Réforme scolaire en France
Beppo a écrit
N'est-ce pas toi, l'enseignante efficace qui corrige un texte en deux minutes? Tu dois aussi avoir le temps de t'occuper de ton frère en difficulté à la vitesse que tu corriges, non?
Doit-on condamner un système en l'appliquant sur un cas seulement? Tu dois aussi être au courant que nous ne pouvons discuter du cas de ton frère tout en ne connaissant pas les tenants et les aboutissants de sa cause. Allons donc! Tes parents ont des droits et ils ont les instances à leur disposition pour les faire entendre. On ne se contera pas fleurette ici là...
J'imagine que si ton syndicat t'obtient de trop grosses augmentations, tu dois bien en retourner une partie au gouvernement (en plus des impôts, on s'entend) pour faire ta part dans la société de partage ou bien tu encaisses ton « tchèque» avec la satisfaction du travail vite et bien fait.
Si tu es dans le système, comme tu le laisses prétendre, tu dois aussi être au courant qu'il n'est pas du ressort des enseignants de lutter pour obtenir une place pour un enfant dans une classe spéciale. Cette démarche appartient à la direction de ton école et au psychologue. Voyons donc! Il ne faudrait pas imputer au syndicat tous les maux du système. Ça va faire là...
Tu imagines s'il fallait gagner 3X plus maintenant? OUFFFFFFFFF!
Penses-tu vraiment que mon père qui est un parent monoparental est resté les bras croisés tout ce temps ??? Et crois-tu que tous les enfants sont automatiquement admis dans une école ??? NON. Mon frère n'a aucune direction d'école pour l'aider parce qu'il ne rentre pas dans le « cadre » selon eux et donc il n’a droit à aucun psy, aucune aide. Une fois, mon père lui a trouvé un endroit et puis après quelques semaines les éducateurs ont annoncé à mon père que ce n'était pas vraiment fait pour mon frère cette école et pour refaire une évaluation et une demande d'admission dans une autre très rare école spécialisés, il y avait 1 an d'attente! C'est normal ça d'abord de laisser un enfant à la maison sans rien apprendre, sans voir personne pendant 1 ans? Et arrête de dire que je mets ca sur la faute des syndicats, je parle pas des syndicats, je parle de tout ceux qui chiale qu'il on droit à ceçi et cela quand des millier enfants n'ont pas droit à ce qui est reconnu être un besoin primaire. On n’est pas en Afrique, on est au Québec.
Si ces enfants avaient un encadrement convenant à leurs besoins, les profs auraient un bien meilleur milieu de travail et ils feraient moins de burn-out, les nouveaux profs n’abandonneraient pas le métier après 2 ou 3 ans. Mais pour ça, il faut de l'argent. Les étudiants l'ont compris et par exemple acceptent la hausse des droits afférents de 102$ pour améliorer le système informatique. La majorité des entreprises comme celle que je possède redonnent une partie de leur bénéfice sous forme d'aide à la communauté. Des milliers de travailleurs acceptent une baisse de leurs salaires pour que leurs usines restent ouvertes. Pourquoi les profs et les médecins ne font pas pareil ? Parce que leur entreprise fait beaucoup de profit? Absolument pas, le gouvernement ne fait aucun profit parce que ce n'est pas une entreprise.
N'est-ce pas toi, l'enseignante efficace qui corrige un texte en deux minutes? Tu dois aussi avoir le temps de t'occuper de ton frère en difficulté à la vitesse que tu corriges, non?
Doit-on condamner un système en l'appliquant sur un cas seulement? Tu dois aussi être au courant que nous ne pouvons discuter du cas de ton frère tout en ne connaissant pas les tenants et les aboutissants de sa cause. Allons donc! Tes parents ont des droits et ils ont les instances à leur disposition pour les faire entendre. On ne se contera pas fleurette ici là...
J'imagine que si ton syndicat t'obtient de trop grosses augmentations, tu dois bien en retourner une partie au gouvernement (en plus des impôts, on s'entend) pour faire ta part dans la société de partage ou bien tu encaisses ton « tchèque» avec la satisfaction du travail vite et bien fait.
Si tu es dans le système, comme tu le laisses prétendre, tu dois aussi être au courant qu'il n'est pas du ressort des enseignants de lutter pour obtenir une place pour un enfant dans une classe spéciale. Cette démarche appartient à la direction de ton école et au psychologue. Voyons donc! Il ne faudrait pas imputer au syndicat tous les maux du système. Ça va faire là...
Tu imagines s'il fallait gagner 3X plus maintenant? OUFFFFFFFFF!
Penses-tu vraiment que mon père qui est un parent monoparental est resté les bras croisés tout ce temps ??? Et crois-tu que tous les enfants sont automatiquement admis dans une école ??? NON. Mon frère n'a aucune direction d'école pour l'aider parce qu'il ne rentre pas dans le « cadre » selon eux et donc il n’a droit à aucun psy, aucune aide. Une fois, mon père lui a trouvé un endroit et puis après quelques semaines les éducateurs ont annoncé à mon père que ce n'était pas vraiment fait pour mon frère cette école et pour refaire une évaluation et une demande d'admission dans une autre très rare école spécialisés, il y avait 1 an d'attente! C'est normal ça d'abord de laisser un enfant à la maison sans rien apprendre, sans voir personne pendant 1 ans? Et arrête de dire que je mets ca sur la faute des syndicats, je parle pas des syndicats, je parle de tout ceux qui chiale qu'il on droit à ceçi et cela quand des millier enfants n'ont pas droit à ce qui est reconnu être un besoin primaire. On n’est pas en Afrique, on est au Québec.
Si ces enfants avaient un encadrement convenant à leurs besoins, les profs auraient un bien meilleur milieu de travail et ils feraient moins de burn-out, les nouveaux profs n’abandonneraient pas le métier après 2 ou 3 ans. Mais pour ça, il faut de l'argent. Les étudiants l'ont compris et par exemple acceptent la hausse des droits afférents de 102$ pour améliorer le système informatique. La majorité des entreprises comme celle que je possède redonnent une partie de leur bénéfice sous forme d'aide à la communauté. Des milliers de travailleurs acceptent une baisse de leurs salaires pour que leurs usines restent ouvertes. Pourquoi les profs et les médecins ne font pas pareil ? Parce que leur entreprise fait beaucoup de profit? Absolument pas, le gouvernement ne fait aucun profit parce que ce n'est pas une entreprise.
Franc-Parler
Un système obèse
Richard Martineau
Journal de Montréal
18/02/2008 06h04
Samedi, j'écrivais qu'en ce qui concerne l'apprentissage de la langue, on met la charrue devant les boeufs.
Comment peut-on demander aux francophones d'être bilingues quand ils n'arrivent même pas à parler leur langue maternelle?
J'ai l'impression qu'en éducation, on commet exactement la même erreur. On prend le problème à l'envers.
Les arbres et la forêt
Je ne suis pas un spécialiste en éducation. Mais je m'intéresse de près à la question et j'ai beaucoup d'amis profs.
Et une chose m'apparaît évidente. On ne cesse de parler de la réforme, ces temps-ci. Devrait-on la stopper, devrait- on l'implanter au secondaire...
Mais à force de regarder les arbres, on a fini par oublier la forêt.
Et c'est quoi, la forêt? Selon moi, c'est le ratio maître/élèves.
On aura beau accoucher de toutes les réformes possibles et impossibles, si on ne diminue pas le ratio maître/élèves, notre système d'éducation va continuer d'accumuler les échecs.
Actuellement, une classe de niveau secondaire comprend une trentaine d'élèves. C'est beaucoup trop.
Comment voulez-vous suivre vos élèves de près dans un tel contexte? C'est impossible.
Vous aurez beau avoir la plus belle réforme au monde, le plus beau programme éducatif de la planète, avec trente élèves par classe, oubliez ça.
Vous allez faire patate.
Le miracle finlandais
On parle beaucoup du système éducatif de la Finlande.
Il y a deux ans, notre confrère Sébastien Ménard a publié un excellent dossier sur le miracle finlandais, et à partir de demain, le journaliste Frank Desoer présentera une série de reportages sur le même sujet à l'émission Désautels, sur les ondes de la Première Chaîne de Radio-Canada (de mardi à vendredi, à 17h45).
Or, vous savez combien on compte d'élèves par classe, au pays de Saku Koivu? Une vingtaine, max. Dix-huit dans certaines classes.
Les enfants, là-bas, sont suivis à la trace et ne sont jamais abandonnés. On dépiste sur-le-champ les enfants qui éprouvent des difficultés et l'on met des spécialistes à leur disposition.
On parle de trois spécialistes à temps plein pour une école de 250 enfants.
Sébastien Ménard et Frank Desoer sont tous deux arrivés à la même conclusion : qu'importe le système, c'est d'abord le suivi de chaque enfant qu'il faut privilégier.
Des usines en béton
Il y a un film sur l'éducation que j'aime beaucoup: Une semaine de vacances, de Bertrand Tavernier, tourné en 1980.
Dans une scène particulièrement touchante, le comédien Michel Galabru (qui interprète le père d'un enfant en difficulté) parle de son fils.
«Vous savez, de nos jours, les enfants ne ressemblent pas à leurs parents, dit-il. Ils ressemblent à leur époque. Mon fils n'est pas un Mancheron: c'est un 80. Les enfants sont uniformes, comme l'habitation. On n'habite pas une maison avec une porte comme ça, un jardin comme ci, un balcon peint vert, non. On habite un F-3.»
On pourrait dire la même chose de nos institutions scolaires.
On ne va pas dans une école comme ci ou comme ça: on va dans une poly. Une usine en béton qui sert à fabriquer des travailleurs.
Froide, impersonnelle. Remplie à ras bord.
Et vous pensez qu'adopter telle ou telle réforme va faire une différence?
Vous rêvez...
http://www.canoe.com/infos/chroniques/r ... 60403.html
Un système obèse
Richard Martineau
Journal de Montréal
18/02/2008 06h04
Samedi, j'écrivais qu'en ce qui concerne l'apprentissage de la langue, on met la charrue devant les boeufs.
Comment peut-on demander aux francophones d'être bilingues quand ils n'arrivent même pas à parler leur langue maternelle?
J'ai l'impression qu'en éducation, on commet exactement la même erreur. On prend le problème à l'envers.
Les arbres et la forêt
Je ne suis pas un spécialiste en éducation. Mais je m'intéresse de près à la question et j'ai beaucoup d'amis profs.
Et une chose m'apparaît évidente. On ne cesse de parler de la réforme, ces temps-ci. Devrait-on la stopper, devrait- on l'implanter au secondaire...
Mais à force de regarder les arbres, on a fini par oublier la forêt.
Et c'est quoi, la forêt? Selon moi, c'est le ratio maître/élèves.
On aura beau accoucher de toutes les réformes possibles et impossibles, si on ne diminue pas le ratio maître/élèves, notre système d'éducation va continuer d'accumuler les échecs.
Actuellement, une classe de niveau secondaire comprend une trentaine d'élèves. C'est beaucoup trop.
Comment voulez-vous suivre vos élèves de près dans un tel contexte? C'est impossible.
Vous aurez beau avoir la plus belle réforme au monde, le plus beau programme éducatif de la planète, avec trente élèves par classe, oubliez ça.
Vous allez faire patate.
Le miracle finlandais
On parle beaucoup du système éducatif de la Finlande.
Il y a deux ans, notre confrère Sébastien Ménard a publié un excellent dossier sur le miracle finlandais, et à partir de demain, le journaliste Frank Desoer présentera une série de reportages sur le même sujet à l'émission Désautels, sur les ondes de la Première Chaîne de Radio-Canada (de mardi à vendredi, à 17h45).
Or, vous savez combien on compte d'élèves par classe, au pays de Saku Koivu? Une vingtaine, max. Dix-huit dans certaines classes.
Les enfants, là-bas, sont suivis à la trace et ne sont jamais abandonnés. On dépiste sur-le-champ les enfants qui éprouvent des difficultés et l'on met des spécialistes à leur disposition.
On parle de trois spécialistes à temps plein pour une école de 250 enfants.
Sébastien Ménard et Frank Desoer sont tous deux arrivés à la même conclusion : qu'importe le système, c'est d'abord le suivi de chaque enfant qu'il faut privilégier.
Des usines en béton
Il y a un film sur l'éducation que j'aime beaucoup: Une semaine de vacances, de Bertrand Tavernier, tourné en 1980.
Dans une scène particulièrement touchante, le comédien Michel Galabru (qui interprète le père d'un enfant en difficulté) parle de son fils.
«Vous savez, de nos jours, les enfants ne ressemblent pas à leurs parents, dit-il. Ils ressemblent à leur époque. Mon fils n'est pas un Mancheron: c'est un 80. Les enfants sont uniformes, comme l'habitation. On n'habite pas une maison avec une porte comme ça, un jardin comme ci, un balcon peint vert, non. On habite un F-3.»
On pourrait dire la même chose de nos institutions scolaires.
On ne va pas dans une école comme ci ou comme ça: on va dans une poly. Une usine en béton qui sert à fabriquer des travailleurs.
Froide, impersonnelle. Remplie à ras bord.
Et vous pensez qu'adopter telle ou telle réforme va faire une différence?
Vous rêvez...
http://www.canoe.com/infos/chroniques/r ... 60403.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Ely a écrit
Penses-tu vraiment que mon père qui est un parent monoparental est resté les bras croisés tout ce temps ??? Et crois-tu que tous les enfants sont automatiquement admis dans une école ??? NON. Mon frère n'a aucune direction d'école pour l'aider parce qu'il ne rentre pas dans le « cadre » selon eux et donc il n’a droit à aucun psy, aucune aide. Une fois, mon père lui a trouvé un endroit et puis après quelques semaines les éducateurs ont annoncé à mon père que ce n'était pas vraiment fait pour mon frère cette école et pour refaire une évaluation et une demande d'admission dans une autre très rare école spécialisés, il y avait 1 an d'attente! C'est normal ça d'abord de laisser un enfant à la maison sans rien apprendre, sans voir personne pendant 1 ans? Et arrête de dire que je mets ca sur la faute des syndicats, je parle pas des syndicats, je parle de tout ceux qui chiale qu'il on droit à ceçi et cela quand des millier enfants n'ont pas droit à ce qui est reconnu être un besoin primaire. On n’est pas en Afrique, on est au Québec.
Si ces enfants avaient un encadrement convenant à leurs besoins, les profs auraient un bien meilleur milieu de travail et ils feraient moins de burn-out, les nouveaux profs n’abandonneraient pas le métier après 2 ou 3 ans. Mais pour ça, il faut de l'argent. Les étudiants l'ont compris et par exemple acceptent la hausse des droits afférents de 102$ pour améliorer le système informatique. La majorité des entreprises comme celle que je possède redonnent une partie de leur bénéfice sous forme d'aide à la communauté. Des milliers de travailleurs acceptent une baisse de leurs salaires pour que leurs usines restent ouvertes. Pourquoi les profs et les médecins ne font pas pareil ? Parce que leur entreprise fait beaucoup de profit? Absolument pas, le gouvernement ne fait aucun profit parce que ce n'est pas une entreprise.
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que ces mêmes p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien. --Message edité par Beppo le 2008-02-18 09:51:35--
Penses-tu vraiment que mon père qui est un parent monoparental est resté les bras croisés tout ce temps ??? Et crois-tu que tous les enfants sont automatiquement admis dans une école ??? NON. Mon frère n'a aucune direction d'école pour l'aider parce qu'il ne rentre pas dans le « cadre » selon eux et donc il n’a droit à aucun psy, aucune aide. Une fois, mon père lui a trouvé un endroit et puis après quelques semaines les éducateurs ont annoncé à mon père que ce n'était pas vraiment fait pour mon frère cette école et pour refaire une évaluation et une demande d'admission dans une autre très rare école spécialisés, il y avait 1 an d'attente! C'est normal ça d'abord de laisser un enfant à la maison sans rien apprendre, sans voir personne pendant 1 ans? Et arrête de dire que je mets ca sur la faute des syndicats, je parle pas des syndicats, je parle de tout ceux qui chiale qu'il on droit à ceçi et cela quand des millier enfants n'ont pas droit à ce qui est reconnu être un besoin primaire. On n’est pas en Afrique, on est au Québec.
Si ces enfants avaient un encadrement convenant à leurs besoins, les profs auraient un bien meilleur milieu de travail et ils feraient moins de burn-out, les nouveaux profs n’abandonneraient pas le métier après 2 ou 3 ans. Mais pour ça, il faut de l'argent. Les étudiants l'ont compris et par exemple acceptent la hausse des droits afférents de 102$ pour améliorer le système informatique. La majorité des entreprises comme celle que je possède redonnent une partie de leur bénéfice sous forme d'aide à la communauté. Des milliers de travailleurs acceptent une baisse de leurs salaires pour que leurs usines restent ouvertes. Pourquoi les profs et les médecins ne font pas pareil ? Parce que leur entreprise fait beaucoup de profit? Absolument pas, le gouvernement ne fait aucun profit parce que ce n'est pas une entreprise.
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que ces mêmes p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien. --Message edité par Beppo le 2008-02-18 09:51:35--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que c'est même p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien.
Je ne dis pas que les profs sont les seuls dans le tort.
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que c'est même p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien.
Je ne dis pas que les profs sont les seuls dans le tort.
Beppo a écritFranc-Parler
Un système obèse
Richard Martineau
Journal de Montréal
18/02/2008 06h04
Samedi, j'écrivais qu'en ce qui concerne l'apprentissage de la langue, on met la charrue devant les boeufs.
Comment peut-on demander aux francophones d'être bilingues quand ils n'arrivent même pas à parler leur langue maternelle?
J'ai l'impression qu'en éducation, on commet exactement la même erreur. On prend le problème à l'envers.
Les arbres et la forêt
Je ne suis pas un spécialiste en éducation. Mais je m'intéresse de près à la question et j'ai beaucoup d'amis profs.
Et une chose m'apparaît évidente. On ne cesse de parler de la réforme, ces temps-ci. Devrait-on la stopper, devrait- on l'implanter au secondaire...
Mais à force de regarder les arbres, on a fini par oublier la forêt.
Et c'est quoi, la forêt? Selon moi, c'est le ratio maître/élèves.
On aura beau accoucher de toutes les réformes possibles et impossibles, si on ne diminue pas le ratio maître/élèves, notre système d'éducation va continuer d'accumuler les échecs.
Actuellement, une classe de niveau secondaire comprend une trentaine d'élèves. C'est beaucoup trop.
Comment voulez-vous suivre vos élèves de près dans un tel contexte? C'est impossible.
Vous aurez beau avoir la plus belle réforme au monde, le plus beau programme éducatif de la planète, avec trente élèves par classe, oubliez ça.
Vous allez faire patate.
Le miracle finlandais
On parle beaucoup du système éducatif de la Finlande.
Il y a deux ans, notre confrère Sébastien Ménard a publié un excellent dossier sur le miracle finlandais, et à partir de demain, le journaliste Frank Desoer présentera une série de reportages sur le même sujet à l'émission Désautels, sur les ondes de la Première Chaîne de Radio-Canada (de mardi à vendredi, à 17h45).
Or, vous savez combien on compte d'élèves par classe, au pays de Saku Koivu? Une vingtaine, max. Dix-huit dans certaines classes.
Les enfants, là-bas, sont suivis à la trace et ne sont jamais abandonnés. On dépiste sur-le-champ les enfants qui éprouvent des difficultés et l'on met des spécialistes à leur disposition.
On parle de trois spécialistes à temps plein pour une école de 250 enfants.
Sébastien Ménard et Frank Desoer sont tous deux arrivés à la même conclusion : qu'importe le système, c'est d'abord le suivi de chaque enfant qu'il faut privilégier.
Des usines en béton
Il y a un film sur l'éducation que j'aime beaucoup: Une semaine de vacances, de Bertrand Tavernier, tourné en 1980.
Dans une scène particulièrement touchante, le comédien Michel Galabru (qui interprète le père d'un enfant en difficulté) parle de son fils.
«Vous savez, de nos jours, les enfants ne ressemblent pas à leurs parents, dit-il. Ils ressemblent à leur époque. Mon fils n'est pas un Mancheron: c'est un 80. Les enfants sont uniformes, comme l'habitation. On n'habite pas une maison avec une porte comme ça, un jardin comme ci, un balcon peint vert, non. On habite un F-3.»
On pourrait dire la même chose de nos institutions scolaires.
On ne va pas dans une école comme ci ou comme ça: on va dans une poly. Une usine en béton qui sert à fabriquer des travailleurs.
Froide, impersonnelle. Remplie à ras bord.
Et vous pensez qu'adopter telle ou telle réforme va faire une différence?
Vous rêvez...
http://www.canoe.com/infos/chroniques/r ... 60403.html
C'est en plein ce que je pense, il y a une manque d'outils pour offrir un service de qualité. Et d'ivestire de l'argent dans quelque chose qui ne fonctionne déjà pas, ca n'apporte rien de plus que des échecs de plus.
Un système obèse
Richard Martineau
Journal de Montréal
18/02/2008 06h04
Samedi, j'écrivais qu'en ce qui concerne l'apprentissage de la langue, on met la charrue devant les boeufs.
Comment peut-on demander aux francophones d'être bilingues quand ils n'arrivent même pas à parler leur langue maternelle?
J'ai l'impression qu'en éducation, on commet exactement la même erreur. On prend le problème à l'envers.
Les arbres et la forêt
Je ne suis pas un spécialiste en éducation. Mais je m'intéresse de près à la question et j'ai beaucoup d'amis profs.
Et une chose m'apparaît évidente. On ne cesse de parler de la réforme, ces temps-ci. Devrait-on la stopper, devrait- on l'implanter au secondaire...
Mais à force de regarder les arbres, on a fini par oublier la forêt.
Et c'est quoi, la forêt? Selon moi, c'est le ratio maître/élèves.
On aura beau accoucher de toutes les réformes possibles et impossibles, si on ne diminue pas le ratio maître/élèves, notre système d'éducation va continuer d'accumuler les échecs.
Actuellement, une classe de niveau secondaire comprend une trentaine d'élèves. C'est beaucoup trop.
Comment voulez-vous suivre vos élèves de près dans un tel contexte? C'est impossible.
Vous aurez beau avoir la plus belle réforme au monde, le plus beau programme éducatif de la planète, avec trente élèves par classe, oubliez ça.
Vous allez faire patate.
Le miracle finlandais
On parle beaucoup du système éducatif de la Finlande.
Il y a deux ans, notre confrère Sébastien Ménard a publié un excellent dossier sur le miracle finlandais, et à partir de demain, le journaliste Frank Desoer présentera une série de reportages sur le même sujet à l'émission Désautels, sur les ondes de la Première Chaîne de Radio-Canada (de mardi à vendredi, à 17h45).
Or, vous savez combien on compte d'élèves par classe, au pays de Saku Koivu? Une vingtaine, max. Dix-huit dans certaines classes.
Les enfants, là-bas, sont suivis à la trace et ne sont jamais abandonnés. On dépiste sur-le-champ les enfants qui éprouvent des difficultés et l'on met des spécialistes à leur disposition.
On parle de trois spécialistes à temps plein pour une école de 250 enfants.
Sébastien Ménard et Frank Desoer sont tous deux arrivés à la même conclusion : qu'importe le système, c'est d'abord le suivi de chaque enfant qu'il faut privilégier.
Des usines en béton
Il y a un film sur l'éducation que j'aime beaucoup: Une semaine de vacances, de Bertrand Tavernier, tourné en 1980.
Dans une scène particulièrement touchante, le comédien Michel Galabru (qui interprète le père d'un enfant en difficulté) parle de son fils.
«Vous savez, de nos jours, les enfants ne ressemblent pas à leurs parents, dit-il. Ils ressemblent à leur époque. Mon fils n'est pas un Mancheron: c'est un 80. Les enfants sont uniformes, comme l'habitation. On n'habite pas une maison avec une porte comme ça, un jardin comme ci, un balcon peint vert, non. On habite un F-3.»
On pourrait dire la même chose de nos institutions scolaires.
On ne va pas dans une école comme ci ou comme ça: on va dans une poly. Une usine en béton qui sert à fabriquer des travailleurs.
Froide, impersonnelle. Remplie à ras bord.
Et vous pensez qu'adopter telle ou telle réforme va faire une différence?
Vous rêvez...
http://www.canoe.com/infos/chroniques/r ... 60403.html
C'est en plein ce que je pense, il y a une manque d'outils pour offrir un service de qualité. Et d'ivestire de l'argent dans quelque chose qui ne fonctionne déjà pas, ca n'apporte rien de plus que des échecs de plus.
Beppo a écrit
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que ces mêmes p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien.
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
Combien de fois dois-je te répéter que nous avons fait largement notre part? 1981, coupure de 20% soit une journée sur cinq de travail gratosssss pour le ouarnement. Tu vas sans doute me rappeler que c'est du passé tout ça? Neunon. Je fais bientôt calculer ma rente de retraite et le p'tit 20 va paraître pour le restant de mes jours. Je me répète. J'ai fait ma part pour la société... Je t'invite à lire La Presse de ce jour. En page un, on mentionne qu'une certaine catégorie de Québécois ont vu leur salaire doublé en 10 ans. Il est passé de 113 000 $ (je te ferai remarqué que ce montant est presque le double du mien) à 217 000 $ (ce qui constitue 3 fois et demi mon salaire présent) et que ces mêmes p'tits Québécois demandent une augmentation de 15% d'ici 2010. Alors, svp, va «fesser» sur un autre clou que le mien.
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
°Cybelle° a écrit
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
Je te promets que la prochaine fois que je serai en dépassement, je refuserai le bonus. Promis.
mdr
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
Je te promets que la prochaine fois que je serai en dépassement, je refuserai le bonus. Promis.
mdr
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
°Cybelle° a écrit
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
Tu fais surement référence aux juges qui on eu un agmentation de 91 % de leurs salaire depuis les année 90. Pour ma part je trouves ca abérrant. Tout comme le fait d'accepter des bonus pour compenser les surcharge de travail quand le problème reste le même.
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
°Cybelle° a écrit
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
Exacte, moi aussi j'aimerai bien recevoir des idées des profs quant aux solutions possibles. Parce que je m'intéresse beaucoup aux systèmes d'éducation du monde entier, mais je n'ai pas encore trouvé de système parfait nulle part!
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
Exacte, moi aussi j'aimerai bien recevoir des idées des profs quant aux solutions possibles. Parce que je m'intéresse beaucoup aux systèmes d'éducation du monde entier, mais je n'ai pas encore trouvé de système parfait nulle part!
°Cybelle° a écrit
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
Je crois que tu sembles avoir la solution toute trouvée et miraculeuse : le bonus. Ne doit-on pas refuser le bonus pour le réinvestir dans le système? Je ne referai pas ici l'historique des revendications syndicales de la dernière décennie et l'autre avant quand même. Juste te rappeler cependant qu'avant qu'on nous présente le « bonus » comme panacée à nos revendications, nous avions demander une compensation en temps ou en ressources pour suppléer au dépassement d'élèves dans un groupe et le tout a été refusé. Tu le savais, n'est-ce pas? Contrairement à un médecin, je n'ai pas le droit de refuser un enfant dans ma classe si je suis au maximum tandis que le médecin... Tu connais la suite...
Tu dois aussi savoir que nous réclamons depuis des lunes la diminution du nombre d'enfants par classe afin d'apporter un meilleur soutien à chacun. Tu dois le savoir ça aussi et tu es au courant que le tout nous a été refusé. Tu dois aussi être au courant des coupures exercées par le gouvernement dans les différents personnels (ressources auprès des enfants : ortho, psy, etc...) au fil des ans et des conventions. Mais tu vois, tu penses que nous ne réclamons que des bonus... Foutaise!
Tu viens de lire l'article de Martineau sur le succès du système finlandais? Est-ce que comme société nous sommes prêts à doubler le nombre d'enseignants (puisqu'en Finlande le ration maître/élève est de 18 et ici 30 au secondaire et 29 au primaire en sixième année) afin de dispenser un meilleur enseignement aux enfants? N'oublie pas qu'aussi il y a 3 enseignants spécialisés par groupe de 250 enfants en Finlande et je te laisse le soin de chercher ici au Québec*... Tu vas faire le saut. Et tu vois, au lieu de demander des bonus, toutes ces demandes ont été faites a fil de différentes négos antérieures. Toujours la même réponse.
Le département des miracles est fermé depuis des lunes depuis la mort du Frère André au Québec... Non mais tsé...
*À titre d'exemple, je vais te confier que ma soeur qui est spécialiste en musique au primaire devait rencontrer 480 enfants dans la semaine pour compléter sa tâche hebdomadaire. Eh oui! Imagine les évaluer pour la remise du bulletin... --Message edité par Beppo le 2008-02-18 15:55:48--
Tu devrais focusser la dessus à la place ;) Parce que jusqu'a présent vu que tu prend cette discussion personnellement, et que tu te moque a qui mieux mieux...et a rejeter la faute sur la meq...etc...bien soulève des solutions...si tu en as biensur....mais c'est vrai que ca n'A pas l'air d'etre un problème pour toi, a part ton 20% de diminution. Jusqu'a présent tu n'as jamais parler des étudiants de ton environnement et ce que tu aimerais améliorer, et ca serait plaisant d'avoir un point vue de l'intéieur la dessus. Je serais la première interressé a te lire pour mieux te comprendre.
Quand c'est une situtation dont il est question, c'est sur que ca touche les enseignants, on ne peut s'empêcher d'en parler car ils sont au coeur du problème (non le problème)car il font partie de la solution.
Je crois que tu sembles avoir la solution toute trouvée et miraculeuse : le bonus. Ne doit-on pas refuser le bonus pour le réinvestir dans le système? Je ne referai pas ici l'historique des revendications syndicales de la dernière décennie et l'autre avant quand même. Juste te rappeler cependant qu'avant qu'on nous présente le « bonus » comme panacée à nos revendications, nous avions demander une compensation en temps ou en ressources pour suppléer au dépassement d'élèves dans un groupe et le tout a été refusé. Tu le savais, n'est-ce pas? Contrairement à un médecin, je n'ai pas le droit de refuser un enfant dans ma classe si je suis au maximum tandis que le médecin... Tu connais la suite...
Tu dois aussi savoir que nous réclamons depuis des lunes la diminution du nombre d'enfants par classe afin d'apporter un meilleur soutien à chacun. Tu dois le savoir ça aussi et tu es au courant que le tout nous a été refusé. Tu dois aussi être au courant des coupures exercées par le gouvernement dans les différents personnels (ressources auprès des enfants : ortho, psy, etc...) au fil des ans et des conventions. Mais tu vois, tu penses que nous ne réclamons que des bonus... Foutaise!
Tu viens de lire l'article de Martineau sur le succès du système finlandais? Est-ce que comme société nous sommes prêts à doubler le nombre d'enseignants (puisqu'en Finlande le ration maître/élève est de 18 et ici 30 au secondaire et 29 au primaire en sixième année) afin de dispenser un meilleur enseignement aux enfants? N'oublie pas qu'aussi il y a 3 enseignants spécialisés par groupe de 250 enfants en Finlande et je te laisse le soin de chercher ici au Québec*... Tu vas faire le saut. Et tu vois, au lieu de demander des bonus, toutes ces demandes ont été faites a fil de différentes négos antérieures. Toujours la même réponse.
Le département des miracles est fermé depuis des lunes depuis la mort du Frère André au Québec... Non mais tsé...
*À titre d'exemple, je vais te confier que ma soeur qui est spécialiste en musique au primaire devait rencontrer 480 enfants dans la semaine pour compléter sa tâche hebdomadaire. Eh oui! Imagine les évaluer pour la remise du bulletin... --Message edité par Beppo le 2008-02-18 15:55:48--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Ely a écrit
Exacte, moi aussi j'aimerai bien recevoir des idées des profs quant aux solutions possibles. Parce que je m'intéresse beaucoup aux systèmes d'éducation du monde entier, mais je n'ai pas encore trouvé de système parfait nulle part!
Et toi qui te proclames une enseignante efficace et productive, tu proposes quoi? J'ai hâte aussi de te lire, mettons... --Message edité par Beppo le 2008-02-18 15:56:22--
Exacte, moi aussi j'aimerai bien recevoir des idées des profs quant aux solutions possibles. Parce que je m'intéresse beaucoup aux systèmes d'éducation du monde entier, mais je n'ai pas encore trouvé de système parfait nulle part!
Et toi qui te proclames une enseignante efficace et productive, tu proposes quoi? J'ai hâte aussi de te lire, mettons... --Message edité par Beppo le 2008-02-18 15:56:22--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Je crois que tu sembles avoir la solution toute trouvée et miraculeuse : le bonus. Ne doit-on pas refuser le bonus pour le réinvestir dans le système? Je ne referai pas ici l'historique des revendications syndicales de la dernière décennie et l'autre avant quand même. Juste te rappeler cependant qu'avant qu'on nous présente le « bonus » comme panacée à nos revendications, nous avions demander une compensation en temps ou en ressources pour suppléer au dépassement d'élèves dans un groupe et le tout a été refusé. Tu le savais, n'est-ce pas? Contrairement à un médecin, je n'ai pas le droit de refuser un enfant dans ma classe si je suis au maximum tandis que le médecin... Tu connais la suite...
Tu dois aussi savoir que nous réclamons depuis des lunes la diminution du nombre d'enfants par classe afin d'apporter un meilleur soutien à chacun. Tu dois le savoir ça aussi et tu es au courant que le tout nous a été refusé. Tu dois aussi être au courant des coupures exercées par le gouvernement dans les différents personnels (ressources auprès des enfants : ortho, psy, etc...) au fil des ans et des conventions. Mais tu vois, tu penses que nous ne réclamons que des bonus... Foutaise!
Tu viens de lire l'article de Martineau sur le succès du système finlandais? Est-ce que comme société nous sommes prêts à doubler le nombre d'enseignants (puisqu'en Finlande le ration maître/élève est de 18 et ici 30 au secondaire et 29 au primaire en sixième année) afin de dispenser un meilleur enseignement aux enfants? N'oublie pas qu'aussi il y a 3 enseignants spécialisés par groupe de 250 enfants en Finlande et je te laisse le soin de chercher ici au Québec*... Tu vas faire le saut. Et tu vois, au lieu de demander des bonus, toutes ces demandes ont été faites a fil de différentes négos antérieures. Toujours la même réponse.
Le département des miracles est fermé depuis des lunes depuis la mort du Frère André au Québec... Non mais tsé...
*À titre d'exemple, je vais te confier que ma soeur qui est spécialiste en musique au primaire devait rencontrer 480 enfants dans la semaine pour compléter sa tâche hebdomadaire. Eh oui! Imagine les évaluer pour la remise du bulletin...
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
Je crois que tu sembles avoir la solution toute trouvée et miraculeuse : le bonus. Ne doit-on pas refuser le bonus pour le réinvestir dans le système? Je ne referai pas ici l'historique des revendications syndicales de la dernière décennie et l'autre avant quand même. Juste te rappeler cependant qu'avant qu'on nous présente le « bonus » comme panacée à nos revendications, nous avions demander une compensation en temps ou en ressources pour suppléer au dépassement d'élèves dans un groupe et le tout a été refusé. Tu le savais, n'est-ce pas? Contrairement à un médecin, je n'ai pas le droit de refuser un enfant dans ma classe si je suis au maximum tandis que le médecin... Tu connais la suite...
Tu dois aussi savoir que nous réclamons depuis des lunes la diminution du nombre d'enfants par classe afin d'apporter un meilleur soutien à chacun. Tu dois le savoir ça aussi et tu es au courant que le tout nous a été refusé. Tu dois aussi être au courant des coupures exercées par le gouvernement dans les différents personnels (ressources auprès des enfants : ortho, psy, etc...) au fil des ans et des conventions. Mais tu vois, tu penses que nous ne réclamons que des bonus... Foutaise!
Tu viens de lire l'article de Martineau sur le succès du système finlandais? Est-ce que comme société nous sommes prêts à doubler le nombre d'enseignants (puisqu'en Finlande le ration maître/élève est de 18 et ici 30 au secondaire et 29 au primaire en sixième année) afin de dispenser un meilleur enseignement aux enfants? N'oublie pas qu'aussi il y a 3 enseignants spécialisés par groupe de 250 enfants en Finlande et je te laisse le soin de chercher ici au Québec*... Tu vas faire le saut. Et tu vois, au lieu de demander des bonus, toutes ces demandes ont été faites a fil de différentes négos antérieures. Toujours la même réponse.
Le département des miracles est fermé depuis des lunes depuis la mort du Frère André au Québec... Non mais tsé...
*À titre d'exemple, je vais te confier que ma soeur qui est spécialiste en musique au primaire devait rencontrer 480 enfants dans la semaine pour compléter sa tâche hebdomadaire. Eh oui! Imagine les évaluer pour la remise du bulletin...
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
°Cybelle° a écrit
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
c'est bien a cause des journalistes qui font ressortir que ce coté .........car ça serait pas mal plate pour les lecteurs ou auditeurs d'entendre parler de choses anodine comme les condition de travail.... --Message edité par Renatane le 2008-02-18 16:47:58--
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
c'est bien a cause des journalistes qui font ressortir que ce coté .........car ça serait pas mal plate pour les lecteurs ou auditeurs d'entendre parler de choses anodine comme les condition de travail.... --Message edité par Renatane le 2008-02-18 16:47:58--
[img]http://pic.aceboard.net/img/5397/7117/1162659281.gif[/img]
Ely a écrit
Encore, je ne parle pas de tout ce qui m'est arrivé dans ma vie. Moi je veux faire profiter les gens de mon expérience, si tu es pas intéressé tant pis. De 6 ans à 18 ans je me suis occupée de mon frère malade tous les jours 24h sur 24 et après j'ai voyagé à plein d'endroits, j'ai occupé des postes assez payants qui m'ont permis de faire voyager mon frère avec moi quelques fois aussi. Je suis assez fière de ce que j'ai fait pour mon âge et j'aime ça dire aux autres que si moi je l'ai fait, eux aussi ils sont capables, c'est d'ailleurs ce que je dis souvent à mon petit frère. J'ai commencé mon entreprise pour payer mes études et ça marche bien. Il faut dire que mon domaine est très en demande, je n’ai pas vraiment de mérite sur ce point-là.
Si je voulais me vanter, je pourrais parler de ce qu'il y a dans mon compte de banque, mais au lieu de ça je parle de mon expérience de vie point. Je vis ma vie au présent et j'essaie d'en faire profiter les autres.
Désolée, mais ce texte que je cite présentement confirme à quel point tu es effectivement très vantarde. Je ne crois pas être la seule à le penser... Tes messages ne me donnent pas envie te lire plus amplement, que ce soit ici ou dans un autre topic sujet.
Encore, je ne parle pas de tout ce qui m'est arrivé dans ma vie. Moi je veux faire profiter les gens de mon expérience, si tu es pas intéressé tant pis. De 6 ans à 18 ans je me suis occupée de mon frère malade tous les jours 24h sur 24 et après j'ai voyagé à plein d'endroits, j'ai occupé des postes assez payants qui m'ont permis de faire voyager mon frère avec moi quelques fois aussi. Je suis assez fière de ce que j'ai fait pour mon âge et j'aime ça dire aux autres que si moi je l'ai fait, eux aussi ils sont capables, c'est d'ailleurs ce que je dis souvent à mon petit frère. J'ai commencé mon entreprise pour payer mes études et ça marche bien. Il faut dire que mon domaine est très en demande, je n’ai pas vraiment de mérite sur ce point-là.
Si je voulais me vanter, je pourrais parler de ce qu'il y a dans mon compte de banque, mais au lieu de ça je parle de mon expérience de vie point. Je vis ma vie au présent et j'essaie d'en faire profiter les autres.
Désolée, mais ce texte que je cite présentement confirme à quel point tu es effectivement très vantarde. Je ne crois pas être la seule à le penser... Tes messages ne me donnent pas envie te lire plus amplement, que ce soit ici ou dans un autre topic sujet.
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°Cybelle° a écrit
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
Je vais te décevoir mais je voudrais clarifier avec toi le montant du fâmeux bonus. Quand je suis en dépassement d'écoliers dans ma classe, je reçois un gros bonus de 600 $ par enfant qui dépasse en nombre évidemment le maximum conventionné soit 29. Si l'enfant arrive en janvier suite à un déménagement ou pour tout autre raison, tu comprendras que le dépassement sera calculé en fonction de la portion d'année restante. Pour faire bref, je reçois 2 piasses par jour en compensation monétaire pour chaque élève en trop. Inutile de préciser que le montant est sujet à être imposé. Que reste-t-il en bout de piste? Des pinottes... mdr
Faut-il aussi préciser que si la CS possède de la place dans une autre sixième année dans une école environnante, elle préfère déplacer l'enfant soit par taxi ou par autobus afin de limiter les dépenses. Il se peut donc qu'un écolier déménage de l'autre côté de la rue face à l'école et qu'il doive fréquenter l'école voisine pour compléter son année si il y a de la place disponible à son niveau. Tout est question de « saine » gestion...
Le gouvernement a choisi cette façon de compenser qui lui coûtait évidemment moins cher que de remettre le temps en compensation (suppléance) ou en ressource. Tout ça pour te faire comprendre que le syndicat n'est pas toujours le vilain chaque fois...
Ouella!
--Message edité par Beppo le 2008-02-18 19:23:58--
Merci d'avoir prit le temps de me répondre. Et non je n'ai pas de solutions miracle,contrairement a ce que tu penses. Le bonus est seulement un éléments parmi tant d'autres. Ce n'était surement pas le meilleur pour entammer une discussion. Mais reste qu'il me titille un peu malgré tout.
Je sais que vous revendiquer autre chose, mais ce que je déplore et ce n'Est suremetn pas de votre faute masi ce qui en ressort malgré vous dans les média ou ailleur, c'est votre salaire.
Et oui p-e et surement on est porté a avoir un jugement facile et vite fait. Et on oublie malgré nous ce que vous faites en dehors de cela, pour améliorer votre sort, parce qu'on en entend moins parler.
Je vais te décevoir mais je voudrais clarifier avec toi le montant du fâmeux bonus. Quand je suis en dépassement d'écoliers dans ma classe, je reçois un gros bonus de 600 $ par enfant qui dépasse en nombre évidemment le maximum conventionné soit 29. Si l'enfant arrive en janvier suite à un déménagement ou pour tout autre raison, tu comprendras que le dépassement sera calculé en fonction de la portion d'année restante. Pour faire bref, je reçois 2 piasses par jour en compensation monétaire pour chaque élève en trop. Inutile de préciser que le montant est sujet à être imposé. Que reste-t-il en bout de piste? Des pinottes... mdr
Faut-il aussi préciser que si la CS possède de la place dans une autre sixième année dans une école environnante, elle préfère déplacer l'enfant soit par taxi ou par autobus afin de limiter les dépenses. Il se peut donc qu'un écolier déménage de l'autre côté de la rue face à l'école et qu'il doive fréquenter l'école voisine pour compléter son année si il y a de la place disponible à son niveau. Tout est question de « saine » gestion...
Le gouvernement a choisi cette façon de compenser qui lui coûtait évidemment moins cher que de remettre le temps en compensation (suppléance) ou en ressource. Tout ça pour te faire comprendre que le syndicat n'est pas toujours le vilain chaque fois...
Ouella!
--Message edité par Beppo le 2008-02-18 19:23:58--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»