Fabine a écritA mon avis ce budget est une vraie bénédiction pour le PQ. De 3ième parti empêtré dans ses chicanes le voilà en premier plan à négocier avec le gouvernement pour faire passer ses idées. A tous les jours les médias n'en ont que pour le PQ, des députés qui ont à négocier. Une vraie belle exposure. En fait le parti démontre du leadership, de la confiance en ses actions et de l'expérience de la gouvernance.
Pendant ce temps, l'ADQ????Il y a Taillon qui a fait une lecture d'un communiqué pour dire qu'ils voteraient contre, c'est tout. C'est une première démonstration que l'opposition officielle ne fait pas le poid et est encore dans les ligues mineures de la politique.
Attention...
l'ADQ a l'air du parti snobé et ignoré quand viens le temps de prendre des décisions.
Pas sûre que ça va servir au PQ ou aux libéraux moi là
L'ADQ et le PQ votent contre le budget
Fabine a écritA mon avis ce budget est une vraie bénédiction pour le PQ. De 3ième parti empêtré dans ses chicanes le voilà en premier plan à négocier avec le gouvernement pour faire passer ses idées. A tous les jours les médias n'en ont que pour le PQ, des députés qui ont à négocier. Une vraie belle exposure. En fait le parti démontre du leadership, de la confiance en ses actions et de l'expérience de la gouvernance.
Comme une pute de luxe.
Comme une pute de luxe.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Jumbo a écrit
Comme une pute de luxe.
Désolée de te dire ça Jumbo mais tu sembles mal connaître le jeu politique. C'est le rôle du tiers parti de demander en échange de son vote. C'est lui qui a le pouvoir de faire ou non tomber le gouvernement dans un contexte de minorité. Comme le NPD et le Bloc à Ottawa. Il y quelques temps, le NPD avait garder en vie les conservateurs en votant pour le budget quand Harper a accepté d'inclure les demandes de Layton dans son budget. C'est toujours comme ça.
Le PQ n'est ni plus ni moins pute que les autres partis. C'est la politique, c'est lette mais c'est ça.
Comme une pute de luxe.
Désolée de te dire ça Jumbo mais tu sembles mal connaître le jeu politique. C'est le rôle du tiers parti de demander en échange de son vote. C'est lui qui a le pouvoir de faire ou non tomber le gouvernement dans un contexte de minorité. Comme le NPD et le Bloc à Ottawa. Il y quelques temps, le NPD avait garder en vie les conservateurs en votant pour le budget quand Harper a accepté d'inclure les demandes de Layton dans son budget. C'est toujours comme ça.
Le PQ n'est ni plus ni moins pute que les autres partis. C'est la politique, c'est lette mais c'est ça.
tipet a écrit
Désolée de te dire ça Jumbo mais tu sembles mal connaître le jeu politique. C'est le rôle du tiers parti de demander en échange de son vote. C'est lui qui a le pouvoir de faire ou non tomber le gouvernement dans un contexte de minorité. Comme le NPD et le Bloc à Ottawa. Il y quelques temps, le NPD avait garder en vie les conservateurs en votant pour le budget quand Harper a accepté d'inclure les demandes de Layton dans son budget. C'est toujours comme ça.
Le PQ n'est ni plus ni moins pute que les autres partis. C'est la politique, c'est lette mais c'est ça.
C'est ce que je dis, tu as la pute et le client. Aujourd'hui le rôle de la pute est joué par le PQ.
Désolée de te dire ça Jumbo mais tu sembles mal connaître le jeu politique. C'est le rôle du tiers parti de demander en échange de son vote. C'est lui qui a le pouvoir de faire ou non tomber le gouvernement dans un contexte de minorité. Comme le NPD et le Bloc à Ottawa. Il y quelques temps, le NPD avait garder en vie les conservateurs en votant pour le budget quand Harper a accepté d'inclure les demandes de Layton dans son budget. C'est toujours comme ça.
Le PQ n'est ni plus ni moins pute que les autres partis. C'est la politique, c'est lette mais c'est ça.
C'est ce que je dis, tu as la pute et le client. Aujourd'hui le rôle de la pute est joué par le PQ.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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Monique Jérôme-Forget fait le point sur les négociations aves le PQ
Le 30 mai 2007 - 12:13 | Colette Cyr [AgenceNews]
La ministre des Finances du Québec
Ce matin, la ministre des Finances du Québec a tenu un point de presse afin s'expliquer les tenants et aboutissants des négociations du gouvernement avec l'opposition. Les adéquistes maintiennent le rejet du budget de madame Monique Jérôme-Forget.
En ce qui concerne les négociations avec le Parti québécois, on serait encore loin de la coupe aux lèvres. Alors que les péquistes requièrent quelque 300 millions partagés entre l'éducation, la santé et les régions-ressources (pris à même les baisses d'impôts annoncées), le gouvernement propose plutôt un ajout total de 60 millions.
De cette somme :
quelque 20 millions s'ajouteraient aux 24 millions en éducation déjà annoncés pour un total de 44 millions servant à l'embauche de 800 nouvelles personnes et au soutien en milieu défavorisé ;
un ajout de 40 millions en santé s'ajoutant aux 55 millions annoncés, totalisant 95 millions de dollars attribués en grande partie aux soins des aînés.
La ministre croit fermement en arriver à une entente avec le PQ, qui tient à ce que l'ajout de millions soit pris à même les baisses d'impôt annoncées. Elle maintient pouvoir injecter ces nouveaux millions, sans en préciser la provenance mais sans toucher aux baisses d'impôt. À suivre…
Le 30 mai 2007 - 12:13 | Colette Cyr [AgenceNews]
La ministre des Finances du Québec
Ce matin, la ministre des Finances du Québec a tenu un point de presse afin s'expliquer les tenants et aboutissants des négociations du gouvernement avec l'opposition. Les adéquistes maintiennent le rejet du budget de madame Monique Jérôme-Forget.
En ce qui concerne les négociations avec le Parti québécois, on serait encore loin de la coupe aux lèvres. Alors que les péquistes requièrent quelque 300 millions partagés entre l'éducation, la santé et les régions-ressources (pris à même les baisses d'impôts annoncées), le gouvernement propose plutôt un ajout total de 60 millions.
De cette somme :
quelque 20 millions s'ajouteraient aux 24 millions en éducation déjà annoncés pour un total de 44 millions servant à l'embauche de 800 nouvelles personnes et au soutien en milieu défavorisé ;
un ajout de 40 millions en santé s'ajoutant aux 55 millions annoncés, totalisant 95 millions de dollars attribués en grande partie aux soins des aînés.
La ministre croit fermement en arriver à une entente avec le PQ, qui tient à ce que l'ajout de millions soit pris à même les baisses d'impôt annoncées. Elle maintient pouvoir injecter ces nouveaux millions, sans en préciser la provenance mais sans toucher aux baisses d'impôt. À suivre…
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Un écart de 240 millions $ sépare le PQ et le PLQ d'une entente sur le budget
Le 30 mai 2007 - 15:58 | Presse Canadienne
A 48 heures du vote, un gouffre de 240 millions $ séparait encore libéraux et péquistes mercredi d'une entente pour l'adoption du budget.
Après deux jours de discussions à huis clos, les parties ont commencé à négocier sur la place publique, révélant l'écart qui les sépare d'un accord qui permettrait d'éviter un scrutin estival.
Le Parti québécois exige que le gouvernement libéral minoritaire de Jean Charest réinjecte 300 millions $ en santé, en éducation et pour les régions-ressources, en puisant à hauteur de 250 millions $ dans les baisses d'impôt annoncées dans le budget de jeudi dernier.
Le reste de la somme, 50 millions $, proviendrait des mesures déjà inscrites au budget pour la santé.
"La balle est dans leur camp", a lancé le chef intérimaire du PQ, François Gendron, à l'intention des libéraux, lorsqu'il a rendu publique en conférence de presse la proposition de son parti en compagnie du porte-parole péquiste en matière de finance, François Legault.
"La population est derrière nous", a insisté M. Gendron à plusieurs reprises, citant les résultats de sondages défavorables au budget Jérôme-Forget.
La ponction de 250 millions $ sur les 950 millions $ de baisses d'impôt promises par le gouvernement n'affecterait pas l'allègement consenti aux contribuables dont le revenu est inférieur à 75 000 $ par année (200 $ par année à compter de 2008). En revanche, ceux dont le revenu annuel est supérieur à 75 000 $ verraient leur baisse d'impôt prévue au budget réduite d'environ 40 pour cent (800 $ par année plutôt que 1400 $ à compter de 2008).
"Nous ne sommes pas contre les baisses d'impôt. Mais le répit, il faut le donner en priorité aux individus qui gagnent moins de 75 000 $", a dit M. Legault, convaincu que la proposition péquiste est "responsable et équilibrée".
Au total, le PQ réclame 140 millions $ pour les élèves en difficulté et la lutte au décrochage scolaire, 140 millions $ pour les soins à domicile et les Groupes de médecine familiale et 20 millions $ pour les régions-ressources.
En milieu d'après-midi, les parties étaient encore à des années-lumières d'un accord alors qu'aucune nouvelle rencontre de négociations ne figurait à l'agenda.
La dernière offre de la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, se limitait à 60 millions $, un écart de 240 millions $.
En point de presse, la ministre a dit chercher un moyen d'augmenter la mise.
"Je regarde tout ce que je peux faire, sauf 'vampiriser' encore d'autres services, d'autres ministères, pour aller chercher de l'argent", a-t-elle dit, laissant entendre que même les baisses d'impôt de 950 millions $ annoncées dans le budget pouvaient être revues.
Mais un peu plus tard, elle s'est empressée de dissiper l'impression qu'elle avait laissée.
"Je regarde tout (mais) je ne regarde effectivement pas les baisses d'impôt", a précisé Mme Jérôme-Forget à un groupe de journalistes, laissant présager encore de longues heures de tractations entre les deux groupes parlementaires.
Le 30 mai 2007 - 15:58 | Presse Canadienne
A 48 heures du vote, un gouffre de 240 millions $ séparait encore libéraux et péquistes mercredi d'une entente pour l'adoption du budget.
Après deux jours de discussions à huis clos, les parties ont commencé à négocier sur la place publique, révélant l'écart qui les sépare d'un accord qui permettrait d'éviter un scrutin estival.
Le Parti québécois exige que le gouvernement libéral minoritaire de Jean Charest réinjecte 300 millions $ en santé, en éducation et pour les régions-ressources, en puisant à hauteur de 250 millions $ dans les baisses d'impôt annoncées dans le budget de jeudi dernier.
Le reste de la somme, 50 millions $, proviendrait des mesures déjà inscrites au budget pour la santé.
"La balle est dans leur camp", a lancé le chef intérimaire du PQ, François Gendron, à l'intention des libéraux, lorsqu'il a rendu publique en conférence de presse la proposition de son parti en compagnie du porte-parole péquiste en matière de finance, François Legault.
"La population est derrière nous", a insisté M. Gendron à plusieurs reprises, citant les résultats de sondages défavorables au budget Jérôme-Forget.
La ponction de 250 millions $ sur les 950 millions $ de baisses d'impôt promises par le gouvernement n'affecterait pas l'allègement consenti aux contribuables dont le revenu est inférieur à 75 000 $ par année (200 $ par année à compter de 2008). En revanche, ceux dont le revenu annuel est supérieur à 75 000 $ verraient leur baisse d'impôt prévue au budget réduite d'environ 40 pour cent (800 $ par année plutôt que 1400 $ à compter de 2008).
"Nous ne sommes pas contre les baisses d'impôt. Mais le répit, il faut le donner en priorité aux individus qui gagnent moins de 75 000 $", a dit M. Legault, convaincu que la proposition péquiste est "responsable et équilibrée".
Au total, le PQ réclame 140 millions $ pour les élèves en difficulté et la lutte au décrochage scolaire, 140 millions $ pour les soins à domicile et les Groupes de médecine familiale et 20 millions $ pour les régions-ressources.
En milieu d'après-midi, les parties étaient encore à des années-lumières d'un accord alors qu'aucune nouvelle rencontre de négociations ne figurait à l'agenda.
La dernière offre de la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, se limitait à 60 millions $, un écart de 240 millions $.
En point de presse, la ministre a dit chercher un moyen d'augmenter la mise.
"Je regarde tout ce que je peux faire, sauf 'vampiriser' encore d'autres services, d'autres ministères, pour aller chercher de l'argent", a-t-elle dit, laissant entendre que même les baisses d'impôt de 950 millions $ annoncées dans le budget pouvaient être revues.
Mais un peu plus tard, elle s'est empressée de dissiper l'impression qu'elle avait laissée.
"Je regarde tout (mais) je ne regarde effectivement pas les baisses d'impôt", a précisé Mme Jérôme-Forget à un groupe de journalistes, laissant présager encore de longues heures de tractations entre les deux groupes parlementaires.
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Ce débat entourant les baisses d'impôts ne fait, selon moi, que cacher le vrai problème... On paye trop d'impôts c'est vrai...Mais dans les faits on paye trop d'impôts fédéral et trop d'assurance emploie pour les véritables besoins du gouvernement fédéral. Si ottawa s'en tiendrait à leur champs de compétences, on pourrait avoir de très bonne réduction d'impôts sur notre salaire.
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Voici un texte de Michel Hébert pris sur son blog Hébert en liberté
jeudi 31 mai 2007
UN CAS DE LABORATOIRE
Phillipe Couillard se demandait l'autre jour si le Québec n'était pas devenu un «cas de laboratoire». Le ministre de la Santé, responsable de la capitale nationale, réfléchissait à haute voix sur l'acceuil mitigé aux baisses d'impôt annonçées par sa collègue des Finances, Monique Jérôme-Forget.
Il y avait de l'exaspération, du mécontement, dans la voix du ministre. Partout, l'impôt est décrié. Nulle part, un parti politique espérerait faire des gains en défendant le fardeau fiscal parmi les plus lourds des sociétés occidentales.
Pourtant, baisser les impôts, ça se fait. Même à Terre-Neuve. Même en Ontario. Pourquoi pas ici? Le gouvernement ne compte pas que sur les impôts pour boucler son budget; il a diversifié ses sources de revenus. Il taxe l'essence, les assurances, le vin, les permis de conduire. Ça coûte 9 $ pour stationner aux Chutes Montmorency! Et vous avez intérêt à avoir votre permis de pêche parce que, les deux gaillards, au frais dans leur Dodge Ram climatisé, ce ne sont pas des touristes mais des agents de la faune...
Quand on regarde les statistiques fiscales, on se demande bien pourquoi le Parti québécois fait tant de chahut avec les baisses d'impôt. Ils sont si peu nombreux les vrais contribuables, qu'en termes politiques, ils représentent une quantité quasiment négligeable. Selon les derniers chiffres des statisticiens des Finances, il y a 5,6 millions de contribuables dont 4,8 millions, soit 85% qui gagnent moins de 50 000 $. On connaît quasiment par leur nom ceux qui gagnent plus: les policiers, les agents de la faune, les journalistes, les députés, les médecins, les dentistes, les notaires, les sous-ministres, les adjoints du sous-ministre et leurs adjoints, les profs de cégep et ceux de Laval, les cadres et les conseillers municipaux de Québec, des avocats comme Guy Bertrand, etc. Mon mécanicien aussi, qui fait fortune à cause l'état des routes.
Il y en combien de ces cons-tribuables? Environ 850 000. C'est à eux que sont destinées les baisses d'impôt que propose le gouvernement Charest. Ils paient 48% de ce que collecte le fisc pour financer les services publics. On n'ose pas le dire, mais c'est du socialisme. Le plus comique, c'est de voir deux millionnaires, Pauline Marois et François Legault, défendre la classe dite moyenne. Ça aussi, ça relève du «cas de laboratoire».
jeudi 31 mai 2007
UN CAS DE LABORATOIRE
Phillipe Couillard se demandait l'autre jour si le Québec n'était pas devenu un «cas de laboratoire». Le ministre de la Santé, responsable de la capitale nationale, réfléchissait à haute voix sur l'acceuil mitigé aux baisses d'impôt annonçées par sa collègue des Finances, Monique Jérôme-Forget.
Il y avait de l'exaspération, du mécontement, dans la voix du ministre. Partout, l'impôt est décrié. Nulle part, un parti politique espérerait faire des gains en défendant le fardeau fiscal parmi les plus lourds des sociétés occidentales.
Pourtant, baisser les impôts, ça se fait. Même à Terre-Neuve. Même en Ontario. Pourquoi pas ici? Le gouvernement ne compte pas que sur les impôts pour boucler son budget; il a diversifié ses sources de revenus. Il taxe l'essence, les assurances, le vin, les permis de conduire. Ça coûte 9 $ pour stationner aux Chutes Montmorency! Et vous avez intérêt à avoir votre permis de pêche parce que, les deux gaillards, au frais dans leur Dodge Ram climatisé, ce ne sont pas des touristes mais des agents de la faune...
Quand on regarde les statistiques fiscales, on se demande bien pourquoi le Parti québécois fait tant de chahut avec les baisses d'impôt. Ils sont si peu nombreux les vrais contribuables, qu'en termes politiques, ils représentent une quantité quasiment négligeable. Selon les derniers chiffres des statisticiens des Finances, il y a 5,6 millions de contribuables dont 4,8 millions, soit 85% qui gagnent moins de 50 000 $. On connaît quasiment par leur nom ceux qui gagnent plus: les policiers, les agents de la faune, les journalistes, les députés, les médecins, les dentistes, les notaires, les sous-ministres, les adjoints du sous-ministre et leurs adjoints, les profs de cégep et ceux de Laval, les cadres et les conseillers municipaux de Québec, des avocats comme Guy Bertrand, etc. Mon mécanicien aussi, qui fait fortune à cause l'état des routes.
Il y en combien de ces cons-tribuables? Environ 850 000. C'est à eux que sont destinées les baisses d'impôt que propose le gouvernement Charest. Ils paient 48% de ce que collecte le fisc pour financer les services publics. On n'ose pas le dire, mais c'est du socialisme. Le plus comique, c'est de voir deux millionnaires, Pauline Marois et François Legault, défendre la classe dite moyenne. Ça aussi, ça relève du «cas de laboratoire».
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Charest convoque une ultime rencontre avec le PQ
Le 31 mai 2007 - 14:50 | Presse Canadienne
Dans un ultime effort pour éviter d'être défait vendredi, le gouvernement minoritaire de Jean Charest tiendra une rencontre avec les représentants du Parti québécois ce jeudi à 16h30.
Jean Charest et la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, rencontreront le chef intérimaire du PQ, François Gendron, et le député François Legault, au bureau du premier ministre.
Afin de résoudre la crise sur le budget et éviter le déclenchement d'une élection en plein été, le gouvernement a aussi cherché à tenir une rencontre avec le chef de l'opposition officielle, Mario Dumont, mais ce dernier est à l'extérieur de Québec.
Selon l'attaché de presse du premier ministre, Hugo D'Amours, il est possible que M. Charest ait un entretien téléphonique avec le chef adéquiste.
M. D'Amours refuse par ailleurs de préciser si le gouvernement proposera une contre-offre au Parti québécois jeudi après-midi.
Jusqu'ici, la ministre Jérôme-Forget a proposé une somme de 60 millions $ pour répondre aux demandes du PQ, qui réclame plutôt 300 millions $ pour les soins à domicile, les élèves en difficultés et les régions ressources.
«On va tout faire pour conclure une entente» avec l'opposition, a promis M. Charest, jeudi matin, sur un ton conciliant, lors d'une conférence de presse.
L'Assemblée nationale doit voter vendredi sur le budget présenté la semaine dernière par la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget. Si l'Action démocratique et le Parti québécois s'en tiennent à leur engagement, ils voteront contre le budget et le gouvernement sera défait.
Depuis quelques jours, M. Charest souffle le chaud et le froid par rapport au processus de négociations présentement en cours, se montrant tantôt inflexible et prêt à déclencher des élections, et tantôt conciliant et prêt à des aménagements.
Jeudi matin, il a défendu une fois de plus son budget et ses baisses d'impôts de 950 millions $, mais il n'a pas dit que cette somme n'était pas négociable. Vendredi dernier, M. Charest s'était pourtant montré inflexible sur ce point, adoptant alors un ton très combatif.
«On ne veut pas d'élections», a dit M. Charest, jeudi, précisant que l'enjeu était la défense de la classe moyenne.
La veille, pour obtenir le soutien de l'opposition péquiste, le gouvernement a offert d'ajouter 60 millions $ en services de santé et d'éducation, alors que le PQ en demande 300 millions $. Depuis, les négociations sont au point mort.
Le 31 mai 2007 - 14:50 | Presse Canadienne
Dans un ultime effort pour éviter d'être défait vendredi, le gouvernement minoritaire de Jean Charest tiendra une rencontre avec les représentants du Parti québécois ce jeudi à 16h30.
Jean Charest et la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, rencontreront le chef intérimaire du PQ, François Gendron, et le député François Legault, au bureau du premier ministre.
Afin de résoudre la crise sur le budget et éviter le déclenchement d'une élection en plein été, le gouvernement a aussi cherché à tenir une rencontre avec le chef de l'opposition officielle, Mario Dumont, mais ce dernier est à l'extérieur de Québec.
Selon l'attaché de presse du premier ministre, Hugo D'Amours, il est possible que M. Charest ait un entretien téléphonique avec le chef adéquiste.
M. D'Amours refuse par ailleurs de préciser si le gouvernement proposera une contre-offre au Parti québécois jeudi après-midi.
Jusqu'ici, la ministre Jérôme-Forget a proposé une somme de 60 millions $ pour répondre aux demandes du PQ, qui réclame plutôt 300 millions $ pour les soins à domicile, les élèves en difficultés et les régions ressources.
«On va tout faire pour conclure une entente» avec l'opposition, a promis M. Charest, jeudi matin, sur un ton conciliant, lors d'une conférence de presse.
L'Assemblée nationale doit voter vendredi sur le budget présenté la semaine dernière par la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget. Si l'Action démocratique et le Parti québécois s'en tiennent à leur engagement, ils voteront contre le budget et le gouvernement sera défait.
Depuis quelques jours, M. Charest souffle le chaud et le froid par rapport au processus de négociations présentement en cours, se montrant tantôt inflexible et prêt à déclencher des élections, et tantôt conciliant et prêt à des aménagements.
Jeudi matin, il a défendu une fois de plus son budget et ses baisses d'impôts de 950 millions $, mais il n'a pas dit que cette somme n'était pas négociable. Vendredi dernier, M. Charest s'était pourtant montré inflexible sur ce point, adoptant alors un ton très combatif.
«On ne veut pas d'élections», a dit M. Charest, jeudi, précisant que l'enjeu était la défense de la classe moyenne.
La veille, pour obtenir le soutien de l'opposition péquiste, le gouvernement a offert d'ajouter 60 millions $ en services de santé et d'éducation, alors que le PQ en demande 300 millions $. Depuis, les négociations sont au point mort.
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Dumont sa crédibilité en prendrait un coup s'il votait pour, il a annoncé bien avant le dépôt du budget qu'il voterait contre
Parfois il vaut mieux se taire surtout lorsqu'on ne connaît pas les offres de l'adversaire.........
Parfois il vaut mieux se taire surtout lorsqu'on ne connaît pas les offres de l'adversaire.........
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brunetta a écritDumont sa crédibilité en prendrait un coup s'il votait pour, il a annoncé bien avant le dépôt du budget qu'il voterait contre
Parfois il vaut mieux se taire surtout lorsqu'on ne connaît pas les offres de l'adversaire.........
Un homme(un vrai) a le droit de dire qu'il s'est trompé.
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Un homme(un vrai) a le droit de dire qu'il s'est trompé.
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Mysterylife
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Jumbo a écrit [/g]
Un homme(un vrai) a le droit de dire qu'il s'est trompé.
Peut-être mais reste que sa crédibilité en prend un coup.................
Un homme(un vrai) a le droit de dire qu'il s'est trompé.
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Mysterylife a écrit
Étant donné que Dumont n'est pas un vrai, on ne l'entendra jamais le dire
eh vlan
Étant donné que Dumont n'est pas un vrai, on ne l'entendra jamais le dire
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brunetta a écrit
Peut-être mais reste que sa crédibilité en prend un coup.................
Reste que c'est lui qui a les meilleures idées.
Maintenant il ne lui reste qu'à réfléchir avant de parler et Charest où la Marois ne lui arrivera pas à la cheville.
Peut-être mais reste que sa crédibilité en prend un coup.................
Reste que c'est lui qui a les meilleures idées.
Maintenant il ne lui reste qu'à réfléchir avant de parler et Charest où la Marois ne lui arrivera pas à la cheville.
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