Sortie d'un documentaire critique sur Wal-Mart
Des vêtements «propres» pour les Fêtes
Ludovic Hirtzmann
Dans le but de faire un choix éclairé, bon nombre de consommateurs apprécient de connaître les conditions entourant la fabrication d'un produit. L'organisme Clean Clothes propose de leur dire si un vêtement a été conçu dans des conditions respectant un minimum de normes éthiques.
En dénonçant les violations des droits de la personne dans les entreprises, l'organisme hollandais essaie de responsabiliser les consommateurs avant qu'ils n'achètent des produits fabriqués dans des ateliers de misère (sweatshops) ou des maquiladoras.
L'association européenne, qui compte plus d'une dizaine de bureaux dans le monde, est un véritable portail de la responsabilisation éthique. Clean Clothes recense des dizaines d'exemples de violations des droits de la personne.
Intimidation
Ainsi, en Indonésie, un sous-traitant de Polo Ralph Lauren n'hésite pas à employer des groupes paramilitaires pour impressionner ses employés. L'un des partenaires de Clean Clothes, le collectif l'Éthique sur l'étiquette, détaille sur son site le coût d'une paire de baskets et la part minime qui revient à un ouvrier. Si les Nike et autres Wal-Mart sont régulièrement montrés du doigt pour les mauvaises conditions de travail dans les usines de leurs sous-traitants dans les pays sous-développés, les entreprises canadiennes ne sont pas sans reproche.
C'est le cas notamment de Gildan, fabricant de vêtements qui a été critiqué par Clean Clothes en 2004 pour avoir licencié de manière cavalière des employés dans une usine d'El Progreso, au Honduras. Les choses sont depuis rentrées dans l'ordre.
Il en va de même pour La Baie, dont l'un des sous-traitants au Lesotho était accusé de violer régulièrement les conditions de travail. Selon l'un des partenaires de Clean Clothes, l'Ethical Trading Action Group, «les plaintes d'employés faisaient état de harcèlement verbal, sexuel et physique; de sorties de secours fermées; de l'obligation de travailler 75 heures, sept jours sur sept, à un salaire inférieur au salaire moyen de 51 $ par mois versé dans cette industrie».
Ludovic Hirtzmann
Dans le but de faire un choix éclairé, bon nombre de consommateurs apprécient de connaître les conditions entourant la fabrication d'un produit. L'organisme Clean Clothes propose de leur dire si un vêtement a été conçu dans des conditions respectant un minimum de normes éthiques.
En dénonçant les violations des droits de la personne dans les entreprises, l'organisme hollandais essaie de responsabiliser les consommateurs avant qu'ils n'achètent des produits fabriqués dans des ateliers de misère (sweatshops) ou des maquiladoras.
L'association européenne, qui compte plus d'une dizaine de bureaux dans le monde, est un véritable portail de la responsabilisation éthique. Clean Clothes recense des dizaines d'exemples de violations des droits de la personne.
Intimidation
Ainsi, en Indonésie, un sous-traitant de Polo Ralph Lauren n'hésite pas à employer des groupes paramilitaires pour impressionner ses employés. L'un des partenaires de Clean Clothes, le collectif l'Éthique sur l'étiquette, détaille sur son site le coût d'une paire de baskets et la part minime qui revient à un ouvrier. Si les Nike et autres Wal-Mart sont régulièrement montrés du doigt pour les mauvaises conditions de travail dans les usines de leurs sous-traitants dans les pays sous-développés, les entreprises canadiennes ne sont pas sans reproche.
C'est le cas notamment de Gildan, fabricant de vêtements qui a été critiqué par Clean Clothes en 2004 pour avoir licencié de manière cavalière des employés dans une usine d'El Progreso, au Honduras. Les choses sont depuis rentrées dans l'ordre.
Il en va de même pour La Baie, dont l'un des sous-traitants au Lesotho était accusé de violer régulièrement les conditions de travail. Selon l'un des partenaires de Clean Clothes, l'Ethical Trading Action Group, «les plaintes d'employés faisaient état de harcèlement verbal, sexuel et physique; de sorties de secours fermées; de l'obligation de travailler 75 heures, sept jours sur sept, à un salaire inférieur au salaire moyen de 51 $ par mois versé dans cette industrie».
tipet a écritAs-tu les coordonnées de cet organisme Noiraud?
Clean Clothes publie aussi une liste de marques «éthiques».
Clean Clothes Campaign: www.cleanclothes.org
Éthique sur l'étiquette: www.ethique-sur-etiquette.org
Clean Clothes publie aussi une liste de marques «éthiques».
Clean Clothes Campaign: www.cleanclothes.org
Éthique sur l'étiquette: www.ethique-sur-etiquette.org
noiraud a écrit
Clean Clothes publie aussi une liste de marques «éthiques».
Clean Clothes Campaign: www.cleanclothes.org
Éthique sur l'étiquette: www.ethique-sur-etiquette.org
Merci
Clean Clothes publie aussi une liste de marques «éthiques».
Clean Clothes Campaign: www.cleanclothes.org
Éthique sur l'étiquette: www.ethique-sur-etiquette.org
Merci
Citation :qui à ramasser des tablettes de chocolat dans les poubelles .
Ben si j'avais un commerce et que mon employé fouillait dans les poubelles.. Je pense que j'aurais un entretien avec lui Allez chercher de la bouffe dans la poubelle, c'est pas fort --Message edité par pucinette le 2005-12-21 16:44:51--
Ben si j'avais un commerce et que mon employé fouillait dans les poubelles.. Je pense que j'aurais un entretien avec lui Allez chercher de la bouffe dans la poubelle, c'est pas fort --Message edité par pucinette le 2005-12-21 16:44:51--
C'est drôle que tu me dises que j'ai mauvais caractère parce que si tu parles à ceux qui me traitent avec respect et courtoisie et qui ne me mentent pas et qui ne tentent pas de me f******, ils vont probablement te dire qu'au contraire je suis très gentil- Jean-François Mercier
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- Seigneur de la Causerie
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Katchina a écriton v a aller encourager zellers qui vient de "clairer" un peère monoparentale qui à ramasser des tablettes de chocolat dans les poubelles .
il venait de commencer à travailler là , au salaire minimum avec 3 enfants ,
c,est tout du pareil au même stiiii
Mais pourquoi ne l'a-t-il pas simplement demandé à son boss? Il était en probation et savait que c'était ça la règle. Quand il a été vu les bras plein de barres de chocolat, ils ont cru qu'il les avait volées sur le coup. Imagine si tous les employés faisaient ça... Je peux comprendre qu'ils doivent demander la permission avant.
il venait de commencer à travailler là , au salaire minimum avec 3 enfants ,
c,est tout du pareil au même stiiii
Mais pourquoi ne l'a-t-il pas simplement demandé à son boss? Il était en probation et savait que c'était ça la règle. Quand il a été vu les bras plein de barres de chocolat, ils ont cru qu'il les avait volées sur le coup. Imagine si tous les employés faisaient ça... Je peux comprendre qu'ils doivent demander la permission avant.
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- Seigneur de la Causerie
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Si, ils en ont donné:
Citation :
Suspendu pour avoir fouillé la poubelle
Laura-Julie Perreault
21 décembre 2005 - 07h44
Guy Masse était heureux, il y a deux mois, quand il a trouvé un emploi chez Zellers. Père seul, il croyait pouvoir offrir un Noël décent à ses trois enfants. Mais quand il a décidé de rapporter à la maison des barres de chocolat que son employeur voulait jeter, son monde a chaviré.
Quelques jours avant Noël, les administrateurs du Zellers de Saint-Hyacinthe l'ont licencié pour «bris de confiance».
Selon les règles de la compagnie, un employé qui veut prendre possession de marchandise destinée aux poubelles doit d'abord demander la permission du superviseur.
Le 12 décembre, M. Masse a fermé les yeux sur cette règle. «J'ai vu des boîtes de tablettes de chocolat périmées qui devaient être jetées. J'arrivais serré aux Fêtes. Je les ai prises en me disant que ça pourrait faire un petit cadeau de plus dans les bas de Noël des enfants», raconte l'homme de 47 ans qui a la garde de deux garçons, respectivement de 6 et 15 ans et d'une fillette de 9 ans depuis plus d'un an.
Quand le gérant du magasin a vu son employé les mains pleines, il a appelé la police.
«Il pensait que j'avais volé», se désole Guy Masse. L'imbroglio a été éclairci, mais l'incartade du père de famille lui a valu une suspension de 10 jours. Cette suspension s'est transformée en licenciement le 16 décembre.
Puisqu'il travaillait au magasin depuis moins de trois mois, Guy Masse n'a aucun recours contre son employeur. Un employé doit travailler au moins deux ans pour une entreprise avant de pouvoir déposer une plainte pour licenciement abusif.
«Avant cette date, si l'employeur veut licencier quelqu'un, il le peut. Ça fait partie du droit de gérance», explique Nathalie Bernier de la Commission des normes du travail.
Dans les bureaux torontois de la Compagnie de la Baie d'Hudson (HBC), propriétaire des magasins Zellers, on explique que la décision a été difficile à prendre.
«Ce n'est pas facile de laisser aller un employé avant Noël. Mais M. Masse était en période de probation. C'était le moment de prouver qu'il était un bon employé. Zellers est de bonne foi. M. Masse ne l'a pas été», a dit la directrice des communications de HBC, Hilary Stauth.
Guy Masse, lui, aurait tout donné pour avoir une deuxième chance. Il aimait son nouvel emploi et les horaires avantageux. Il raconte qu'il était même prêt à payer pour sa faute.
Mais au lieu de cela, il s'est retrouvé à la case départ à moins d'une semaine de Noël. Avant de travailler chez Zellers, il a reçu pendant huit mois des prestations d'aide sociale. Une situation à laquelle il ne veut pas retourner.
Quand il a pris conscience du fait qu'il serait sans le sou à Noël, Guy Masse a fait une croix sur ses plans de réveillon. Il a dû se résoudre à demander à son ex-conjointe de s'occuper des enfants jusqu'à leur retour en classe. Il projetait de passer Noël seul.
De bons Samaritains
Mais de bons Samaritains, qui ont eu vent de son histoire en regardant LCN, ont eu une autre idée. Propriétaires d'Énergie.co, commerce de pièces d'auto de Saint-Mathias, Gaétan Robert et Colette Cusson ont d'abord voulu offrir un panier de Noël à Guy Masse et sa petite famille. En poussant la réflexion, les entrepreneurs ont aussi pensé offrir au père un emploi de livreur.
«Nous n'avons jamais fait ça, mais en entendant parler de son histoire, on a eu un coup de coeur. Nous aimerions l'aider à passer Noël avec ses enfants», a confié hier Colette Cusson. L'organisme Jeunesse au Soleil a eu une idée semblable. Dès aujourd'hui, ils livreront à Saint-Hyacinthe des denrées et des cadeaux pour les enfants.
Guy Masse est quelque peu dépassé par la générosité du couple de Saint-Mathias et par celle de l'organisation montréalaise. «Ça me fait chaud au coeur. Mais d'un autre côté, je trouve ça terriblement humiliant. Si j'avais pu faire quoi que ce soit pour m'éviter cette humiliation, je l'aurais fait», a laissé tomber hier M. Masse.
C'est paru dans La Presse, mais je ne peux pas donner le lien. --Message edité par BouleAMites_ le 2005-12-21 18:41:27--
Citation :
Suspendu pour avoir fouillé la poubelle
Laura-Julie Perreault
21 décembre 2005 - 07h44
Guy Masse était heureux, il y a deux mois, quand il a trouvé un emploi chez Zellers. Père seul, il croyait pouvoir offrir un Noël décent à ses trois enfants. Mais quand il a décidé de rapporter à la maison des barres de chocolat que son employeur voulait jeter, son monde a chaviré.
Quelques jours avant Noël, les administrateurs du Zellers de Saint-Hyacinthe l'ont licencié pour «bris de confiance».
Selon les règles de la compagnie, un employé qui veut prendre possession de marchandise destinée aux poubelles doit d'abord demander la permission du superviseur.
Le 12 décembre, M. Masse a fermé les yeux sur cette règle. «J'ai vu des boîtes de tablettes de chocolat périmées qui devaient être jetées. J'arrivais serré aux Fêtes. Je les ai prises en me disant que ça pourrait faire un petit cadeau de plus dans les bas de Noël des enfants», raconte l'homme de 47 ans qui a la garde de deux garçons, respectivement de 6 et 15 ans et d'une fillette de 9 ans depuis plus d'un an.
Quand le gérant du magasin a vu son employé les mains pleines, il a appelé la police.
«Il pensait que j'avais volé», se désole Guy Masse. L'imbroglio a été éclairci, mais l'incartade du père de famille lui a valu une suspension de 10 jours. Cette suspension s'est transformée en licenciement le 16 décembre.
Puisqu'il travaillait au magasin depuis moins de trois mois, Guy Masse n'a aucun recours contre son employeur. Un employé doit travailler au moins deux ans pour une entreprise avant de pouvoir déposer une plainte pour licenciement abusif.
«Avant cette date, si l'employeur veut licencier quelqu'un, il le peut. Ça fait partie du droit de gérance», explique Nathalie Bernier de la Commission des normes du travail.
Dans les bureaux torontois de la Compagnie de la Baie d'Hudson (HBC), propriétaire des magasins Zellers, on explique que la décision a été difficile à prendre.
«Ce n'est pas facile de laisser aller un employé avant Noël. Mais M. Masse était en période de probation. C'était le moment de prouver qu'il était un bon employé. Zellers est de bonne foi. M. Masse ne l'a pas été», a dit la directrice des communications de HBC, Hilary Stauth.
Guy Masse, lui, aurait tout donné pour avoir une deuxième chance. Il aimait son nouvel emploi et les horaires avantageux. Il raconte qu'il était même prêt à payer pour sa faute.
Mais au lieu de cela, il s'est retrouvé à la case départ à moins d'une semaine de Noël. Avant de travailler chez Zellers, il a reçu pendant huit mois des prestations d'aide sociale. Une situation à laquelle il ne veut pas retourner.
Quand il a pris conscience du fait qu'il serait sans le sou à Noël, Guy Masse a fait une croix sur ses plans de réveillon. Il a dû se résoudre à demander à son ex-conjointe de s'occuper des enfants jusqu'à leur retour en classe. Il projetait de passer Noël seul.
De bons Samaritains
Mais de bons Samaritains, qui ont eu vent de son histoire en regardant LCN, ont eu une autre idée. Propriétaires d'Énergie.co, commerce de pièces d'auto de Saint-Mathias, Gaétan Robert et Colette Cusson ont d'abord voulu offrir un panier de Noël à Guy Masse et sa petite famille. En poussant la réflexion, les entrepreneurs ont aussi pensé offrir au père un emploi de livreur.
«Nous n'avons jamais fait ça, mais en entendant parler de son histoire, on a eu un coup de coeur. Nous aimerions l'aider à passer Noël avec ses enfants», a confié hier Colette Cusson. L'organisme Jeunesse au Soleil a eu une idée semblable. Dès aujourd'hui, ils livreront à Saint-Hyacinthe des denrées et des cadeaux pour les enfants.
Guy Masse est quelque peu dépassé par la générosité du couple de Saint-Mathias et par celle de l'organisation montréalaise. «Ça me fait chaud au coeur. Mais d'un autre côté, je trouve ça terriblement humiliant. Si j'avais pu faire quoi que ce soit pour m'éviter cette humiliation, je l'aurais fait», a laissé tomber hier M. Masse.
C'est paru dans La Presse, mais je ne peux pas donner le lien. --Message edité par BouleAMites_ le 2005-12-21 18:41:27--
Katchina a écriton v a aller encourager zellers qui vient de "clairer" un peère monoparentale qui à ramasser des tablettes de chocolat dans les poubelles .
il venait de commencer à travailler là , au salaire minimum avec 3 enfants ,
c,est tout du pareil au même stiiii
C'est pas juste chez Zellers.... c'est partout et je comprends cette norme... mais bon..c'est sur que c'est platte!
il venait de commencer à travailler là , au salaire minimum avec 3 enfants ,
c,est tout du pareil au même stiiii
C'est pas juste chez Zellers.... c'est partout et je comprends cette norme... mais bon..c'est sur que c'est platte!
wall mart se classe aprmi les 50 meilleurs enployeurs du canada
faut quand même pas exagérer
http://www.info-affaires.com/
faut quand même pas exagérer
http://www.info-affaires.com/
Katchinaphotos.iquebec.com
Je trouve cela très très plate pour M. Masse, c'est certain qu'il aurait fallu demander la permission, mais je juge que la Direction n'y a pas été avec le dos de la cuiller avec cette affaire là.
Etait-ce vraiment nécessaire de le congédier pour cela????
Il a pris quelque chose dans les poubelles, il ne les a pas volé dans le magasin. Zut, il y en a plein de ces gens qui ramassent ce qu'il y a dans les poubelles, se font-ils tous mettre à la porte?? Franchement drastique comme décision.
Il me semble qu'ils auraient pu règler cela dans l'intimité afin que cela ne fasse pas une histoire publique.
Etait-ce vraiment nécessaire de le congédier pour cela????
Il a pris quelque chose dans les poubelles, il ne les a pas volé dans le magasin. Zut, il y en a plein de ces gens qui ramassent ce qu'il y a dans les poubelles, se font-ils tous mettre à la porte?? Franchement drastique comme décision.
Il me semble qu'ils auraient pu règler cela dans l'intimité afin que cela ne fasse pas une histoire publique.
Katchina a écritwall mart se classe aprmi les 50 meilleurs enployeurs du canada
faut quand même pas exagérer
http://www.info-affaires.com/
Katchina....tu n'as pas à te justifier ou à te sentir obligé de nous vendre Wal-Mart...Tu as parfaitement le droit d'aller magasiner là, ça ne fait pas de toi une personne moins engagée ou moins consciente que nous. On ne juge pas quelqu'un par l'endroit où il va acheter ses bobettes, soit sans crainte Tsé, je suis sûre que l'exploitation des enfants te répugne autant que tous ici, le fait que tu aies magasiner chez Wal-Mart ne fait pas de toi une exploitatrice (ça se dis-tu ça?) d'enfant à mes yeux. Et je suis parfaitement convaincue que l'économie canadienne ou québécoise est importante à tes yeux aussi. Tu pense au bien-être de ta famille d'abord, c'est tout à fait louable
Moi, Wal-Mart va à l'encontre des mes principes moraux personnels. Si pour toi ça-va, c'est o.k! Il n'y a rien là Probablement que toi il y a des choses que tu considères immorales et pour moi, ça ne sera pas grand chose. Personne ne peut juger des convictions ou des valeurs des autres, parce que une conviction n'est pas une vérité...Exemple, le dégriffage des chats (voir le topic dans le biodôme), je suis consciente que c'est une amputation, mais moi ma chatte est dégriffée et je ne me sens pas du tout coupable envers elle. Et probablement que je le referais si c'était à refaire. Mais pour certaine personnes c'est tout simplement inacceptable et cruel. Tu vois? Un autre exemple de confrontation de valeurs
Donc je ne crois pas que personne ici n'exagère soit en n'allant pas magasiner là, ou bien soit, en y allant
faut quand même pas exagérer
http://www.info-affaires.com/
Katchina....tu n'as pas à te justifier ou à te sentir obligé de nous vendre Wal-Mart...Tu as parfaitement le droit d'aller magasiner là, ça ne fait pas de toi une personne moins engagée ou moins consciente que nous. On ne juge pas quelqu'un par l'endroit où il va acheter ses bobettes, soit sans crainte Tsé, je suis sûre que l'exploitation des enfants te répugne autant que tous ici, le fait que tu aies magasiner chez Wal-Mart ne fait pas de toi une exploitatrice (ça se dis-tu ça?) d'enfant à mes yeux. Et je suis parfaitement convaincue que l'économie canadienne ou québécoise est importante à tes yeux aussi. Tu pense au bien-être de ta famille d'abord, c'est tout à fait louable
Moi, Wal-Mart va à l'encontre des mes principes moraux personnels. Si pour toi ça-va, c'est o.k! Il n'y a rien là Probablement que toi il y a des choses que tu considères immorales et pour moi, ça ne sera pas grand chose. Personne ne peut juger des convictions ou des valeurs des autres, parce que une conviction n'est pas une vérité...Exemple, le dégriffage des chats (voir le topic dans le biodôme), je suis consciente que c'est une amputation, mais moi ma chatte est dégriffée et je ne me sens pas du tout coupable envers elle. Et probablement que je le referais si c'était à refaire. Mais pour certaine personnes c'est tout simplement inacceptable et cruel. Tu vois? Un autre exemple de confrontation de valeurs
Donc je ne crois pas que personne ici n'exagère soit en n'allant pas magasiner là, ou bien soit, en y allant
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- Seigneur de la Causerie
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Tant qu'à faire...
Pause dîner: Wal-Mart mise à l'amende
Associated Press
23 décembre 2005 - 07h09
Le jury d'un tribunal de comté de Californie a condamné hier (jeudi) la chaîne Wal-Mart à verser 207 M$ à 116 000 actuels et anciens employés qui avaient porté plainte pour refus de pause dîner.
Le géant mondial de la distribution devra verser 57 M$ de dommages généraux et 150 M$ de dommages punitifs.
Les plaignants accusaient Wal-Mart d'avoir violé la loi de l'État de Californie exigeant que les salariés qui travaillent pendant au moins six heures bénéficient de pause dîner de 30 minutes.
La direction de Wal-Mart a indiqué qu'elle allait contester la décision du tribunal.
Pause dîner: Wal-Mart mise à l'amende
Associated Press
23 décembre 2005 - 07h09
Le jury d'un tribunal de comté de Californie a condamné hier (jeudi) la chaîne Wal-Mart à verser 207 M$ à 116 000 actuels et anciens employés qui avaient porté plainte pour refus de pause dîner.
Le géant mondial de la distribution devra verser 57 M$ de dommages généraux et 150 M$ de dommages punitifs.
Les plaignants accusaient Wal-Mart d'avoir violé la loi de l'État de Californie exigeant que les salariés qui travaillent pendant au moins six heures bénéficient de pause dîner de 30 minutes.
La direction de Wal-Mart a indiqué qu'elle allait contester la décision du tribunal.