Choix d'un chef PQ Prise 3
Citation :
Course à la direction du Parti Québécois :
44 présidents de circonscrïption du Parti Québécois appuient André Boisclair
Montréal, le 12 août 2005 – Alors que la course à la direction du Parti Québécois s’amorce à peine, 44 présidents de circonscrïption, soit plus du tiers de l’ensemble des présidents, apportent leur appui à André Boisclair.
« Il est le chef dont le Parti Québécois a besoin pour réaliser la souveraineté. Il est expérimenté et énergique. Je suis convaincu qu’André Boisclair saura mener la bataille décisive qui nous conduira au pays du Québec », a déclaré Nicole B. Madore, présidente de la circonscrïption de Vanier.
« C’est pour ses qualités de rassembleur que j’appuie André Boisclair. Il connait le Québec et ses régions. On sent clairement sur le terrain un vent d’enthousiasme autour de sa candidature. Il amène le renouveau dont le Parti Québécois et le Québec ont besoin », a déclaré Pascal Grenier, président de la circonscrïption de Rouyn-Noranda-Témiscamingue.
Rappelons également qu’André Boisclair bénéficie à ce jour de l’appui de dix députés du Parti Québécois et de sept députés du Bloc Québécois.
« Je suis heureux de la confiance que me témoignent plusieurs dirigeants du Parti. Je vais poursuivre mon travail et élargir la coalition que je souhaite mettre en place afin de donner à notre parti la force et l’élan qui le conduira à la victoire et à la souveraineté du Québec », a déclaré André Boisclair.
Ce dernier poursuit sa tournée du Québec au cours de laquelle il rencontre dans chacune des régions de nombreux militants, citoyens et groupes communautaires. Il est d’ailleurs aujourd’hui dans le Bas-Saint-Laurent et sera demain au Saguenay et dimanche dans l’Outaouais.
La liste des présidents de circonscrïption appuyant André Boisclair :
Alain Lapointe (Abitibi-Est)
Pascal Grenier (Rouyn-Noranda-Témiscamingue)
Michel Forget (Kamouraska-Témiscouata)
Pascal Bérubé (Matane)
André Gamache (Matapédia)
Annie Simard (Charlevoix)
Gilles Grenier (Jean-Lesage)
Serge Duclos (La Peltrie)
Rolande Bourgault (Portneuf)
Jean-Pierre Garneau (Taschereau)
Nicole B. Madore (Vanier)
François Houle (Arthabaska)
Monique Rousseau (Nicolet-Yamaska)
Philippe Doyon-Poulin (Beauce-Nord)
Renaud Fortier (Beauce-Sud)
Cécile Veilleux (Bellechasse)
Catherine Paré (Chutes-de-la-Chaudière)
Linda Goupil (Lévis)
Michel Fortier (Lotbinière)
André Lessard (Duplessis)
Denis Asselin (René-Lévesque)
Antonin Xavier Fournier (Johnson)
André Blais (Richmond)
Éric Desloges (Shefford)
Alain Lupien (Masson)
André Gosselin (Groulx)
Carole Ouellette (Prévost)
Pierre L'Heureux, (Vimont)
Claude Bourgeois (Champlain)
Rémy Désilets (Maskinongé)
Vital Grenier (Saint-Maurice)
Amélie Kegle (Trois-Rivières)
Michel Senecal (Châteauguay)
Sylvie Picard (La Pinière)
Robert Pellan (Laporte)
Bernard Vézina (Bourget)
Mathieu Breault (D'Arcy-McGee)
Jacques St-Louis (Gouin)
Claude Sauvé (Jacques-Cartier)
Jérôme Harou (LaFontaine)
Félix Turgeon (Ste-Marie-St-Jacques)
Gilles Hébert (Papineau)
Maïte De Echeandia (Chicoutimi)
Luc Imbeault, (Roberval)
Source : http://andre-boisclair.org/accueil.php
André Boisclair
Cher membre,
Chère membre,
Le Parti Québécois est une grande famille à laquelle j’appartiens depuis 20 ans. Au cours de toutes ces années, j’ai eu la chance de côtoyer plusieurs d’entre vous et de travailler avec ces grands leaders que sont les Parizeau, Bouchard et Landry. Chacun à leur façon, ils nous ont rapprochés de notre objectif ultime : la souveraineté.
Nous sommes maintenant arrivés à une nouvelle étape. Regardons autour de nous : la situation économique, sociale et politique a profondément évolué au cours des quinze dernières années. Le monde a changé, le Québec a changé.
Écoutons le nouveau discours public sur la souveraineté. Il est positif, il émane de toutes les générations et est résolument tourné vers l’avenir. Forts et fiers de leurs succès, les Québécois ont maintenant soif d’aller plus loin, de réaliser leur plein potentiel, de bâtir un pays solidaire et prospère qui place l’éducation au centre de son développement. Ils souhaitent mettre au monde un pays avant-gardiste et respectueux des principes du développement durable qui fera des interventions constructives sur la scène internationale. Voilà ce que nous voulons !
Le pays du Québec est à portée de main. Il nous revient, militantes et militants du Parti Québécois, de prendre le leadership de ce grand projet. Nous devons relever le défi de rassembler et de dynamiser l’ensemble des forces souverainistes et ce, dans tous les milieux.
Dans les mois qui viennent, j’écouterai les gens qui ont des questions sur notre projet et j’engagerai des discussions avec les souverainistes de partout au Québec. Ensemble, questionnons, débattons, convainquons. Participons à ce mouvement de fond qui émerge de toutes les régions.
Le 15 novembre prochain, je sollicite humblement votre confiance afin que nous réalisions, ensemble, le pays du Québec.
André Boisclair
Candidat à la direction du Parti Québécois
Cher membre,
Chère membre,
Le Parti Québécois est une grande famille à laquelle j’appartiens depuis 20 ans. Au cours de toutes ces années, j’ai eu la chance de côtoyer plusieurs d’entre vous et de travailler avec ces grands leaders que sont les Parizeau, Bouchard et Landry. Chacun à leur façon, ils nous ont rapprochés de notre objectif ultime : la souveraineté.
Nous sommes maintenant arrivés à une nouvelle étape. Regardons autour de nous : la situation économique, sociale et politique a profondément évolué au cours des quinze dernières années. Le monde a changé, le Québec a changé.
Écoutons le nouveau discours public sur la souveraineté. Il est positif, il émane de toutes les générations et est résolument tourné vers l’avenir. Forts et fiers de leurs succès, les Québécois ont maintenant soif d’aller plus loin, de réaliser leur plein potentiel, de bâtir un pays solidaire et prospère qui place l’éducation au centre de son développement. Ils souhaitent mettre au monde un pays avant-gardiste et respectueux des principes du développement durable qui fera des interventions constructives sur la scène internationale. Voilà ce que nous voulons !
Le pays du Québec est à portée de main. Il nous revient, militantes et militants du Parti Québécois, de prendre le leadership de ce grand projet. Nous devons relever le défi de rassembler et de dynamiser l’ensemble des forces souverainistes et ce, dans tous les milieux.
Dans les mois qui viennent, j’écouterai les gens qui ont des questions sur notre projet et j’engagerai des discussions avec les souverainistes de partout au Québec. Ensemble, questionnons, débattons, convainquons. Participons à ce mouvement de fond qui émerge de toutes les régions.
Le 15 novembre prochain, je sollicite humblement votre confiance afin que nous réalisions, ensemble, le pays du Québec.
André Boisclair
Candidat à la direction du Parti Québécois
Landry renonce à Verchères
L'ex-chef péquiste laisse passer l'investiture de son comté; sa décision ne calme pas les conjectures sur son avenir politique
Guillaume Bourgault-Côté
Édition du lundi 15 août 2005
Si jamais Bernard Landry décide de revenir à la vie politique -- un dossier qui sera réglé d'ici vendredi --, il devra le faire ailleurs que dans Verchères. Car l'ancien chef du Parti québécois (PQ) ne s'est pas manifesté hier, alors que se terminait la période de mises en candidature en prévision de l'investiture péquiste du 29 août dans la circonscrïption que représentait M. Landry jusqu'à sa «retraite».
À 18h30, hier, l'exécutif du parti n'avait pas eu de nouvelles de Bernard Landry, ce qui confirme que celui-ci a renoncé à reprendre son siège de député de Verchères, qu'il occupait depuis 1994. Pour être candidat à sa propre succession dans sa circonscrïption, M. Landry aurait dû demander un bulletin de candidature, le faire signer par 25 membres et le rapporter avant la fermeture des mises en candidature. Rien de cela n'a été fait. Ainsi, c'est entre Guy Lebel, Jean Bellemare et le député bloquiste de Verchères, Stéphane Bergeron, que se fera la course à l'investiture. La date de l'élection partielle sera annoncée d'ici au 6 décembre par le premier ministre Charest.
En disant non à Verchères, Bernard Landry a-t-il dit non à un retour ? Après les rumeurs les plus diverses entourant la période de réflexion de l'ancien premier ministre, personne ne semblait prêt, hier, à faire cette équation. «Je ne ferais pas de parallèle entre son refus de la députation et la prise de sa décision, indique son vieil ami Yves Michaud, à qui M. Landry parle régulièrement. S'il redevient chef du PQ, il n'est pas obligé d'aller poireauter à l'Assemblée nationale. En restant en dehors, il aurait un an et demi pour battre le rappel des troupes, un peu comme Jacques Parizeau l'avait fait [entre 1988 et 1989]. Je pense même qu'il s'agirait d'une bonne stratégie, et qu'il en avait fait une condition pour se représenter.» M. Michaud évalue toujours à 50-50 les chances de voir Bernard Landry effectuer un retour. «C'est pile ou face.»
Le signe qu'«il ne compte pas revenir»
À l'inverse, le politologue Jean-Herman Guay croit qu'il s'agit là «d'un indicateur de plus disant qu'il ne compte pas revenir. M. Landry est enraciné dans Verchères. S'il revient dans un autre comté, il y a toujours la chance de se faire battre [M. Landry a déjà perdu des élections dans Joliette et Laval-des-Rapides dans les années passées] ou de se faire accuser d'être parachuté si on lui donne un comté sûr.»
Au comité de campagne de Pauline Marois, on estime sobrement que «c'est un non-événement qui ne veut pas dire qu'il ne posera pas sa candidature plus tard. Alors on attend».
Ainsi, il semble que Bernard Landry -- qui n'a pu être joint hier -- poursuive toujours sa réflexion. Selon certaines personnes, le chef démissionnaire aurait entamé une tournée de consultation des députés péquistes, pour voir qui serait prêt à l'appuyer. Personne de la députation ne s'est à ce jour affiché publiquement en faveur du retour de M. Landry. Au contraire, certains se sont prononcés contre, alors que plusieurs ont déjà choisi leur camp entre Richard Legendre, Pauline Marois, Louis Bernard et André Boisclair.
En contrepoids des partisans d'un retour de Bernard Landry qui ont mis sur pied un site Internet d'appui il y a quelques semaines, (www.retourbernardlandry.org), des militants se présentant comme «souverainistes-péquistes», ont créé ces derniers jours un site contre ce retour (www.paslandry.bobos.ca). L'interface est identique, mais l'intention fort différente. Quelque 180 personnes avaient signé hier soir la pétition contre le retour de M. Landry. Plus de 5000 ont fait l'inverse sur le site d'appui.
Les architectes du site des contre ont refusé hier de révéler leur identité -- ce qui ne permet donc pas de juger du sérieux de la démarche virtuelle. Mais dans un échange de courriels avec Le Devoir, ces responsables ont affirmé «que le retour de Bernard Landry nuirait à la crédibilité du parti», et, au bout du compte «à l'option».
«Nous avons l'impression qu'il va revenir», écrivent-ils en se basant sur les commentaires «de personnes très proches de l'ancien chef». Et s'ils affirment avoir appuyé Bernard Landry lors du vote de confiance du congrès de juin, les auteurs estiment maintenant «qu'il doit respecter sa décision, parce que celle-ci a libéré de nouvelles énergies. Elle a changé la donne [...]. Nous avons marché avec le chef, nous avons été solidaires : l'heure du bilan a sonné.»
Toujours dans la colonne des contre, il y a 25 représentants du Comité national des jeunes du PQ qui ont exprimé hier, dans une lettre ouverte destinée à M. Landry, leur opposition à son retour. «Il est impératif que cette course puisse servir à moderniser les bases mêmes du mouvement qui sera incarné par un nouveau leadership», écrit dans cette lettre Claude Villeneuve, président du comité. Celui-ci avait déjà annoncé ses couleurs la semaine dernière, mais il l'a fait hier au nom de plusieurs signataires. Les jeunes péquistes invitent plutôt M. Landry à aider le parti en tant «qu'homme de convictions et de pédagogue».
Marois candidate
Pendant ce temps, la course au leadership du PQ se poursuit entre la douzaine de candidats déclarés. Mercredi, Pauline Marois déposera officiellement sa candidature, alors qu'elle présentera dans la journée les 1000 signatures nécessaires. Selon le directeur des communications de sa campagne, Daniel Bussières, le document est prêt depuis une semaine.
Mme Marois deviendra la quatrième candidate officielle, après André Boisclair, Louis Bernard et Richard Legendre. M. Bussières indique que Pauline Marois a réussi à faire adhérer au parti plusieurs nouveaux membres, mais il n'a pas donné d'indications précises. Le camp Boisclair affirme de son côté que son candidat a attiré 5000 nouveaux membres depuis le début de sa campagne. Le nouveau chef du PQ sera choisi le 15 novembre.
L'ex-chef péquiste laisse passer l'investiture de son comté; sa décision ne calme pas les conjectures sur son avenir politique
Guillaume Bourgault-Côté
Édition du lundi 15 août 2005
Si jamais Bernard Landry décide de revenir à la vie politique -- un dossier qui sera réglé d'ici vendredi --, il devra le faire ailleurs que dans Verchères. Car l'ancien chef du Parti québécois (PQ) ne s'est pas manifesté hier, alors que se terminait la période de mises en candidature en prévision de l'investiture péquiste du 29 août dans la circonscrïption que représentait M. Landry jusqu'à sa «retraite».
À 18h30, hier, l'exécutif du parti n'avait pas eu de nouvelles de Bernard Landry, ce qui confirme que celui-ci a renoncé à reprendre son siège de député de Verchères, qu'il occupait depuis 1994. Pour être candidat à sa propre succession dans sa circonscrïption, M. Landry aurait dû demander un bulletin de candidature, le faire signer par 25 membres et le rapporter avant la fermeture des mises en candidature. Rien de cela n'a été fait. Ainsi, c'est entre Guy Lebel, Jean Bellemare et le député bloquiste de Verchères, Stéphane Bergeron, que se fera la course à l'investiture. La date de l'élection partielle sera annoncée d'ici au 6 décembre par le premier ministre Charest.
En disant non à Verchères, Bernard Landry a-t-il dit non à un retour ? Après les rumeurs les plus diverses entourant la période de réflexion de l'ancien premier ministre, personne ne semblait prêt, hier, à faire cette équation. «Je ne ferais pas de parallèle entre son refus de la députation et la prise de sa décision, indique son vieil ami Yves Michaud, à qui M. Landry parle régulièrement. S'il redevient chef du PQ, il n'est pas obligé d'aller poireauter à l'Assemblée nationale. En restant en dehors, il aurait un an et demi pour battre le rappel des troupes, un peu comme Jacques Parizeau l'avait fait [entre 1988 et 1989]. Je pense même qu'il s'agirait d'une bonne stratégie, et qu'il en avait fait une condition pour se représenter.» M. Michaud évalue toujours à 50-50 les chances de voir Bernard Landry effectuer un retour. «C'est pile ou face.»
Le signe qu'«il ne compte pas revenir»
À l'inverse, le politologue Jean-Herman Guay croit qu'il s'agit là «d'un indicateur de plus disant qu'il ne compte pas revenir. M. Landry est enraciné dans Verchères. S'il revient dans un autre comté, il y a toujours la chance de se faire battre [M. Landry a déjà perdu des élections dans Joliette et Laval-des-Rapides dans les années passées] ou de se faire accuser d'être parachuté si on lui donne un comté sûr.»
Au comité de campagne de Pauline Marois, on estime sobrement que «c'est un non-événement qui ne veut pas dire qu'il ne posera pas sa candidature plus tard. Alors on attend».
Ainsi, il semble que Bernard Landry -- qui n'a pu être joint hier -- poursuive toujours sa réflexion. Selon certaines personnes, le chef démissionnaire aurait entamé une tournée de consultation des députés péquistes, pour voir qui serait prêt à l'appuyer. Personne de la députation ne s'est à ce jour affiché publiquement en faveur du retour de M. Landry. Au contraire, certains se sont prononcés contre, alors que plusieurs ont déjà choisi leur camp entre Richard Legendre, Pauline Marois, Louis Bernard et André Boisclair.
En contrepoids des partisans d'un retour de Bernard Landry qui ont mis sur pied un site Internet d'appui il y a quelques semaines, (www.retourbernardlandry.org), des militants se présentant comme «souverainistes-péquistes», ont créé ces derniers jours un site contre ce retour (www.paslandry.bobos.ca). L'interface est identique, mais l'intention fort différente. Quelque 180 personnes avaient signé hier soir la pétition contre le retour de M. Landry. Plus de 5000 ont fait l'inverse sur le site d'appui.
Les architectes du site des contre ont refusé hier de révéler leur identité -- ce qui ne permet donc pas de juger du sérieux de la démarche virtuelle. Mais dans un échange de courriels avec Le Devoir, ces responsables ont affirmé «que le retour de Bernard Landry nuirait à la crédibilité du parti», et, au bout du compte «à l'option».
«Nous avons l'impression qu'il va revenir», écrivent-ils en se basant sur les commentaires «de personnes très proches de l'ancien chef». Et s'ils affirment avoir appuyé Bernard Landry lors du vote de confiance du congrès de juin, les auteurs estiment maintenant «qu'il doit respecter sa décision, parce que celle-ci a libéré de nouvelles énergies. Elle a changé la donne [...]. Nous avons marché avec le chef, nous avons été solidaires : l'heure du bilan a sonné.»
Toujours dans la colonne des contre, il y a 25 représentants du Comité national des jeunes du PQ qui ont exprimé hier, dans une lettre ouverte destinée à M. Landry, leur opposition à son retour. «Il est impératif que cette course puisse servir à moderniser les bases mêmes du mouvement qui sera incarné par un nouveau leadership», écrit dans cette lettre Claude Villeneuve, président du comité. Celui-ci avait déjà annoncé ses couleurs la semaine dernière, mais il l'a fait hier au nom de plusieurs signataires. Les jeunes péquistes invitent plutôt M. Landry à aider le parti en tant «qu'homme de convictions et de pédagogue».
Marois candidate
Pendant ce temps, la course au leadership du PQ se poursuit entre la douzaine de candidats déclarés. Mercredi, Pauline Marois déposera officiellement sa candidature, alors qu'elle présentera dans la journée les 1000 signatures nécessaires. Selon le directeur des communications de sa campagne, Daniel Bussières, le document est prêt depuis une semaine.
Mme Marois deviendra la quatrième candidate officielle, après André Boisclair, Louis Bernard et Richard Legendre. M. Bussières indique que Pauline Marois a réussi à faire adhérer au parti plusieurs nouveaux membres, mais il n'a pas donné d'indications précises. Le camp Boisclair affirme de son côté que son candidat a attiré 5000 nouveaux membres depuis le début de sa campagne. Le nouveau chef du PQ sera choisi le 15 novembre.
Citation :
Pari québécois
Bernard Landry ne se représentera pas
C'est officiel: Bernard Landry ne sera pas candidat à sa propre succession.
Dans un communiqué diffusé mardi après-midi, l'ancien chef du Parti québécois déclare qu'il a démissionné de son poste en juin dernier «dans le seul intérêt du Québec et pour mieux contribuer à son accession à l'indépendance nationale».
Il ajoute que plusieurs militants lui ont demandé de réévaluer sa décision depuis, mais évoque les même raisons pour expliquer son choix aujourd'hui.
M. Landry dit faire pleinement confiance à la capacité du Parti québécois de se renouveler.
Il ajoute être persuadé que la course à la direction du PQ permettra d'élire un chef qui conduira le peuple québécois à la victoire, tant au niveau électoral que référendaire.
Source : Canoe
Oliver a écrit
Citation :
Pari québécois
Bernard Landry ne se représentera pas
C'est officiel: Bernard Landry ne sera pas candidat à sa propre succession.
Dans un communiqué diffusé mardi après-midi, l'ancien chef du Parti québécois déclare qu'il a démissionné de son poste en juin dernier «dans le seul intérêt du Québec et pour mieux contribuer à son accession à l'indépendance nationale».
Il ajoute que plusieurs militants lui ont demandé de réévaluer sa décision depuis, mais évoque les même raisons pour expliquer son choix aujourd'hui.
M. Landry dit faire pleinement confiance à la capacité du Parti québécois de se renouveler.
Il ajoute être persuadé que la course à la direction du PQ permettra d'élire un chef qui conduira le peuple québécois à la victoire, tant au niveau électoral que référendaire.
Source : Canoe
Enfin une bonne nouvelle qui va ensoleillée ma journée
Citation :
Pari québécois
Bernard Landry ne se représentera pas
C'est officiel: Bernard Landry ne sera pas candidat à sa propre succession.
Dans un communiqué diffusé mardi après-midi, l'ancien chef du Parti québécois déclare qu'il a démissionné de son poste en juin dernier «dans le seul intérêt du Québec et pour mieux contribuer à son accession à l'indépendance nationale».
Il ajoute que plusieurs militants lui ont demandé de réévaluer sa décision depuis, mais évoque les même raisons pour expliquer son choix aujourd'hui.
M. Landry dit faire pleinement confiance à la capacité du Parti québécois de se renouveler.
Il ajoute être persuadé que la course à la direction du PQ permettra d'élire un chef qui conduira le peuple québécois à la victoire, tant au niveau électoral que référendaire.
Source : Canoe
Enfin une bonne nouvelle qui va ensoleillée ma journée
-
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 2013
- Inscription : lun. oct. 20, 2003 12:00 am
Bon, maintenant qu'ils sont bel et bien débarassées de Landry, les péquistes vont pouvoir se faire tous les accroires qu'ils vont vouloir, entre copains, sans avoir quelqu'un pour toujours les rappeller a la satannée réalité.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
praeteritum a écritBon, maintenant qu'ils sont bel et bien débarassées de Landry, les péquistes vont pouvoir se faire tous les accroires qu'ils vont vouloir, entre copains, sans avoir quelqu'un pour toujours les rappeller a la satannée réalité.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Une chance que tu n'exagère pas...
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Une chance que tu n'exagère pas...
praeteritum a écritBon, maintenant qu'ils sont bel et bien débarassées de Landry, les péquistes vont pouvoir se faire tous les accroires qu'ils vont vouloir, entre copains, sans avoir quelqu'un pour toujours les rappeller a la satannée réalité.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Je ne sais pas si je suis le seul, mais je ne comprends jamais rien de tes messages. Tu fais juste chialer sur je ne sais pas trop quoi. C'est quoi tu critiques? Qui ? Pourquoi ? Où ? Comment ? Une thèse et des arguments seraient la bienvenue, ça permettrait au moins de comprendre ta position et d'engendrer une discussion...
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Je ne sais pas si je suis le seul, mais je ne comprends jamais rien de tes messages. Tu fais juste chialer sur je ne sais pas trop quoi. C'est quoi tu critiques? Qui ? Pourquoi ? Où ? Comment ? Une thèse et des arguments seraient la bienvenue, ça permettrait au moins de comprendre ta position et d'engendrer une discussion...
praeteritum a écritBon, maintenant qu'ils sont bel et bien débarassées de Landry, les péquistes vont pouvoir se faire tous les accroires qu'ils vont vouloir, entre copains, sans avoir quelqu'un pour toujours les rappeller a la satannée réalité.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Sais-tu, je préfère me concentrer sur mon nombril que sur des commandites qui coûtent une fortune ou sur des études sur le site futur d'un hôpital universitaire (60 millions $)puisque ma concentration sur mon nombril est moins coûteuse. Tsé !
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
Sais-tu, je préfère me concentrer sur mon nombril que sur des commandites qui coûtent une fortune ou sur des études sur le site futur d'un hôpital universitaire (60 millions $)puisque ma concentration sur mon nombril est moins coûteuse. Tsé !
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
praeteritum a écritBon, maintenant qu'ils sont bel et bien débarassées de Landry, les péquistes vont pouvoir se faire tous les accroires qu'ils vont vouloir, entre copains, sans avoir quelqu'un pour toujours les rappeller a la satannée réalité.
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
La profondeur de ton argumentation m'impressionne! On voit qu'elle est le fruit d'une réflexion et d'une analyse politique poussée! Lâche pas tu vas aller loin!
Et s'ils ne réussissent pas a convaincre une majorité de québécois a leur donner le pouvoir a la prochaine élection, vont-ils tenter de se débarasser du peuple aussi, comme ils ont fait dans le passé avec leurs chefs?
Heureusement qu'ils ont tous un nombril - ca leur fait quelque chose sur quoi se concentrer.
La profondeur de ton argumentation m'impressionne! On voit qu'elle est le fruit d'une réflexion et d'une analyse politique poussée! Lâche pas tu vas aller loin!
Pourquoi j’appui maintenant Richard Legendre
Au mois de Juin, j’étais enthousiaste, la candidature d’André Boisclair me semblais bénis des dieux, j’avais par contre déjà eu certaine prise de bec avec monsieur Boisclair, je m’étais dit qu’il avait pris de l’age et comme un bon fruit il avait mûrie.
J’ai immédiatement en Juin remarqué que les arrivistes, opportunistes et carriériste c’étaient rangé immédiatement du coté du clan Boisclair, peut importe ces inconduites et ça suffisance du passé, qui pour la plus part leurs étaient pas étranger.
J’aime l’aisance de monsieur Boisclair sur une tribune, son style français lui donne des airs d’homme d’état. Ceci n’est que Façade…….
Ce que je n’aime pas en politique, c’est la magouille, le mensonge et les fausses vérités,
Boisclair joue sur tout les fronts, il cherche a faire plaisir a tout le monde, a toute les tendances avec des concept flou et large, son discourt sur un éventuelle référendum lors du prochain mandat en est un bon exemple.
Ce n’est pas nécessairement Boisclair qui a perdu des points, c’est plus Legendre qui a réussi à me ramener à mes vraies convictions politiques, l’objectif et la clarté
J’ai eu la chance de rencontré Legendre, il n’a jamais cherché a détourné mes questions. A priori, il se définit comme un souverainiste de tendance pure et dure, avec une ouverture sur la réalité du Québec de 2005, tout son programme est orienté vers le seul objectif, la souveraineté.
Son plan de match est qu’à partir de la prochaine élection, il présentera un programme de pays, ceci permettra au électeur de prendre conscience de ce que l’on pourra faire avec un Québec pays, avec tous les impôts, avec tous les pouvoirs.
Il se définit comme un social démocrate, il croit que l’état doit être au service et à l’écoute des citoyens,
Legendre n’a rien d’un politicien de pouvoir, il ne fait pas politicien de carrière, il n’a pas un immense Ego, il écoute les gens et leurs répond sans être condescendant, comme certain, il est conscient de son manque d’expérience et il croit a la notion d’une équipe uni dans un direction commune.
J’étais déjà pro Legeault, Legendre avoue sans détour qu’il a pris le flambeau
Après ma rencontre avec Legendre j’ai eu besoin de plusieurs jours de réflexion, j’en suis venu a l’appuyer, sachant que ça victoire ne sera pas évidente. Vaut mieux un Chef qui a une vison clair, qui s’affiche et qui a le désir de prendre des risques, qu’un politicien qui cherche a faire plaisir a tout le monde et qu’a la fin, fera a ça tête, avec une suffisance et un ego gros comme le Stade Olympique
Au mois de Juin, j’étais enthousiaste, la candidature d’André Boisclair me semblais bénis des dieux, j’avais par contre déjà eu certaine prise de bec avec monsieur Boisclair, je m’étais dit qu’il avait pris de l’age et comme un bon fruit il avait mûrie.
J’ai immédiatement en Juin remarqué que les arrivistes, opportunistes et carriériste c’étaient rangé immédiatement du coté du clan Boisclair, peut importe ces inconduites et ça suffisance du passé, qui pour la plus part leurs étaient pas étranger.
J’aime l’aisance de monsieur Boisclair sur une tribune, son style français lui donne des airs d’homme d’état. Ceci n’est que Façade…….
Ce que je n’aime pas en politique, c’est la magouille, le mensonge et les fausses vérités,
Boisclair joue sur tout les fronts, il cherche a faire plaisir a tout le monde, a toute les tendances avec des concept flou et large, son discourt sur un éventuelle référendum lors du prochain mandat en est un bon exemple.
Ce n’est pas nécessairement Boisclair qui a perdu des points, c’est plus Legendre qui a réussi à me ramener à mes vraies convictions politiques, l’objectif et la clarté
J’ai eu la chance de rencontré Legendre, il n’a jamais cherché a détourné mes questions. A priori, il se définit comme un souverainiste de tendance pure et dure, avec une ouverture sur la réalité du Québec de 2005, tout son programme est orienté vers le seul objectif, la souveraineté.
Son plan de match est qu’à partir de la prochaine élection, il présentera un programme de pays, ceci permettra au électeur de prendre conscience de ce que l’on pourra faire avec un Québec pays, avec tous les impôts, avec tous les pouvoirs.
Il se définit comme un social démocrate, il croit que l’état doit être au service et à l’écoute des citoyens,
Legendre n’a rien d’un politicien de pouvoir, il ne fait pas politicien de carrière, il n’a pas un immense Ego, il écoute les gens et leurs répond sans être condescendant, comme certain, il est conscient de son manque d’expérience et il croit a la notion d’une équipe uni dans un direction commune.
J’étais déjà pro Legeault, Legendre avoue sans détour qu’il a pris le flambeau
Après ma rencontre avec Legendre j’ai eu besoin de plusieurs jours de réflexion, j’en suis venu a l’appuyer, sachant que ça victoire ne sera pas évidente. Vaut mieux un Chef qui a une vison clair, qui s’affiche et qui a le désir de prendre des risques, qu’un politicien qui cherche a faire plaisir a tout le monde et qu’a la fin, fera a ça tête, avec une suffisance et un ego gros comme le Stade Olympique
Depuis quelque temps, je suis également devenu un pro-Legendre. Je suis content de voir que toi aussi Voyeur a su reconnaître ses qualités Ce que j'aime le plus de Legendre, c'est que son véritable objectif est la souveraineté du Québec, mais que contrairement à Saint-André, il est réaliste et comprend les réalités de 2005
MONTREAL (PC) - L'ancien ministre de la Science et de la Technologie sous René Lévesque, Gilbert Paquette, s'est lancé dans la course à la direction du Parti québécois, jeudi.
Il n'est toutefois pas encore candidat officiellement, puisqu'il n'a pas déposé son bulletin de mise en candidature accompagné des 1000 signatures requises de membres du parti.
M. Paquette, qui s'était opposé au "beau risque" de modifier le fédéralisme pour le rendre acceptable au Québec, en 1984, est identifié à l'aile gauche du PQ. Il dit d'ailleurs vouloir ramener au parti les "progressistes" qui l'ont quitté.
Lors d'une conférence de presse, il a toutefois repoussé l'étiquette de "pur et dur", lui préférant "passionné et déterminé".
Il ne se gêne pas pour comparer sa détermination à faire la souveraineté à celle de Jacques Parizeau. Il assure vouloir parler de souveraineté "avant, pendant et après" un éventuel référendum. Pour lui, le référendum ne serait pas le départ d'une négociation avec le reste du Canada, mais l'aboutissement du processus.
Il ne voit pas de mal à ce que les fonctionnaires, après l'élection du PQ, travaillent à préparer les politiques d'un Québec souverain.
Il se dit aussi confiant de recueillir les 1000 signatures nécessaires au dépôt de son bulletin au cours des prochaines semaines. Les candidats intéressés ont jusqu'au 15 septembre pour ce faire.
M. Paquette a été président du Parti québécois dans Rosemont, au début des années 1970 et même président de la région Montréal-Centre du PQ, une section ayant une forte tradition de militantisme au PQ. Il a été élu député de Rosemont en 1976 et réélu en 1981. Il a été ministre de la Science et de la Technologie dans le gouvernement de René Lévesque en 1982 avant de démissionner en 1984, dans la foulée de la contestation du "beau risque".
Les candidats qui ont déposé leur bulletin de mise en candidature dans l'espoir de diriger le Parti québécois, au nombre de cinq, sont André Boisclair, Pauline Marois, Louis Bernard, Richard Legendre et Ghislain Lebel.
Les autres candidats déclarés sont, outre Gilbert Paquette: Jean Ouimet, Jean-Claude St-André, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert et Gilles Paquette.
Le chef sortant Bernard Landry a fait savoir, plus tôt cette semaine, qu'il ne se lancerait finalement pas dans la course à sa propre succession.
Le scrutin pour élire le nouveau chef du Parti québécois aura lieu du dimanche 13 au mardi 15 novembre.
Il n'est toutefois pas encore candidat officiellement, puisqu'il n'a pas déposé son bulletin de mise en candidature accompagné des 1000 signatures requises de membres du parti.
M. Paquette, qui s'était opposé au "beau risque" de modifier le fédéralisme pour le rendre acceptable au Québec, en 1984, est identifié à l'aile gauche du PQ. Il dit d'ailleurs vouloir ramener au parti les "progressistes" qui l'ont quitté.
Lors d'une conférence de presse, il a toutefois repoussé l'étiquette de "pur et dur", lui préférant "passionné et déterminé".
Il ne se gêne pas pour comparer sa détermination à faire la souveraineté à celle de Jacques Parizeau. Il assure vouloir parler de souveraineté "avant, pendant et après" un éventuel référendum. Pour lui, le référendum ne serait pas le départ d'une négociation avec le reste du Canada, mais l'aboutissement du processus.
Il ne voit pas de mal à ce que les fonctionnaires, après l'élection du PQ, travaillent à préparer les politiques d'un Québec souverain.
Il se dit aussi confiant de recueillir les 1000 signatures nécessaires au dépôt de son bulletin au cours des prochaines semaines. Les candidats intéressés ont jusqu'au 15 septembre pour ce faire.
M. Paquette a été président du Parti québécois dans Rosemont, au début des années 1970 et même président de la région Montréal-Centre du PQ, une section ayant une forte tradition de militantisme au PQ. Il a été élu député de Rosemont en 1976 et réélu en 1981. Il a été ministre de la Science et de la Technologie dans le gouvernement de René Lévesque en 1982 avant de démissionner en 1984, dans la foulée de la contestation du "beau risque".
Les candidats qui ont déposé leur bulletin de mise en candidature dans l'espoir de diriger le Parti québécois, au nombre de cinq, sont André Boisclair, Pauline Marois, Louis Bernard, Richard Legendre et Ghislain Lebel.
Les autres candidats déclarés sont, outre Gilbert Paquette: Jean Ouimet, Jean-Claude St-André, Hugues Cormier, Pierre Dubuc, Gilles Hébert et Gilles Paquette.
Le chef sortant Bernard Landry a fait savoir, plus tôt cette semaine, qu'il ne se lancerait finalement pas dans la course à sa propre succession.
Le scrutin pour élire le nouveau chef du Parti québécois aura lieu du dimanche 13 au mardi 15 novembre.
MONTREAL (PC) - La course au leadership du Parti québécois est loin d'être résolue, même si l'ancien ministre André Boisclair mène au premier tour.
Selon le sondage communiqué à Radio-Canada par l'équipe du candidat Richard Legendre, André Boisclair obtient 33,6 pour cent des voix des membres du parti pour le premier tour.
L'ex-ministre Pauline Marois, qui est entrée officiellement dans la course mercredi, arrive en deuxième place avec 12,5 pour cent, suivie de M. Legendre avec 12 pour cent. L'ancien haut fonctionnaire Louis Bernard récolte pour sa part 2,4 pour cent.
Comme deuxième choix, M. Boisclair récolte 12 pour cent; Mme Marois 14,5 pour cent et Richard Legendre, 19,3 pour cent.
Comme troisième choix, M. Boisclair irait chercher 3,3 pour cent des appuis, mme Marois 8,6 pour cent et M. Legendre 14,2 pour cent.
Par ailleurs, 38 pour cent des membres ont dit attendre les débats pour faire leur choix.
L'enquête menée par le sondeur Michel Lepage a été effectuée entre le 2 et 14 août auprès de 1000 membres du parti, dont 752 ont répondu. La marge d'erreur est de plus ou moins 3 pour cent.
Il faut noter que le sondage a été effectué avant que l'ex-chef Bernard Landry ait confirmé qu'il ne serait pas candidat à sa succession.
Selon le sondage communiqué à Radio-Canada par l'équipe du candidat Richard Legendre, André Boisclair obtient 33,6 pour cent des voix des membres du parti pour le premier tour.
L'ex-ministre Pauline Marois, qui est entrée officiellement dans la course mercredi, arrive en deuxième place avec 12,5 pour cent, suivie de M. Legendre avec 12 pour cent. L'ancien haut fonctionnaire Louis Bernard récolte pour sa part 2,4 pour cent.
Comme deuxième choix, M. Boisclair récolte 12 pour cent; Mme Marois 14,5 pour cent et Richard Legendre, 19,3 pour cent.
Comme troisième choix, M. Boisclair irait chercher 3,3 pour cent des appuis, mme Marois 8,6 pour cent et M. Legendre 14,2 pour cent.
Par ailleurs, 38 pour cent des membres ont dit attendre les débats pour faire leur choix.
L'enquête menée par le sondeur Michel Lepage a été effectuée entre le 2 et 14 août auprès de 1000 membres du parti, dont 752 ont répondu. La marge d'erreur est de plus ou moins 3 pour cent.
Il faut noter que le sondage a été effectué avant que l'ex-chef Bernard Landry ait confirmé qu'il ne serait pas candidat à sa succession.
Comme vous savez, le 15 novembre va falloir qu'on inscrives par téléphones nos 4 choix. Présentement, ce serait quoi vos choix ?
Mes 4 votes jusqu'à maintenant :
#1 Richard Legendre
#2 André Boisclair
#3 Louis Bernard
#4 St-André
À noté que c'est loin d'être définitif, et qu'il y a de fortes changes que j'y aille stratégiquement pour donner le plus de chances possibles à celui que je veut en premier
Mes 4 votes jusqu'à maintenant :
#1 Richard Legendre
#2 André Boisclair
#3 Louis Bernard
#4 St-André
À noté que c'est loin d'être définitif, et qu'il y a de fortes changes que j'y aille stratégiquement pour donner le plus de chances possibles à celui que je veut en premier