Dionigi Tettamanzi et Francis Arinze favoris pour succéder à Jean Paul
Si on espère un vent de changement dans l'Église, il ne m'apparaît pas que l'un des deux québécois accèdent à la papauté. Tous les deux sont considérés comme des conservateurs et le cardinal Ouellet davantage que le cardinal Turcotte. L'ancien archevêque de Québec, monseigneur Maurice Couture, n'a jamais été élevé à la pourpre cardinalice justement à cause de son libéralisme religieux.
--Message edité par Beppo le 2005-04-07 14:00:19--
--Message edité par Beppo le 2005-04-07 14:00:19--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
On ne peut pas dire que le Cardinal Turcotte soit très concervateur, il essait de s'adapter à la réalité des gens qu'il cotoit. Pour ce qui est du cardinal de Québec, je ne ferai pas de commentaire.
Je crois que si on veut du renouveau, un pape d'Amérique Latine serait bien. C'est là que la plupart des catholiques se trouvent. Ils doivent mieux connaitre les problèmes du peuple que les cardinaux européen. En fait, je n'en sais rien, ce sont des déductions personnelles.
Je crois que si on veut du renouveau, un pape d'Amérique Latine serait bien. C'est là que la plupart des catholiques se trouvent. Ils doivent mieux connaitre les problèmes du peuple que les cardinaux européen. En fait, je n'en sais rien, ce sont des déductions personnelles.
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Glugibran a écritJe ne le connais (Mgr Ouellet(te); est-il si conservateur?
Disons qu'il est très strict sur certains points de la doctrine. À Québec, il a interdit la confession de groupe avant paques alors que tous les autres lui disaient que c'étaient impossible, il n'écoute par vraiment les conseils des autres. Il a été nommé cardinal il y a très peu de temps et avant il vivait a Rome, dans l'entourage du pape. C'est peut-être parce qu'il a peu d'expérience du terrain qu'il prend des décisions discutables et qu'il s'améliorera avec le temps, mais disons que pour l'instant, il est très loin de ce qu'avait connu la ville avec Couture.
Il est sur la liste des 20 papabilis (je sais pas si ça s'écrit comme ça). La curie romaine l'aime parce qu'il écrit dans un revue qui croit que le concile de Vatican est aller trop loin, ce qui est très consevateur. En échange, Turcotte considère qu'il faudrait entreprendre de nouvelles réformes pour s'adapter à la situation qui changer. On peut voir que leurs positions sont très différentes.
Disons qu'il est très strict sur certains points de la doctrine. À Québec, il a interdit la confession de groupe avant paques alors que tous les autres lui disaient que c'étaient impossible, il n'écoute par vraiment les conseils des autres. Il a été nommé cardinal il y a très peu de temps et avant il vivait a Rome, dans l'entourage du pape. C'est peut-être parce qu'il a peu d'expérience du terrain qu'il prend des décisions discutables et qu'il s'améliorera avec le temps, mais disons que pour l'instant, il est très loin de ce qu'avait connu la ville avec Couture.
Il est sur la liste des 20 papabilis (je sais pas si ça s'écrit comme ça). La curie romaine l'aime parce qu'il écrit dans un revue qui croit que le concile de Vatican est aller trop loin, ce qui est très consevateur. En échange, Turcotte considère qu'il faudrait entreprendre de nouvelles réformes pour s'adapter à la situation qui changer. On peut voir que leurs positions sont très différentes.
Mise à jour: 02/04/2005 15h35
Qui succédera à Jean-Paul II?
Un éventuel successeur du Pape est appelé un «papabile». Si l-non dispo-8217;on suit la règle de l-non dispo-8217;alternance des âges, le prochain successeur devrait être relativement âgé et son pontificat plutôt bref. Mais cette règle est plutôt anarchique et les cardinaux ne sont pas tenus de la suivre.
Le «parti italien» favorise le cardinal Dionigi Tettamanzi, 70 ans, qui connaît bien les rouages de la Curie romaine et qui demeure le favori pour un pontificat de transition et de bonne gestion.
Tettamanzi est l-non dispo-8217;archevêque de Milan, une ville qui est considérée comme un tremplin extraordinaire vers le trône de Saint-Pierre. Le cardinal a d-non dispo-8217;ailleurs plusieurs atouts dans son jeu. D-non dispo-8217;abord, ses déclarations antimondialisation plaisent aux cardinaux progressistes. Ses écrits sur la bioéthique rassurent aussi les cardinaux conservateurs et il est proche de l-non dispo-8217;Opus Dei, un ordre laïque à la réputation conservatrice.
On retrouve aussi parmi les favoris un second cardinal italien, Giovanni Battista Ré, 70 ans.
Le Pape l-non dispo-8217;a d-non dispo-8217;ailleurs récemment placé en tête de la liste des cardinaux récemment nommés, ce qui, en langage du Vatican, le désigne comme dauphin.
Originaire de Brescia, né en 1934, il a toujours fait carrière au secrétariat d-non dispo-8217;État de la Curie romaine. Il pourrait rassembler les électeurs désireux d-non dispo-8217;un pape soucieux de l-non dispo-8217;avenir du Saint-Siège et qui serait capable de réparer les fractures internes, de s-non dispo-8217;atteler à la réforme de la Curie. Une sorte de ménage nécessaire après le long pontificat de Jean-Paul II.
Si le conclave voulait toutefois donner un signal fort au monde en élisant un pape du Tiers-Monde, son choix pourrait alors se porter vers des figures conservatrices latino-américaines, comme le Brésilien Claudio Hummes, 70 ans.
Né en 1934 au Brésil, il est actuellement archevêque de Sao Paulo, le plus gros diocèse catholique d-non dispo-8217;Amérique latine. Ce franciscain est considéré comme progressiste sur les questions sociales mais conservateur sur la doctrine.
Toujours au Tiers-Monde, on retrouve le Nigérian Francis Arinze, 72 ans, une des figures de proue de l-non dispo-8217;Église africaine.
Il est préfet de la Congrégation pour la Culte divin et la discipline des sacrements. Il est né en 1932 et il est le fils d-non dispo-8217;un chef d-non dispo-8217;une tribu animiste du Nigéria. Il a été ordonné prêtre en 1958.
Président du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, il s-non dispo-8217;occupe des relations avec l-non dispo-8217;Islam depuis 1985.
À une époque ou l-non dispo-8217;Islam domine encore largement l-non dispo-8217;Afrique, Arinze apparaît comme l-non dispo-8217;homme du dialogue et de la réconciliation, des enjeux qui pèsent lourd pour certains cardinaux.
Les candidats canadiens
Le nom du cardinal Marc Ouellet, 60 ans, est apparu sur la liste des papabile potentiels peu après son élection au consistoire d-non dispo-8217;octobre 2003.
Il est avantageusement connu de plusieurs membres du Sacré Collège provenant de plusieurs coins du monde, notamment des Colombiens, des Américains et des Italiens.
On retrouve également sur la liste des papabile Jean-Claude Turcotte, 68 ans. Pour certains observateurs, il possède des qualités qui pourraient jouer en sa faveur et procurer beaucoup d-non dispo-8217;émotions aux Montréalais.
Selon Margaret Hebblethwaite, coauteur du livre The next pope, il serait parmi les premiers papabile, du moins parmi les possibilités réelles. Son âge est susceptible d-non dispo-8217;intéresser les cardinaux. Les évêques des Amériques l-non dispo-8217;ont d-non dispo-8217;ailleurs élu au premier tour au conseil postsynodal chargé des suites du Synode des Amériques.
Il jouirait aussi d-non dispo-8217;une grande popularité outre-atlantique. Il est apprécié pour sa simplicité, son courage et les cardinaux le respectent beaucoup.
Au Vatican, il occupe des fonctions qui, dit-on, témoignent de la confiance du Pape à son endroit. Il est membre d-non dispo-8217;un comité d-non dispo-8217;étude des finances du Vatican (restreint à 13 cardinaux), du Conseil pontifical des communications sociales (9 cardinaux) et de la Congrégation pour la cause des Saints (15 cardinaux). Il est toutefois handicapé par le fait de parler peu de langues et de ne pas être un théologien.
Source : http://lcn.canoe.com/lcn/infos/lemonde/ ... 53018.html --Message edité par reaper007 le 2005-04-08 23:23:49--
Qui succédera à Jean-Paul II?
Un éventuel successeur du Pape est appelé un «papabile». Si l-non dispo-8217;on suit la règle de l-non dispo-8217;alternance des âges, le prochain successeur devrait être relativement âgé et son pontificat plutôt bref. Mais cette règle est plutôt anarchique et les cardinaux ne sont pas tenus de la suivre.
Le «parti italien» favorise le cardinal Dionigi Tettamanzi, 70 ans, qui connaît bien les rouages de la Curie romaine et qui demeure le favori pour un pontificat de transition et de bonne gestion.
Tettamanzi est l-non dispo-8217;archevêque de Milan, une ville qui est considérée comme un tremplin extraordinaire vers le trône de Saint-Pierre. Le cardinal a d-non dispo-8217;ailleurs plusieurs atouts dans son jeu. D-non dispo-8217;abord, ses déclarations antimondialisation plaisent aux cardinaux progressistes. Ses écrits sur la bioéthique rassurent aussi les cardinaux conservateurs et il est proche de l-non dispo-8217;Opus Dei, un ordre laïque à la réputation conservatrice.
On retrouve aussi parmi les favoris un second cardinal italien, Giovanni Battista Ré, 70 ans.
Le Pape l-non dispo-8217;a d-non dispo-8217;ailleurs récemment placé en tête de la liste des cardinaux récemment nommés, ce qui, en langage du Vatican, le désigne comme dauphin.
Originaire de Brescia, né en 1934, il a toujours fait carrière au secrétariat d-non dispo-8217;État de la Curie romaine. Il pourrait rassembler les électeurs désireux d-non dispo-8217;un pape soucieux de l-non dispo-8217;avenir du Saint-Siège et qui serait capable de réparer les fractures internes, de s-non dispo-8217;atteler à la réforme de la Curie. Une sorte de ménage nécessaire après le long pontificat de Jean-Paul II.
Si le conclave voulait toutefois donner un signal fort au monde en élisant un pape du Tiers-Monde, son choix pourrait alors se porter vers des figures conservatrices latino-américaines, comme le Brésilien Claudio Hummes, 70 ans.
Né en 1934 au Brésil, il est actuellement archevêque de Sao Paulo, le plus gros diocèse catholique d-non dispo-8217;Amérique latine. Ce franciscain est considéré comme progressiste sur les questions sociales mais conservateur sur la doctrine.
Toujours au Tiers-Monde, on retrouve le Nigérian Francis Arinze, 72 ans, une des figures de proue de l-non dispo-8217;Église africaine.
Il est préfet de la Congrégation pour la Culte divin et la discipline des sacrements. Il est né en 1932 et il est le fils d-non dispo-8217;un chef d-non dispo-8217;une tribu animiste du Nigéria. Il a été ordonné prêtre en 1958.
Président du conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, il s-non dispo-8217;occupe des relations avec l-non dispo-8217;Islam depuis 1985.
À une époque ou l-non dispo-8217;Islam domine encore largement l-non dispo-8217;Afrique, Arinze apparaît comme l-non dispo-8217;homme du dialogue et de la réconciliation, des enjeux qui pèsent lourd pour certains cardinaux.
Les candidats canadiens
Le nom du cardinal Marc Ouellet, 60 ans, est apparu sur la liste des papabile potentiels peu après son élection au consistoire d-non dispo-8217;octobre 2003.
Il est avantageusement connu de plusieurs membres du Sacré Collège provenant de plusieurs coins du monde, notamment des Colombiens, des Américains et des Italiens.
On retrouve également sur la liste des papabile Jean-Claude Turcotte, 68 ans. Pour certains observateurs, il possède des qualités qui pourraient jouer en sa faveur et procurer beaucoup d-non dispo-8217;émotions aux Montréalais.
Selon Margaret Hebblethwaite, coauteur du livre The next pope, il serait parmi les premiers papabile, du moins parmi les possibilités réelles. Son âge est susceptible d-non dispo-8217;intéresser les cardinaux. Les évêques des Amériques l-non dispo-8217;ont d-non dispo-8217;ailleurs élu au premier tour au conseil postsynodal chargé des suites du Synode des Amériques.
Il jouirait aussi d-non dispo-8217;une grande popularité outre-atlantique. Il est apprécié pour sa simplicité, son courage et les cardinaux le respectent beaucoup.
Au Vatican, il occupe des fonctions qui, dit-on, témoignent de la confiance du Pape à son endroit. Il est membre d-non dispo-8217;un comité d-non dispo-8217;étude des finances du Vatican (restreint à 13 cardinaux), du Conseil pontifical des communications sociales (9 cardinaux) et de la Congrégation pour la cause des Saints (15 cardinaux). Il est toutefois handicapé par le fait de parler peu de langues et de ne pas être un théologien.
Source : http://lcn.canoe.com/lcn/infos/lemonde/ ... 53018.html --Message edité par reaper007 le 2005-04-08 23:23:49--
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Glugibran a écritJe ne le connais (Mgr Ouellet(te); est-il si conservateur?
De toute facon Mgr Ouellet n'a que 61 ans...j'ai l'impression que le prochain pape va en n'être un de transition...(pas trop jeune, pas trop vieux) pour 6-7 ans...Ils n'éliront surement pas un Pape qui a des idées "modernes"...pas tout de suite. Mgr Ouellet est pas "moderne" mais son age joue contre lui.
Pour ce qui est du retour de la messe en latin Bouleamites_ j'aurais rien contre ca ferait changement... --Message edité par bobépine le 2005-04-08 23:15:45--
De toute facon Mgr Ouellet n'a que 61 ans...j'ai l'impression que le prochain pape va en n'être un de transition...(pas trop jeune, pas trop vieux) pour 6-7 ans...Ils n'éliront surement pas un Pape qui a des idées "modernes"...pas tout de suite. Mgr Ouellet est pas "moderne" mais son age joue contre lui.
Pour ce qui est du retour de la messe en latin Bouleamites_ j'aurais rien contre ca ferait changement... --Message edité par bobépine le 2005-04-08 23:15:45--

C'est bobépine ou bépine SVP

reaper007 a écritMise à jour: 02/04/2005 15h35
Qui succédera à Jean-Paul II?
On retrouve aussi parmi les favoris un second cardinal italien, Giovanni Battista Ré, 70 ans.
Ben moi, je vote pour lui, lol. On dit de lui qu'il est réformateur, ouvert sur les questions de la PRÊTRISE POUR LES FEMMES (fini le sexisme, na!) de l'avortement (fini les enfants qui meurent de faim) et du mariage des prêtres (fini... heu pas mal d'affaires que je sais sur les prêtres en manque de sexe). Sinon, je voterais pour le cardinal Dionigi Tettamanzi, un autre réformateur qui a de très bonnes chances apparemment. Pour ce qui est de Francis Arinze, ce serait assez étonnant, mais tout à fait révolutionnaire! Un pape noir? Il fait partie des favoris, mais... j'ai des doutes!
Qui succédera à Jean-Paul II?
On retrouve aussi parmi les favoris un second cardinal italien, Giovanni Battista Ré, 70 ans.
Ben moi, je vote pour lui, lol. On dit de lui qu'il est réformateur, ouvert sur les questions de la PRÊTRISE POUR LES FEMMES (fini le sexisme, na!) de l'avortement (fini les enfants qui meurent de faim) et du mariage des prêtres (fini... heu pas mal d'affaires que je sais sur les prêtres en manque de sexe). Sinon, je voterais pour le cardinal Dionigi Tettamanzi, un autre réformateur qui a de très bonnes chances apparemment. Pour ce qui est de Francis Arinze, ce serait assez étonnant, mais tout à fait révolutionnaire! Un pape noir? Il fait partie des favoris, mais... j'ai des doutes!
Giminie a écritIl y aurait un des pababilis d'Amérique Latine qui parlerait 8 langues, est-ce que vous savez c'est qui???
Je crois que c'est lui :
Oscar Andrés RODRIGUEZ MARADIAGA, sdb
Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)
Né le 29 décembre 1942
Créé cardinal par Jean-Paul II le 21 février 2001
Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga est salésien depuis l'âge de 19 ans. Né le 29 décembre 1942 à Tegucigalpa, il est éduqué par les maîtres de la congrégation de Don Bosco à l'Institut San Miguel (1949-1959). Il devient instituteur à 20 ans puis professeur de mathématiques et physique. Il est diplômé en philosophie à El Salvador (1965). Il est ordonné prêtre au Guatemala le 28 juin 1970. Il obtient sa licence de théologie à l'Athénée salésien à Rome (1970) puis un doctorat en théologie morale à l'université du Latran (1974). C'est à Innsbruck (Autriche) qu'il continue sa formation en psychologie clinique et psychothérapie (1975). Ses études de musique (harmonie et composition) l'occupent entre 1967 et 1970 à Guatemala et aux États-Unis. Sa vocation d'enseignant se déploie successivement au Guatemala (1963), au Honduras (1966), et de nouveau pendant treize ans au Guatemala comme professeur de musique mais aussi de chimie, de théologie morale et ecclésiologique (1971-1975), secrétaire de la faculté de théologie (1974-1976) puis recteur de l'Institut philosophique salésien (1975-1978).
Il est alors nommé évêque auxiliaire de Tegucigalpa le 28 octobre 1978. Quinze ans plus tard, il devient archevêque de la capitale hondurienne. Il est aussi reconnu par ses pairs pour assumer la charge de secrétaire général (1980-1988) et président, à partir de 1997, de la conférence épiscopale du Honduras. Progressivement investi dans les instances des épiscopats d'Amérique latine, il est secrétaire général (1987-1991), président du comité économique (1991-1995) et président (1995-1999) du CELAM, le conseil épiscopal latino-américain. Il est créé premier cardinal hondurien par Jean-Paul II le 21 février 2001.
Je crois que c'est lui :
Oscar Andrés RODRIGUEZ MARADIAGA, sdb
Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)
Né le 29 décembre 1942
Créé cardinal par Jean-Paul II le 21 février 2001
Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga est salésien depuis l'âge de 19 ans. Né le 29 décembre 1942 à Tegucigalpa, il est éduqué par les maîtres de la congrégation de Don Bosco à l'Institut San Miguel (1949-1959). Il devient instituteur à 20 ans puis professeur de mathématiques et physique. Il est diplômé en philosophie à El Salvador (1965). Il est ordonné prêtre au Guatemala le 28 juin 1970. Il obtient sa licence de théologie à l'Athénée salésien à Rome (1970) puis un doctorat en théologie morale à l'université du Latran (1974). C'est à Innsbruck (Autriche) qu'il continue sa formation en psychologie clinique et psychothérapie (1975). Ses études de musique (harmonie et composition) l'occupent entre 1967 et 1970 à Guatemala et aux États-Unis. Sa vocation d'enseignant se déploie successivement au Guatemala (1963), au Honduras (1966), et de nouveau pendant treize ans au Guatemala comme professeur de musique mais aussi de chimie, de théologie morale et ecclésiologique (1971-1975), secrétaire de la faculté de théologie (1974-1976) puis recteur de l'Institut philosophique salésien (1975-1978).
Il est alors nommé évêque auxiliaire de Tegucigalpa le 28 octobre 1978. Quinze ans plus tard, il devient archevêque de la capitale hondurienne. Il est aussi reconnu par ses pairs pour assumer la charge de secrétaire général (1980-1988) et président, à partir de 1997, de la conférence épiscopale du Honduras. Progressivement investi dans les instances des épiscopats d'Amérique latine, il est secrétaire général (1987-1991), président du comité économique (1991-1995) et président (1995-1999) du CELAM, le conseil épiscopal latino-américain. Il est créé premier cardinal hondurien par Jean-Paul II le 21 février 2001.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Je crois que c'est lui :
Oscar Andrés RODRIGUEZ MARADIAGA, sdb
Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)
Né le 29 décembre 1942
Créé cardinal par Jean-Paul II le 21 février 2001
Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga est salésien depuis l'âge de 19 ans. Né le 29 décembre 1942 à Tegucigalpa, il est éduqué par les maîtres de la congrégation de Don Bosco à l'Institut San Miguel (1949-1959). Il devient instituteur à 20 ans puis professeur de mathématiques et physique. Il est diplômé en philosophie à El Salvador (1965). Il est ordonné prêtre au Guatemala le 28 juin 1970. Il obtient sa licence de théologie à l'Athénée salésien à Rome (1970) puis un doctorat en théologie morale à l'université du Latran (1974). C'est à Innsbruck (Autriche) qu'il continue sa formation en psychologie clinique et psychothérapie (1975). Ses études de musique (harmonie et composition) l'occupent entre 1967 et 1970 à Guatemala et aux États-Unis. Sa vocation d'enseignant se déploie successivement au Guatemala (1963), au Honduras (1966), et de nouveau pendant treize ans au Guatemala comme professeur de musique mais aussi de chimie, de théologie morale et ecclésiologique (1971-1975), secrétaire de la faculté de théologie (1974-1976) puis recteur de l'Institut philosophique salésien (1975-1978).
Il est alors nommé évêque auxiliaire de Tegucigalpa le 28 octobre 1978. Quinze ans plus tard, il devient archevêque de la capitale hondurienne. Il est aussi reconnu par ses pairs pour assumer la charge de secrétaire général (1980-1988) et président, à partir de 1997, de la conférence épiscopale du Honduras. Progressivement investi dans les instances des épiscopats d'Amérique latine, il est secrétaire général (1987-1991), président du comité économique (1991-1995) et président (1995-1999) du CELAM, le conseil épiscopal latino-américain. Il est créé premier cardinal hondurien par Jean-Paul II le 21 février 2001.
J'ai trouvé dans un autre article que ce cardinal parle 7 langues dont le français. Il serait un ami du cardinal Turcotte. On écrit qu'il a séduit la presse vaticane qui en fait l'un des favoris malgré son jeune âge.
Je crois que c'est lui :
Oscar Andrés RODRIGUEZ MARADIAGA, sdb
Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)
Né le 29 décembre 1942
Créé cardinal par Jean-Paul II le 21 février 2001
Oscar Andrés Rodriguez Maradiaga est salésien depuis l'âge de 19 ans. Né le 29 décembre 1942 à Tegucigalpa, il est éduqué par les maîtres de la congrégation de Don Bosco à l'Institut San Miguel (1949-1959). Il devient instituteur à 20 ans puis professeur de mathématiques et physique. Il est diplômé en philosophie à El Salvador (1965). Il est ordonné prêtre au Guatemala le 28 juin 1970. Il obtient sa licence de théologie à l'Athénée salésien à Rome (1970) puis un doctorat en théologie morale à l'université du Latran (1974). C'est à Innsbruck (Autriche) qu'il continue sa formation en psychologie clinique et psychothérapie (1975). Ses études de musique (harmonie et composition) l'occupent entre 1967 et 1970 à Guatemala et aux États-Unis. Sa vocation d'enseignant se déploie successivement au Guatemala (1963), au Honduras (1966), et de nouveau pendant treize ans au Guatemala comme professeur de musique mais aussi de chimie, de théologie morale et ecclésiologique (1971-1975), secrétaire de la faculté de théologie (1974-1976) puis recteur de l'Institut philosophique salésien (1975-1978).
Il est alors nommé évêque auxiliaire de Tegucigalpa le 28 octobre 1978. Quinze ans plus tard, il devient archevêque de la capitale hondurienne. Il est aussi reconnu par ses pairs pour assumer la charge de secrétaire général (1980-1988) et président, à partir de 1997, de la conférence épiscopale du Honduras. Progressivement investi dans les instances des épiscopats d'Amérique latine, il est secrétaire général (1987-1991), président du comité économique (1991-1995) et président (1995-1999) du CELAM, le conseil épiscopal latino-américain. Il est créé premier cardinal hondurien par Jean-Paul II le 21 février 2001.
J'ai trouvé dans un autre article que ce cardinal parle 7 langues dont le français. Il serait un ami du cardinal Turcotte. On écrit qu'il a séduit la presse vaticane qui en fait l'un des favoris malgré son jeune âge.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Ça ne sera pas facile de choisir quelqu'un de pas trop jeune, pas trop vieux, pas trop progressiste, pas trop de gauche et polyglotte! Il serait peut-être temps d'en avoir un qui s'attaquerait aux vrais problèmes de l'Église avant qu'il ne soit trop tard.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!