Tant mieux pour eux si ils ont de bonnes conditions de travail, je pleurerai pas le sort de Québécor certain. C'est dont ben mal vu d'être bien rémunéré, faudrait que tout l'monde gagne le salaire minimum et n'ait que 2 semaines de vacances?
C'est certain que plusieurs voudraient leurs conditions,mais vraiment,quoi ça leur enlève à eux qu'ils aient ses conditions.Moi j'ai vraiment des bonnes conditions de travail,mais pas autant que les leurs Bin je dis tant mieux pour eux
ah et en passant, ceux qui livre le journal font partie d'une compagnie indépendante, ''Messagerie Dynamique'' donc pas de conditions de travail et salaire assez minime
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
Niko Bellic a écrit : Et j'ajouterais que personne,peu importe leur salaire,aimerais qu'on leur coupe 15-20% de leurs conditions.
et ceux qui gagne le salaire minimum par manque déducation et qui auraient pu travailler pour le journal de Mtl qui ne demande aucune scolarité pour imprimer et emballer des journaux....
jai aussi un tres bon salaire mais je pense aux autres aussi
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
et ceux qui gagne le salaire minimum par manque déducation et qui auraient pu travailler pour le journal de Mtl qui ne demande aucune scolarité pour imprimer et emballer des journaux....
jai aussi un tres bon salaire mais je pense aux autres aussi
Qui te dis que je n'ai pas de conscience sociale,tu me connais?Là on parle des syndiqués du JdeM...Tk
jai rien contre ca mais s'ils risque de perdre leur emploi sont p-e mieux de réduire les conditions de travail que de perdre leur emploi.
ya du monde qui ont des familles, qui sont pas syndiqués et peuvent pas se plaindre, travaille a la sueur de leur front, jai 4 sem. de vacances mon commentaire était pas personnel mais je pense a ceux qui ont des mauvaises conditions, du moins cest mon commentaire perso
Moi je pense que si on sabre toujours pour niveler par le bas, on va se retrouver comme du temps de nos grands-pères, travailler 70 heures par semaine pour des salaires de crève-faim...
Oui, y'a du monde qui travaille à 8-9$ de l'heure, c'est vrai... Mais crois-tu vraiment que si on coupe la tête de ceux qui gagnent plus, ça va aller dans les poches des moins bien nantis?... Non, ça marche pas comme ça, c'est même l'inverse...
jai rien contre ca mais s'ils risque de perdre leur emploi sont p-e mieux de réduire les conditions de travail que de perdre leur emploi.
ya du monde qui ont des familles, qui sont pas syndiqués et peuvent pas se plaindre, travaille a la sueur de leur front, jai 4 sem. de vacances mon commentaire était pas personnel mais je pense a ceux qui ont des mauvaises conditions, du moins cest mon commentaire perso
Quand on veut s'entendre avec des gens on propose des choses qui vont en ce sens. S'ils étaient acculés à la faillite peut-être bien que les syndiqués seraient d'accord pour aider à la relance, mais là on leur demande de supporter à eux seuls tous les problèmes de rendement de l'entreprise. C'est vrai qu'il y a de plus petits salariés qui écopent mais qu'est-ce qu'on fait, on se met à genoux pour qu'il n'y ait pas d'éclopés? Et pourquoi ce serait plus la faute des syndiqués du JDM si les emballeurs, livreurs, etc... se retrouvent avec des pertes de revenu? Il y a deux parties dans ce litige il me semble et c'est la partie patronale qui a décrété un lock-out. Moi je dis que c'est bien facile de leur lancer des pierres quand on est pas concernés.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
et ceux qui gagne le salaire minimum par manque déducation et qui auraient pu travailler pour le journal de Mtl qui ne demande aucune scolarité pour imprimer et emballer des journaux....
jai aussi un tres bon salaire mais je pense aux autres aussi
Et tu aurais assez d'abnégation pour accepter une diminution de ton salaire de 15 à 20%, d'une réduction de tes vacances et d'une augmentation de tes heures de travail, tout ca par solidarité? Oui, sincèrement tu le ferais?
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
sophie_L a écrit : ah et en passant, ceux qui livre le journal font partie d'une compagnie indépendante, ''Messagerie Dynamique'' donc pas de conditions de travail et salaire assez minime
On ne te demande pas de bacc pour livrer des journaux!! Tu mélanges les affaires!
et ceux qui gagne le salaire minimum par manque déducation et qui auraient pu travailler pour le journal de Mtl qui ne demande aucune scolarité pour imprimer et emballer des journaux....
jai aussi un tres bon salaire mais je pense aux autres aussi
De un je ne comprends pas ton commentaire. Il manque des mots dans ta phrase??
De deux, les imprimeurs du JdeM ont subi un lock-out il y a deux-trois ans... Ce sont les cadres qui imprimaient le journal.
Les imprimeurs avaient de bonnes conditions de travail.
J'ai travaillé comme journaliste au Journal de Montréal il y a quelques années. Un beau salaire oui. Mais je travaillais comme une mongole sur mes shifts. 10h à 18h la semaine, je faisais surtout le shift du week-end où je faisais du 10 à 21h le vendredi, 10h à 20h le samedi et du 10h à 21h le dimanche. Et je peux vous dire que je les faisais toutes mes heures! Je ne sais pas quand est-ce que j'ai pris des heures de lunch, autant pour dîner que pour souper!!! C'est un métier passionnant, mais stressant et exigeant. Il faut écrire plusieurs articles par jour, courir à gauche et à droite pour débusquer la nouvelle, revenir assez rapidement au bureau pour avoir le temps d'écrire la nouvelle avant l'heure de tombée, etc.
Et bon c'est pas donné à n'importe quel finissant ou journaliste débutant de pouvoir être embaucher au Journal. J'ai du envoyer 3-4 fois mon CV, sans avoir de nouvelles. Finalement, j'ai eu un contact qui a parlé de moi à un patron. Ce qui m'a permis de passer une entrevue. 45 minutes à me faire poser toute sortes de questions et de pièges. Après coup comme c'était concluant, on m'a donné un essai, c'est à dire que je venais travailler une journée sans être payée et sans pouvoir signer mes textes dans le journal du lendemain. L'essai a été bon, on m'a donné un 2e essai, cette fois-là payé. Ensuite, j'ai été bonne pour faire l'été. Je dis ça, mais on ne m'a jamais confirmé que j'avais une job. J'étais toujours sur appel, sans que je sache si j'aurais une autre semaine. Bref, un moyen de te garder sur la corde raide et être toujours alerte. Je voyais des collègues se faire brutalement flusher après 3-4 jours de travail, parce qu'ils ne fournissaient pas assez ou pour d'autres raisons. Je savais que ça pouvait m'arriver n'importe quand. Et je savais qu'il y avait au minimum 50 autres jeunes et fringuants journalistes qui attendaient à la porte juste que je me plante pour qu'un puisse prendre ma place. J'en ai stressé et braillé quand le téléphone ne sonnait pas en juin!! Quand l'été fut fini, le téléphone a simplement cessé de sonner. Pas de feedback, rien sur mon travail, j'avais toujours ma carte d'accès, mais pu de courriel, ni de boîte vocale... Il a fallu que je remue mer et monde pour avoir des explications. J'ai été dans les "chanceux" qui a pu retourner travailler quelques mois plus tard.
Il faut dire que pour les nouveaux, il faut avoir accompli plus de 900 heures de travail pour être considéré comme surnuméraire régulier, avoir protection d'emploi. Avant cela, l'employeur peut te dire merci, bonsoir sans autre explication. J'ai entendu plein d'histoires de jeunes journalistes talentueux à qui ont avait fait des promesses et qui ont soudainement été flushés après 875 heures de travail... Et on me racontait aussi que pour les patrons, tu avais plus de chances de garder ta job lorsque tu étais une jeune et cute journaliste. Chez les photographes, certains avaient attendu leur permanence 5 ans et certains même 10!
Ah et la semaine de 3 ou 4 jours à 32 heures (et non 30 comme l'a écrit la partie patronale) c'est pas mal la norme dans les journaux au Québec. Simplement une question de shift pour faire rouler le journal 7 jours sur 7 (ceux de semaine font du lundi au jeudi et ceux de week-end du vendredi au dimanche).
Parmi les vieux de la vieille que j'ai pu côtoyer on tenait le même discours. Quand ils ont commencé à travailler pour Péladeau père, ils gagnaient peu, travaillaient forts, mais on leur avait assuré que lorsque le Journal serait profitable, ils obtiendrait leur part du gâteau. C'est aussi de là que ça vient les bonnes conditions de travail. Ceux qui étaient là à la fondation du Journal ont trimé dur et gagnaient de peanuts, mais quand Péladeau père s'est mis à faire de l'argent, il a octroyé de bonnes conditions de travail à ses employés qui lui ont été fidèle.
Enfin, ce que je raconte n'a rien avoir avec les enjeux du conflit. C'est juste une tranche de vie d'une personne qui a eu pendant quelques temps son chèque de paie de Québecor comme journaliste au sein du Journal de Montréal. Et qui malgré tout a aimé travailler dans cette salle de rédaction.
Skarhet a écrit : J'ai travaillé comme journaliste au Journal de Montréal il y a quelques années. Un beau salaire oui. Mais je travaillais comme une mongole sur mes shifts. 10h à 18h la semaine, je faisais surtout le shift du week-end où je faisais du 10 à 21h le vendredi, 10h à 20h le samedi et du 10h à 21h le dimanche. Et je peux vous dire que je les faisais toutes mes heures! Je ne sais pas quand est-ce que j'ai pris des heures de lunch, autant pour dîner que pour souper!!! C'est un métier passionnant, mais stressant et exigeant. Il faut écrire plusieurs articles par jour, courir à gauche et à droite pour débusquer la nouvelle, revenir assez rapidement au bureau pour avoir le temps d'écrire la nouvelle avant l'heure de tombée, etc.
Et bon c'est pas donné à n'importe quel finissant ou journaliste débutant de pouvoir être embaucher au Journal. J'ai du envoyer 3-4 fois mon CV, sans avoir de nouvelles. Finalement, j'ai eu un contact qui a parlé de moi à un patron. Ce qui m'a permis de passer une entrevue. 45 minutes à me faire poser toute sortes de questions et de pièges. Après coup comme c'était concluant, on m'a donné un essai, c'est à dire que je venais travailler une journée sans être payée et sans pouvoir signer mes textes dans le journal du lendemain. L'essai a été bon, on m'a donné un 2e essai, cette fois-là payé. Ensuite, j'ai été bonne pour faire l'été. Je dis ça, mais on ne m'a jamais confirmé que j'avais une job. J'étais toujours sur appel, sans que je sache si j'aurais une autre semaine. Bref, un moyen de te garder sur la corde raide et être toujours alerte. Je voyais des collègues se faire brutalement flusher après 3-4 jours de travail, parce qu'ils ne fournissaient pas assez ou pour d'autres raisons. Je savais que ça pouvait m'arriver n'importe quand. Et je savais qu'il y avait au minimum 50 autres jeunes et fringuants journalistes qui attendaient à la porte juste que je me plante pour qu'un puisse prendre ma place. J'en ai stressé et braillé quand le téléphone ne sonnait pas en juin!! Quand l'été fut fini, le téléphone a simplement cessé de sonner. Pas de feedback, rien sur mon travail, j'avais toujours ma carte d'accès, mais pu de courriel, ni de boîte vocale... Il a fallu que je remue mer et monde pour avoir des explications. J'ai été dans les "chanceux" qui a pu retourner travailler quelques mois plus tard.
Il faut dire que pour les nouveaux, il faut avoir accompli plus de 900 heures de travail pour être considéré comme surnuméraire régulier, avoir protection d'emploi. Avant cela, l'employeur peut te dire merci, bonsoir sans autre explication. J'ai entendu plein d'histoires de jeunes journalistes talentueux à qui ont avait fait des promesses et qui ont soudainement été flushés après 875 heures de travail... Et on me racontait aussi que pour les patrons, tu avais plus de chances de garder ta job lorsque tu étais une jeune et cute journaliste. Chez les photographes, certains avaient attendu leur permanence 5 ans et certains même 10!
Ah et la semaine de 3 ou 4 jours à 32 heures (et non 30 comme l'a écrit la partie patronale) c'est pas mal la norme dans les journaux au Québec. Simplement une question de shift pour faire rouler le journal 7 jours sur 7 (ceux de semaine font du lundi au jeudi et ceux de week-end du vendredi au dimanche).
Parmi les vieux de la vieille que j'ai pu côtoyer on tenait le même discours. Quand ils ont commencé à travailler pour Péladeau père, ils gagnaient peu, travaillaient forts, mais on leur avait assuré que lorsque le Journal serait profitable, ils obtiendrait leur part du gâteau. C'est aussi de là que ça vient les bonnes conditions de travail. Ceux qui étaient là à la fondation du Journal ont trimé dur et gagnaient de peanuts, mais quand Péladeau père s'est mis à faire de l'argent, il a octroyé de bonnes conditions de travail à ses employés qui lui ont été fidèle.
Enfin, ce que je raconte n'a rien avoir avec les enjeux du conflit. C'est juste une tranche de vie d'une personne qui a eu pendant quelques temps son chèque de paie de Québecor comme journaliste au sein du Journal de Montréal. Et qui malgré tout a aimé travailler dans cette salle de rédaction.
Tu occupes quel emploi maintenant? En ce sens, es-tu toujours dans le journalisme?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Tu occupes quel emploi maintenant? En ce sens, es-tu toujours dans le journalisme?
Non du tout... J'ai bifurqué depuis.
Bizarrement, le journalisme était un métier un peu trop stressant pour moi. En ce sens que j'écrivais très bien, mais on devait me dire "tu vas aller couvrir tel événement" ou "tu vas faire un article sur tel sujet". Je n'étais pas une machine à scoops et à idées originales...
De un je ne comprends pas ton commentaire. Il manque des mots dans ta phrase??
De deux, les imprimeurs du JdeM ont subi un lock-out il y a deux-trois ans... Ce sont les cadres qui imprimaient le journal.
Les imprimeurs avaient de bonnes conditions de travail.
manque aucun mot je parle de ceux qui travaille au salaire minimum dans UNE AUTRE COMPAGNIE QUE LE JOURNAL DE MTL qui ont pas de conditions de travail et qui n'ont pas plus déducation que ceux qui emballe le journal ou l'imprime mais qui ont pas eu la chance d'avoir une plug pour les faire entrer là ou autre raison.
Je n'ai aucunement parlé des employés qui seront remplacé par des cadre ca jle sais deja que le journal va rouler pareil par des scab, je parle des employés qui se plaigne malgré leur bonnes conditions quand dautres se contente de rien.
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
Et tu aurais assez d'abnégation pour accepter une diminution de ton salaire de 15 à 20%, d'une réduction de tes vacances et d'une augmentation de tes heures de travail, tout ca par solidarité? Oui, sincèrement tu le ferais?
pas question dabnegation, on la fait ou je travail et on a pas eu le choix daccepter les offres de lemployeur, un moment donné le syndicat est bin fort mais cest lemployeur qui a le dernier mot, on en a eu des réductions en 25 ans une fois 10% et une fois 5% ya meme des syndiqués de GM dans dautres régions et dautres grosses compagnies syndiqués qui ont fermés...cest plus qu'une réduction non?
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]
Moi je pense que si on sabre toujours pour niveler par le bas, on va se retrouver comme du temps de nos grands-pères, travailler 70 heures par semaine pour des salaires de crève-faim...
Oui, y'a du monde qui travaille à 8-9$ de l'heure, c'est vrai... Mais crois-tu vraiment que si on coupe la tête de ceux qui gagnent plus, ça va aller dans les poches des moins bien nantis?... Non, ça marche pas comme ça, c'est même l'inverse...
en ce moment ya 2 classes sociales financiere, on parle de riche ou pauvres, la classe moyenne nexiste pratiquement plus et le but de niveler par le bas est d'égaliser au moyen de réductions d'heures de travail qui est relié à l'utilisation d'internet dans chaque maison, tout ce fait par ordinateur maintenant, ce qui remplace bcp d'employés dans l'industrie
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manque aucun mot je parle de ceux qui travaille au salaire minimum dans UNE AUTRE COMPAGNIE QUE LE JOURNAL DE MTL qui ont pas de conditions de travail et qui n'ont pas plus déducation que ceux qui emballe le journal ou l'imprime mais qui ont pas eu la chance d'avoir une plug pour les faire entrer là ou autre raison.
Je n'ai aucunement parlé des employés qui seront remplacé par des cadre ca jle sais deja que le journal va rouler pareil par des scab, je parle des employés qui se plaigne malgré leur bonnes conditions quand dautres se contente de rien.
jespere que ca repond a tes questions
Je ne vais pas me mettre à brailler sur le sort des gens qui ne se sont pas trouvés une job payante malgré leur peu de scolarité!! Je veux dire à ce compte on peut chialer contre les cols bleus de toutes les villes, les chauffeurs d'autobus, etc etc! Ça n'a aucun rapport avec le conflit qui est en cours présentement...
Pis on s'entend que la très très grande majorité des journalistes au JdeM ont au minimum un baccalauréat ou sont diplômés d'ATM. Alors ils ont la scolarité qui va avec leur salaire.
Si "d'autres se contentent de rien" comme tu dis c'est pas mon foutu problème encore moins ceux des lock-outés du Journal! Qu'ils revendiquent, qu'ils se cherchent une autre job, qu'ils retournent aux études, qu'ils tentent de se syndiquer. Je ne dirai pas à mon employeur "paie moi le salaire minimum je veux être solidaire de ceux qui en arrachent".
Je m'excuse, mais un salaire ça se négocie et ça se gagne!
Je ne vais pas me mettre à brailler sur le sort des gens qui ne se sont pas trouvés une job payante malgré leur peu de scolarité!! Je veux dire à ce compte on peut chialer contre les cols bleus de toutes les villes, les chauffeurs d'autobus, etc etc! Ça n'a aucun rapport avec le conflit qui est en cours présentement...
Pis on s'entend que la très très grande majorité des journalistes au JdeM ont au minimum un baccalauréat ou sont diplômés d'ATM. Alors ils ont la scolarité qui va avec leur salaire.
Si "d'autres se contentent de rien" comme tu dis c'est pas mon foutu problème encore moins ceux des lock-outés du Journal! Qu'ils revendiquent, qu'ils se cherchent une autre job, qu'ils retournent aux études, qu'ils tentent de se syndiquer. Je ne dirai pas à mon employeur "paie moi le salaire minimum je veux être solidaire de ceux qui en arrachent".
Je m'excuse, mais un salaire ça se négocie et ça se gagne!
assez rigolo ton message mais les jounaliste sont pas en lock out me semble
perso ca vient me chercher ceux qui ont pas d'éducations et je crois pas que ce soit par choix ou volontairement ya plusieurs cause a ca mais bon on a tous des facon de voir les choses et jai rien contre
et pour la négociation de travail, bonne chance, quand on est syndiqués on négocie absolument rien cest le syndicat qui négocie ce qui veut bien et a notre place donc ils nous consulte et prenne la majorité, si tes pas dans le 60% qui vote pour une réduction de salaire tu vas en avoir une pareil
[color=#8000BF][i]''Les êtres sont comme des fleurs, chacun a sa beauté propre, chacun s'ouvre et s'épanouit à sa manière et à son rythme''[/i][/color]