7ième débat : Boisclair a t-il passé le test?
CHICANE PRÉVISIBLE DANS TAILLON
André Boisclair opte pour Pointe-aux-Trembles
Denis Lessard
La Presse
Québec
Par dépit, le chef péquiste André Boisclair annoncera dans les prochaines heures qu'il se présentera à l'élection complémentaire dans la circonscrïption de Pointe-aux-Trembles, laissée vacante par le départ de la députée Nicole Léger.
Et, décision susceptible de cristalliser la mauvaise humeur des militants péquistes, l'ancienne présidente du PQ, Marie Malavoy, annoncera en même temps sa candidature dans Taillon, avec l'approbation tacite du chef. Il s'agira d'un premier test important pour M. Boisclair, dont l'arrivée à la tête du PQ n'a pas soulevé d'enthousiasme, si on en croit les sondages.
Selon les informations obtenues par La Presse, M. Boisclair annoncera qu'il a opté pour Pointe-aux-Trembles à la veille du Conseil national de la fin de semaine, à Saint-Hyacinthe.
L'ancienne circonscrïption de Nicole Léger restait un second choix pour M. Boisclair, qui espérait se présenter dans la circonscrïption plus urbaine d'Hochelaga-Maisonneuve. Celle qui y est députée depuis 25 ans, Louise Harel, lui avait laissé entendre, directement, qu'elle songeait à la retraite. C'est pourquoi, rappelle-t-on, M. Boisclair avait ouvertement parlé de «candidates» dans les circonscrïptions de Pointe-aux-Trembles et de Taillon – que venait de libérer Pauline Marois. Et lui, il comptait bien atterrir ailleurs, dans une circonscrïption au profil plus proche de son ancien fief, Gouin.
Depuis, Mme Harel s'est ravisée, confient des sources au PQ, jugeant qu'on lui avait ouvert avec trop d'empressement la porte de sortie. Sentant le vent tourner, M. Boisclair avait déjà il y a un mois signalé à la direction du PQ dans Pointe-aux-Trembles qu'elle devrait attendre à la fin de l'été pour une assemblée de mise en candidature. Avec sa décision, plus rien n'empêche la tenue d'une assemblée d'investiture dans l'ancienne circonscrïption du regretté Michel Bourdon.
Les signes envoyés par Mme Harel expliquent le long moment d'hésitation de M. Boisclair. Il y a désormais près de trois mois que Mme Léger a annoncé son intention de partir le 1er juin.
Turbulences dans Taillon
L'atterrissage d'André Boisclair se fera en douceur dans Pointe-aux-Trembles, mais il en ira tout autrement dans Taillon, que les dirigeants du PQ veulent donner à Marie Malavoy, l'ancienne ministre de Jacques Parizeau, longtemps première vice-présidente du PQ.
Cet atterrissage de Mme Malavoy, qui a rencontré la direction péquiste dans Taillon cette semaine, cause déjà du mécontentement chez des militants, qui ont téléphoné à La Presse pour manifester leur déception. Car, depuis des mois, Dominique Ollivier, ancienne employée politique d'André Boisclair actuellement au cabinet de Gilles Duceppe, se préparait à se porter candidate dans cette circonscrïption acquise au Parti québécois. «Je trouve cela dommage, parce que c'est M. Boisclair lui-même qui en mars dernier m'avait incitée à me porter candidate dans Taillon», a dit simplement Mme Ollivier, jointe hier. Même si Mme Malavoy se présente, Dominique Ollivier restera sur les rangs. Déjà, cette ancienne employée du cabinet de M. Boisclair avait été mise de côté par son ancien patron quand le temps était venu de trouver un candidat pour Gouin. M. Boisclair, comme Pauline Marois d'ailleurs, avait appuyé Nicolas Girard. Louise Harel était restée derrière Mme Ollivier.
Mme Malavoy annoncera son intention juste avant le Conseil national, confie-t-on chez les dirigeants du PQ. Mme Ollivier compte annoncer qu'elle briguera aussi l'investiture, le 13 juin, date de son anniversaire de naissance.
La semaine dernière, l'ancienne ministre Louise Beaudoin avait fait taire les rumeurs voulant qu'elle puisse être intéressée par l'ancienne circonscrïption de son amie Pauline Marois. Jointe à Paris, elle a soutenu que pour elle, «il n'y a qu'un seul comté, c'est Chambly». Mme Beaudoin, même après sa défaite en avril 2003, a toujours continué de surveiller de près son ancien fief.
André Boisclair opte pour Pointe-aux-Trembles
Denis Lessard
La Presse
Québec
Par dépit, le chef péquiste André Boisclair annoncera dans les prochaines heures qu'il se présentera à l'élection complémentaire dans la circonscrïption de Pointe-aux-Trembles, laissée vacante par le départ de la députée Nicole Léger.
Et, décision susceptible de cristalliser la mauvaise humeur des militants péquistes, l'ancienne présidente du PQ, Marie Malavoy, annoncera en même temps sa candidature dans Taillon, avec l'approbation tacite du chef. Il s'agira d'un premier test important pour M. Boisclair, dont l'arrivée à la tête du PQ n'a pas soulevé d'enthousiasme, si on en croit les sondages.
Selon les informations obtenues par La Presse, M. Boisclair annoncera qu'il a opté pour Pointe-aux-Trembles à la veille du Conseil national de la fin de semaine, à Saint-Hyacinthe.
L'ancienne circonscrïption de Nicole Léger restait un second choix pour M. Boisclair, qui espérait se présenter dans la circonscrïption plus urbaine d'Hochelaga-Maisonneuve. Celle qui y est députée depuis 25 ans, Louise Harel, lui avait laissé entendre, directement, qu'elle songeait à la retraite. C'est pourquoi, rappelle-t-on, M. Boisclair avait ouvertement parlé de «candidates» dans les circonscrïptions de Pointe-aux-Trembles et de Taillon – que venait de libérer Pauline Marois. Et lui, il comptait bien atterrir ailleurs, dans une circonscrïption au profil plus proche de son ancien fief, Gouin.
Depuis, Mme Harel s'est ravisée, confient des sources au PQ, jugeant qu'on lui avait ouvert avec trop d'empressement la porte de sortie. Sentant le vent tourner, M. Boisclair avait déjà il y a un mois signalé à la direction du PQ dans Pointe-aux-Trembles qu'elle devrait attendre à la fin de l'été pour une assemblée de mise en candidature. Avec sa décision, plus rien n'empêche la tenue d'une assemblée d'investiture dans l'ancienne circonscrïption du regretté Michel Bourdon.
Les signes envoyés par Mme Harel expliquent le long moment d'hésitation de M. Boisclair. Il y a désormais près de trois mois que Mme Léger a annoncé son intention de partir le 1er juin.
Turbulences dans Taillon
L'atterrissage d'André Boisclair se fera en douceur dans Pointe-aux-Trembles, mais il en ira tout autrement dans Taillon, que les dirigeants du PQ veulent donner à Marie Malavoy, l'ancienne ministre de Jacques Parizeau, longtemps première vice-présidente du PQ.
Cet atterrissage de Mme Malavoy, qui a rencontré la direction péquiste dans Taillon cette semaine, cause déjà du mécontentement chez des militants, qui ont téléphoné à La Presse pour manifester leur déception. Car, depuis des mois, Dominique Ollivier, ancienne employée politique d'André Boisclair actuellement au cabinet de Gilles Duceppe, se préparait à se porter candidate dans cette circonscrïption acquise au Parti québécois. «Je trouve cela dommage, parce que c'est M. Boisclair lui-même qui en mars dernier m'avait incitée à me porter candidate dans Taillon», a dit simplement Mme Ollivier, jointe hier. Même si Mme Malavoy se présente, Dominique Ollivier restera sur les rangs. Déjà, cette ancienne employée du cabinet de M. Boisclair avait été mise de côté par son ancien patron quand le temps était venu de trouver un candidat pour Gouin. M. Boisclair, comme Pauline Marois d'ailleurs, avait appuyé Nicolas Girard. Louise Harel était restée derrière Mme Ollivier.
Mme Malavoy annoncera son intention juste avant le Conseil national, confie-t-on chez les dirigeants du PQ. Mme Ollivier compte annoncer qu'elle briguera aussi l'investiture, le 13 juin, date de son anniversaire de naissance.
La semaine dernière, l'ancienne ministre Louise Beaudoin avait fait taire les rumeurs voulant qu'elle puisse être intéressée par l'ancienne circonscrïption de son amie Pauline Marois. Jointe à Paris, elle a soutenu que pour elle, «il n'y a qu'un seul comté, c'est Chambly». Mme Beaudoin, même après sa défaite en avril 2003, a toujours continué de surveiller de près son ancien fief.
L'école du PQ
Josée Boileau
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 juin 2006
Si André Boisclair était l'homme de vision qu'il prétend être, le conseil national que le Parti québécois tient en fin de semaine sur le thème de l'éducation lui offrirait sur un plateau d'argent l'occasion de planter de solides repères et de choisir des voies d'action.
Hélas, l'électoralisme à la petite semaine risque d'éteindre bien des débats. On s'en doutait pour ce qui est du financement de l'école privée, mais Sylvain Simard, un des lieutenants de M. Boisclair, a planté le clou dans le cercueil hier : le débat est «peu pertinent en termes politiques», a-t-il affirmé à La Presse. Pour quiconque se préoccupe de l'avenir de l'éducation au Québec, ce qui est supposément le cas de M. Boisclair, le débat est pourtant pertinent, point. Que l'électorat se divise sur la question, rien de plus normal : chacun défend ses choix. Le rôle du politique est toutefois de se dégager des décisions individuelles pour en mesurer l'impact collectif. Or le fait que l'école secondaire publique -- puisque c'est de celle-ci qu'il est question -- soit de plus en plus désertée au profit du privé dès que les parents en ont l'occasion devrait sérieusement nous interpeller en tant que société. Et il y aurait bien plus à débattre que la seule question des subventions.
Mais M. Boisclair a choisi de ne pas le voir. Le «nouveau» Parti québécois, de toute évidence, ne doit pas brasser la cage; il suffit de se laisser glisser vers une éventuelle victoire en contournant les écueils, en promettant l'impossible -- non seulement maintenir le gel des frais de scolarité mais envisager en plus la gratuité complète, gentille forme de clientélisme -- et en surfant sur les clichés. (Par exemple, il faut favoriser la formation continue. Mais encore ?)
À cet égard, il sera intéressant de voir la manière dont ce conseil national réglera le cas de la réforme scolaire. Le cahier d'animation soumis aux délégués s'inscrit dans la continuité de la réforme, qui voit l'école comme un lieu de «savoir, savoir-faire, savoir-être et savoir-vivre-ensemble», comme le résumait le rapport des États généraux sur l'éducation il y a dix ans. Le comité national des jeunes du PQ entend, lui, donner un coup de barre à cette approche, revenir à l'«école qui instruit» un poncif qui n'est pas plus argumenté que les autres propositions du comité (retenons un sourire devant la brillante idée d'ouvrir l'école jusqu'à 17h, comme si les services de garde ne faisaient pas en sorte qu'elle le soit déjà !) mais qui risque de plaire puisqu'il se fond dans le discours à la mode. Pour quel camp M. Boisclair optera-t-il ? Pour le vent qui soufflera le plus fort ?
Admettons toutefois que son choix aurait été plus simple si ce conseil national, le premier du genre au PQ, avait fait ses devoirs et revisité les États généraux, cette formidable consultation menée par les péquistes et dont on n'a pas épuisé les dizaines de recommandations qui en sont issues. Le cahier d'animation est bien en deçà de la richesse des réflexions, pas toujours unanimes !, qui avaient été dégagées à l'époque. Pire encore, le cahier n'y fait même aucune référence. Il est vrai que dix ans, c'est soudainement bien lointain pour un parti qui a décidé de se réinventer...
jboileau@ledevoir.ca
Josée Boileau
Édition du samedi 10 et du dimanche 11 juin 2006
Si André Boisclair était l'homme de vision qu'il prétend être, le conseil national que le Parti québécois tient en fin de semaine sur le thème de l'éducation lui offrirait sur un plateau d'argent l'occasion de planter de solides repères et de choisir des voies d'action.
Hélas, l'électoralisme à la petite semaine risque d'éteindre bien des débats. On s'en doutait pour ce qui est du financement de l'école privée, mais Sylvain Simard, un des lieutenants de M. Boisclair, a planté le clou dans le cercueil hier : le débat est «peu pertinent en termes politiques», a-t-il affirmé à La Presse. Pour quiconque se préoccupe de l'avenir de l'éducation au Québec, ce qui est supposément le cas de M. Boisclair, le débat est pourtant pertinent, point. Que l'électorat se divise sur la question, rien de plus normal : chacun défend ses choix. Le rôle du politique est toutefois de se dégager des décisions individuelles pour en mesurer l'impact collectif. Or le fait que l'école secondaire publique -- puisque c'est de celle-ci qu'il est question -- soit de plus en plus désertée au profit du privé dès que les parents en ont l'occasion devrait sérieusement nous interpeller en tant que société. Et il y aurait bien plus à débattre que la seule question des subventions.
Mais M. Boisclair a choisi de ne pas le voir. Le «nouveau» Parti québécois, de toute évidence, ne doit pas brasser la cage; il suffit de se laisser glisser vers une éventuelle victoire en contournant les écueils, en promettant l'impossible -- non seulement maintenir le gel des frais de scolarité mais envisager en plus la gratuité complète, gentille forme de clientélisme -- et en surfant sur les clichés. (Par exemple, il faut favoriser la formation continue. Mais encore ?)
À cet égard, il sera intéressant de voir la manière dont ce conseil national réglera le cas de la réforme scolaire. Le cahier d'animation soumis aux délégués s'inscrit dans la continuité de la réforme, qui voit l'école comme un lieu de «savoir, savoir-faire, savoir-être et savoir-vivre-ensemble», comme le résumait le rapport des États généraux sur l'éducation il y a dix ans. Le comité national des jeunes du PQ entend, lui, donner un coup de barre à cette approche, revenir à l'«école qui instruit» un poncif qui n'est pas plus argumenté que les autres propositions du comité (retenons un sourire devant la brillante idée d'ouvrir l'école jusqu'à 17h, comme si les services de garde ne faisaient pas en sorte qu'elle le soit déjà !) mais qui risque de plaire puisqu'il se fond dans le discours à la mode. Pour quel camp M. Boisclair optera-t-il ? Pour le vent qui soufflera le plus fort ?
Admettons toutefois que son choix aurait été plus simple si ce conseil national, le premier du genre au PQ, avait fait ses devoirs et revisité les États généraux, cette formidable consultation menée par les péquistes et dont on n'a pas épuisé les dizaines de recommandations qui en sont issues. Le cahier d'animation est bien en deçà de la richesse des réflexions, pas toujours unanimes !, qui avaient été dégagées à l'époque. Pire encore, le cahier n'y fait même aucune référence. Il est vrai que dix ans, c'est soudainement bien lointain pour un parti qui a décidé de se réinventer...
jboileau@ledevoir.ca
Rénatane a écritPas vraiment.........a date ce que je retiens de lui , c'est qu'il voulait une maison pour le premier ministre , payé avec l'argent de nos impôts.........
A part de ça, je ne l'entend jamais s'impliquer dans des dossiers.....franchement , méchante opposition que l'on a
On entend plus parler de Landry , a la télé........
Il ne faudrait pas oublier que présentement, ce n'est pas André Boislcauir le chef de l'opposition officiel, mais bien Louise Harel Et si tu regardes la période de questions, tu va voir que le PQ fait très bien sa job
A part de ça, je ne l'entend jamais s'impliquer dans des dossiers.....franchement , méchante opposition que l'on a
On entend plus parler de Landry , a la télé........
Il ne faudrait pas oublier que présentement, ce n'est pas André Boislcauir le chef de l'opposition officiel, mais bien Louise Harel Et si tu regardes la période de questions, tu va voir que le PQ fait très bien sa job
ploloto a écritDans le milieu à Québec, il est percu comme un personnage de surface sans grande profondeur. Est-ce un défaut, ou une qualité? L'avenir le dira! Mais la perspective politique pour les prochaines élections me semble bien maigre pour l'instant!
Pour les derniers mois, Boisclair avait des dossiers beaucoup plus importants à régler que de faire belle image à la télévision. Il a fait une tournée complète du Québec pour rencontrer les membres, et il s'est occupé du problème des finances du parti, car on avait une dette asser importante.
Maintenant que Boisclair peut compter sur l'appui de ses membres et ne pas avoir peur de manquer de financement, il est prêt pour la guerre, et ça parrait
Regarder le bien aller ! Son discours d'ouverture hier soir au congrès péquiste nous donne une bonne idée de sa fougue
Pour les derniers mois, Boisclair avait des dossiers beaucoup plus importants à régler que de faire belle image à la télévision. Il a fait une tournée complète du Québec pour rencontrer les membres, et il s'est occupé du problème des finances du parti, car on avait une dette asser importante.
Maintenant que Boisclair peut compter sur l'appui de ses membres et ne pas avoir peur de manquer de financement, il est prêt pour la guerre, et ça parrait
Regarder le bien aller ! Son discours d'ouverture hier soir au congrès péquiste nous donne une bonne idée de sa fougue
Simone a écritPour moi il ne passe pas le test...C'est bien beau ses prises de position sur Kyoto et le Mont-Orford, mais c'est facile de défendre ces dossiers-là dans le sens qu'il y a à peu près unanimité là-dessus dans la population. Il ne risque rien. Quand il s'agit de se prononcer sur des questions plus complexes, il a beaucoup plus de difficulté à parler.
L'a-t-on entendu proposer des solutions novatrices et réalistes sur le financement de l'éducation, sur le jugement Chaoulli, sur la manière d'aborder le phénomène du vieillissement de la population, sur la gouvernance des sociétés d'état, sur le remboursement de la dette, et ainsi de suite ?
Il n'a que la souveraineté comme solution et quand je dis "que", ce n'est pas péjoratif mais plutôt dans le sens qu'il y a des chances que ça ne se fasse pas. Dans ce cas, quelle serait sa manière de gouverner ? On n'en sait strictement rien. C'est comme demander un chèque en blanc.
À ceux qui rient des résultats du gouvernement Charest sur la réingénierie de l'état et la réduction des listes d'attente en santé, je suis loin d'être libérale mais je dirais qu'au moins les libéraux ont le mérite de tenter quelque chose de différent, même si c'est trop peu. Les péquistes, eux, ne se penchent même pas sur ces questions.
Quant aux prochaines élections, ce sera difficile ! L'ADQ, pas prête pour le pouvoir même si c'est pour elle que je vais voter, les libéraux, pas envie de les revoir quatre ans et le PQ, déterminé à nous lancer dans un référendum le plus rapidement possible sans s'intéresser à la gestion quotidienne du Québec avant la souveraineté...
Toutes les réponses à tes questions se retrouvent dans le programme du PQ, ou dans les interventions en chambre. Pourtant, je croyais à mon souvenir que tu travaillais sur la colline parlementaire ? Tu devrais savoir que ce n'est pas seulement le chef qui forme un parti, mais tous les membres.
Quoique je suis conscient que c'est différent pour certains partisans de la droite Mais nous au PQ, nous sommes fier de composer un parti démocratique, et ce sont tous les membres qui participent au parti, et non pas seulement le chef. Donc lorsqu'un député péquiste se prononce sur un dossier à Québec, il parle au nom du parti et des idées du parti, idées que défend également notre chef !
Je sais que c'est différent chez vous à l'ADQ où le chef décide de tout et change la doctrine du parti sur des coups de tête (voir les dernières élections provinciales), mais chez nous c'est différent
L'a-t-on entendu proposer des solutions novatrices et réalistes sur le financement de l'éducation, sur le jugement Chaoulli, sur la manière d'aborder le phénomène du vieillissement de la population, sur la gouvernance des sociétés d'état, sur le remboursement de la dette, et ainsi de suite ?
Il n'a que la souveraineté comme solution et quand je dis "que", ce n'est pas péjoratif mais plutôt dans le sens qu'il y a des chances que ça ne se fasse pas. Dans ce cas, quelle serait sa manière de gouverner ? On n'en sait strictement rien. C'est comme demander un chèque en blanc.
À ceux qui rient des résultats du gouvernement Charest sur la réingénierie de l'état et la réduction des listes d'attente en santé, je suis loin d'être libérale mais je dirais qu'au moins les libéraux ont le mérite de tenter quelque chose de différent, même si c'est trop peu. Les péquistes, eux, ne se penchent même pas sur ces questions.
Quant aux prochaines élections, ce sera difficile ! L'ADQ, pas prête pour le pouvoir même si c'est pour elle que je vais voter, les libéraux, pas envie de les revoir quatre ans et le PQ, déterminé à nous lancer dans un référendum le plus rapidement possible sans s'intéresser à la gestion quotidienne du Québec avant la souveraineté...
Toutes les réponses à tes questions se retrouvent dans le programme du PQ, ou dans les interventions en chambre. Pourtant, je croyais à mon souvenir que tu travaillais sur la colline parlementaire ? Tu devrais savoir que ce n'est pas seulement le chef qui forme un parti, mais tous les membres.
Quoique je suis conscient que c'est différent pour certains partisans de la droite Mais nous au PQ, nous sommes fier de composer un parti démocratique, et ce sont tous les membres qui participent au parti, et non pas seulement le chef. Donc lorsqu'un député péquiste se prononce sur un dossier à Québec, il parle au nom du parti et des idées du parti, idées que défend également notre chef !
Je sais que c'est différent chez vous à l'ADQ où le chef décide de tout et change la doctrine du parti sur des coups de tête (voir les dernières élections provinciales), mais chez nous c'est différent
Simone a écrit
Je n'ai jamais caché mes allégeances, et je suis convaincue que le débat peut se faire dans le respect malgré les différentes orientations politiques ;-)
Ma crainte avec le PQ et André Boisclair en ce moment, c'est que tout le discours se base sur la souveraineté et l'argent qu'on irait chercher en étant indépendants. Et si ça ne passait pas, ce référendum ? Qu'est-ce qu'on fait ? Faudrait bien faire avec ce qu'on a, et force est de constater qu'on n'a pas les moyens de conserver tous nos acquis dans la situation actuelle, non ? Un PQ qui perdrait un référendum, il ferait quoi ?
Pourtant en ce moment, le Parti Québécois et André Boisclair parlent beaucoup plus d'éducation que de souveraineté. Nous ne devons pas suivre les mêmes débats en chambre et les mêmes nouvelles
Je n'ai jamais caché mes allégeances, et je suis convaincue que le débat peut se faire dans le respect malgré les différentes orientations politiques ;-)
Ma crainte avec le PQ et André Boisclair en ce moment, c'est que tout le discours se base sur la souveraineté et l'argent qu'on irait chercher en étant indépendants. Et si ça ne passait pas, ce référendum ? Qu'est-ce qu'on fait ? Faudrait bien faire avec ce qu'on a, et force est de constater qu'on n'a pas les moyens de conserver tous nos acquis dans la situation actuelle, non ? Un PQ qui perdrait un référendum, il ferait quoi ?
Pourtant en ce moment, le Parti Québécois et André Boisclair parlent beaucoup plus d'éducation que de souveraineté. Nous ne devons pas suivre les mêmes débats en chambre et les mêmes nouvelles
Raven a écrit
Toutes les réponses à tes questions se retrouvent dans le programme du PQ, ou dans les interventions en chambre. Pourtant, je croyais à mon souvenir que tu travaillais sur la colline parlementaire ? Tu devrais savoir que ce n'est pas seulement le chef qui forme un parti, mais tous les membres.
Quoique je suis conscient que c'est différent pour certains partisans de la droite Mais nous au PQ, nous sommes fier de composer un parti démocratique, et ce sont tous les membres qui participent au parti, et non pas seulement le chef. Donc lorsqu'un député péquiste se prononce sur un dossier à Québec, il parle au nom du parti et des idées du parti, idées que défend également notre chef !
Je sais que c'est différent chez vous à l'ADQ où le chef décide de tout et change la doctrine du parti sur des coups de tête (voir les dernières élections provinciales), mais chez nous c'est différent
Je travaille près de la colline, oui, et justement ça ne me donne pas l'occasion d'entendre Boisclair puisqu'il n'y est pas.
J'avais essayé de ne pas être cynique dans mes réponses. Ce qui me déçoit le plus avec un grand nombre de péquistes, c'est l'aveuglement et le manque de respect pour ceux qui ont une opinion différente. Si on n'est pas péquistes, c'est qu'on n'a pas compris. Je suis adéquiste, mais tout à fait capable d'admettre nos faiblesses. Je n'ai sûrement pas lu toutes tes interventions sur le PQ sur le forum, mais à date je t'ai rarement vu admettre quoi que ce soit.
Quant à notre chef, que veux-tu, nous avons tendance à le respecter, nous, et à ne pas le lyncher sur la place publique.
C'est facile de revenir sur notre campagne de 2003 et de fesser là-dessus. On l'admet, que ça a été une campagne ratée. Bien plus facile que de regarder vos promesses irréalistes de cette même campagne. Que de voir que l'interventionnisme de l'état prôné par le PQ nous a coûté 300 millions de dollars pour la relance ratée de la Gaspésia, sans parler des dépassements de coût pour l'immeuble de la Caisse de dépôt, le métro de Laval, Metaforia, etc. Sans parler des sous-évaluations des coûts de l'assurance-médicaments, qui ont augmenté de 800% en quelques années, des déficits cachés par des acrobaties comptables, le réseau de garderies à 5 dollars qui a été créé sans tenir compte du fait que les contribuables québécois perdaient plus de 200 millions de dollars de crédit d'impôt fédéral de cette façon, et alouette ! Savais-tu que pour une famille de la classe moyenne, c'est plus rentable de payer 20 dollars par jour et d'avoir les retours d'impôt en retour ?
Je pense que tous les contribuables québécois doivent se demander ce qu'un PQ de retour au pouvoir changerait à ça. Son bilan passé compte des réussites, mais certaines ont coûté tellement cher que ce ne sont plus des réussites. Parfois, pour suivre votre ligne de pensée, vous êtes prêts à lever complètement le nez sur le prix à payer.
André Boisclair nous dit-il comment il va gouverner, comment il va faire en sorte de ne pas répéter ces erreurs ? Moi je n'entends rien la-dessus. Rien sur la bonne gouvernance, la réduction de la dette, la poursuite de la réforme du système de santé qui en besoin plus que jamais. Quant à votre programme, Parizeau n'a-t-il pas dit qu'il était rempli de conneries ? Et si votre programme comptait tant que ça, y'a des choses qui "traînent" dedans depuis 20 ans qui seraient réalisées, à commencer par la réforme du mode de scrutin.
Tu peux attaquer l'ADQ tant que tu veux, mais fais-le sur le plan des idées. Pas sur une campagne ratée, pas sur une étiquette de droite que tu accoles tout à fait arbitrairement.
Au fait, tu dis que quand un député parle, il parle du nom du parti, des militants et du chef. Que dis-tu des déclarations de Sylvain Simard sur les frais de scolarité ? ;-)
Toutes les réponses à tes questions se retrouvent dans le programme du PQ, ou dans les interventions en chambre. Pourtant, je croyais à mon souvenir que tu travaillais sur la colline parlementaire ? Tu devrais savoir que ce n'est pas seulement le chef qui forme un parti, mais tous les membres.
Quoique je suis conscient que c'est différent pour certains partisans de la droite Mais nous au PQ, nous sommes fier de composer un parti démocratique, et ce sont tous les membres qui participent au parti, et non pas seulement le chef. Donc lorsqu'un député péquiste se prononce sur un dossier à Québec, il parle au nom du parti et des idées du parti, idées que défend également notre chef !
Je sais que c'est différent chez vous à l'ADQ où le chef décide de tout et change la doctrine du parti sur des coups de tête (voir les dernières élections provinciales), mais chez nous c'est différent
Je travaille près de la colline, oui, et justement ça ne me donne pas l'occasion d'entendre Boisclair puisqu'il n'y est pas.
J'avais essayé de ne pas être cynique dans mes réponses. Ce qui me déçoit le plus avec un grand nombre de péquistes, c'est l'aveuglement et le manque de respect pour ceux qui ont une opinion différente. Si on n'est pas péquistes, c'est qu'on n'a pas compris. Je suis adéquiste, mais tout à fait capable d'admettre nos faiblesses. Je n'ai sûrement pas lu toutes tes interventions sur le PQ sur le forum, mais à date je t'ai rarement vu admettre quoi que ce soit.
Quant à notre chef, que veux-tu, nous avons tendance à le respecter, nous, et à ne pas le lyncher sur la place publique.
C'est facile de revenir sur notre campagne de 2003 et de fesser là-dessus. On l'admet, que ça a été une campagne ratée. Bien plus facile que de regarder vos promesses irréalistes de cette même campagne. Que de voir que l'interventionnisme de l'état prôné par le PQ nous a coûté 300 millions de dollars pour la relance ratée de la Gaspésia, sans parler des dépassements de coût pour l'immeuble de la Caisse de dépôt, le métro de Laval, Metaforia, etc. Sans parler des sous-évaluations des coûts de l'assurance-médicaments, qui ont augmenté de 800% en quelques années, des déficits cachés par des acrobaties comptables, le réseau de garderies à 5 dollars qui a été créé sans tenir compte du fait que les contribuables québécois perdaient plus de 200 millions de dollars de crédit d'impôt fédéral de cette façon, et alouette ! Savais-tu que pour une famille de la classe moyenne, c'est plus rentable de payer 20 dollars par jour et d'avoir les retours d'impôt en retour ?
Je pense que tous les contribuables québécois doivent se demander ce qu'un PQ de retour au pouvoir changerait à ça. Son bilan passé compte des réussites, mais certaines ont coûté tellement cher que ce ne sont plus des réussites. Parfois, pour suivre votre ligne de pensée, vous êtes prêts à lever complètement le nez sur le prix à payer.
André Boisclair nous dit-il comment il va gouverner, comment il va faire en sorte de ne pas répéter ces erreurs ? Moi je n'entends rien la-dessus. Rien sur la bonne gouvernance, la réduction de la dette, la poursuite de la réforme du système de santé qui en besoin plus que jamais. Quant à votre programme, Parizeau n'a-t-il pas dit qu'il était rempli de conneries ? Et si votre programme comptait tant que ça, y'a des choses qui "traînent" dedans depuis 20 ans qui seraient réalisées, à commencer par la réforme du mode de scrutin.
Tu peux attaquer l'ADQ tant que tu veux, mais fais-le sur le plan des idées. Pas sur une campagne ratée, pas sur une étiquette de droite que tu accoles tout à fait arbitrairement.
Au fait, tu dis que quand un député parle, il parle du nom du parti, des militants et du chef. Que dis-tu des déclarations de Sylvain Simard sur les frais de scolarité ? ;-)
Raven a écrit
Pourtant en ce moment, le Parti Québécois et André Boisclair parlent beaucoup plus d'éducation que de souveraineté. Nous ne devons pas suivre les mêmes débats en chambre et les mêmes nouvelles
Tu parles de changements de doctrines de l'ADQ comme si c'était terrible et tu ventes le fait que le PQ parle d'éducation, tu ventes donc le fait qu'il va à l'encontre de son programme qui a été adopté il y a à peine un an…?!
Pourtant en ce moment, le Parti Québécois et André Boisclair parlent beaucoup plus d'éducation que de souveraineté. Nous ne devons pas suivre les mêmes débats en chambre et les mêmes nouvelles
Tu parles de changements de doctrines de l'ADQ comme si c'était terrible et tu ventes le fait que le PQ parle d'éducation, tu ventes donc le fait qu'il va à l'encontre de son programme qui a été adopté il y a à peine un an…?!
Citation :J'avais essayé de ne pas être cynique dans mes réponses. Ce qui me déçoit le plus avec un grand nombre de péquistes, c'est l'aveuglement et le manque de respect pour ceux qui ont une opinion différente. Si on n'est pas péquistes, c'est qu'on n'a pas compris. Je suis adéquiste, mais tout à fait capable d'admettre nos faiblesses. Je n'ai sûrement pas lu toutes tes interventions sur le PQ sur le forum, mais à date je t'ai rarement vu admettre quoi que ce soit.
Justement, comme tu le dis, tu es rarement sur le forum pour lire ce qui se dit, alors comment juger de mes commentaires en général ?
Quand mon parti fait des erreurs, je n'ai habituellement pas de problème à en parler, tu n'as qu'a retourné lire les topics concernant la course à la chefferie Par contre, quand l'opposition fait bien sa job, je ne vois pas pourquoi je chialerais
Citation :Quant à notre chef, que veux-tu, nous avons tendance à le respecter, nous, et à ne pas le lyncher sur la place publique.
Il faut dire que vous êtes seulement 10 000 membres et non pas 140 000 comme nous. Quand nous avons 14 fois plus de membres, c'est peut-être normal qu'il y es plus d'opinions différentes dans le parti
Citation :la relance ratée de la Gaspésia, sans parler des dépassements de coût pour l'immeuble de la Caisse de dépôt, le métro de Laval, Metaforia, etc. Sans parler des sous-évaluations des coûts de l'assurance-médicaments, qui ont augmenté de 800% en quelques années, des déficits cachés par des acrobaties comptables, le réseau de garderies à 5 dollars qui a été créé sans tenir compte du fait que les contribuables québécois perdaient plus de 200 millions de dollars de crédit d'impôt fédéral de cette façon, et alouette ! Savais-tu que pour une famille de la classe moyenne, c'est plus rentable de payer 20 dollars par jour et d'avoir les retours d'impôt en retour ?
Citation :À ceux qui rient des résultats du gouvernement Charest sur la réingénierie de l'état et la réduction des listes d'attente en santé, je suis loin d'être libérale mais je dirais qu'au moins les libéraux ont le mérite de tenter quelque chose de différent, même si c'est trop peu. Les péquistes, eux, ne se penchent même pas sur ces questions.
Est-ce moi, ou je repère une légère contradiction entre tes deux messages ? J'ai toujours trouvé que le PQ était un parti qui fonçait et tentais de nouveaux projets, et tant pis si des fois ça chie, au moins nous on essaye ! Les personnes de la Gaspésie semblent en effet heureuses que le PQ ait au moins eu le mérite de tenter un relancement de leur économie
Citation :André Boisclair nous dit-il comment il va gouverner, comment il va faire en sorte de ne pas répéter ces erreurs ? Moi je n'entends rien la-dessus.
Alors, il faut croire que tu n'as pas suivis la course à la chefferie
Citation :Rien sur la bonne gouvernance, la réduction de la dette, la poursuite de la réforme du système de santé qui en besoin plus que jamais.
Trois mots : voir le programme
Citation :Et si votre programme comptait tant que ça, y'a des choses qui "traînent" dedans depuis 20 ans qui seraient réalisées, à commencer par la réforme du mode de scrutin.
Je ne cherche pas à être insultant, je respecte tes opinions et je trouve que tu les exprimes très bien, mais pour une femme qui travaille sur la colline, tu ne sembles pas tout savoir ce qui si passe Il y a présentement une commission parlementaire sur la réforme du scrutin, à laquelle participe le PQ tout comme l'ADQ. Nos deux partis sont contre le projet de réforme du PLQ, mais proposent tout de même d'autres possibilités
Citation :Tu peux attaquer l'ADQ tant que tu veux, mais fais-le sur le plan des idées.
C'est difficile quand votre programme change tout le temps Je te taquine
Justement, comme tu le dis, tu es rarement sur le forum pour lire ce qui se dit, alors comment juger de mes commentaires en général ?
Quand mon parti fait des erreurs, je n'ai habituellement pas de problème à en parler, tu n'as qu'a retourné lire les topics concernant la course à la chefferie Par contre, quand l'opposition fait bien sa job, je ne vois pas pourquoi je chialerais
Citation :Quant à notre chef, que veux-tu, nous avons tendance à le respecter, nous, et à ne pas le lyncher sur la place publique.
Il faut dire que vous êtes seulement 10 000 membres et non pas 140 000 comme nous. Quand nous avons 14 fois plus de membres, c'est peut-être normal qu'il y es plus d'opinions différentes dans le parti
Citation :la relance ratée de la Gaspésia, sans parler des dépassements de coût pour l'immeuble de la Caisse de dépôt, le métro de Laval, Metaforia, etc. Sans parler des sous-évaluations des coûts de l'assurance-médicaments, qui ont augmenté de 800% en quelques années, des déficits cachés par des acrobaties comptables, le réseau de garderies à 5 dollars qui a été créé sans tenir compte du fait que les contribuables québécois perdaient plus de 200 millions de dollars de crédit d'impôt fédéral de cette façon, et alouette ! Savais-tu que pour une famille de la classe moyenne, c'est plus rentable de payer 20 dollars par jour et d'avoir les retours d'impôt en retour ?
Citation :À ceux qui rient des résultats du gouvernement Charest sur la réingénierie de l'état et la réduction des listes d'attente en santé, je suis loin d'être libérale mais je dirais qu'au moins les libéraux ont le mérite de tenter quelque chose de différent, même si c'est trop peu. Les péquistes, eux, ne se penchent même pas sur ces questions.
Est-ce moi, ou je repère une légère contradiction entre tes deux messages ? J'ai toujours trouvé que le PQ était un parti qui fonçait et tentais de nouveaux projets, et tant pis si des fois ça chie, au moins nous on essaye ! Les personnes de la Gaspésie semblent en effet heureuses que le PQ ait au moins eu le mérite de tenter un relancement de leur économie
Citation :André Boisclair nous dit-il comment il va gouverner, comment il va faire en sorte de ne pas répéter ces erreurs ? Moi je n'entends rien la-dessus.
Alors, il faut croire que tu n'as pas suivis la course à la chefferie
Citation :Rien sur la bonne gouvernance, la réduction de la dette, la poursuite de la réforme du système de santé qui en besoin plus que jamais.
Trois mots : voir le programme
Citation :Et si votre programme comptait tant que ça, y'a des choses qui "traînent" dedans depuis 20 ans qui seraient réalisées, à commencer par la réforme du mode de scrutin.
Je ne cherche pas à être insultant, je respecte tes opinions et je trouve que tu les exprimes très bien, mais pour une femme qui travaille sur la colline, tu ne sembles pas tout savoir ce qui si passe Il y a présentement une commission parlementaire sur la réforme du scrutin, à laquelle participe le PQ tout comme l'ADQ. Nos deux partis sont contre le projet de réforme du PLQ, mais proposent tout de même d'autres possibilités
Citation :Tu peux attaquer l'ADQ tant que tu veux, mais fais-le sur le plan des idées.
C'est difficile quand votre programme change tout le temps Je te taquine
Acrux a écrit Tu parles de changements de doctrines de l'ADQ comme si c'était terrible et tu ventes le fait que le PQ parle d'éducation, tu ventes donc le fait qu'il va à l'encontre de son programme qui a été adopté il y a à peine un an…?!
Hummmmm, tu devrais peut-être relire le programme du PQ Tu verrais que l'éducation a toujours été très importante pour le Parti Québécois, et ce, depuis la fondation du MSA. Dans le programme péquiste "Un projet de Pays", il est bien dit que pour un Québec souverain gouverner par le Parti Québécois, le domaine privilégié sera l'éducation Je ne vois pas pourquoi le PQ ne pourrait pas parler d'éducation ? Après cela on nous critique de seulement parler de souveraineté
Hummmmm, tu devrais peut-être relire le programme du PQ Tu verrais que l'éducation a toujours été très importante pour le Parti Québécois, et ce, depuis la fondation du MSA. Dans le programme péquiste "Un projet de Pays", il est bien dit que pour un Québec souverain gouverner par le Parti Québécois, le domaine privilégié sera l'éducation Je ne vois pas pourquoi le PQ ne pourrait pas parler d'éducation ? Après cela on nous critique de seulement parler de souveraineté
Raven a écrit
Hummmmm, tu devrais peut-être relire le programme du PQ Tu verrais que l'éducation a toujours été très importante pour le Parti Québécois, et ce, depuis la fondation du MSA. Dans le programme péquiste "Un projet de Pays", il est bien dit que pour un Québec souverain gouverner par le Parti Québécois, le domaine privilégié sera l'éducation Je ne vois pas pourquoi le PQ ne pourrait pas parler d'éducation ? Après cela on nous critique de seulement parler de souveraineté Je faisais allusion au financement public des écoles privées, ils ont carrément été à l'encontre de leur programme en décidant de ne pas le réduire (ou de l'abolir?)
Opportunisme? ;)
Hummmmm, tu devrais peut-être relire le programme du PQ Tu verrais que l'éducation a toujours été très importante pour le Parti Québécois, et ce, depuis la fondation du MSA. Dans le programme péquiste "Un projet de Pays", il est bien dit que pour un Québec souverain gouverner par le Parti Québécois, le domaine privilégié sera l'éducation Je ne vois pas pourquoi le PQ ne pourrait pas parler d'éducation ? Après cela on nous critique de seulement parler de souveraineté Je faisais allusion au financement public des écoles privées, ils ont carrément été à l'encontre de leur programme en décidant de ne pas le réduire (ou de l'abolir?)
Opportunisme? ;)
Acrux a écrit Je faisais allusion au financement public des écoles privées, ils ont carrément été à l'encontre de leur programme en décidant de ne pas le réduire (ou de l'abolir?)
Opportunisme? ;)
Le mont Orford... opportunisme ou favoritisme?
Des gens qui changent d'idées tu dois connaître ça, le parti libéral du Québec en a eu son lot depuis sa prise du pouvoir non?
Opportunisme? ;)
Le mont Orford... opportunisme ou favoritisme?
Des gens qui changent d'idées tu dois connaître ça, le parti libéral du Québec en a eu son lot depuis sa prise du pouvoir non?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Le mont Orford... opportunisme ou favoritisme?
Des gens qui changent d'idées tu dois connaître ça, le parti libéral du Québec en a eu son lot depuis sa prise du pouvoir non?
Ce n'est pas moi qui a renoter sans cesse que certains partis changaient constament de programme par oportunisme, mais maintenant que ça arrive au PQ ça me fait grand plaisir de relancer la balle
Le mont Orford... opportunisme ou favoritisme?
Des gens qui changent d'idées tu dois connaître ça, le parti libéral du Québec en a eu son lot depuis sa prise du pouvoir non?
Ce n'est pas moi qui a renoter sans cesse que certains partis changaient constament de programme par oportunisme, mais maintenant que ça arrive au PQ ça me fait grand plaisir de relancer la balle
Acrux a écrit Ce n'est pas moi qui a renoter sans cesse que certains partis changaient constament de programme par oportunisme, mais maintenant que ça arrive au PQ ça me fait grand plaisir de relancer la balle
Ma grand-mère te dirait « qu'une fois n'est pas coutume ». Charest a changé plus souvent d'idées depuis son élection que tous les autres partis d'opposition. Un autre triste record à sa décharge. Non mais tsé...
Ma grand-mère te dirait « qu'une fois n'est pas coutume ». Charest a changé plus souvent d'idées depuis son élection que tous les autres partis d'opposition. Un autre triste record à sa décharge. Non mais tsé...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
André Boisclair a passé le test haut la main quant à ce que j’attendais de lui. Ma déception l’a été lors de sa victoire à la course à la chefferie. En fait il est entièrement comme je l’avais prévu.
N’a t’il pas gagné la course par sa prise de position sans équivoque sur l’obligation de tenir un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat après une victoire électorale. Les milliers de cartes de membres vendues aux jeunes ne sont-elles pas le résultat de l’insistance de André Boisclair sur le sujet? Combien de fois a t’il mentionné qu’il s’en tenait au programme. Un point c’est tout.. que nous n’avions qu’a nous y référer comme s’il n’avait pas la capacité de le résumer son fameux programme. Sûrement des centaines de fois. Que dit ce programme, car j’ai bien été obligé de m’y référer pour comprendre ses intentions.
Citation :[http://www.pq.org/tmp2005/programme2005.pdf
Page 22 C
C. Organiser et tenir un référendum et en assurer l’observation internationale
Le Parti Québécois entend :
• organiser et tenir un référendum le plus tôt possible à l’intérieur du prochain mandat pour permettre une préparation intensive des questions afférentes à la souveraineté et pour assurer le temps nécessaire à la transition du Québec vers le statut de pays;
/quote]
Au lendemain de son élection quel était la position de André Boisclair?
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... tion.shtml
Vers un référendum
M. Boisclair dit vouloir tenir un référendum après la prochaine victoire du PQ aux élections, et sa campagne électorale sera basée sur cet objectif. « Le peuple québécois aura bientôt un nouveau rendez-vous avec l'histoire », a-t-il dit. « Tout est question de volonté. »
[/quote]
Sa position au 24 mars 2006
Citation : http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le vendredi 24 mars 2006
Boisclair veut un référendum le plus tôt possible
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Québec
André Boisclair maintient la ligne dure et réaffirme son intention de tenir un référendum le plus tôt possible lors du prochain mandat d'un gouvernement péquiste.
Le chef péquiste réagissait à une sortie, cette semaine dans le quotidien Le Devoir, de l'ex-ministre péquiste Jean-François Simard, qui visait à exhorter M. Boisclair à renoncer à l'engagement de tenir un référendum durant le prochain mandat, tout en l'invitant à revenir à l'idée de proposer au Canada un partenariat avec un Québec souverain, comme c'était le cas lors du référendum de 1995.
M. Simard — qui avait appuyé M. Boisclair durant la course à la direction du PQ — qualifie d'«obstacles» ces deux éléments-clé du programme du parti.
L'ex-député de Montmorency voudrait en fait revenir à l'époque des «conditions gagnantes» de Lucien Bouchard, ce qui ne fait pas l'affaire d'André Boisclair.
«Ce partenariat (avec le Canada) n'est pas une condition à l'accession du Québec à sa souveraineté», a-t-il tranché, se collant à la «doctrine» du parti.
«Je n'ai pas l'intention du tout de changer de cap sur cette question», a-t-il dit, ajoutant plus tard en anglais qu'il ne chercherait pas à obtenir «les conditions gagnantes».
Quand il était premier ministre, Lucien Bouchard disait qu'il tiendrait un référendum seulement lorsque les conditions requises pour une victoire assurée seraient réunies, sans fixer d'échéancier.
M. Boisclair, d'ordinaire prolixe, cachait mal son agacement de devoir répondre à des questions relatives à l'échéancier référendaire.
À la question : «On reste avec ce qui est indiqué dans le programme : le plus tôt possible dans le mandat, il y aura un référendum ?», M. Boisclair a eu cette réponse laconique : «Oui».Il a réaffirmé vouloir s'en tenir à la lettre du programme adopté par les membres du parti, lors du congrès national de juin dernier.
«Je n'ai pas l'intention de me diriger dans un nouveau congrès du Parti québécois dans les prochains mois», a dit M. Boisclair.
Et maintenant en juin 2006 qu’en pense M. Boisclair?
Citation :http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 14531.html
Selon André Boisclair

Pas de référendum sans l'assurance d'une victoire
Le chef du Parti québécois, André Boisclair, n'a pas l'intention de déclencher un référendum sur la souveraineté du Québec sans avoir l'assurance de le gagner. Le chef péquiste rejoint ainsi ses deux plus récents prédécesseurs, les premiers ministres Bernard Landry et Lucien Bouchard.
En entrevue au Soleil, André Boisclair a précisé ne pas être un kamikaze. Il s'est dit de plus agacé par les questions sur l'engagement de son parti de tenir un référendum le plus tôt possible lors d'un mandat péquiste. Comme les chefs péquistes avant lui, André Boisclair doit composer avec d'un côté des militants qui lui demandent de ne pas déroger à cet élément-clé du programme, et de l'autre, des citoyens qui n'ont pas envie d'un troisième référendum sur la souveraineté.
Alors je me dis que tous ceux qui ont apprécié sa fougue et sa prétendue urgence de faire un référendum se sont fait jouer. Car ce n'est pas tant sa dernière déclaration qui me choque, car il est bien réaliste de s'assurer de gagner avant de faire un référendum mais son manque de franchise pendant la course. Je n'ai jamais cru à ses phrases vide de sens.
Je ne comprend pas sa stratégie. C'est vrai qu'il a dit que l'éducation serait sa priorité mais en quoi le fait d'ouvrir les écoles de 8h à 17h donnera des conditions gagnantes?
Et pour répondre à la question.
Le PQ se fera élire au prochaine élection.
Il n'y aura pas de référendum.
Le leadership de Boisclair sera contesté durant le mandat.
Dans 5 ans nous reviendrons à la case départ et le PQ repartira à la recherche d'un nouveau messie.
N’a t’il pas gagné la course par sa prise de position sans équivoque sur l’obligation de tenir un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat après une victoire électorale. Les milliers de cartes de membres vendues aux jeunes ne sont-elles pas le résultat de l’insistance de André Boisclair sur le sujet? Combien de fois a t’il mentionné qu’il s’en tenait au programme. Un point c’est tout.. que nous n’avions qu’a nous y référer comme s’il n’avait pas la capacité de le résumer son fameux programme. Sûrement des centaines de fois. Que dit ce programme, car j’ai bien été obligé de m’y référer pour comprendre ses intentions.
Citation :[http://www.pq.org/tmp2005/programme2005.pdf
Page 22 C
C. Organiser et tenir un référendum et en assurer l’observation internationale
Le Parti Québécois entend :
• organiser et tenir un référendum le plus tôt possible à l’intérieur du prochain mandat pour permettre une préparation intensive des questions afférentes à la souveraineté et pour assurer le temps nécessaire à la transition du Québec vers le statut de pays;
/quote]
Au lendemain de son élection quel était la position de André Boisclair?
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... tion.shtml
Vers un référendum
M. Boisclair dit vouloir tenir un référendum après la prochaine victoire du PQ aux élections, et sa campagne électorale sera basée sur cet objectif. « Le peuple québécois aura bientôt un nouveau rendez-vous avec l'histoire », a-t-il dit. « Tout est question de volonté. »
[/quote]
Sa position au 24 mars 2006
Citation : http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le vendredi 24 mars 2006
Boisclair veut un référendum le plus tôt possible
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Québec
André Boisclair maintient la ligne dure et réaffirme son intention de tenir un référendum le plus tôt possible lors du prochain mandat d'un gouvernement péquiste.
Le chef péquiste réagissait à une sortie, cette semaine dans le quotidien Le Devoir, de l'ex-ministre péquiste Jean-François Simard, qui visait à exhorter M. Boisclair à renoncer à l'engagement de tenir un référendum durant le prochain mandat, tout en l'invitant à revenir à l'idée de proposer au Canada un partenariat avec un Québec souverain, comme c'était le cas lors du référendum de 1995.
M. Simard — qui avait appuyé M. Boisclair durant la course à la direction du PQ — qualifie d'«obstacles» ces deux éléments-clé du programme du parti.
L'ex-député de Montmorency voudrait en fait revenir à l'époque des «conditions gagnantes» de Lucien Bouchard, ce qui ne fait pas l'affaire d'André Boisclair.
«Ce partenariat (avec le Canada) n'est pas une condition à l'accession du Québec à sa souveraineté», a-t-il tranché, se collant à la «doctrine» du parti.
«Je n'ai pas l'intention du tout de changer de cap sur cette question», a-t-il dit, ajoutant plus tard en anglais qu'il ne chercherait pas à obtenir «les conditions gagnantes».
Quand il était premier ministre, Lucien Bouchard disait qu'il tiendrait un référendum seulement lorsque les conditions requises pour une victoire assurée seraient réunies, sans fixer d'échéancier.
M. Boisclair, d'ordinaire prolixe, cachait mal son agacement de devoir répondre à des questions relatives à l'échéancier référendaire.
À la question : «On reste avec ce qui est indiqué dans le programme : le plus tôt possible dans le mandat, il y aura un référendum ?», M. Boisclair a eu cette réponse laconique : «Oui».Il a réaffirmé vouloir s'en tenir à la lettre du programme adopté par les membres du parti, lors du congrès national de juin dernier.
«Je n'ai pas l'intention de me diriger dans un nouveau congrès du Parti québécois dans les prochains mois», a dit M. Boisclair.
Et maintenant en juin 2006 qu’en pense M. Boisclair?
Citation :http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 14531.html
Selon André Boisclair

Pas de référendum sans l'assurance d'une victoire
Le chef du Parti québécois, André Boisclair, n'a pas l'intention de déclencher un référendum sur la souveraineté du Québec sans avoir l'assurance de le gagner. Le chef péquiste rejoint ainsi ses deux plus récents prédécesseurs, les premiers ministres Bernard Landry et Lucien Bouchard.
En entrevue au Soleil, André Boisclair a précisé ne pas être un kamikaze. Il s'est dit de plus agacé par les questions sur l'engagement de son parti de tenir un référendum le plus tôt possible lors d'un mandat péquiste. Comme les chefs péquistes avant lui, André Boisclair doit composer avec d'un côté des militants qui lui demandent de ne pas déroger à cet élément-clé du programme, et de l'autre, des citoyens qui n'ont pas envie d'un troisième référendum sur la souveraineté.
Alors je me dis que tous ceux qui ont apprécié sa fougue et sa prétendue urgence de faire un référendum se sont fait jouer. Car ce n'est pas tant sa dernière déclaration qui me choque, car il est bien réaliste de s'assurer de gagner avant de faire un référendum mais son manque de franchise pendant la course. Je n'ai jamais cru à ses phrases vide de sens.
Je ne comprend pas sa stratégie. C'est vrai qu'il a dit que l'éducation serait sa priorité mais en quoi le fait d'ouvrir les écoles de 8h à 17h donnera des conditions gagnantes?
Et pour répondre à la question.
Le PQ se fera élire au prochaine élection.
Il n'y aura pas de référendum.
Le leadership de Boisclair sera contesté durant le mandat.
Dans 5 ans nous reviendrons à la case départ et le PQ repartira à la recherche d'un nouveau messie.
Fabine a écritAndré Boisclair a passé le test haut la main quant à ce que j’attendais de lui. Ma déception l’a été lors de sa victoire à la course à la chefferie. En fait il est entièrement comme je l’avais prévu.
N’a t’il pas gagné la course par sa prise de position sans équivoque sur l’obligation de tenir un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat après une victoire électorale. Les milliers de cartes de membres vendues aux jeunes ne sont-elles pas le résultat de l’insistance de André Boisclair sur le sujet? Combien de fois a t’il mentionné qu’il s’en tenait au programme. Un point c’est tout.. que nous n’avions qu’a nous y référer comme s’il n’avait pas la capacité de le résumer son fameux programme. Sûrement des centaines de fois. Que dit ce programme, car j’ai bien été obligé de m’y référer pour comprendre ses intentions.
Citation :[http://www.pq.org/tmp2005/programme2005.pdf
Page 22 C
C. Organiser et tenir un référendum et en assurer l’observation internationale
Le Parti Québécois entend :
• organiser et tenir un référendum le plus tôt possible à l’intérieur du prochain mandat pour permettre une préparation intensive des questions afférentes à la souveraineté et pour assurer le temps nécessaire à la transition du Québec vers le statut de pays;
/quote]
Au lendemain de son élection quel était la position de André Boisclair?
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... tion.shtml
Vers un référendum
M. Boisclair dit vouloir tenir un référendum après la prochaine victoire du PQ aux élections, et sa campagne électorale sera basée sur cet objectif. « Le peuple québécois aura bientôt un nouveau rendez-vous avec l'histoire », a-t-il dit. « Tout est question de volonté. »
[/quote]
Sa position au 24 mars 2006
Citation : http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le vendredi 24 mars 2006
Boisclair veut un référendum le plus tôt possible
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Québec
André Boisclair maintient la ligne dure et réaffirme son intention de tenir un référendum le plus tôt possible lors du prochain mandat d'un gouvernement péquiste.
Le chef péquiste réagissait à une sortie, cette semaine dans le quotidien Le Devoir, de l'ex-ministre péquiste Jean-François Simard, qui visait à exhorter M. Boisclair à renoncer à l'engagement de tenir un référendum durant le prochain mandat, tout en l'invitant à revenir à l'idée de proposer au Canada un partenariat avec un Québec souverain, comme c'était le cas lors du référendum de 1995.
M. Simard — qui avait appuyé M. Boisclair durant la course à la direction du PQ — qualifie d'«obstacles» ces deux éléments-clé du programme du parti.
L'ex-député de Montmorency voudrait en fait revenir à l'époque des «conditions gagnantes» de Lucien Bouchard, ce qui ne fait pas l'affaire d'André Boisclair.
«Ce partenariat (avec le Canada) n'est pas une condition à l'accession du Québec à sa souveraineté», a-t-il tranché, se collant à la «doctrine» du parti.
«Je n'ai pas l'intention du tout de changer de cap sur cette question», a-t-il dit, ajoutant plus tard en anglais qu'il ne chercherait pas à obtenir «les conditions gagnantes».
Quand il était premier ministre, Lucien Bouchard disait qu'il tiendrait un référendum seulement lorsque les conditions requises pour une victoire assurée seraient réunies, sans fixer d'échéancier.
M. Boisclair, d'ordinaire prolixe, cachait mal son agacement de devoir répondre à des questions relatives à l'échéancier référendaire.
À la question : «On reste avec ce qui est indiqué dans le programme : le plus tôt possible dans le mandat, il y aura un référendum ?», M. Boisclair a eu cette réponse laconique : «Oui».Il a réaffirmé vouloir s'en tenir à la lettre du programme adopté par les membres du parti, lors du congrès national de juin dernier.
«Je n'ai pas l'intention de me diriger dans un nouveau congrès du Parti québécois dans les prochains mois», a dit M. Boisclair.
Et maintenant en juin 2006 qu’en pense M. Boisclair?
Citation :http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 14531.html
Selon André Boisclair

Pas de référendum sans l'assurance d'une victoire
Le chef du Parti québécois, André Boisclair, n'a pas l'intention de déclencher un référendum sur la souveraineté du Québec sans avoir l'assurance de le gagner. Le chef péquiste rejoint ainsi ses deux plus récents prédécesseurs, les premiers ministres Bernard Landry et Lucien Bouchard.
En entrevue au Soleil, André Boisclair a précisé ne pas être un kamikaze. Il s'est dit de plus agacé par les questions sur l'engagement de son parti de tenir un référendum le plus tôt possible lors d'un mandat péquiste. Comme les chefs péquistes avant lui, André Boisclair doit composer avec d'un côté des militants qui lui demandent de ne pas déroger à cet élément-clé du programme, et de l'autre, des citoyens qui n'ont pas envie d'un troisième référendum sur la souveraineté.
Alors je me dis que tous ceux qui ont apprécié sa fougue et sa prétendue urgence de faire un référendum se sont fait jouer. Car ce n'est pas tant sa dernière déclaration qui me choque, car il est bien réaliste de s'assurer de gagner avant de faire un référendum mais son manque de franchise pendant la course. Je n'ai jamais cru à ses phrases vide de sens.
Je ne comprend pas sa stratégie. C'est vrai qu'il a dit que l'éducation serait sa priorité mais en quoi le fait d'ouvrir les écoles de 8h à 17h donnera des conditions gagnantes?
Et pour répondre à la question.
Le PQ se fera élire au prochaine élection.
Il n'y aura pas de référendum.
Le leadership de Boisclair sera contesté durant le mandat.
Dans 5 ans nous reviendrons à la case départ et le PQ repartira à la recherche d'un nouveau messie.
André Boisclair a décidé d'attendre avant de réaliser le référendum et il fait bien j'appelle ça de la prudence.
N’a t’il pas gagné la course par sa prise de position sans équivoque sur l’obligation de tenir un référendum le plus tôt possible dans un premier mandat après une victoire électorale. Les milliers de cartes de membres vendues aux jeunes ne sont-elles pas le résultat de l’insistance de André Boisclair sur le sujet? Combien de fois a t’il mentionné qu’il s’en tenait au programme. Un point c’est tout.. que nous n’avions qu’a nous y référer comme s’il n’avait pas la capacité de le résumer son fameux programme. Sûrement des centaines de fois. Que dit ce programme, car j’ai bien été obligé de m’y référer pour comprendre ses intentions.
Citation :[http://www.pq.org/tmp2005/programme2005.pdf
Page 22 C
C. Organiser et tenir un référendum et en assurer l’observation internationale
Le Parti Québécois entend :
• organiser et tenir un référendum le plus tôt possible à l’intérieur du prochain mandat pour permettre une préparation intensive des questions afférentes à la souveraineté et pour assurer le temps nécessaire à la transition du Québec vers le statut de pays;
/quote]
Au lendemain de son élection quel était la position de André Boisclair?
http://www.radiocanada.ca/nouvelles/Pol ... tion.shtml
Vers un référendum
M. Boisclair dit vouloir tenir un référendum après la prochaine victoire du PQ aux élections, et sa campagne électorale sera basée sur cet objectif. « Le peuple québécois aura bientôt un nouveau rendez-vous avec l'histoire », a-t-il dit. « Tout est question de volonté. »
[/quote]
Sa position au 24 mars 2006
Citation : http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... ACTUALITES
Le vendredi 24 mars 2006
Boisclair veut un référendum le plus tôt possible
Jocelyne Richer
Presse Canadienne
Québec
André Boisclair maintient la ligne dure et réaffirme son intention de tenir un référendum le plus tôt possible lors du prochain mandat d'un gouvernement péquiste.
Le chef péquiste réagissait à une sortie, cette semaine dans le quotidien Le Devoir, de l'ex-ministre péquiste Jean-François Simard, qui visait à exhorter M. Boisclair à renoncer à l'engagement de tenir un référendum durant le prochain mandat, tout en l'invitant à revenir à l'idée de proposer au Canada un partenariat avec un Québec souverain, comme c'était le cas lors du référendum de 1995.
M. Simard — qui avait appuyé M. Boisclair durant la course à la direction du PQ — qualifie d'«obstacles» ces deux éléments-clé du programme du parti.
L'ex-député de Montmorency voudrait en fait revenir à l'époque des «conditions gagnantes» de Lucien Bouchard, ce qui ne fait pas l'affaire d'André Boisclair.
«Ce partenariat (avec le Canada) n'est pas une condition à l'accession du Québec à sa souveraineté», a-t-il tranché, se collant à la «doctrine» du parti.
«Je n'ai pas l'intention du tout de changer de cap sur cette question», a-t-il dit, ajoutant plus tard en anglais qu'il ne chercherait pas à obtenir «les conditions gagnantes».
Quand il était premier ministre, Lucien Bouchard disait qu'il tiendrait un référendum seulement lorsque les conditions requises pour une victoire assurée seraient réunies, sans fixer d'échéancier.
M. Boisclair, d'ordinaire prolixe, cachait mal son agacement de devoir répondre à des questions relatives à l'échéancier référendaire.
À la question : «On reste avec ce qui est indiqué dans le programme : le plus tôt possible dans le mandat, il y aura un référendum ?», M. Boisclair a eu cette réponse laconique : «Oui».Il a réaffirmé vouloir s'en tenir à la lettre du programme adopté par les membres du parti, lors du congrès national de juin dernier.
«Je n'ai pas l'intention de me diriger dans un nouveau congrès du Parti québécois dans les prochains mois», a dit M. Boisclair.
Et maintenant en juin 2006 qu’en pense M. Boisclair?
Citation :http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 14531.html
Selon André Boisclair

Pas de référendum sans l'assurance d'une victoire
Le chef du Parti québécois, André Boisclair, n'a pas l'intention de déclencher un référendum sur la souveraineté du Québec sans avoir l'assurance de le gagner. Le chef péquiste rejoint ainsi ses deux plus récents prédécesseurs, les premiers ministres Bernard Landry et Lucien Bouchard.
En entrevue au Soleil, André Boisclair a précisé ne pas être un kamikaze. Il s'est dit de plus agacé par les questions sur l'engagement de son parti de tenir un référendum le plus tôt possible lors d'un mandat péquiste. Comme les chefs péquistes avant lui, André Boisclair doit composer avec d'un côté des militants qui lui demandent de ne pas déroger à cet élément-clé du programme, et de l'autre, des citoyens qui n'ont pas envie d'un troisième référendum sur la souveraineté.
Alors je me dis que tous ceux qui ont apprécié sa fougue et sa prétendue urgence de faire un référendum se sont fait jouer. Car ce n'est pas tant sa dernière déclaration qui me choque, car il est bien réaliste de s'assurer de gagner avant de faire un référendum mais son manque de franchise pendant la course. Je n'ai jamais cru à ses phrases vide de sens.
Je ne comprend pas sa stratégie. C'est vrai qu'il a dit que l'éducation serait sa priorité mais en quoi le fait d'ouvrir les écoles de 8h à 17h donnera des conditions gagnantes?
Et pour répondre à la question.
Le PQ se fera élire au prochaine élection.
Il n'y aura pas de référendum.
Le leadership de Boisclair sera contesté durant le mandat.
Dans 5 ans nous reviendrons à la case départ et le PQ repartira à la recherche d'un nouveau messie.
André Boisclair a décidé d'attendre avant de réaliser le référendum et il fait bien j'appelle ça de la prudence.
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