Élections provinciales...
Boule à mites a écritLe programme de Dumont sur la santé était carrément illégal! Il allait à l'encontre de la loi canadienne, et ce n'est pas l'ADQ elle-même qui s'en est rendu compte, c'est par les questions que des observateurs ont posé sur son programme que la chose a été connue. C'est ça que je trouve le plus inquiétant!
De plus, j'ai regardé le programme de l'ADQ, dont quelqu'un avait mis un lien dans un autre topic. Il a beaucoup de bien jolies idées, mais où va-t-il prendre l'argent pour réaliser tout ça? 1) en développant l'hydro-électricité; 2) en coupant dans le nombre de travailleurs de l'état.
Il me semble que l'idée #1, c'est le genre de choses que j'aurais sorties à l'école secondaire.
Pis son idée #2... bah, j'aime autant ne pas dire ce que j'en pense!
Ba-on, me semblait bien aussi que c'était sur la santé qu'il y avait eu contreverse!
De plus, j'ai regardé le programme de l'ADQ, dont quelqu'un avait mis un lien dans un autre topic. Il a beaucoup de bien jolies idées, mais où va-t-il prendre l'argent pour réaliser tout ça? 1) en développant l'hydro-électricité; 2) en coupant dans le nombre de travailleurs de l'état.
Il me semble que l'idée #1, c'est le genre de choses que j'aurais sorties à l'école secondaire.
Pis son idée #2... bah, j'aime autant ne pas dire ce que j'en pense!
Ba-on, me semblait bien aussi que c'était sur la santé qu'il y avait eu contreverse!
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
tipet a écritOn a vu ce que ça a donné dans le passé les belles idées de Dumont. Quand on est pas en période électorale et que ce n'est pas nécessaire de trop élaborer, ça l'air tout beau, tout bien construit. Mais quand tu es en pleine campagne électorale, que les analystes politiques, les journaliste et les autres partis décortiquent ton programme, te posent des questions et que la population exige des réponses claires et que tu n'es pas en mesure de le faire, ça donne ce qu'on a vu il y a 4 ans. Un Dumont qui dégringole au sondage et qui finit bon dernier alors qu'il aurait pu devenir Premier ministre quelques mois avant.
Son programme sur la santé s'est fait démolir pièce par pièces par les analystes il y a 4 ans, son programme par rapport à l'impôt aussi. Ben beau avoir des bonnes idées, mais faut être en mesure de les rendre concrètes.
(Le PQ a un programme comme tout les autres partis en passant.)
Je te propose la lecture de cet article. vendredi 02 juin 2006
La SRC accusée d'avoir désavantagé l'ADQ
Joël-Denis Bellavance et Hugo Dumas
Ottawa
Radio-Canada a «nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec» dans sa couverture des élections provinciales d'avril 2003, conclut un comité dans un rapport interne fort critique du travail de la société d'État durant la dernière campagne électorale.
Dans ce rapport, remis à l'ombudsman des services français de Radio-Canada, Renauld Gilbert, le comité va même jusqu'à se demander si la couverture journalistique «n'a pas contribué au déclin» de la formation politique de Mario Dumont durant les cinq semaines de campagne.
Ce comité était présidé par Marc-François Bernier, coordonnateur du programme de journalisme à l'Université d'Ottawa, et il a remis son rapport à M. Gilbert en juin 2003. Le rapport, que La Presse a obtenu, a été expédié au président et directeur général de Radio-Canada, Robert Rabinovitch, aux membres du conseil d'administration de la société d'État, aux directeurs et rédacteurs en chef du service de l'information ainsi qu'à un groupe de journalistes.
«Sur le plan de l'équité, le comité est très sévère envers les journalistes de la SRC dont la couverture médiatique a nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec. L'ADQ a été défavorisée dès la première semaine de la campagne, alors qu'on a insisté sur les difficultés de son organisation, sur sa baisse dans les sondages, etc. Mais cela s'est surtout manifesté en fin de campagne, quand les sondages indiquaient une chute de popularité. À plusieurs reprises, Mario Dumont a été le seul chef de parti à n'avoir droit qu'à des résumés et non à des reportages complets», affirme le comité.
Ce rapport portant pourrait donner des munitions à Guy Fournier, le président du conseil d'administration de la SRC, qui soutenait récemment que la société d'État avait nui à la cause de l'unité nationale en manquant parfois d'objectivité dans l'information qu'elle diffusait. M. Fournier, qui avait tenu ces propos dans une entrevue accordée à la radio de CBC de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, au début mai, a été rabroué par M. Rabinovitch et le vice-président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance. «À Radio-Canada, la crédibilité de l'information fait partie de notre ADN. Nous avons un ombudsman et un voluminevfux code de déontologie. L'objectivité à Radio-Canada, c'est vraiment la règle», avait notamment déclaré M. Lafrance.
Le comité avait obtenu le mandat de l'ombudsman de suivre la couverture électorale au Téléjournal et Le Point pour en évaluer la qualité. Le comité comptait trois membres en tout, soit M. Bernier, Nicole Vallières, avocate, consultante et ancienne recherchiste du Conseil de presse du Québec, ainsi que le sociologue Gary Caldwell.
Dans son rapport, le comité estime que la SRC a accordé beaucoup trop de place à la guerre en Irak, à laquelle le Canada ne participait pas. «Alors qu'une véritable lutte électorale à trois s'annonçait au Québec, pour une première fois en 25 ans, la SRC a choisi d'accorder une priorité absolue à la guerre. La couverture électorale s'en est trouvée réduite à sa plus simple expression au point de priver les téléspectateurs des débats d'idées et des contenus proposés par les différentes formations politiques».
Le comité s'est également dit «étonné» de voir que la SRC a fait appel à un «libéral notoire», John Parisella, pour commenter la performance de Jean Charest, Bernard Landry et Mario Dumont à la suite des débats des chefs durant la campagne.
À Radio-Canada, on minimise l'importance de ce rapport. L'analyse du comité n'a porté que sur Le Téléjournal/Le Point, et non sur l'ensemble de la couverture de la campagne provinciale, insiste Louis Lalande, le directeur général de l'information à la télévision de Radio-Canada. «Tous les jours, à 18h30, nous avions un bulletin de 30 minutes (Le Journal électoral) qui portait uniquement sur la campagne», note-t-il.
Trois ans après les événements, Louis Lalande estime que les remarques du comité sont «impressionnistes». «Ça ne concorde pas avec les données factuelles dont nous disposons», dit-il.
Alain Saulnier, directeur de l'information à la radio de Radio-Canada, enchaîne: «C'est un comité consultatif composé de trois personnes. Je ne voudrais pas qu'on prenne ce rapport-là comme parole d'évangile.»
Pour Louis Lalande, l'analyse «impressionniste» du comité ne tient pas la route «devant des faits et du minutage, sept jours sur sept». Selon lui, la répartition des reportages sur chacun des partis a été équitable: l'ADQ a eu droit à 25% de temps d'antenne, contre 36% pour le Parti libéral et 37 pour le Parti québécois.
À propos de l'importance prise par la guerre en Irak dans Le Téléjournal, MM. Lalande et Saulnier rappellent qu'il s'agissait d'une situation exceptionnelle. «C'était un nouveau contexte que l'on n'avait jamais connu», indique Alain Saulnier.
Quant à la présence du «libéral notoire» John Parisella comme analyste au débat des chefs, la SRC rappelle qu'il est nécessaire d'avoir des gens «qui ont de l'inside». Radio-Canada cite l'exemple du péquiste Jean-François Lisée, qui est souvent appelé à donner son opinion sur les mêmes débats.
Son programme sur la santé s'est fait démolir pièce par pièces par les analystes il y a 4 ans, son programme par rapport à l'impôt aussi. Ben beau avoir des bonnes idées, mais faut être en mesure de les rendre concrètes.
(Le PQ a un programme comme tout les autres partis en passant.)
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La SRC accusée d'avoir désavantagé l'ADQ
Joël-Denis Bellavance et Hugo Dumas
Ottawa
Radio-Canada a «nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec» dans sa couverture des élections provinciales d'avril 2003, conclut un comité dans un rapport interne fort critique du travail de la société d'État durant la dernière campagne électorale.
Dans ce rapport, remis à l'ombudsman des services français de Radio-Canada, Renauld Gilbert, le comité va même jusqu'à se demander si la couverture journalistique «n'a pas contribué au déclin» de la formation politique de Mario Dumont durant les cinq semaines de campagne.
Ce comité était présidé par Marc-François Bernier, coordonnateur du programme de journalisme à l'Université d'Ottawa, et il a remis son rapport à M. Gilbert en juin 2003. Le rapport, que La Presse a obtenu, a été expédié au président et directeur général de Radio-Canada, Robert Rabinovitch, aux membres du conseil d'administration de la société d'État, aux directeurs et rédacteurs en chef du service de l'information ainsi qu'à un groupe de journalistes.
«Sur le plan de l'équité, le comité est très sévère envers les journalistes de la SRC dont la couverture médiatique a nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec. L'ADQ a été défavorisée dès la première semaine de la campagne, alors qu'on a insisté sur les difficultés de son organisation, sur sa baisse dans les sondages, etc. Mais cela s'est surtout manifesté en fin de campagne, quand les sondages indiquaient une chute de popularité. À plusieurs reprises, Mario Dumont a été le seul chef de parti à n'avoir droit qu'à des résumés et non à des reportages complets», affirme le comité.
Ce rapport portant pourrait donner des munitions à Guy Fournier, le président du conseil d'administration de la SRC, qui soutenait récemment que la société d'État avait nui à la cause de l'unité nationale en manquant parfois d'objectivité dans l'information qu'elle diffusait. M. Fournier, qui avait tenu ces propos dans une entrevue accordée à la radio de CBC de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, au début mai, a été rabroué par M. Rabinovitch et le vice-président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance. «À Radio-Canada, la crédibilité de l'information fait partie de notre ADN. Nous avons un ombudsman et un voluminevfux code de déontologie. L'objectivité à Radio-Canada, c'est vraiment la règle», avait notamment déclaré M. Lafrance.
Le comité avait obtenu le mandat de l'ombudsman de suivre la couverture électorale au Téléjournal et Le Point pour en évaluer la qualité. Le comité comptait trois membres en tout, soit M. Bernier, Nicole Vallières, avocate, consultante et ancienne recherchiste du Conseil de presse du Québec, ainsi que le sociologue Gary Caldwell.
Dans son rapport, le comité estime que la SRC a accordé beaucoup trop de place à la guerre en Irak, à laquelle le Canada ne participait pas. «Alors qu'une véritable lutte électorale à trois s'annonçait au Québec, pour une première fois en 25 ans, la SRC a choisi d'accorder une priorité absolue à la guerre. La couverture électorale s'en est trouvée réduite à sa plus simple expression au point de priver les téléspectateurs des débats d'idées et des contenus proposés par les différentes formations politiques».
Le comité s'est également dit «étonné» de voir que la SRC a fait appel à un «libéral notoire», John Parisella, pour commenter la performance de Jean Charest, Bernard Landry et Mario Dumont à la suite des débats des chefs durant la campagne.
À Radio-Canada, on minimise l'importance de ce rapport. L'analyse du comité n'a porté que sur Le Téléjournal/Le Point, et non sur l'ensemble de la couverture de la campagne provinciale, insiste Louis Lalande, le directeur général de l'information à la télévision de Radio-Canada. «Tous les jours, à 18h30, nous avions un bulletin de 30 minutes (Le Journal électoral) qui portait uniquement sur la campagne», note-t-il.
Trois ans après les événements, Louis Lalande estime que les remarques du comité sont «impressionnistes». «Ça ne concorde pas avec les données factuelles dont nous disposons», dit-il.
Alain Saulnier, directeur de l'information à la radio de Radio-Canada, enchaîne: «C'est un comité consultatif composé de trois personnes. Je ne voudrais pas qu'on prenne ce rapport-là comme parole d'évangile.»
Pour Louis Lalande, l'analyse «impressionniste» du comité ne tient pas la route «devant des faits et du minutage, sept jours sur sept». Selon lui, la répartition des reportages sur chacun des partis a été équitable: l'ADQ a eu droit à 25% de temps d'antenne, contre 36% pour le Parti libéral et 37 pour le Parti québécois.
À propos de l'importance prise par la guerre en Irak dans Le Téléjournal, MM. Lalande et Saulnier rappellent qu'il s'agissait d'une situation exceptionnelle. «C'était un nouveau contexte que l'on n'avait jamais connu», indique Alain Saulnier.
Quant à la présence du «libéral notoire» John Parisella comme analyste au débat des chefs, la SRC rappelle qu'il est nécessaire d'avoir des gens «qui ont de l'inside». Radio-Canada cite l'exemple du péquiste Jean-François Lisée, qui est souvent appelé à donner son opinion sur les mêmes débats.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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.anthurium. a écrit
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La SRC accusée d'avoir désavantagé l'ADQ
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Ottawa
Radio-Canada a «nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec» dans sa couverture des élections provinciales d'avril 2003, conclut un comité dans un rapport interne fort critique du travail de la société d'État durant la dernière campagne électorale.
Dans ce rapport, remis à l'ombudsman des services français de Radio-Canada, Renauld Gilbert, le comité va même jusqu'à se demander si la couverture journalistique «n'a pas contribué au déclin» de la formation politique de Mario Dumont durant les cinq semaines de campagne.
Ce comité était présidé par Marc-François Bernier, coordonnateur du programme de journalisme à l'Université d'Ottawa, et il a remis son rapport à M. Gilbert en juin 2003. Le rapport, que La Presse a obtenu, a été expédié au président et directeur général de Radio-Canada, Robert Rabinovitch, aux membres du conseil d'administration de la société d'État, aux directeurs et rédacteurs en chef du service de l'information ainsi qu'à un groupe de journalistes.
«Sur le plan de l'équité, le comité est très sévère envers les journalistes de la SRC dont la couverture médiatique a nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec. L'ADQ a été défavorisée dès la première semaine de la campagne, alors qu'on a insisté sur les difficultés de son organisation, sur sa baisse dans les sondages, etc. Mais cela s'est surtout manifesté en fin de campagne, quand les sondages indiquaient une chute de popularité. À plusieurs reprises, Mario Dumont a été le seul chef de parti à n'avoir droit qu'à des résumés et non à des reportages complets», affirme le comité.
Ce rapport portant pourrait donner des munitions à Guy Fournier, le président du conseil d'administration de la SRC, qui soutenait récemment que la société d'État avait nui à la cause de l'unité nationale en manquant parfois d'objectivité dans l'information qu'elle diffusait. M. Fournier, qui avait tenu ces propos dans une entrevue accordée à la radio de CBC de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, au début mai, a été rabroué par M. Rabinovitch et le vice-président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance. «À Radio-Canada, la crédibilité de l'information fait partie de notre ADN. Nous avons un ombudsman et un voluminevfux code de déontologie. L'objectivité à Radio-Canada, c'est vraiment la règle», avait notamment déclaré M. Lafrance.
Le comité avait obtenu le mandat de l'ombudsman de suivre la couverture électorale au Téléjournal et Le Point pour en évaluer la qualité. Le comité comptait trois membres en tout, soit M. Bernier, Nicole Vallières, avocate, consultante et ancienne recherchiste du Conseil de presse du Québec, ainsi que le sociologue Gary Caldwell.
Dans son rapport, le comité estime que la SRC a accordé beaucoup trop de place à la guerre en Irak, à laquelle le Canada ne participait pas. «Alors qu'une véritable lutte électorale à trois s'annonçait au Québec, pour une première fois en 25 ans, la SRC a choisi d'accorder une priorité absolue à la guerre. La couverture électorale s'en est trouvée réduite à sa plus simple expression au point de priver les téléspectateurs des débats d'idées et des contenus proposés par les différentes formations politiques».
Le comité s'est également dit «étonné» de voir que la SRC a fait appel à un «libéral notoire», John Parisella, pour commenter la performance de Jean Charest, Bernard Landry et Mario Dumont à la suite des débats des chefs durant la campagne.
À Radio-Canada, on minimise l'importance de ce rapport. L'analyse du comité n'a porté que sur Le Téléjournal/Le Point, et non sur l'ensemble de la couverture de la campagne provinciale, insiste Louis Lalande, le directeur général de l'information à la télévision de Radio-Canada. «Tous les jours, à 18h30, nous avions un bulletin de 30 minutes (Le Journal électoral) qui portait uniquement sur la campagne», note-t-il.
Trois ans après les événements, Louis Lalande estime que les remarques du comité sont «impressionnistes». «Ça ne concorde pas avec les données factuelles dont nous disposons», dit-il.
Alain Saulnier, directeur de l'information à la radio de Radio-Canada, enchaîne: «C'est un comité consultatif composé de trois personnes. Je ne voudrais pas qu'on prenne ce rapport-là comme parole d'évangile.»
Pour Louis Lalande, l'analyse «impressionniste» du comité ne tient pas la route «devant des faits et du minutage, sept jours sur sept». Selon lui, la répartition des reportages sur chacun des partis a été équitable: l'ADQ a eu droit à 25% de temps d'antenne, contre 36% pour le Parti libéral et 37 pour le Parti québécois.
À propos de l'importance prise par la guerre en Irak dans Le Téléjournal, MM. Lalande et Saulnier rappellent qu'il s'agissait d'une situation exceptionnelle. «C'était un nouveau contexte que l'on n'avait jamais connu», indique Alain Saulnier.
Quant à la présence du «libéral notoire» John Parisella comme analyste au débat des chefs, la SRC rappelle qu'il est nécessaire d'avoir des gens «qui ont de l'inside». Radio-Canada cite l'exemple du péquiste Jean-François Lisée, qui est souvent appelé à donner son opinion sur les mêmes débats.
Pouha! Est bonne! Non, ça marche pas avec moi, c'est l'ADQ qui a désaventagé l'ADQ. Peu importe l'enquête que vous me sortirez.
Dans mon cas, SRC n'a rien à voir dans le fait que je trouve que l'ADQ est un parti mal dirigé, incapable de faire accepter ses idées, qui manque de maturité et dont le programme change au gré de l'opinion publique.
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La SRC accusée d'avoir désavantagé l'ADQ
Joël-Denis Bellavance et Hugo Dumas
Ottawa
Radio-Canada a «nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec» dans sa couverture des élections provinciales d'avril 2003, conclut un comité dans un rapport interne fort critique du travail de la société d'État durant la dernière campagne électorale.
Dans ce rapport, remis à l'ombudsman des services français de Radio-Canada, Renauld Gilbert, le comité va même jusqu'à se demander si la couverture journalistique «n'a pas contribué au déclin» de la formation politique de Mario Dumont durant les cinq semaines de campagne.
Ce comité était présidé par Marc-François Bernier, coordonnateur du programme de journalisme à l'Université d'Ottawa, et il a remis son rapport à M. Gilbert en juin 2003. Le rapport, que La Presse a obtenu, a été expédié au président et directeur général de Radio-Canada, Robert Rabinovitch, aux membres du conseil d'administration de la société d'État, aux directeurs et rédacteurs en chef du service de l'information ainsi qu'à un groupe de journalistes.
«Sur le plan de l'équité, le comité est très sévère envers les journalistes de la SRC dont la couverture médiatique a nettement désavantagé l'Action démocratique du Québec. L'ADQ a été défavorisée dès la première semaine de la campagne, alors qu'on a insisté sur les difficultés de son organisation, sur sa baisse dans les sondages, etc. Mais cela s'est surtout manifesté en fin de campagne, quand les sondages indiquaient une chute de popularité. À plusieurs reprises, Mario Dumont a été le seul chef de parti à n'avoir droit qu'à des résumés et non à des reportages complets», affirme le comité.
Ce rapport portant pourrait donner des munitions à Guy Fournier, le président du conseil d'administration de la SRC, qui soutenait récemment que la société d'État avait nui à la cause de l'unité nationale en manquant parfois d'objectivité dans l'information qu'elle diffusait. M. Fournier, qui avait tenu ces propos dans une entrevue accordée à la radio de CBC de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, au début mai, a été rabroué par M. Rabinovitch et le vice-président des services français de Radio-Canada, Sylvain Lafrance. «À Radio-Canada, la crédibilité de l'information fait partie de notre ADN. Nous avons un ombudsman et un voluminevfux code de déontologie. L'objectivité à Radio-Canada, c'est vraiment la règle», avait notamment déclaré M. Lafrance.
Le comité avait obtenu le mandat de l'ombudsman de suivre la couverture électorale au Téléjournal et Le Point pour en évaluer la qualité. Le comité comptait trois membres en tout, soit M. Bernier, Nicole Vallières, avocate, consultante et ancienne recherchiste du Conseil de presse du Québec, ainsi que le sociologue Gary Caldwell.
Dans son rapport, le comité estime que la SRC a accordé beaucoup trop de place à la guerre en Irak, à laquelle le Canada ne participait pas. «Alors qu'une véritable lutte électorale à trois s'annonçait au Québec, pour une première fois en 25 ans, la SRC a choisi d'accorder une priorité absolue à la guerre. La couverture électorale s'en est trouvée réduite à sa plus simple expression au point de priver les téléspectateurs des débats d'idées et des contenus proposés par les différentes formations politiques».
Le comité s'est également dit «étonné» de voir que la SRC a fait appel à un «libéral notoire», John Parisella, pour commenter la performance de Jean Charest, Bernard Landry et Mario Dumont à la suite des débats des chefs durant la campagne.
À Radio-Canada, on minimise l'importance de ce rapport. L'analyse du comité n'a porté que sur Le Téléjournal/Le Point, et non sur l'ensemble de la couverture de la campagne provinciale, insiste Louis Lalande, le directeur général de l'information à la télévision de Radio-Canada. «Tous les jours, à 18h30, nous avions un bulletin de 30 minutes (Le Journal électoral) qui portait uniquement sur la campagne», note-t-il.
Trois ans après les événements, Louis Lalande estime que les remarques du comité sont «impressionnistes». «Ça ne concorde pas avec les données factuelles dont nous disposons», dit-il.
Alain Saulnier, directeur de l'information à la radio de Radio-Canada, enchaîne: «C'est un comité consultatif composé de trois personnes. Je ne voudrais pas qu'on prenne ce rapport-là comme parole d'évangile.»
Pour Louis Lalande, l'analyse «impressionniste» du comité ne tient pas la route «devant des faits et du minutage, sept jours sur sept». Selon lui, la répartition des reportages sur chacun des partis a été équitable: l'ADQ a eu droit à 25% de temps d'antenne, contre 36% pour le Parti libéral et 37 pour le Parti québécois.
À propos de l'importance prise par la guerre en Irak dans Le Téléjournal, MM. Lalande et Saulnier rappellent qu'il s'agissait d'une situation exceptionnelle. «C'était un nouveau contexte que l'on n'avait jamais connu», indique Alain Saulnier.
Quant à la présence du «libéral notoire» John Parisella comme analyste au débat des chefs, la SRC rappelle qu'il est nécessaire d'avoir des gens «qui ont de l'inside». Radio-Canada cite l'exemple du péquiste Jean-François Lisée, qui est souvent appelé à donner son opinion sur les mêmes débats.
Pouha! Est bonne! Non, ça marche pas avec moi, c'est l'ADQ qui a désaventagé l'ADQ. Peu importe l'enquête que vous me sortirez.
Dans mon cas, SRC n'a rien à voir dans le fait que je trouve que l'ADQ est un parti mal dirigé, incapable de faire accepter ses idées, qui manque de maturité et dont le programme change au gré de l'opinion publique.
tipet a écrit
Pouha! Est bonne! Non, ça marche pas avec moi, c'est l'ADQ qui a désaventagé l'ADQ. Peu importe l'enquête que vous me sortirez.
Dans mon cas, SRC n'a rien à voir dans le fait que je trouve que l'ADQ est un parti mal dirigé, incapable de faire accepter ses idées, qui manque de maturité et dont le programme change au gré de l'opinion publique.
Pas seulement dans ton cas tipet, dans le miens aussi
Pouha! Est bonne! Non, ça marche pas avec moi, c'est l'ADQ qui a désaventagé l'ADQ. Peu importe l'enquête que vous me sortirez.
Dans mon cas, SRC n'a rien à voir dans le fait que je trouve que l'ADQ est un parti mal dirigé, incapable de faire accepter ses idées, qui manque de maturité et dont le programme change au gré de l'opinion publique.
Pas seulement dans ton cas tipet, dans le miens aussi
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Acrux a écritÇa manque un peu d'arguments Tipet... Mais bon, si ça te fait du bien de t'exprimer c'est excellent !
De quoi qui manque d'argument?
Et aussi, quels sont des arguments pour toi
-Le PQ et le PLQ ont pas de programme
-Les gros michants syndicalistes sont pas zentils
Ouin...c'ets vrai que tu en as beaucoup toi aussi ;)
De quoi qui manque d'argument?
Et aussi, quels sont des arguments pour toi
-Le PQ et le PLQ ont pas de programme
-Les gros michants syndicalistes sont pas zentils
Ouin...c'ets vrai que tu en as beaucoup toi aussi ;)
L'ADQ est le parti des chialeux de lignes ouvertes de radios. Ils bricolent leur programme avec l'opinion du jour.
C'est sûr qu'il y a des bonnes idées, mais encore faut-il qu'elles soient applicables.
Mais bon si on donne pas la chance au coureur... C'est en se faisant élire qu'ils gagneraient en maturité et en expérience.
C'est sûr qu'il y a des bonnes idées, mais encore faut-il qu'elles soient applicables.
Mais bon si on donne pas la chance au coureur... C'est en se faisant élire qu'ils gagneraient en maturité et en expérience.
tipet a écrit
De quoi qui manque d'argument?
Et aussi, quels sont des arguments pour toi
-Le PQ et le PLQ ont pas de programme
-Les gros michants syndicalistes sont pas zentils
Ouin...c'ets vrai que tu en as beaucoup toi aussi ;)
J'ai sorti les grandes lignes de l'ADQ, sors celle du PQ qu'on compare
De quoi qui manque d'argument?
Et aussi, quels sont des arguments pour toi
-Le PQ et le PLQ ont pas de programme
-Les gros michants syndicalistes sont pas zentils
Ouin...c'ets vrai que tu en as beaucoup toi aussi ;)
J'ai sorti les grandes lignes de l'ADQ, sors celle du PQ qu'on compare
Chico_Fan a écritL'ADQ est le parti des chialeux de lignes ouvertes de radios. Ils bricolent leur programme avec l'opinion du jour.
C'est sûr qu'il y a des bonnes idées, mais encore faut-il qu'elles soient applicables.
Mais bon si on donne pas la chance au coureur... C'est en se faisant élire qu'ils gagneraient en maturité et en expérience. Ouais, tant qu'ils ne seront pas au pouvoir on ne pourra pas dire que ce n'est pas applicable...
C'est sûr qu'il y a des bonnes idées, mais encore faut-il qu'elles soient applicables.
Mais bon si on donne pas la chance au coureur... C'est en se faisant élire qu'ils gagneraient en maturité et en expérience. Ouais, tant qu'ils ne seront pas au pouvoir on ne pourra pas dire que ce n'est pas applicable...
Acrux a écrit J'ai sorti les grandes lignes de l'ADQ, sors celle du PQ qu'on compare
Pourquoi?
Tu es pas capable de le télécharger toi-même?
Et comme j'ai dit, encore et encore et encore , je vote PQ parce que c'est le seul parti suceptible de réaliser la souveraineté. Donc, quand bien même tu me vanterais l'ADQ ad viteam eterneam, et que tu bitcherais le PQ jusqu'à plus soif, ça changerait rien. Tu n'as pas besoin de me prouver que ton parti est le plusse meilleur, je voterai pas pour lui.
Ma préoccupation principale c'est que le québec soit un pays et pas toi, normal qu'on ait pas la même vision dans ce cas. Non? Et c'est normal que mes arguemnts te paraissent insignifiants, mais t'inquiète c'est réciproque
Pourquoi?
Tu es pas capable de le télécharger toi-même?
Et comme j'ai dit, encore et encore et encore , je vote PQ parce que c'est le seul parti suceptible de réaliser la souveraineté. Donc, quand bien même tu me vanterais l'ADQ ad viteam eterneam, et que tu bitcherais le PQ jusqu'à plus soif, ça changerait rien. Tu n'as pas besoin de me prouver que ton parti est le plusse meilleur, je voterai pas pour lui.
Ma préoccupation principale c'est que le québec soit un pays et pas toi, normal qu'on ait pas la même vision dans ce cas. Non? Et c'est normal que mes arguemnts te paraissent insignifiants, mais t'inquiète c'est réciproque
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peppermintpatty a écritNous devons remercier le PQ pour la nationalisation de l'industrie de l'amiante. Au fait, on en est rendu ou avec l'amiante au Québec? Les gens des environs de Thetford pourraient nous en parler.
Nous devons remercier le PQ pour la Gaspesia à Chandler. Cinq cent millions et ça n'a jamais démarré.
Nous devons remercier le PQ pour le métro à Laval. Huit cent millions pour trois stations pour un achalandage de peut-etre moins de 10,000 personnes par jour.
Ce n'était pas l'argent du parti ni celui du PM au pouvoir, c'était le mien et le votre.
Et il faudrait les récompenser en leur redonnant le pouvoir?À ce compte-là, il ne nous reste plus qu'à tous voter pour l'ADQ,Québec Solidaire ou tout autre parti n'ayant jamais occupé le pouvoir.
peppermintpatty a écritVous trouvez que vous payer trop d'impots? Ben voyons donc.Pour moi, le plus important est d'en avoir pour mon argent. Si le gouvernement coupe dans les services, mais que pour obtenir les mêmes services ensuite on est obligé de débourser plus que ce que ça nous coûtait avec nos impôts, on n'est pas plus avancés. Et c'est ce que je crois qu'il se produirait avec l'ADQ.
Nous devons remercier le PQ pour la Gaspesia à Chandler. Cinq cent millions et ça n'a jamais démarré.
Nous devons remercier le PQ pour le métro à Laval. Huit cent millions pour trois stations pour un achalandage de peut-etre moins de 10,000 personnes par jour.
Ce n'était pas l'argent du parti ni celui du PM au pouvoir, c'était le mien et le votre.
Et il faudrait les récompenser en leur redonnant le pouvoir?À ce compte-là, il ne nous reste plus qu'à tous voter pour l'ADQ,Québec Solidaire ou tout autre parti n'ayant jamais occupé le pouvoir.
peppermintpatty a écritVous trouvez que vous payer trop d'impots? Ben voyons donc.Pour moi, le plus important est d'en avoir pour mon argent. Si le gouvernement coupe dans les services, mais que pour obtenir les mêmes services ensuite on est obligé de débourser plus que ce que ça nous coûtait avec nos impôts, on n'est pas plus avancés. Et c'est ce que je crois qu'il se produirait avec l'ADQ.
Je vais voter André Boisclair, mais pas pour l'homme. Quand il parle, il essaie de s'enflammer, de faire monter l'émotion, mais ça marche pas, y finit juste par avoir l'air d'un p'tit gars frustré pis ça me fait partir à rire!
Comme disait mon père cette semaine : «Quand tu t'sens étranger dans ton propre pays, tu t'poses pas d'question pis tu sais pour qui voter.».
Comme disait mon père cette semaine : «Quand tu t'sens étranger dans ton propre pays, tu t'poses pas d'question pis tu sais pour qui voter.».
«C'est risqué d'oublier ceux qui nous ont aimés
C'est risqué de croire qu'on peut vivre sans eux
Quand t'as assez couru, quand t'as assez rêvé
Tu te souviens un jour à quel point c'est précieux»
C'est risqué de croire qu'on peut vivre sans eux
Quand t'as assez couru, quand t'as assez rêvé
Tu te souviens un jour à quel point c'est précieux»