vie, je suis entre deux personnages. Je pensais que la “Ève” de la mi-vingtaine me parlerait beaucoup, que ce serait un rôle qui irait de soi, mais je me suis finalement rendu compte que je ne suis plus aussi proche de cette naïveté de la jeunesse, de l’abandon total dans l’amour et de l’abnégation de soi. En même temps, je ne suis pas encore au stade de fonder une famille et je n’ai pas vécu de grands deuils, comme mon personnage.»
Adam et Ève semble dessiner un portrait assez réaliste de la société d’aujourd’hui. «Si on ne voyait pas les personnages à l’âge d’or, ce serait une série plutôt pessimiste, a analysé Pierre-François Legendre. Les jeunes Adam et Ève sont pleins d’ambition, de rêves et d’idéaux, mais la réalité les rattrape et les frappe en plein visage lorsqu’ils atteignent la mi-quarantaine. Heureusement, on les voit vieux. Ils sont dépeints comme deux êtres qui s’aiment, qui ont besoin l’un de l’autre et qui ont réussi leur vie de couple, même s’ils ont abandonné plusieurs de leurs rêves en cours de route, comme ça arrive dans la vie de tout le monde.»
Pour les deux comédiens, le plaisir de jouer ces personnages résidait aussi dans le déguisement. Ils ont beaucoup ri quand ils se sont découverts à un âge avancé, et Sophie Cadieux a d’ailleurs beaucoup aimé jouer une octogénaire. « Comme comédienne, c’était un investissement complet. La période âgée est celle dans laquelle j’ai mis le plus d’énergie, parce que c’était mon plus grand défi. Mon personnage est fragile et malin en même temps. Elle n’entend plus, elle a donc un appareil auditif, mais elle comprend bien ce qu'elle veut. Ça, c’est des situations vécues. »
Un réalisateur précis
Sophie Cadieux et Pierre François Legendre sont très heureux de travailler avec Claude Meunier, qui a non seulement écrit le scénario, mais qui a également réalisé les treize épisodes de trente minutes d’ Adam et Ève. « On a eu la chance de beaucoup travailler les textes avant le début du tournage afin de se sentir à l’aise avec le fait de jouer les mêmes personnages à trois étapes de leur vie, a expliqué Sophie Cadieux. Claude Meunier est un super directeur d’acteur, il sait ce qu’il veut et il connaît parfaitement bien la comédie. »
Patrice Bélanger, Marc Messier, Marilyn Castonguay, Simon Labelle-Ouimet, Anne-Élisabeth Bossé, Marie Soleil Dion et Éric Bruneau complètent la distribution.
http://fr.canoe.ca/divertissement/tele- ... 6-qmi.html" onclick="window.open(this.href);return false;
L'histoire d'une vie
Samuel Pradier / 05-08-2012
La vision de l’amour et du couple change avec l’âge. Claude Meunier s’est inspiré de cette constatation pour écrire sa nouvelle série, Adam et Ève, en ondes cet automne à Radio-Canada.
«Toute l’idée de la série est venue assez rapidement, en imaginant comment un même couple pourrait vivre les mêmes émotions à différents âges de leur vie, a expliqué l’auteur et réalisateur. J’ai donc imaginé la convention selon laquelle, dans un triplex, le même couple vit à trois âges différents. Au troisième étage, on trouve le couple dans la vingtaine. Au milieu, ils ont la mi-quarantaine et, au rez-de-chaussée, c’est quand ils sont très vieux, dans les 80 ans. Mais les trois âges vivent à la même époque.»
Pour les deux comédiens principaux, Sophie Cadieux et Pierre-François Legendre, le travail a été démultiplié, car ils doivent finalement jouer chacun trois versions du même personnage.
«J’ai vraiment travaillé ce rôle comme s’il s’agissait de personnages différents, a raconté Sophie Cadieux. Au départ, je devais jouer des âges que je ne connais pas encore, comme la mi-quarantaine ou l’âge avancé. Mon travail était plus de construire des attitudes, de déterminer la position du corps... Au fil des jours, quand on s’est mis à faire les trois personnages dans une même journée, je me suis rendu compte qu’il y avait une Ève commune, un lien entre les trois âges de sa vie.»
Le travail de Pierre-François Legendre a été semblable. «Il y avait de grandes lignes identiques, mais on change, dans la vie. Moi, je ne suis pas le même que j’étais lorsque j’avais 22 ans. Mon devoir, chaque jour de tournage, était de raccorder certains liens entre les différents âges.»
Comédie de situation
La série Adam et Ève se veut avant tout une comédie. Chaque épisode tourne autour d’un thème développé sur chaque tranche d’âge. Claude Meunier a essayé de garder une certaine authenticité, et il est clair que les téléspectateurs devraient se reconnaître dans les différentes situations. «Il y a beaucoup de situations vécues dans ma jeunesse et à tous les âges, a raconté l’auteur. J’ai 60 ans, et il y a, dans la série, des choses que j’ai vécues à 20 ans, à 45 ans ou même à 58 ans.»
Le fait de jouer un personnage à différentes étapes de sa vie a conforté Pierre-François Legendre dans ses choix personnels. «Je m’aperçois, en jouant un personnage plus âgé que moi, que je pose maintenant les bons gestes pour être heureux, plus tard. Cette série m’a permis de mener une bonne réflexion sur la vie.»
Sophie Cadieux s’est aussi fait la même remarque. «Présentement, dans ma vie, je suis entre deux personnages. Je pensais que la “Ève” de la mi-vingtaine me parlerait beaucoup, que ce serait un rôle qui irait de soi, mais je me suis finalement rendu compte que je ne suis plus aussi proche de cette naïveté de la jeunesse, de l’abandon total dans l’amour et de l’abnégation de soi. En même temps, je ne suis pas encore au stade de fonder une famille et je n’ai pas vécu de grands deuils, comme mon personnage.»
Adam et Ève semble dessiner un portrait assez réaliste de la société d’aujourd’hui. «Si on ne voyait pas les personnages à l’âge d’or, ce serait une série plutôt pessimiste, a analysé Pierre-François Legendre. Les jeunes Adam et Ève sont pleins d’ambition, de rêves et d’idéaux, mais la réalité les rattrape et les frappe en plein visage lorsqu’ils atteignent la mi-quarantaine. Heureusement, on les voit vieux. Ils sont dépeints comme deux êtres qui s’aiment, qui ont besoin l’un de l’autre et qui ont réussi leur vie de couple, même s’ils ont abandonné plusieurs de leurs rêves en cours de route, comme ça arrive dans la vie de tout le monde.»
Pour les deux comédiens, le plaisir de jouer ces personnages résidait aussi dans le déguisement. Ils ont beaucoup ri quand ils se sont découverts à un âge avancé, et Sophie Cadieux a d’ailleurs beaucoup aimé jouer une octogénaire. « Comme comédienne, c’était un investissement complet. La période âgée est celle dans laquelle j’ai mis le plus d’énergie, parce que c’était mon plus grand défi. Mon personnage est fragile et malin en même temps. Elle n’entend plus, elle a donc un appareil auditif, mais elle comprend bien ce qu'elle veut. Ça, c’est des situations vécues. »
Un réalisateur précis
Sophie Cadieux et Pierre François Legendre sont très heureux de travailler avec Claude Meunier, qui a non seulement écrit le scénario, mais qui a également réalisé les treize épisodes de trente minutes d’ Adam et Ève. « On a eu la chance de beaucoup travailler les textes avant le début du tournage afin de se sentir à l’aise avec le fait de jouer les mêmes personnages à trois étapes de leur vie, a expliqué Sophie Cadieux. Claude Meunier est un super directeur d’acteur, il sait ce qu’il veut et il connaît parfaitement bien la comédie. »
Patrice Bélanger, Marc Messier, Marilyn Castonguay, Simon Labelle-Ouimet, Anne-Élisabeth Bossé, Marie Soleil Dion et Éric Bruneau complètent la distribution.
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Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
J'aime beaucoup le choix des acteurs, j'ai hâte de voir!
Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
J'ai comme un feeling que ça va être un flop cette série... Meunier n'a pas fait grand chose de bon depuis La petite vie... J'espère me tromper par contre. Le choix des acteurs est très bien.
tu n'es pas seule à penser ainsi mais ça passe ou ça casse lol comme toutviky a écrit : J'ai comme un feeling que ça va être un flop cette série... Meunier n'a pas fait grand chose de bon depuis La petite vie... J'espère me tromper par contre. Le choix des acteurs est très bien.
"Le plus sur moyen de vaincre la tentation, c'est d'y succomber."
Ce n'est pas une critique très élogieuse... et je m'y attendais. On dirait que Claude Meunier fait tout pour se détacher de La petite vie et créer un nouveau style mais il n'y arrive pas. C'est bien dommage. Je vais laisser une chance à la série et écouter le premier épisode mais je ne m'attends pas à grand chose... 
Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
Adam et Ève: on est loin de l’Éden… Richard Therrien, 11 septembre 2012
Croyez-moi, j’y allais avec la meilleure volonté du monde. Malgré les perruques. Malgré les gags faciles de la publicité. Malgré ce ton semblant sorti d’une autre époque. On ne peut pas ne pas aimer Claude Meunier, la personne, un être drôle, charmant, qui restera à jamais l’auteur de La petite vie, chef-d’œuvre de l’humour absurde au Québec.
Hélas, Adam et Ève ne m’a pas conquis. Cette comédie croisant les destins du même couple à trois époques de sa vie, que Radio-Canada diffuse dès demain à 21h, m’est apparu d’une niaiserie déconcertante. Tant de clichés sur la vie de couple, tant de jeux de mots pas drôles, appuyés par un jeu caricatural, et qui multiplient les malaises.
Au premier épisode, consacré à la passion, on assiste à la première rencontre d’Adam et Ève (Pierre-François Legendre et Sophie Cadieux) sur le lieu d’une simulation d’attaque terroriste; Adam est le metteur en scène alors qu’Ève, apprentie infirmière. Déjà, la démarcation des faux cheveux de Pierre-François Legendre dérange.
On suivra le couple dans la vingtaine, la mi-quarantaine, puis vers la fin de sa vie. Bien que le couple nous soit montré à trois âges de sa vie, on reste toujours à notre époque. Le dépanneur reste le même dépanneur, la psy aussi, et ainsi de suite.
C’est à la fin de leur vie que les clichés sont les plus abondants, Ève étant dure d’oreille, lui, notant dans un agenda les températures de chaque journée, et le duo partageant un lit hydraulique qui monte et descend à volonté.
Le second épisode, ayant pour thème la descendance, est le moins bon des trois. Le personnage incarné par Marc Messier, sugar daddy de la fille du couple, de 45 ans son aîné, surnomme sa belle-mère «Sugar Pie» à tout instant. Celle-ci le lui rend bien, l’affublant du quolibet de «vieux schmock».
Là où Un gars, une fille visait juste et surprenait avec ses gags inattendus, Adam et Ève finit souvent en «pouet, pouet». On aimerait s’attacher à ce couple, on finit seulement par souhaiter ne jamais le rencontrer dans la rue.
Pour illustrer les âges différents, on nous annonçait des transformations subtiles. Malheureusement, c’est raté. Les perruques et les maquillages auraient convenu à un Bye bye, mais ici, nous font décrocher. Quand Pierre-François Legendre joue Adam à la fin de sa vie, il se met à parler comme un Père Noël.
Les interventions de l’entourage n’arrangent rien à l’affaire. Dur de croire aux enfants d’Adam et Ève, surtout leur fils gai Olivier (Simon Labelle-Ouimet), dont le chum (Éric Bruneau) refuse d’afficher son homosexualité. Et on se dit en 2012. S’il fallait saisir un deuxième degré, je ne l’ai pas compris.
Quand l’ado du couple, le jour de sa fête, envoie aux invités: «Chu tanné d’entendre toutes vos niaiseries!», on ne peut qu’être d’accord avec lui.
Croyez-moi, j’y allais avec la meilleure volonté du monde. Malgré les perruques. Malgré les gags faciles de la publicité. Malgré ce ton semblant sorti d’une autre époque. On ne peut pas ne pas aimer Claude Meunier, la personne, un être drôle, charmant, qui restera à jamais l’auteur de La petite vie, chef-d’œuvre de l’humour absurde au Québec.
Hélas, Adam et Ève ne m’a pas conquis. Cette comédie croisant les destins du même couple à trois époques de sa vie, que Radio-Canada diffuse dès demain à 21h, m’est apparu d’une niaiserie déconcertante. Tant de clichés sur la vie de couple, tant de jeux de mots pas drôles, appuyés par un jeu caricatural, et qui multiplient les malaises.
Au premier épisode, consacré à la passion, on assiste à la première rencontre d’Adam et Ève (Pierre-François Legendre et Sophie Cadieux) sur le lieu d’une simulation d’attaque terroriste; Adam est le metteur en scène alors qu’Ève, apprentie infirmière. Déjà, la démarcation des faux cheveux de Pierre-François Legendre dérange.
On suivra le couple dans la vingtaine, la mi-quarantaine, puis vers la fin de sa vie. Bien que le couple nous soit montré à trois âges de sa vie, on reste toujours à notre époque. Le dépanneur reste le même dépanneur, la psy aussi, et ainsi de suite.
C’est à la fin de leur vie que les clichés sont les plus abondants, Ève étant dure d’oreille, lui, notant dans un agenda les températures de chaque journée, et le duo partageant un lit hydraulique qui monte et descend à volonté.
Le second épisode, ayant pour thème la descendance, est le moins bon des trois. Le personnage incarné par Marc Messier, sugar daddy de la fille du couple, de 45 ans son aîné, surnomme sa belle-mère «Sugar Pie» à tout instant. Celle-ci le lui rend bien, l’affublant du quolibet de «vieux schmock».
Là où Un gars, une fille visait juste et surprenait avec ses gags inattendus, Adam et Ève finit souvent en «pouet, pouet». On aimerait s’attacher à ce couple, on finit seulement par souhaiter ne jamais le rencontrer dans la rue.
Pour illustrer les âges différents, on nous annonçait des transformations subtiles. Malheureusement, c’est raté. Les perruques et les maquillages auraient convenu à un Bye bye, mais ici, nous font décrocher. Quand Pierre-François Legendre joue Adam à la fin de sa vie, il se met à parler comme un Père Noël.
Les interventions de l’entourage n’arrangent rien à l’affaire. Dur de croire aux enfants d’Adam et Ève, surtout leur fils gai Olivier (Simon Labelle-Ouimet), dont le chum (Éric Bruneau) refuse d’afficher son homosexualité. Et on se dit en 2012. S’il fallait saisir un deuxième degré, je ne l’ai pas compris.
Quand l’ado du couple, le jour de sa fête, envoie aux invités: «Chu tanné d’entendre toutes vos niaiseries!», on ne peut qu’être d’accord avec lui.
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Elise-Gisèle
- Modérateur
- Messages : 19330
- Inscription : sam. oct. 25, 2003 12:00 am
La liberté n'est pas une marque de yogourt. - Pierre FalardeauLe problème c'est que l'écriture de Meunier est tellement caricaturale, clichée et stéréotypée. Pour la Petite Vie, c'est comment dire, invisible, étant donné que l'absurde est au coeur de l'émission, mais quand on y pense, même avec l'absurdité en toile de fond, il y a quelque chose d'un peu agaçant dans cette représentation stéréotypée de personnages, que ce soit l'homosexuel qui a le poignet cassé et un kit léopard et cuirette, ou la française chiante, malpropre avec du poil sous les bras qui traîne un fromage qui pue et une baguette. C'est clair que dès que Meunier s'éloigne de l'absurde, ça ne passe plus.
Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
C'est ce soir que ça commence...Bien hâte de me faire une idée.
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NainDeJardin
- Immortel du Domaine
- Messages : 19559
- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
J'comprends pas que ce scénario ait passé parce que c'est gros, pas drôle et c'est un gros festival de malaises... Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
C'est vrai qu'y a plein de malaises...J'ai décroché dans les 10 premières minutes...
Re: Adam et Ève à Radio-Canada cet automne
Quant à moi, c'est même pas à cause des perruques que c'est d'un ennuie mortel.
Vraiment plate... Avec des jokes faciles... zzzzzzzzzzzzzz
Décevant. Je ne réécouterai pas.
Vraiment plate... Avec des jokes faciles... zzzzzzzzzzzzzz
Décevant. Je ne réécouterai pas.