Une ancienne finaliste de Star Académie est accusée de tentative de me
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Annouk a écritJe n'ai pas trouvé drôle qu'elle commette une tentative de meurtre...Ça ne me ressemble pas.
Par contre, oui je n'ai pu m'empêcher de sourire en pensant que dès que quelqu'un est choisi pour faire SA, il semble parfait à tout point de vue pour certains...
Comme si on connaissait à fond une personne parce qu'on la voit dans notre salon
on parle pas juste du monde de star acdemie.tout le monde
Par contre, oui je n'ai pu m'empêcher de sourire en pensant que dès que quelqu'un est choisi pour faire SA, il semble parfait à tout point de vue pour certains...
Comme si on connaissait à fond une personne parce qu'on la voit dans notre salon
on parle pas juste du monde de star acdemie.tout le monde
Je dois être conne parce qu'il me semblait que le titre de ce topic était une finaliste de star académie est accusée de tentative de meurtre...
Désolée de ne pas trouver que c'est le drame du siècle....Personne n'est mort en fin de compte et la fille a été arrêtée.
Sur ce, je vous laisse parler de tout le monde
Désolée de ne pas trouver que c'est le drame du siècle....Personne n'est mort en fin de compte et la fille a été arrêtée.
Sur ce, je vous laisse parler de tout le monde
Citation :25 octobre
Mon chum m'a largué
MON CHUM M’A LARGUÉ
Eh oui, encore... Putain. Et ce qu’il y a de plus ridicule dans tout ce bordel, c’est que je ne prends jamais l’habitude. Ça frappe, ça marque toujours autant. Je suis trop passionnée, je le sais, il l’est aussi, et je sais bien qu’entre trop passionnés, on se fait souvent, pour ne pas dire toujours mal. Le hic, c’est que les non-passionnés me laissent froide et sèche comme un biscuit trop longtemps oublié sur le comptoir d’un appartement désert. J’aime la passion, je l’aime, que voulez-vous que j’y fasse. Je devrais commencer à le savoir, mais à chaque fois, je me fais piéger. J’aime les romantiques qui achètent des fleurs et qui disent des mots gentils et jolis, mais je vais bientôt commencer à croire Jamil quand il dit que ces personnes cachent souvent une histoire trop sombre, ce qui était le cas de mon Adonis, prise II. Car, vous le savez tous je pense, c’était la deuxième fois que je reprenais le bateau avec cet être venu d’ailleurs, avec cet extra-terrestre qui n’a rien d’un être humain banal, ce petit trésor meurtri qui est si difficile, voire impossible à oublier complètement. Je crois que l’on rencontre une personne comme ça dans notre vie et qu’après, elle nous suit sans arrêt, comme une espèce de fantôme qui s’amuse à foutre le bordel dans vos sentiments. Un fantôme qui vous détruit, vous piétine et vous empêche d’un tas de trucs pour le reste de votre chienne de vie. Nataly, dis-moi que tu me comprends merde! Malheureusement pour moi, j’ai rencontré cette personne très jeune et j’ai peur que mes amours en soient affectés pour le restant de mes jours. Car, et ne m’en voulez pas, j’ai aimé après lui, mais jamais de la même façon, il manquait toujours ce petit quelque chose. Parfois, je me dis que mon plus grand regret dans cette relation, c’est de ne pas l’avoir tué de mes mains. Tué physiquement pour conserver la mémoire intacte. Bien minable constat, je le sais bien, et j’espère sincèrement un jour raviser ma position. Mais je ne veux pas faire comme j’ai fait la première fois : ne pas en parler et tenter d’oublier sur le champ par toutes les manières possible et inimaginables; faire semblant d’être forte alors que je ne le suis pas; ne pas en parler, ne pas pleurer, faire comme si tout allait bien quand non, ça ne va pas bien! Ça ne m’a mené à rien la première fois, à 16 ans, je ne pense pas que ça m’amènerait encore quelquepart à 20. Mais bref, ce qui me fait rougir de colère et de honte dans tout ce merdier, c’est que ça s’est passé exactement comme je pensais que ça se passerait. Je connaissais déjà cet homme, ne l’oubliez pas. Vendredi matin, tout était correct, et vendredi soir, suite à une expérience mystique dans une église mormone, eh oui vous avez bien lu, monsieur est devenu tout confus et pensait peut-être avoir découvert en cette église un sens à sa minable existence. Car oui, elle est minable : pas de réelle famille, pas de réels amis proches de lui à qui parler, des démons intérieurs qui le rongent depuis l’enfance, une incapacité à avoir une relation stable et surtout DURABLE, c’est assez pour qualifier une existence de minable, je crois. Et pas minable conne et sans importance là, minable triste, qui fait pitié, pour laquelle j’ai de la compassion, c’est très différent. Mais bref, de samedi matin à dimanche soir, mon existence n’était pas possible car Adonis changeait d’idée à la vitesse où Jean-Marc Parent nous demandait de flasher nos lumières il y a quelques années. J’ai finalement dû l’accoter au mur dimanche soir, sans quoi je crois qu’on serait encore ensemble, mais entre la vie et la mort. Remy a un grave problème que j’ai aussi : il tombe en amour trop facilement. Mais, contrairement à moi, il ne s’investit pas dans la relation et s’en lasse à une vitesse folle. Il se lasse de tout très vite car il est déjà lassé de lui-même. Tant qu’il ne travaillera pas sur lui, il ne pourra pas rendre quelqu’un totalement heureux. Je souhaite qu’il fasse ce cheminement avant longtemps car, contrairement à ce que j’aurais pu penser, il n’a pas changé d’un poil depuis 4 ans. Je ne regrette pas cette histoire car elle devait arriver. Une synchronicité pas possible s’est opérée et l’histoire devait arriver, c’était écrit dans le ciel avec un néon et je le savais au moins deux mois avant qu’on se voit. Je ne regrette rien, vrai, mais j’ai un goût vraiment amer dans la bouche. Et non, ce n’est plus le goût de la quinzaine de pillules que je me suis foutue dans l’organisme dimanche soir, sachant bien que je ne crèverais jamais avec une si petite dose. Je crois que la mort faisant maintenant partie de moi, j’ai ressenti encore une fois le besoin de m’en approcher dangeureusement. Il faut que je me surveille car je me sais très fragile au suicide. Quand on a cohabité avec la mort, quand on l’a connu, qu’on l’a vécu d’une façon ou d’une autre, qu’on l’a eu comme coloc et amie, elle est toujours très proche, très accessible, très facile à atteindre, toujours prête à nous porter secours. Elle devient une bouée de secours simple, elle devient un refuge dans le malheur. Et j’ai voulu m’y réfugier. Mais bref, tout ça pour dire que le goût amer que j’ai dans la bouche, c’est qu’à cause de cette putain de distance, (qui n’est qu’une cause mineure de notre séparation, je vous le rappelle, ça se change), j’ai encore une fois l’impression de ne pas avoir terminé cette relation complètement, j’ai l’impression d’avoir encore des comptes à régler avec lui, une dernière baise non faite, une dernière crise de larmes et de colère non évacuée. Ça me fait vraiment chier et ça me fout les boules. J’ai peur de retomber encore dans une impasse, ce que fut toute ma vie des dernières années. Je m’étais tellement investie dans cette relation, sachant qu’elle pouvait finir à tout moment, que je me sens maintenant vide. Mais, comme je faisais autrefois, je ne veux pas remplir ce vide de garçons inutiles, qui n’ont rien à m’apporter, d’aventures d’un soir ridicules qui ne feront qu’agraver mon état. J’ai deux amis garçons dont j’aurais vraiment besoin, ne serait-ce que pour ne pas perdre pied et ne pas perdre espoir. Ces deux amis sont un célibataire endurci et mêlé à outrance et un amant que je redécouvre chaque fois qu’on est tous les deux célibataires, ce qui est le cas en ce moment. Mais je sais, il ne faut pas oublier, il faut vivre ça à fond, ce que je n’ai pas fait à 16 ans. Mais je sais dors et déjà que cet amour me laissera à vie une épée en travers de la gorge car il n’aura jamais été réglé en personne, mais toujours d’une façon virtuelle et pathétique. Et je sais aussi très bien que la seconde où il voudra reprendre, que ce soit dans 10 minutes, dans 3 jours ou dans 6 ans, je le reprendrai comme une conne. Ça me désole car c’est aussi la raison pour laquelle je dois arrêter de lui parler, même en amie. On le sait, on se l’est dit dimanche, on retombera toujours en amour chaque fois qu’on se redécouvrira et qu’on sera tous les deux célibataires. Et si lui ne se fait pas confiance, si lui ne travaille pas sur lui et si moi, je ne complète pas ce foutu cheminement de mes deux, ça ne marchera jamais. Ce sera encore et toujours de 2 à 6 mois de gros bonheur sale, de sweet love rose en chewing-gum sucré et délicieux... Et, un matin, il se réveillera confus et me dira qu’il est tout mêlé, qu’il ne comprend plus rien à sa vie, qu’il a besoin de réfléchir, etc. Mon ami que je qualifie de célibataire endurci est un peu dans le même genre, sauf que je crois qu’il a renoncé depuis un bail à faire souffrir les femmes de son entourage. Sans rancune hein mon pote, si tu te reconnais. Alors bref, c’est ma petite histoire. Tout a commencé trop vite et trop bien, ça ne pouvait finir que mal et trop vite aussi. Mais j’ai un cœur d’enfant et je veux, même si ça fait très mal, être naïve et croire encore que l’amour peut fonctionner. J’espère juste qu’un jour, j’aurai une preuve ou du moins, que j’apprendrai à être bien, vraiment bien, sans ami. Que je n’aurai plus ce pincement au cœur en entendant une vedette ou un ami simplement mentionner son chum ou sa blonde dans une conversation XYZ. Je crois que plusieurs filles me comprennent véritablement et là, je pense surtout à Nicole et Nataly que j’ai encouragées pendant ma période de bonheur absolu. Eh ben, les filles, ce sera votre tour! Je ne veux pas faire l’autruche et ne pas en parler, parlez-moi en à outrance si vous voulez, mais ne vous surprenez pas si je vous éclate en larmes au visage. Il faut en parler et je le sais maintenant. Il faut en parler pour accepter, pour oublier même si je sais, ça semble complètement paradoxal. Certaines personnes pensent peut-être que j’y vais fort, je sais, j’ai vécu une chose pire que ça le 29 juin 2004. Cette chose m’a appris à perdre un ami sans trop de douleur trop intense, mais perdre un amour dans ma situation de personne non-voyante, c’est aussi très différent. Car les gars voyants s’intéressent rarement à nous, arrêtons de rêver et de trop croire, c’est vrai bordel. Donc, on se demande si on a passé toute la communauté ou si il en reste encore des intéressants qu’on a pas rencontré!! Ça peut sembler pathétique et ghettoïsant comme mentalité, mais c’est souvent la réalité. Eh ben coudonc, soyons totalement honnêtes, je suis encore une femme dans cette société et avouez quand même qu’on voit beaucoup plus d’hommes non-voyants avec des femmes voyantes que le contraire. C’est dans la mentalité de l’homme, de l’être humain et ça ne changera sûrement pas de si tôt.
Voilà, c’était mon explication, mon histoire. Désolée à ceux que j’ai pu effrayer par cette histoire d’assassinat, mais je crois qu’on a tous une violence en nous et qu’il faut juste l’accepter et se surveiller.
Merci d’avoir lu mes délirs à ceux qui ont toffé jusqu’à la fin!
Je finirais par cette phrase de ma grande chum Nancy qui m’a particulièrement émue hier : « Audrey, même si on est aveugles, on finira par voir la lumière au bout du tunnel.
Source:
http://spaces.msn.com/members/leblogaud ... c=#toppage
Surprise l'a mis dans la section SA3 et je me suis permise de copier ici
Mon chum m'a largué
MON CHUM M’A LARGUÉ
Eh oui, encore... Putain. Et ce qu’il y a de plus ridicule dans tout ce bordel, c’est que je ne prends jamais l’habitude. Ça frappe, ça marque toujours autant. Je suis trop passionnée, je le sais, il l’est aussi, et je sais bien qu’entre trop passionnés, on se fait souvent, pour ne pas dire toujours mal. Le hic, c’est que les non-passionnés me laissent froide et sèche comme un biscuit trop longtemps oublié sur le comptoir d’un appartement désert. J’aime la passion, je l’aime, que voulez-vous que j’y fasse. Je devrais commencer à le savoir, mais à chaque fois, je me fais piéger. J’aime les romantiques qui achètent des fleurs et qui disent des mots gentils et jolis, mais je vais bientôt commencer à croire Jamil quand il dit que ces personnes cachent souvent une histoire trop sombre, ce qui était le cas de mon Adonis, prise II. Car, vous le savez tous je pense, c’était la deuxième fois que je reprenais le bateau avec cet être venu d’ailleurs, avec cet extra-terrestre qui n’a rien d’un être humain banal, ce petit trésor meurtri qui est si difficile, voire impossible à oublier complètement. Je crois que l’on rencontre une personne comme ça dans notre vie et qu’après, elle nous suit sans arrêt, comme une espèce de fantôme qui s’amuse à foutre le bordel dans vos sentiments. Un fantôme qui vous détruit, vous piétine et vous empêche d’un tas de trucs pour le reste de votre chienne de vie. Nataly, dis-moi que tu me comprends merde! Malheureusement pour moi, j’ai rencontré cette personne très jeune et j’ai peur que mes amours en soient affectés pour le restant de mes jours. Car, et ne m’en voulez pas, j’ai aimé après lui, mais jamais de la même façon, il manquait toujours ce petit quelque chose. Parfois, je me dis que mon plus grand regret dans cette relation, c’est de ne pas l’avoir tué de mes mains. Tué physiquement pour conserver la mémoire intacte. Bien minable constat, je le sais bien, et j’espère sincèrement un jour raviser ma position. Mais je ne veux pas faire comme j’ai fait la première fois : ne pas en parler et tenter d’oublier sur le champ par toutes les manières possible et inimaginables; faire semblant d’être forte alors que je ne le suis pas; ne pas en parler, ne pas pleurer, faire comme si tout allait bien quand non, ça ne va pas bien! Ça ne m’a mené à rien la première fois, à 16 ans, je ne pense pas que ça m’amènerait encore quelquepart à 20. Mais bref, ce qui me fait rougir de colère et de honte dans tout ce merdier, c’est que ça s’est passé exactement comme je pensais que ça se passerait. Je connaissais déjà cet homme, ne l’oubliez pas. Vendredi matin, tout était correct, et vendredi soir, suite à une expérience mystique dans une église mormone, eh oui vous avez bien lu, monsieur est devenu tout confus et pensait peut-être avoir découvert en cette église un sens à sa minable existence. Car oui, elle est minable : pas de réelle famille, pas de réels amis proches de lui à qui parler, des démons intérieurs qui le rongent depuis l’enfance, une incapacité à avoir une relation stable et surtout DURABLE, c’est assez pour qualifier une existence de minable, je crois. Et pas minable conne et sans importance là, minable triste, qui fait pitié, pour laquelle j’ai de la compassion, c’est très différent. Mais bref, de samedi matin à dimanche soir, mon existence n’était pas possible car Adonis changeait d’idée à la vitesse où Jean-Marc Parent nous demandait de flasher nos lumières il y a quelques années. J’ai finalement dû l’accoter au mur dimanche soir, sans quoi je crois qu’on serait encore ensemble, mais entre la vie et la mort. Remy a un grave problème que j’ai aussi : il tombe en amour trop facilement. Mais, contrairement à moi, il ne s’investit pas dans la relation et s’en lasse à une vitesse folle. Il se lasse de tout très vite car il est déjà lassé de lui-même. Tant qu’il ne travaillera pas sur lui, il ne pourra pas rendre quelqu’un totalement heureux. Je souhaite qu’il fasse ce cheminement avant longtemps car, contrairement à ce que j’aurais pu penser, il n’a pas changé d’un poil depuis 4 ans. Je ne regrette pas cette histoire car elle devait arriver. Une synchronicité pas possible s’est opérée et l’histoire devait arriver, c’était écrit dans le ciel avec un néon et je le savais au moins deux mois avant qu’on se voit. Je ne regrette rien, vrai, mais j’ai un goût vraiment amer dans la bouche. Et non, ce n’est plus le goût de la quinzaine de pillules que je me suis foutue dans l’organisme dimanche soir, sachant bien que je ne crèverais jamais avec une si petite dose. Je crois que la mort faisant maintenant partie de moi, j’ai ressenti encore une fois le besoin de m’en approcher dangeureusement. Il faut que je me surveille car je me sais très fragile au suicide. Quand on a cohabité avec la mort, quand on l’a connu, qu’on l’a vécu d’une façon ou d’une autre, qu’on l’a eu comme coloc et amie, elle est toujours très proche, très accessible, très facile à atteindre, toujours prête à nous porter secours. Elle devient une bouée de secours simple, elle devient un refuge dans le malheur. Et j’ai voulu m’y réfugier. Mais bref, tout ça pour dire que le goût amer que j’ai dans la bouche, c’est qu’à cause de cette putain de distance, (qui n’est qu’une cause mineure de notre séparation, je vous le rappelle, ça se change), j’ai encore une fois l’impression de ne pas avoir terminé cette relation complètement, j’ai l’impression d’avoir encore des comptes à régler avec lui, une dernière baise non faite, une dernière crise de larmes et de colère non évacuée. Ça me fait vraiment chier et ça me fout les boules. J’ai peur de retomber encore dans une impasse, ce que fut toute ma vie des dernières années. Je m’étais tellement investie dans cette relation, sachant qu’elle pouvait finir à tout moment, que je me sens maintenant vide. Mais, comme je faisais autrefois, je ne veux pas remplir ce vide de garçons inutiles, qui n’ont rien à m’apporter, d’aventures d’un soir ridicules qui ne feront qu’agraver mon état. J’ai deux amis garçons dont j’aurais vraiment besoin, ne serait-ce que pour ne pas perdre pied et ne pas perdre espoir. Ces deux amis sont un célibataire endurci et mêlé à outrance et un amant que je redécouvre chaque fois qu’on est tous les deux célibataires, ce qui est le cas en ce moment. Mais je sais, il ne faut pas oublier, il faut vivre ça à fond, ce que je n’ai pas fait à 16 ans. Mais je sais dors et déjà que cet amour me laissera à vie une épée en travers de la gorge car il n’aura jamais été réglé en personne, mais toujours d’une façon virtuelle et pathétique. Et je sais aussi très bien que la seconde où il voudra reprendre, que ce soit dans 10 minutes, dans 3 jours ou dans 6 ans, je le reprendrai comme une conne. Ça me désole car c’est aussi la raison pour laquelle je dois arrêter de lui parler, même en amie. On le sait, on se l’est dit dimanche, on retombera toujours en amour chaque fois qu’on se redécouvrira et qu’on sera tous les deux célibataires. Et si lui ne se fait pas confiance, si lui ne travaille pas sur lui et si moi, je ne complète pas ce foutu cheminement de mes deux, ça ne marchera jamais. Ce sera encore et toujours de 2 à 6 mois de gros bonheur sale, de sweet love rose en chewing-gum sucré et délicieux... Et, un matin, il se réveillera confus et me dira qu’il est tout mêlé, qu’il ne comprend plus rien à sa vie, qu’il a besoin de réfléchir, etc. Mon ami que je qualifie de célibataire endurci est un peu dans le même genre, sauf que je crois qu’il a renoncé depuis un bail à faire souffrir les femmes de son entourage. Sans rancune hein mon pote, si tu te reconnais. Alors bref, c’est ma petite histoire. Tout a commencé trop vite et trop bien, ça ne pouvait finir que mal et trop vite aussi. Mais j’ai un cœur d’enfant et je veux, même si ça fait très mal, être naïve et croire encore que l’amour peut fonctionner. J’espère juste qu’un jour, j’aurai une preuve ou du moins, que j’apprendrai à être bien, vraiment bien, sans ami. Que je n’aurai plus ce pincement au cœur en entendant une vedette ou un ami simplement mentionner son chum ou sa blonde dans une conversation XYZ. Je crois que plusieurs filles me comprennent véritablement et là, je pense surtout à Nicole et Nataly que j’ai encouragées pendant ma période de bonheur absolu. Eh ben, les filles, ce sera votre tour! Je ne veux pas faire l’autruche et ne pas en parler, parlez-moi en à outrance si vous voulez, mais ne vous surprenez pas si je vous éclate en larmes au visage. Il faut en parler et je le sais maintenant. Il faut en parler pour accepter, pour oublier même si je sais, ça semble complètement paradoxal. Certaines personnes pensent peut-être que j’y vais fort, je sais, j’ai vécu une chose pire que ça le 29 juin 2004. Cette chose m’a appris à perdre un ami sans trop de douleur trop intense, mais perdre un amour dans ma situation de personne non-voyante, c’est aussi très différent. Car les gars voyants s’intéressent rarement à nous, arrêtons de rêver et de trop croire, c’est vrai bordel. Donc, on se demande si on a passé toute la communauté ou si il en reste encore des intéressants qu’on a pas rencontré!! Ça peut sembler pathétique et ghettoïsant comme mentalité, mais c’est souvent la réalité. Eh ben coudonc, soyons totalement honnêtes, je suis encore une femme dans cette société et avouez quand même qu’on voit beaucoup plus d’hommes non-voyants avec des femmes voyantes que le contraire. C’est dans la mentalité de l’homme, de l’être humain et ça ne changera sûrement pas de si tôt.
Voilà, c’était mon explication, mon histoire. Désolée à ceux que j’ai pu effrayer par cette histoire d’assassinat, mais je crois qu’on a tous une violence en nous et qu’il faut juste l’accepter et se surveiller.
Merci d’avoir lu mes délirs à ceux qui ont toffé jusqu’à la fin!
Je finirais par cette phrase de ma grande chum Nancy qui m’a particulièrement émue hier : « Audrey, même si on est aveugles, on finira par voir la lumière au bout du tunnel.
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Montréal
Une aveugle aurait drogué son ex-copain pour tenter de le tuer
Une jeune femme aveugle aurait tenté de tuer son ex-ami de coeur samedi soir à Montréal. L'ex-ami de coeur est lui aussi un non-voyant.
La jeune femme suspectée d’avoir tenté d’assassiner son ex-copain lui aurait d’abord donné un cocktail de médicaments.
Elle aurait ensuite essayé de lui trancher la gorge avec un objet contondant.
«Il a dormi et quand il s'est réveillé, il s'est senti mal, comme s'il avait été empoisonné avec quelque chose. Puis, il pensait qu'elle avait essayé de lui couper le cou», relate Lyna Boucher, employée à l’hôtel Résidence, à qui le jeune homme a d’abord raconté son histoire.
Le jeune couple dans la vingtaine avait choisi l'Hôtel La Résidence, rue Sherbrooke est, pour faire le point sur une récente rupture.
Débarqué de Colombie-Britannique en soirée samedi, le jeune homme de 21 ans ne pouvait s'imaginer le complot qu'avait envisagé son ex-copine.
En octobre dernier, tourmentée, la jeune femme y allait d'un propos plutôt troublant sur la fin de sa relation amoureuse. Sur son blog Internet, elle publiait la lettre suivante intitulée «Mon chum m'a larguée». Elle y exprimait le regret de ne pas l’avoir tué afin de ne garder que des souvenirs positifs du jeune homme.
Conduit en centre hospitalier, le jeune homme n'a cependant fait l'objet d'aucune blessure grave. Arrêtée sur place, la suspecte devra répondre de ses actes.
La dame pourrait faire face à des accusations de tentative de meurtre, de possession d'une arme dans un dessein dangereux. Originaire de L'Ancienne-Lorette, la jeune femme s'était taillée une place au sein des 50 derniers finalistes de la plus récente édition de Star Académie.
Annouk a écritJe n'ai pas trouvé drôle qu'elle commette une tentative de meurtre...Ça ne me ressemble pas.
Par contre, oui je n'ai pu m'empêcher de sourire en pensant que dès que quelqu'un est choisi pour faire SA, il semble parfait à tout point de vue pour certains...
Comme si on connaissait à fond une personne parce qu'on la voit dans notre salon
je suis d'accord avec cette observation... Ce que je trouve remarquable aussi (dans le sens que je le remarque) c'est qu'ici on lit des messages comme "pauvre fille, elle doit être en dépression, ça a pas d'allure, elle doit être malade, etc." alors que si elle n'avait pas été dans les finalistes de SA (si personne ici ne la connaissait), les commentaires seraient probablement plus de l'ordre des "méchante malade, elle!" et "mausus de folle!"
Par contre, oui je n'ai pu m'empêcher de sourire en pensant que dès que quelqu'un est choisi pour faire SA, il semble parfait à tout point de vue pour certains...
Comme si on connaissait à fond une personne parce qu'on la voit dans notre salon
je suis d'accord avec cette observation... Ce que je trouve remarquable aussi (dans le sens que je le remarque) c'est qu'ici on lit des messages comme "pauvre fille, elle doit être en dépression, ça a pas d'allure, elle doit être malade, etc." alors que si elle n'avait pas été dans les finalistes de SA (si personne ici ne la connaissait), les commentaires seraient probablement plus de l'ordre des "méchante malade, elle!" et "mausus de folle!"
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Éolianne a écrit
je suis d'accord avec cette observation... Ce que je trouve remarquable aussi (dans le sens que je le remarque) c'est qu'ici on lit des messages comme "pauvre fille, elle doit être en dépression, ça a pas d'allure, elle doit être malade, etc." alors que si elle n'avait pas été dans les finalistes de SA (si personne ici ne la connaissait), les commentaires seraient probablement plus de l'ordre des "méchante malade, elle!" et "mausus de folle!"
une mechante malade qui est en depression les 2 meler est-ce correct
je suis d'accord avec cette observation... Ce que je trouve remarquable aussi (dans le sens que je le remarque) c'est qu'ici on lit des messages comme "pauvre fille, elle doit être en dépression, ça a pas d'allure, elle doit être malade, etc." alors que si elle n'avait pas été dans les finalistes de SA (si personne ici ne la connaissait), les commentaires seraient probablement plus de l'ordre des "méchante malade, elle!" et "mausus de folle!"
une mechante malade qui est en depression les 2 meler est-ce correct
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- Fleur de Jasmin
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Lorsqu'elle a fait son audition à SA, j'ai été très émue par sa voix et la douceur que cette fille dégageait. Je voulais donc qu'on la choisisse, qu'on lui donne sa chance !
Aujourd'hui je me dis que j'ai été bien aveugle. Car, d'après la lettre que Annouk a collée, je vois bien que cette fille risque d'être déclarée inapte à subir un procès.
Quelle tristesse quand même !
Aujourd'hui je me dis que j'ai été bien aveugle. Car, d'après la lettre que Annouk a collée, je vois bien que cette fille risque d'être déclarée inapte à subir un procès.
Quelle tristesse quand même !


La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Ce que je trouve le pire dans tout ca c'est que tout le monde parle d'Audrey qui a fait une tentative de meurtre et personne ne semble pensé à la victime
Je suis convaincu que ca aurait été tout autrement si cela avait été le gars qui avait tenté de tuer la fille
Personellement je trouve ce délit grave et je suis incapable d'en faire de l'humour
Je suis convaincu que ca aurait été tout autrement si cela avait été le gars qui avait tenté de tuer la fille
Personellement je trouve ce délit grave et je suis incapable d'en faire de l'humour
Voilà se que j'ai trouvé.. Sétait publié dans la section Star académie3 alors je me suis permis de venir vous donner les récente nouvelles ici.
ENQUÊTE SUR AUDREY TRÉPANIER
Une abracadabrante mise en scène pour tenter de tuer son ex-conjoint
Christiane Desjardins
La Presse
Désespérée parce que son ex-conjoint ne voulait plus d'elle, l'ex-candidate aveugle de Star Académie, Audrey Trépanier, l'a attiré dans un traquenard en lui faisant croire qu'elle était enceinte, puis l'a soumis à un incroyable rituel avant de lui annoncer qu'elle allait le tuer.
C'est ce qu'on a appris hier dans le cadre de l'enquête sous cautionnement de la jeune femme de 21 ans, qui se tenait devant le juge Jean-Pierre Bonin, au palais de justice de Montréal. Au terme de l'exercice, le magistrat a accepté de relaxer la jeune femme en attendant la suite du processus, en lui imposant diverses conditions à respecter, dont un couvre-feu et l'obligation de demeurer chez ses parents, à L'Ancienne-Lorette.
Un peu plus tôt, la procureure de la Couronne avait expliqué au juge que la jeune femme et la présumée victime, Rémy Chartier, aveugle lui aussi, avaient déjà sorti ensemble. Chartier, qui vivait à Vancouver, avait toutefois rompu et Trépanier n'a jamais accepté la rupture. L'été dernier, ils ont renoué, puis Chartier rompait de nouveau. L'automne dernier, Audrey Trépanier laissait savoir au jeune homme qu'elle était enceinte de lui.
La fin de semaine dernière, Chartier est venu à Montréal et a pris une chambre dans un hôtel de la rue Sherbrooke. Audrey Trépanier est allée le rejoindre à cet endroit et lui a demandé de se soumettre à un «rituel amérindien», pour le bébé. Elle lui a fait boire un liquide dans lequel elle avait versé 19 pilules pour dormir et quelques comprimés de Tylenol, à l'insu du jeune homme. Elle lui a ensuite bandé les yeux (Chartier est considéré comme aveugle, mais il peut voir un peu de très très près).
Ensuite, elle lui a collé les mains avec de la colle contact, en lui faisant croire qu'il s'agissait de «gomme d'arbre». Alors qu'il sombrait dans le sommeil, elle lui a fait jouer une cassette dans laquelle elle annonçait ce qu'elle allait lui faire, et elle lui a mis un couteau sur la gorge. Le jeune homme s'est débattu, une bagarre a suivi, mais il a réussi à sortir de la chambre pour alerter des employés de l'hôtel.
À l'arrivée des policiers, Trépanier aurait avoué qu'elle avait fait une gaffe, et qu'elle avait tenté de tuer son ex-conjoint. Quant au jeune homme, il s'en est tiré avec de simples égratignures et serait apparemment reparti pour Vancouver.
Hier, c'est avec beaucoup d'émotion que la mère de l'accusée, Lucie Lambert-Trépanier, a témoigné pour expliquer le parcours d'Audrey qui n'aurait jamais été violente dans le passé. Affectée d'une maladie congénitale des yeux, Audrey a subi d'innombrables opérations qui n'ont pas réussi à lui sauver la vue. Selon sa mère, elle a été anesthésiée au moins 60 fois dans sa vie.
Malgré ce handicap, Audrey a toujours fréquenté les écoles régulières, faisant preuve de beaucoup de courage et de détermination. Elle a terminé son cégep en mai dernier et travaillait depuis pour l'entreprise familiale. Si la mère savait que sa fille avait eu beaucoup de peine à la suite de la rupture, rien ne laissait supposer qu'elle pourrait commettre un geste aussi insensé. «Audrey, c'est un rayon de soleil», a-t-elle dit.
Le magistrat a accepté de libérer la jeune femme pour la confier à ses parents. La suite du processus a été fixée au 29 mars.
Source:Cyberpresse
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
ENQUÊTE SUR AUDREY TRÉPANIER
Une abracadabrante mise en scène pour tenter de tuer son ex-conjoint
Christiane Desjardins
La Presse
Désespérée parce que son ex-conjoint ne voulait plus d'elle, l'ex-candidate aveugle de Star Académie, Audrey Trépanier, l'a attiré dans un traquenard en lui faisant croire qu'elle était enceinte, puis l'a soumis à un incroyable rituel avant de lui annoncer qu'elle allait le tuer.
C'est ce qu'on a appris hier dans le cadre de l'enquête sous cautionnement de la jeune femme de 21 ans, qui se tenait devant le juge Jean-Pierre Bonin, au palais de justice de Montréal. Au terme de l'exercice, le magistrat a accepté de relaxer la jeune femme en attendant la suite du processus, en lui imposant diverses conditions à respecter, dont un couvre-feu et l'obligation de demeurer chez ses parents, à L'Ancienne-Lorette.
Un peu plus tôt, la procureure de la Couronne avait expliqué au juge que la jeune femme et la présumée victime, Rémy Chartier, aveugle lui aussi, avaient déjà sorti ensemble. Chartier, qui vivait à Vancouver, avait toutefois rompu et Trépanier n'a jamais accepté la rupture. L'été dernier, ils ont renoué, puis Chartier rompait de nouveau. L'automne dernier, Audrey Trépanier laissait savoir au jeune homme qu'elle était enceinte de lui.
La fin de semaine dernière, Chartier est venu à Montréal et a pris une chambre dans un hôtel de la rue Sherbrooke. Audrey Trépanier est allée le rejoindre à cet endroit et lui a demandé de se soumettre à un «rituel amérindien», pour le bébé. Elle lui a fait boire un liquide dans lequel elle avait versé 19 pilules pour dormir et quelques comprimés de Tylenol, à l'insu du jeune homme. Elle lui a ensuite bandé les yeux (Chartier est considéré comme aveugle, mais il peut voir un peu de très très près).
Ensuite, elle lui a collé les mains avec de la colle contact, en lui faisant croire qu'il s'agissait de «gomme d'arbre». Alors qu'il sombrait dans le sommeil, elle lui a fait jouer une cassette dans laquelle elle annonçait ce qu'elle allait lui faire, et elle lui a mis un couteau sur la gorge. Le jeune homme s'est débattu, une bagarre a suivi, mais il a réussi à sortir de la chambre pour alerter des employés de l'hôtel.
À l'arrivée des policiers, Trépanier aurait avoué qu'elle avait fait une gaffe, et qu'elle avait tenté de tuer son ex-conjoint. Quant au jeune homme, il s'en est tiré avec de simples égratignures et serait apparemment reparti pour Vancouver.
Hier, c'est avec beaucoup d'émotion que la mère de l'accusée, Lucie Lambert-Trépanier, a témoigné pour expliquer le parcours d'Audrey qui n'aurait jamais été violente dans le passé. Affectée d'une maladie congénitale des yeux, Audrey a subi d'innombrables opérations qui n'ont pas réussi à lui sauver la vue. Selon sa mère, elle a été anesthésiée au moins 60 fois dans sa vie.
Malgré ce handicap, Audrey a toujours fréquenté les écoles régulières, faisant preuve de beaucoup de courage et de détermination. Elle a terminé son cégep en mai dernier et travaillait depuis pour l'entreprise familiale. Si la mère savait que sa fille avait eu beaucoup de peine à la suite de la rupture, rien ne laissait supposer qu'elle pourrait commettre un geste aussi insensé. «Audrey, c'est un rayon de soleil», a-t-elle dit.
Le magistrat a accepté de libérer la jeune femme pour la confier à ses parents. La suite du processus a été fixée au 29 mars.
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