Karla , maman?
mellymel a écrit
Oui mais ce que je dis cest que un meurtriee qui en en plus viole et est psycho ca ne sort pas de prison. Maintenant je trouve ca aussi déplorable que Bastien qui etait un pedo et psycho puisse sortir mais nous avons un super systeme de justice
Quand tu dis nous avons un super systeme de justice .. est-ce sarcastique ?
Oui mais ce que je dis cest que un meurtriee qui en en plus viole et est psycho ca ne sort pas de prison. Maintenant je trouve ca aussi déplorable que Bastien qui etait un pedo et psycho puisse sortir mais nous avons un super systeme de justice
Quand tu dis nous avons un super systeme de justice .. est-ce sarcastique ?
[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
Le point que je veux faire passer cest que cest innaceptable qu'une femme comme Karla Homolka ai eu meme la possibilite de sortir de prison encore pire mettre au monde un enfant, que ce nest pas vrai quelle a paye sa dette car il est impossible de la payer pis moi je ne suis surtout pas obliger d'etre en accord avec le systeme de justice quebecois qui a énormement de lacune justement rienqua regardre alexandre livernoche et plusieurs cas. Je nai pas envie de donner une deuxieme chance à cette femme je nai pas envie de la traiter comme un etre humain et cest seulement ca moi je viens ici pour exprimer mon opinion qui nest pas toujours pareil comme les autres et cest bien comnnu que des sujets comme ca cest epineux et quon peut etre déplaisant cest normal mais si on lis le titre du Dome et bien cest pour cette raison que je viens ici. Désolé si quelqes unse sont sentis offence mais cest pas le but du tout cest ca un echange un débat...
Le jugement sur les conditions imposées a été cassé...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Dove* a écritLe jugement sur les conditions imposées a été cassé...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Oui tu as tout a fait raison.. je me souviens de ca
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Oui tu as tout a fait raison.. je me souviens de ca
[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
Dove* a écritLe jugement sur les conditions imposées a été cassé...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter. Merci Dove
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter. Merci Dove
Dove* a écritLe jugement sur les conditions imposées a été cassé...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Merci pour les infos Dove !
Tk, le système de justice aurait besoin d'être revu...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
Merci pour les infos Dove !
Tk, le système de justice aurait besoin d'être revu...
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Je ne sais pas si c'était vraiment une erreur de la Couronne... Avec les preuves sur vidéo, c'était facile de voir qu'elle était coupable, mais son avocat et/ou celui de Bernardo avaient tenu l'existence de ces vidéos secrets.
Au fait, je ne ferais pas garder mon enfant par Karka Homolka, mais il y a aussi des tas d'autres personnes chez qui je ne le ferais pas garder, et pourtant ils ont le droit d'en avoir eux aussi...
Au fait, je ne ferais pas garder mon enfant par Karka Homolka, mais il y a aussi des tas d'autres personnes chez qui je ne le ferais pas garder, et pourtant ils ont le droit d'en avoir eux aussi...
Dove* a écritLe jugement sur les conditions imposées a été cassé...
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
merci pour les infos
Karla Homolka a été libérée en juillet 2005, à l’âge de 35 ans, et a exprimé dans une interview télévisée son désir de s’installer à Montréal.
Suite à l’indignation de la population canadienne et aux efforts des procureurs généraux de l’Ontario et du Québec, un juge a décidé que des restrictions devraient être appliquées à Homolka (une première au Québec).
Elle aurait dû :
- suivre une thérapie
- se présenter une fois par mois à la police
- aviser si elle doit quitter la ville pour plus de 48 heures
- ne pas fréquenter une personne possédant un casier judiciaire pour crime avec violence
- ne pas avoir de drogue en sa possession
- ne pas posséder d’arme à feu. Elle aurait également dû subir un test d’ADN avant sa sortie de prison et ne pas se retrouver en position d’autorité avec des jeunes de moins de 16 ans. Elle n’aurait pas pu communiquer ni avec Paul Bernardo et sa famille, ni avec les familles des victimes.
Karla Homolka aurait été passible d’emprisonnement si elle ne respectait pas les conditions prescrites par la Cour.
(JPG) Mais, quelques semaines plus tard, un autre juge a cassé ce jugement, indiquant que la loi devait être respectée et que ces restrictions étaient, en quelque sorte, illégales, puisque que Karla Homolka avait accompli l’intégralité de sa peine d’emprisonnement. L’état avait "signé un contrat" avec elle et se devait de le respecter.
merci pour les infos
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : jeu. nov. 09, 2006 1:00 am