Annouk a écritPour ma part, malgré les extraits, je ne vois toujours pas de raison d'en écrire un livre...Me sens pas plus méchante pour autant...
Je n'ai jamais forcé personne à adhérer à mon opinion à ce sujet... c'est simplement étirer un drame à son maximum, un désir de sensationnalisme
Je respecte beaucoup ton opinion Annouk, même si je ne la partage pas, je suis loin de penser que M. Simard veut en faire un désir de sensationnalisme.
Il a écrit ce livre pour se libérer, pour nous raconter les faits et moi je pense que si tout ceci l'aide à avoir vivre sa vie (le peu qu'il lui reste) plus sereinement, pourquoi pas?
Je ne vois donc aucun mal à ce qu'il ait écrit un livre, y en a beaucoup à date qu'ils l'ont fait: écrire leur biographie, en fait.
Je ne demanderai pas à personne ici de changer son opinion et je ne jugerai pas personne de ne pas avoir la même opinion que moi. --Message edité par Soleil47 le 2007-03-10 12:55:37--
Le père de René et Nathalie Simard lance une autobiographie-choc
Evelyne a écritTout cela me semble toujours laver encore et encore le linge sale en famille
1- Si le livre est une liberation , pourquoi l'ecrire apres
tout ce que l'on sais
2- La discorde de la famille n'est pas d'hier
3- Il se sert du livre pour attendrir les gens
Il n'avait quà ecrire à chacun de ses enfants
mais non il se sert de l'edition
Je ne crois pas du tout que la famille toujours revenir
sur leur vie les libereras vraiment un jour
Je vois qu'il parle du montant que René recevait pour chaque disque vendu. Il faut se mettre dans le contexte
Dans ses annees là aucune règle etait mise pour un disque d'une
personne mineure, il a eu des regles bien apres ces annees là Je respecte ton opinion, mais sincèrement, je pense que tu en as manqué des grands bouts. Selon toi, il aurait dû écrire son livre avant d'apprendre que sa fille a été abusée sexuellement par GC??? Et il le dit lui-même que s'il l'écrit aujourd'hui, c'est qu'il n'en a pas été capable avant aujourd'hui, le choc a été terrible pour lui d'apprendre que sa fille a été abusée.
Tu crois que moins que 0.01 cent le disque que René aurait reçu sur la vente de ses microsillons, ce n'était pas exploiter René??? Bâtard, on a pas besoin de règles pour se rendre compte de cela. Tu trouves cela normal que GC se serait enrichi avec le succès de René et que le père laisse faire cela??? Aujourd'hui, on lui reprocherait de ne pas avoir réagi, hors, il a réagi et je considère qu'il a très bien fait.
Et si tu veux le savoir, il ne se sert pas de son livre pour attendrir les gens, il se sert de son livre pour renseigner la population sur ce qu'était la vérité, parce que tous, l'ont mis au ban des accusés, parce qu'il était alcoolique...
Je pense que ce qu'il faut retenir de son livre, c'est qu'il aura au moins essayé de s'expliquer en public, parce que les gens l'ont jugé en public; le reste, ce qu'il viendra après, je suis bien d'accord que tout ceci relèvera du privé. --Message edité par Soleil47 le 2007-03-10 13:18:10--
1- Si le livre est une liberation , pourquoi l'ecrire apres
tout ce que l'on sais
2- La discorde de la famille n'est pas d'hier
3- Il se sert du livre pour attendrir les gens
Il n'avait quà ecrire à chacun de ses enfants
mais non il se sert de l'edition
Je ne crois pas du tout que la famille toujours revenir
sur leur vie les libereras vraiment un jour
Je vois qu'il parle du montant que René recevait pour chaque disque vendu. Il faut se mettre dans le contexte
Dans ses annees là aucune règle etait mise pour un disque d'une
personne mineure, il a eu des regles bien apres ces annees là Je respecte ton opinion, mais sincèrement, je pense que tu en as manqué des grands bouts. Selon toi, il aurait dû écrire son livre avant d'apprendre que sa fille a été abusée sexuellement par GC??? Et il le dit lui-même que s'il l'écrit aujourd'hui, c'est qu'il n'en a pas été capable avant aujourd'hui, le choc a été terrible pour lui d'apprendre que sa fille a été abusée.
Tu crois que moins que 0.01 cent le disque que René aurait reçu sur la vente de ses microsillons, ce n'était pas exploiter René??? Bâtard, on a pas besoin de règles pour se rendre compte de cela. Tu trouves cela normal que GC se serait enrichi avec le succès de René et que le père laisse faire cela??? Aujourd'hui, on lui reprocherait de ne pas avoir réagi, hors, il a réagi et je considère qu'il a très bien fait.
Et si tu veux le savoir, il ne se sert pas de son livre pour attendrir les gens, il se sert de son livre pour renseigner la population sur ce qu'était la vérité, parce que tous, l'ont mis au ban des accusés, parce qu'il était alcoolique...
Je pense que ce qu'il faut retenir de son livre, c'est qu'il aura au moins essayé de s'expliquer en public, parce que les gens l'ont jugé en public; le reste, ce qu'il viendra après, je suis bien d'accord que tout ceci relèvera du privé. --Message edité par Soleil47 le 2007-03-10 13:18:10--
Jumbo a écritTout en respectant la deuxième victime, je suis d'accord avec M.Simard pour qu'elle se découvre.
J'aimerais pas être dans la peau de la deuxième victime, vivre dans une crainte continuelle que son nom sorte avec preuves à l'appui.
Personnellement, je sortirais de l'ombre car je ne pourrais pas vivre avec l'incertitude que mon nom puisse sortir au grand jour.
Un jour où l'autre elle ne pourra plus garder le secret, il(le secret) deviendra insupportable à trainer.
J'espère de tout coeur que cette famille puisse se retrouver un jour, on sait jamais. Le pardon et l'amour peut faire des miracles.
J'ai aussi interprété sa réponse comme ça. Etre le père de la victime, je lui conseillerais de sortir de l'ombre et se libérer.
Normalement, le coupable d'une agression sexuelle est sensé être l'agresseur, mais malheureusement, c'est souvent la victime qui est culpabilisé et qui vit dans la honte. C'est peut-être ce pattern qu'il voudrait changer.
J'aimerais pas être dans la peau de la deuxième victime, vivre dans une crainte continuelle que son nom sorte avec preuves à l'appui.
Personnellement, je sortirais de l'ombre car je ne pourrais pas vivre avec l'incertitude que mon nom puisse sortir au grand jour.
Un jour où l'autre elle ne pourra plus garder le secret, il(le secret) deviendra insupportable à trainer.
J'espère de tout coeur que cette famille puisse se retrouver un jour, on sait jamais. Le pardon et l'amour peut faire des miracles.
J'ai aussi interprété sa réponse comme ça. Etre le père de la victime, je lui conseillerais de sortir de l'ombre et se libérer.
Normalement, le coupable d'une agression sexuelle est sensé être l'agresseur, mais malheureusement, c'est souvent la victime qui est culpabilisé et qui vit dans la honte. C'est peut-être ce pattern qu'il voudrait changer.
Youppidou
Mon mari est un alcoolique 'passif'. Un alcoolique reste un alcoolique, un verre c'est trop, 2 caisses pas assez. Il a suivi 3 thérapies et fait partie des AA depuis des années. C'est vrai que vivre avec un alcoo, c'est pas facile, mais ça ne l'a jamais empêché à l'époque où il buvait d'avoir le sens de la famille. Au contraire, il était souvent plus sensible à reconnaître des lacunes et son jugement de base n'était pas vraiment affecté par la boisson. Son caractère par exemple, ouf! Ce qui fait qu'on ignorait souvent ses commentaires.
Je l'avais quitté un temps avec mes enfants. Mais il devait rester loin d'eux jusqu'à ce qu'il se fasse traiter et il n'avait pas le droit de les voir lorsqu'il était en état d'ébriété. La curatelle aurait pu émettre un mandat temporaire à M. Simard au lieu de lui enlever tous ses droits. M. Simard a cessé de boire en 1978 qu'il disait, alors, il aurait dû récupérer tous ses droits. Ce qui prouve que Cloutier était très fort et très bien entouré.
Je l'avais quitté un temps avec mes enfants. Mais il devait rester loin d'eux jusqu'à ce qu'il se fasse traiter et il n'avait pas le droit de les voir lorsqu'il était en état d'ébriété. La curatelle aurait pu émettre un mandat temporaire à M. Simard au lieu de lui enlever tous ses droits. M. Simard a cessé de boire en 1978 qu'il disait, alors, il aurait dû récupérer tous ses droits. Ce qui prouve que Cloutier était très fort et très bien entouré.
Youppidou
Evelyne a écritTout cela me semble toujours laver encore et encore le linge sale en famille
1- Si le livre est une liberation , pourquoi l'ecrire apres
tout ce que l'on sais
2- La discorde de la famille n'est pas d'hier
3- Il se sert du livre pour attendrir les gens
Il n'avait quà ecrire à chacun de ses enfants
mais non il se sert de l'edition
Je ne crois pas du tout que la famille toujours revenir
sur leur vie les libereras vraiment un jour
Je vois qu'il parle du montant que René recevait pour chaque disque vendu. Il faut se mettre dans le contexte
Dans ses annees là aucune règle etait mise pour un disque d'une
personne mineure, il a eu des regles bien apres ces annees là
Au contraire, oui, ça peut rapprocher une famille. Souvent les jeunes ne connaissent pas tous les faits et ne comprennent pas les dessous de l'histoire.
Les parents Simard ont tellement été pointés du doigt, accusés, un livre explicatif pourrait aider à mieux comprendre. Pour un homme de cet âge, de prendre la peine de s'expliquer publiquement, je lui lève mon chapeau. Et si aujourd'hui certains de ses enfants refusent de le lire, plus tard, peut-être. Et ils comprendront ainsi à quel point leurs parents les ont aimés.
Pour le montant qui était versé, on ne parle pas des années 40 là. C'était de l'abus pur et simple.
1- Si le livre est une liberation , pourquoi l'ecrire apres
tout ce que l'on sais
2- La discorde de la famille n'est pas d'hier
3- Il se sert du livre pour attendrir les gens
Il n'avait quà ecrire à chacun de ses enfants
mais non il se sert de l'edition
Je ne crois pas du tout que la famille toujours revenir
sur leur vie les libereras vraiment un jour
Je vois qu'il parle du montant que René recevait pour chaque disque vendu. Il faut se mettre dans le contexte
Dans ses annees là aucune règle etait mise pour un disque d'une
personne mineure, il a eu des regles bien apres ces annees là
Au contraire, oui, ça peut rapprocher une famille. Souvent les jeunes ne connaissent pas tous les faits et ne comprennent pas les dessous de l'histoire.
Les parents Simard ont tellement été pointés du doigt, accusés, un livre explicatif pourrait aider à mieux comprendre. Pour un homme de cet âge, de prendre la peine de s'expliquer publiquement, je lui lève mon chapeau. Et si aujourd'hui certains de ses enfants refusent de le lire, plus tard, peut-être. Et ils comprendront ainsi à quel point leurs parents les ont aimés.
Pour le montant qui était versé, on ne parle pas des années 40 là. C'était de l'abus pur et simple.
Youppidou
Hééééé un gros merci Soleil pour le résumé
Je me doutais bien que le livre de Monsieur Simard irait dans ce sens
Je me doutais bien que le livre de Monsieur Simard irait dans ce sens
[url=http://www.casimages.com][img]http://nsa25.casimages.com/img/2011/01/11/110111032541180441.jpg[/img][/url] [url=http://www.casimages.com][img]http://nsa24.casimages.com/img/2010/10/18/101018034517279643.gif[/img][/url]
laurry a écrit
C`est super Jumbo, 26 ans que tu fais parti des AA, jamais je ne prétendrai en connaître plus que toi.... J`adhère tout simplement pas à ce Mouvement, je ne suis pas capable. Moi je prêche maison de thérapie, ou thérapie à l`interne, whatever, comme je disais plus haut, avec des professionnels.
Sincèrement, je te félicite pour ton cheminement.
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
C`est super Jumbo, 26 ans que tu fais parti des AA, jamais je ne prétendrai en connaître plus que toi.... J`adhère tout simplement pas à ce Mouvement, je ne suis pas capable. Moi je prêche maison de thérapie, ou thérapie à l`interne, whatever, comme je disais plus haut, avec des professionnels.
Sincèrement, je te félicite pour ton cheminement.
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Jumbo a écrit
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
Maintenant, les thérapies se font différemment. La première fois que mon mari s'est fait 'soigné', c'était à l'hôpital où on lui administrait des médicaments pour calmer les nerfs. Résultat NUL. De plus, on demandait à la conjointe de bien comprendre à quel point c'était difficile pour lui.
Mais pour les deux autres thérapies, ce fut différent. Une à Lanoraie et l'autre à Laval. Un mois complet sans lien avec nous. Après, rencontre avec la conjointe. Ensuite, rencontres avec conjointe et enfants.
Leur thérapie consistait à faire une étude approfondie d'eux-mêmes. Il devait écrire beaucoup ce qu'il ressentait et apprendre à se livrer. On nous a appris que l'alcoolisme, c'était en fait 85% de comportement et 15% la boisson, drogue ou médicaments. Eh oui, les médicaments aussi sont une dépendance pour plusieurs, ça entre dans le même pattern. (je ne parle pas des médicaments indispensables là évidemment). Mais le danger est là qu'on nous apprenait.
Lors d'une rencontre entre tous les 'patients' et nous conjoints ou parents, ceux-ci dévoilaient les caractéristiques négatives de leur comportement, les défauts que cela faisait ressortir chez eux.
Plus tard, nous avons des rencontres individuels et des rencontres de groupe. Ça aide beaucoup.
Maintenant, ils apprennent à mieux se définir et comment s'en sortir. C'est beaucoup mieux et c'est vrai qu'ils sont des personnes très sensibles, mais très souvent très renfermés. --Message edité par youppidou le 2007-03-10 18:05:30--
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
Maintenant, les thérapies se font différemment. La première fois que mon mari s'est fait 'soigné', c'était à l'hôpital où on lui administrait des médicaments pour calmer les nerfs. Résultat NUL. De plus, on demandait à la conjointe de bien comprendre à quel point c'était difficile pour lui.
Mais pour les deux autres thérapies, ce fut différent. Une à Lanoraie et l'autre à Laval. Un mois complet sans lien avec nous. Après, rencontre avec la conjointe. Ensuite, rencontres avec conjointe et enfants.
Leur thérapie consistait à faire une étude approfondie d'eux-mêmes. Il devait écrire beaucoup ce qu'il ressentait et apprendre à se livrer. On nous a appris que l'alcoolisme, c'était en fait 85% de comportement et 15% la boisson, drogue ou médicaments. Eh oui, les médicaments aussi sont une dépendance pour plusieurs, ça entre dans le même pattern. (je ne parle pas des médicaments indispensables là évidemment). Mais le danger est là qu'on nous apprenait.
Lors d'une rencontre entre tous les 'patients' et nous conjoints ou parents, ceux-ci dévoilaient les caractéristiques négatives de leur comportement, les défauts que cela faisait ressortir chez eux.
Plus tard, nous avons des rencontres individuels et des rencontres de groupe. Ça aide beaucoup.
Maintenant, ils apprennent à mieux se définir et comment s'en sortir. C'est beaucoup mieux et c'est vrai qu'ils sont des personnes très sensibles, mais très souvent très renfermés. --Message edité par youppidou le 2007-03-10 18:05:30--
Youppidou
Jumbo a écrit
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
Je suppose que tu veux parler de thérapie genre Maison Domrémy? Ça ne m'étonnerait pas que ce soit quelque chose du genre. J'en connais qui sont allés à plusieurs reprises et prenaient un coup fort en sortant de là. Et on les bourrait de pilules pendant leur séjour à tel point qu'ils perdaient presque la notion du temps.
Oh Jumbo, j'ai oublié de te féliciter pour toutes tes années de sobriété. Ça mérite de l'admiration. Bravo! --Message edité par joanna le 2007-03-10 19:49:04--
Je te remercie beaucoup.
Si je parle pas trop de théraphie, c'est que je connais pas celle d'aujourd'hui.
Je vais te raconter une théraphie que j'ai suivi vers l'age de 25 ans. Elle durait 30 jours ou nous étions remis sur pied physiquement, mais non mentalement. 30 jours sur des pilules, toujours à moitié gelé.
Pour t'expliquer comment j'avais rien compris, la trentième journée j'ai appelé un ami et lui ai dit d'amener un 40 onces de wiskey à l'hopital pour qu'on fête ça car je buvais pu.
Ce fut ma dernière théraphie, je l'ai terminé saoul.
Je suppose que tu veux parler de thérapie genre Maison Domrémy? Ça ne m'étonnerait pas que ce soit quelque chose du genre. J'en connais qui sont allés à plusieurs reprises et prenaient un coup fort en sortant de là. Et on les bourrait de pilules pendant leur séjour à tel point qu'ils perdaient presque la notion du temps.
Oh Jumbo, j'ai oublié de te féliciter pour toutes tes années de sobriété. Ça mérite de l'admiration. Bravo! --Message edité par joanna le 2007-03-10 19:49:04--
Vu le succès remporté suite au concours : Découvertes de Jean Roger, René ira maintenant chanter au Japon.
GC en fait part à M. Simard, au début, il est un peu réticent, mais finalement accepte que René y aille; encore là GC s’organise pour pas que M. Simard y participe en lui disant que le voyage en avion est très long et qu’il n’est pas obligé d’y aller, mais M. Simard, malgré sa peur de l’avion tient encore tête à M. Simard, il lui affirme donc que René n’ira pas au Japon sans lui.
Tout content de savoir que René ira chanter au Japon, M. Simard a hâte de le confirmer à son fils, mais encore là, il frappera un mur, puisque René lui répond qu’il le sait déjà depuis longtemps; alors, M. Simard se rend compte encore une fois qu’il se sent tassé et il trouve pas cela très normal que GC ne lui en ait pas parlé avant et même pas René. (comme quoi la manipulation de GC commence à faire effet.
Toujours est-il que M. Simard part pour le Japon mais rendu en sol Japonais, on lui dit qu’il ne peut rester en sol Japonais; là encore, M. Simard doit se débattre et dit à René que s’il ne peut rester au Japon, René non plus ne restera pas; après une couple d’heures, on lui annonce qu’il pourra rester; la raison était fort simple : les papiers remplis par nul autre que le bureau de GC n’avaient pas été bien remplis, pourquoi pensez-vous??? Encore une fois pour tasser le plus possible M. Simard.
Au Japon, René triomphe… ils repartent donc du Japon, M. Simard sait que GC a gagné, M. Simard a perdu son fils et il sent que ce n’est qu’une question de temps avant qu’il perde le reste de sa famille. GC a choisi d’utiliser la maladie de GC pour l’éliminer au lieu de lui offrir le soutien nécessaire pour l’aider à combattre cette maladie.
(C’est ce que je disais d’ailleurs : GC avec toutes les connaissances qu’il avait, s’il avait eu la moindre compassion pour M. Simard, il lui aurait suggéré de suivre une thérapie, au lieu de se servir de cette faiblesse de M. Simard pour se faire valoir une bonne personne aux yeux de René et faire en sorte que René, jeune et naïf se revire contre son père).
A son retour du Japon, M. Simard commet une grave erreur en n’informant pas son comptable de tos les faits. Il avait une certaine réserve à lui raconter ses déboires, étant donnés qu’ils avaient été grandement amplifiés par l’abus de l’alcool. M. Rondeau (le comptable) savait qu’il buvait mais il n’était pas conscient de la gravité du problème.
Il en est rendu à négliger sa famille, son travail et la vie de famille se détériore grandement.
En l’absence de M. Simard, M. Rondeau signera un contrat pour une tournée au Japon, René aura donc un cachet de 300,000.00$ pour la tournée au Japon. L’idée pour M. Simard de repartir au Japon ne l’enchante guère, puisqu’il a été tenu pas mal à l’écart des journalistes à son premier voyage au Japon, aucun d’entre eux ne s’est approché de lui pour recueillir ses commentaires; probablement que GC leur avait donné la consigne très stricte : de cette manière il s’appropriait toute la place, en tenant à l’écart M. Simard, lequel prenait trop de place, l’image paternelle de GC s’imposait dans les médias.
GC en fait part à M. Simard, au début, il est un peu réticent, mais finalement accepte que René y aille; encore là GC s’organise pour pas que M. Simard y participe en lui disant que le voyage en avion est très long et qu’il n’est pas obligé d’y aller, mais M. Simard, malgré sa peur de l’avion tient encore tête à M. Simard, il lui affirme donc que René n’ira pas au Japon sans lui.
Tout content de savoir que René ira chanter au Japon, M. Simard a hâte de le confirmer à son fils, mais encore là, il frappera un mur, puisque René lui répond qu’il le sait déjà depuis longtemps; alors, M. Simard se rend compte encore une fois qu’il se sent tassé et il trouve pas cela très normal que GC ne lui en ait pas parlé avant et même pas René. (comme quoi la manipulation de GC commence à faire effet.
Toujours est-il que M. Simard part pour le Japon mais rendu en sol Japonais, on lui dit qu’il ne peut rester en sol Japonais; là encore, M. Simard doit se débattre et dit à René que s’il ne peut rester au Japon, René non plus ne restera pas; après une couple d’heures, on lui annonce qu’il pourra rester; la raison était fort simple : les papiers remplis par nul autre que le bureau de GC n’avaient pas été bien remplis, pourquoi pensez-vous??? Encore une fois pour tasser le plus possible M. Simard.
Au Japon, René triomphe… ils repartent donc du Japon, M. Simard sait que GC a gagné, M. Simard a perdu son fils et il sent que ce n’est qu’une question de temps avant qu’il perde le reste de sa famille. GC a choisi d’utiliser la maladie de GC pour l’éliminer au lieu de lui offrir le soutien nécessaire pour l’aider à combattre cette maladie.
(C’est ce que je disais d’ailleurs : GC avec toutes les connaissances qu’il avait, s’il avait eu la moindre compassion pour M. Simard, il lui aurait suggéré de suivre une thérapie, au lieu de se servir de cette faiblesse de M. Simard pour se faire valoir une bonne personne aux yeux de René et faire en sorte que René, jeune et naïf se revire contre son père).
A son retour du Japon, M. Simard commet une grave erreur en n’informant pas son comptable de tos les faits. Il avait une certaine réserve à lui raconter ses déboires, étant donnés qu’ils avaient été grandement amplifiés par l’abus de l’alcool. M. Rondeau (le comptable) savait qu’il buvait mais il n’était pas conscient de la gravité du problème.
Il en est rendu à négliger sa famille, son travail et la vie de famille se détériore grandement.
En l’absence de M. Simard, M. Rondeau signera un contrat pour une tournée au Japon, René aura donc un cachet de 300,000.00$ pour la tournée au Japon. L’idée pour M. Simard de repartir au Japon ne l’enchante guère, puisqu’il a été tenu pas mal à l’écart des journalistes à son premier voyage au Japon, aucun d’entre eux ne s’est approché de lui pour recueillir ses commentaires; probablement que GC leur avait donné la consigne très stricte : de cette manière il s’appropriait toute la place, en tenant à l’écart M. Simard, lequel prenait trop de place, l’image paternelle de GC s’imposait dans les médias.
Le rythme de vie Japonais reprend donc de plus belle, les journées sont longues, exténuantes et M. Simard se rend bien compte que René regarde GC comme s’il était un Dieu.
Un certain soir à l’Hôtel, il s’effondre, il ne se sent plus capable de lutter pour reconquérir sa place auprès de son fils. Il appelle donc Gaby pour prendre la relève et il lui dit que s’il reste au Japon plus longtemps, il va y laisser sa peau.
Mme Gaby ira le relayer en compagnie de M. Rondeau; lorsque M. Simard annonce cela à GC, GC est très contrarié, il est heureux de se débarrasser de M. Simard mais n’est pas très friand à l’idée de se retrouver avec la perspective de passer ses journées avec le tuteur aux biens de René.
M. Simard n’attend même pas l’arrivée de Gaby et le comptable avant de partir, son dégoût est si profond qu’il est même prêt à laisser son fils seul avec son ogre de gérant pendant quelques jours. Grâce à des horaires de vol compatibles, il croise Gaby et Charles à Vancouver, en le voyant, ils comprennent qu’il est épuisé, rendu au bout du rouleau. M. Simard se retrouve donc seul dans un hôtel de Vancouver, mais contrairement à son habitude de boire, il ne prendra aucune boisson, il n’en a plus la force et il sent qu’il a peut-être touché le fond et il croit bien qu’il pourra amorcer sa remontée vers la surface.
Lorsqu’il arrive chez lui, sobre depuis 3 jours mais déprimé, il n’a même pas le temps de déposer sa valise qu’il reçoit un téléphone de sa sœur qui lui dit que sa mère a eu une attaque; il débarque donc du train à Grand-Mère, à ce moment-là, sa mère est encore vivante mais elle mourra avant même qu’il arrive. Les larmes refusent de couler, il a la gorge nouée. Il voit sa mère sereine, il donnerait tout pour être aussi serin, mais malheureusement, il est encore loin de la sérénité.
Les événements qui vont suivre sont sans aucun doute les plus sombres de toute sa vie. Il a entendu toutes sortes d’histoires à propos de son domicile familial :
- C’est Cloutier qui a mis le père dehors parce qu’il battait ses enfants et sa femme;
- Le père Simard est un drogué;
- Le père est mort…
- C’est qui le père au juste?
- On ne l’a jamais vu, il me semble
- Je crois qu’il est parti au Japon et qu’il s’est remarié au Japon, il s’est fait une maitresse au cours de ses voyages avec René, les gens disent : c’est à partir de là, en tout cas qu’il n’ont plus entendu parler de lui.
La vérité est beaucoup plus simple et tellement plus cruelle. Il s’est fait mettre à la porte de chez-lui par 2 de ses enfants et s’il en parle aujourd’hui c’est pas pour leur faire des reproches mais simplement pour rétablir les faits.
Un certain soir à l’Hôtel, il s’effondre, il ne se sent plus capable de lutter pour reconquérir sa place auprès de son fils. Il appelle donc Gaby pour prendre la relève et il lui dit que s’il reste au Japon plus longtemps, il va y laisser sa peau.
Mme Gaby ira le relayer en compagnie de M. Rondeau; lorsque M. Simard annonce cela à GC, GC est très contrarié, il est heureux de se débarrasser de M. Simard mais n’est pas très friand à l’idée de se retrouver avec la perspective de passer ses journées avec le tuteur aux biens de René.
M. Simard n’attend même pas l’arrivée de Gaby et le comptable avant de partir, son dégoût est si profond qu’il est même prêt à laisser son fils seul avec son ogre de gérant pendant quelques jours. Grâce à des horaires de vol compatibles, il croise Gaby et Charles à Vancouver, en le voyant, ils comprennent qu’il est épuisé, rendu au bout du rouleau. M. Simard se retrouve donc seul dans un hôtel de Vancouver, mais contrairement à son habitude de boire, il ne prendra aucune boisson, il n’en a plus la force et il sent qu’il a peut-être touché le fond et il croit bien qu’il pourra amorcer sa remontée vers la surface.
Lorsqu’il arrive chez lui, sobre depuis 3 jours mais déprimé, il n’a même pas le temps de déposer sa valise qu’il reçoit un téléphone de sa sœur qui lui dit que sa mère a eu une attaque; il débarque donc du train à Grand-Mère, à ce moment-là, sa mère est encore vivante mais elle mourra avant même qu’il arrive. Les larmes refusent de couler, il a la gorge nouée. Il voit sa mère sereine, il donnerait tout pour être aussi serin, mais malheureusement, il est encore loin de la sérénité.
Les événements qui vont suivre sont sans aucun doute les plus sombres de toute sa vie. Il a entendu toutes sortes d’histoires à propos de son domicile familial :
- C’est Cloutier qui a mis le père dehors parce qu’il battait ses enfants et sa femme;
- Le père Simard est un drogué;
- Le père est mort…
- C’est qui le père au juste?
- On ne l’a jamais vu, il me semble
- Je crois qu’il est parti au Japon et qu’il s’est remarié au Japon, il s’est fait une maitresse au cours de ses voyages avec René, les gens disent : c’est à partir de là, en tout cas qu’il n’ont plus entendu parler de lui.
La vérité est beaucoup plus simple et tellement plus cruelle. Il s’est fait mettre à la porte de chez-lui par 2 de ses enfants et s’il en parle aujourd’hui c’est pas pour leur faire des reproches mais simplement pour rétablir les faits.
Depuis son retour du Japon, ce sont Lyne et Gaby, qui, à tour de rôle, prennent sa place auprès de René. M. Simard reste enfermé dans la maison pendant plusieurs semaines à ruminer sa honte et son ressentiment, puis il reprend peu à peu son travail de cuisinier.
Depuis quelques semaines, Cloutier tentera d’obtenir son accord pour que son fils s’expatrie à Los Angeles, GC lui affirmant que ce serait bon pour sa carrière qu’il aille étudier les arts de la scène dans cette ville.
Mais M. Simard veut savoir où il ira et surtout, qui l’entourera. Dès l’instant où il pose des questions et où il commence à imposer ses conditions, il sent la soupe chaude, mais en même temps la pression que GC exerce sur sa famille est plus forte que jamais; GC joue le rôle du jeu de la séduction, ne ratant pas une occasion de l’humilier et de lui miner le moral.
C’est un soir d’octobre 1975 que Lyne et René arrivent à la maison avec Norma engagée par Cloutier pour veiller sur son fils et lui enseigner l’anglais. Elle a à peine franchi le seuil de la maison que ses enfants lui disent qu’elle a besoin d’un verre, elle sent l’alcool à plein nez et c’est pourtant elle qui les a conduit de Montréal à l’Ile D’orléans, M. Simard en est consterné, mais il lui offre tout de même une de ses bouteilles.
Voilà qu’il se rend compte que l’adulte chargée de protéger ses enfants est une alcoolique comme lui; tous les beaux discours de Cloutier à propos de la boisson, tous les reproches lui reviennent en mémoire; il se rend compte que GC a agit en hypocrite.
L’Américaine se retire dans une autre pièce, son précieux trésor entre les mains; et c’est là que René dit à son père : Papa, je te remercie pour ce que tu as fais mais, dorénavant, Lyne pourra s’occuper de moi, puis il a ajouté : ce serait préférable que tu quittes dès maintenant la maison.
Gaby ne souhaitait pas qu’il parte, elle s’attendait à une vive réaction de sa part, elle pensait qu’il allait se battre, promettre de changer, de cesser de boire, crier, tempêter, au lieu de cela, M. Simard regarde René dans les yeux et lui dit : C’est correct, je m’en vais, Cloutier a gagné.
Il n’a plus la force de se battre et faute de valises, il partira avec des sacs-poubelles. Le peu de choses qu’il reste de son existence s’entasse dans 2 grands sacs. Il part sans se retourner et ferme la porte derrière lui.
Mon opinion personnelle : GC a fait faire la job par un adolescent du nom de René après avoir très bien manipulé l’adolescent afin qu’il en arrive à poser de tels gestes. Et le pire dans tout cela, c’est une alcoolique elle-même qui sera chargée de protéger Lyne et René….. Ce n’est donc pas nécessairement la boisson qui a fait que M. Simard a été tassé, mais bel et bien le beau travail effectué par GC… Et je maintiendrai toujours que si GC avait eu un peu plus de compassion pour M. Simard, il lui aurait fourni de l'aide, puisqu'il allait s'enrichir avec les cachets de René. Certes, GC n'était pas obligé de le faire, mais il aurait pu.
--Message edité par Soleil47 le 2007-03-11 00:03:25--
Depuis quelques semaines, Cloutier tentera d’obtenir son accord pour que son fils s’expatrie à Los Angeles, GC lui affirmant que ce serait bon pour sa carrière qu’il aille étudier les arts de la scène dans cette ville.
Mais M. Simard veut savoir où il ira et surtout, qui l’entourera. Dès l’instant où il pose des questions et où il commence à imposer ses conditions, il sent la soupe chaude, mais en même temps la pression que GC exerce sur sa famille est plus forte que jamais; GC joue le rôle du jeu de la séduction, ne ratant pas une occasion de l’humilier et de lui miner le moral.
C’est un soir d’octobre 1975 que Lyne et René arrivent à la maison avec Norma engagée par Cloutier pour veiller sur son fils et lui enseigner l’anglais. Elle a à peine franchi le seuil de la maison que ses enfants lui disent qu’elle a besoin d’un verre, elle sent l’alcool à plein nez et c’est pourtant elle qui les a conduit de Montréal à l’Ile D’orléans, M. Simard en est consterné, mais il lui offre tout de même une de ses bouteilles.
Voilà qu’il se rend compte que l’adulte chargée de protéger ses enfants est une alcoolique comme lui; tous les beaux discours de Cloutier à propos de la boisson, tous les reproches lui reviennent en mémoire; il se rend compte que GC a agit en hypocrite.
L’Américaine se retire dans une autre pièce, son précieux trésor entre les mains; et c’est là que René dit à son père : Papa, je te remercie pour ce que tu as fais mais, dorénavant, Lyne pourra s’occuper de moi, puis il a ajouté : ce serait préférable que tu quittes dès maintenant la maison.
Gaby ne souhaitait pas qu’il parte, elle s’attendait à une vive réaction de sa part, elle pensait qu’il allait se battre, promettre de changer, de cesser de boire, crier, tempêter, au lieu de cela, M. Simard regarde René dans les yeux et lui dit : C’est correct, je m’en vais, Cloutier a gagné.
Il n’a plus la force de se battre et faute de valises, il partira avec des sacs-poubelles. Le peu de choses qu’il reste de son existence s’entasse dans 2 grands sacs. Il part sans se retourner et ferme la porte derrière lui.
Mon opinion personnelle : GC a fait faire la job par un adolescent du nom de René après avoir très bien manipulé l’adolescent afin qu’il en arrive à poser de tels gestes. Et le pire dans tout cela, c’est une alcoolique elle-même qui sera chargée de protéger Lyne et René….. Ce n’est donc pas nécessairement la boisson qui a fait que M. Simard a été tassé, mais bel et bien le beau travail effectué par GC… Et je maintiendrai toujours que si GC avait eu un peu plus de compassion pour M. Simard, il lui aurait fourni de l'aide, puisqu'il allait s'enrichir avec les cachets de René. Certes, GC n'était pas obligé de le faire, mais il aurait pu.
--Message edité par Soleil47 le 2007-03-11 00:03:25--
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Vint ensuite le ‘’fond du baril’’ comme on l’appelle.
Son fils Alexis ira rester avec lui à l’âge de 13 ans et il contribuera fortement à ce que son père se fasse soigner pour l’alcoolisme.
Il a été absent de la vie de ses enfants pendant 8 ans, les seuls qu’ils voyaient étaient Régis et Alexis avec lesquels il a gardé contact, M. Simard aura donc suivi la carrière de René et Nathalie par le biais de la TV.
Et il apprend plus tard que René sera nommé tuteur pour les biens de Nathalie, René a 18 ans, mais M. Simard ne comprendra pas pourquoi ils ont nommé René, un gars sans expérience dans la gérance de finances tuteur de Nathalie. Encore l’œuvre de GC. Attendu que René a maintenant 18 ans, les papiers signés par M. Simard auparavant, n’ont plus d’importance, René est majeur…Une autre belle manigance de GC.
M. Simard est conscient que certaines personnes ne sont pas prêtes à lui pardonner et il respecte très bien leur choix.
Et la famille sera à nouveau source de rupture avec le dévoilement de Nathalie en 2004. Depuis quelques mois Nathalie s’était éloigné de la famille; les divergences d’opinions entre elle et René ont été abondamment rapportées par certains médias assoiffés de sensationnalisme.
M. Simard tient donc à leur dire que le seul et véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, tout ce qu’il souhaite, c’est qu’ils comprennent tous les autres, même s’ils ont une part de responsabilités, (lui-même y compris) et s’ils ont commis des maladresses ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie. Et il ajoute : ce n’est qu’en acceptant cette réalité qu’ils parviendront une fois de plus à ressouder la famille.
En Novembre 2005, peu après la parution du livre de Nathalie qui fut suivie d’échanges enflammés entre elle et son frère par le biais des médias interposés, M. Simard a rompu le silence qu’il avait observé pendant 30 ans. Il a alors prononcé des paroles qui, devenues le titre d’un article du magazine La Semaine, ont semé la consternation : Je savais…
Au cours de l’entrevue avec la journaliste il a confié à la journaliste avoir vu des actes qu’il considérait avec le recul, comme ayant eu un caractère sexuel. Depuis ce temps, les médias le harcèlent pour savoir qui est la 2e victime.
Mais M. Simard ne dévoilera jamais le nom de cette victime, non seulement en raison de l’interdiction des tribunaux, mais aussi et surtout, parce qu’il aime et respecte cette personne et il dit que cette personne est victime au même titre que Nathalie et doit elle aussi être protégée.
Son fils Alexis ira rester avec lui à l’âge de 13 ans et il contribuera fortement à ce que son père se fasse soigner pour l’alcoolisme.
Il a été absent de la vie de ses enfants pendant 8 ans, les seuls qu’ils voyaient étaient Régis et Alexis avec lesquels il a gardé contact, M. Simard aura donc suivi la carrière de René et Nathalie par le biais de la TV.
Et il apprend plus tard que René sera nommé tuteur pour les biens de Nathalie, René a 18 ans, mais M. Simard ne comprendra pas pourquoi ils ont nommé René, un gars sans expérience dans la gérance de finances tuteur de Nathalie. Encore l’œuvre de GC. Attendu que René a maintenant 18 ans, les papiers signés par M. Simard auparavant, n’ont plus d’importance, René est majeur…Une autre belle manigance de GC.
M. Simard est conscient que certaines personnes ne sont pas prêtes à lui pardonner et il respecte très bien leur choix.
Et la famille sera à nouveau source de rupture avec le dévoilement de Nathalie en 2004. Depuis quelques mois Nathalie s’était éloigné de la famille; les divergences d’opinions entre elle et René ont été abondamment rapportées par certains médias assoiffés de sensationnalisme.
M. Simard tient donc à leur dire que le seul et véritable méchant de cette histoire a été incarcéré, tout ce qu’il souhaite, c’est qu’ils comprennent tous les autres, même s’ils ont une part de responsabilités, (lui-même y compris) et s’ils ont commis des maladresses ne sont pas des criminels, mais des êtres humains que cet homme a blessés au cours de son odieux parcours de vie. Et il ajoute : ce n’est qu’en acceptant cette réalité qu’ils parviendront une fois de plus à ressouder la famille.
En Novembre 2005, peu après la parution du livre de Nathalie qui fut suivie d’échanges enflammés entre elle et son frère par le biais des médias interposés, M. Simard a rompu le silence qu’il avait observé pendant 30 ans. Il a alors prononcé des paroles qui, devenues le titre d’un article du magazine La Semaine, ont semé la consternation : Je savais…
Au cours de l’entrevue avec la journaliste il a confié à la journaliste avoir vu des actes qu’il considérait avec le recul, comme ayant eu un caractère sexuel. Depuis ce temps, les médias le harcèlent pour savoir qui est la 2e victime.
Mais M. Simard ne dévoilera jamais le nom de cette victime, non seulement en raison de l’interdiction des tribunaux, mais aussi et surtout, parce qu’il aime et respecte cette personne et il dit que cette personne est victime au même titre que Nathalie et doit elle aussi être protégée.
Il dit : si j’osais, je te demanderais tout de même de sortir de l’ombre et de crier haut et fort que ce n’est nullement de ta faute et de cesser de se cacher et de porter une honte qui ne lui appartient pas. Mais il dit aussi : je sais que tu as trouvé l’amour dans ta vie et que cet amour est fort et vécu dans la plus grande sérénité et que cette personne est devenue très équilibrée.
Il demande à cette victime de méditer sur les conseils d’un vieil homme qui a vu ses enfants perdre trop de batailles par sa faute.
Il s’adresse également à René Angélil, il n’a que du bien à dire de lui, il s’excuse de lui avoir adressé des paroles acerbes au cours de certains entretiens avec lui et GC; mais René Angélil, étant l’ami de GC, M. Simard n’a jamais voulu se confier à lui, il dit aussi que c’est le seul qui faisait preuve d’une grande douceur à l’égard de ses enfants, puisque la plupart des gens qui gravitaient autour de GC ignoraient les membres de sa famille qui n’étaient pas sous les feux des projecteurs et que certains allaient jusqu’à afficher ouvertement leur mépris.
M. Simard termine en disant que son rêve qu’il caresse encore aujourd’hui, ce serait que ses enfants fassent un disque ensemble.
Voilà, le reste du livre est un témoignage à chacun de ses enfants.
Ce que je retient de ce livre, c’est que M. Simard a eu beaucoup de courage pour arriver à se livrer comme tel, pour ses enfants, pour le public qui en demandait, et nulle part, dans ce livre, je n’y ai lu qu’il blâmait les autres (à part Cloutier bien sur) à cause de son problème d’alcoolisme et tout ce qui s’en est découlé.
Et je pense également que ce n’est pas en rejetant une personne alcoolique que cela aidera à cette personne, ce qu’a fait GC en quelque sorte; jamais au grand jamais, je n’aurais pensé que GC pouvait être ce genre d’individu, lui qui était adulé partout où il passait, jamais au grand jamais je ne l’aurais cru capable de telles bassesses pour arriver à ses fins.
Il demande à cette victime de méditer sur les conseils d’un vieil homme qui a vu ses enfants perdre trop de batailles par sa faute.
Il s’adresse également à René Angélil, il n’a que du bien à dire de lui, il s’excuse de lui avoir adressé des paroles acerbes au cours de certains entretiens avec lui et GC; mais René Angélil, étant l’ami de GC, M. Simard n’a jamais voulu se confier à lui, il dit aussi que c’est le seul qui faisait preuve d’une grande douceur à l’égard de ses enfants, puisque la plupart des gens qui gravitaient autour de GC ignoraient les membres de sa famille qui n’étaient pas sous les feux des projecteurs et que certains allaient jusqu’à afficher ouvertement leur mépris.
M. Simard termine en disant que son rêve qu’il caresse encore aujourd’hui, ce serait que ses enfants fassent un disque ensemble.
Voilà, le reste du livre est un témoignage à chacun de ses enfants.
Ce que je retient de ce livre, c’est que M. Simard a eu beaucoup de courage pour arriver à se livrer comme tel, pour ses enfants, pour le public qui en demandait, et nulle part, dans ce livre, je n’y ai lu qu’il blâmait les autres (à part Cloutier bien sur) à cause de son problème d’alcoolisme et tout ce qui s’en est découlé.
Et je pense également que ce n’est pas en rejetant une personne alcoolique que cela aidera à cette personne, ce qu’a fait GC en quelque sorte; jamais au grand jamais, je n’aurais pensé que GC pouvait être ce genre d’individu, lui qui était adulé partout où il passait, jamais au grand jamais je ne l’aurais cru capable de telles bassesses pour arriver à ses fins.
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Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
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