

Chacun est sous le choc. Sa famille bien sûr. Le public, qui s’était passionné par la tragédie de Vilnius et avait découvert cette femme courageuse et ses amis.
Sur Le Post, un de ses proches tente d’apporter, sinon une explication, du moins quelque éclairage sur le calvaire de l’ancienne épouse de Bertrand Cantat et mère de ses deux enfants. « Le poids des souffrances accumulées depuis la tragédie de Vilnius et l’impitoyable déferlante médiatique qui l’a suivie, dont elle et ses enfants furent aussi (on ne l’a pas assez dit) les victimes, ont sans doute été trop durs à supporter pour cette femme pudique, fragile et délicate, qui dissimulait une force de caractère apparemment à toute épreuve », explique Robert Lacombe, directeur de l’Institut français de Tokyo.
Rappelons qu’elle fut d’un soutien sans faille envers Bertrand Cantat, condamné pour le meurtre de Marie Trintignant en 2003 à Vilnius, Lituanie.
Il ajoute : « La gloire, devenue hélas malsaine, de son mari (Bertrand Cantat) a en effet éclipsé les dons protéiformes de cette femme à la fois conseillère artistique, traductrice et artiste, au charme si singulier et à l’intelligence étincelante. »
Un hommage sincère pour une personnalité à part. Ses obsèques pourraient avoir lieu en début de semaine prochaine.