
Quant à Anne-Marie Losique, c'est un des pires cas au Québec... La fille était ordinaire avant toutes ses chirurgies mais là, elle a l'air d'une mutante...



Je suis daccord. C'Étais pas un pétard, mais elle avait un visage ''normal'' ... Plus maintenant !!!NainDeJardin a écrit : Perso, j'ai rien contre un peu de botox ou la chirurgie esthétique si c'est fait de façon subtile... Tsé, Éric Salvail a environ 40 ans et il est complètement figé; je doute que ça serait pire s'il avait quelques rides...![]()
Quant à Anne-Marie Losique, c'est un des pires cas au Québec... La fille était ordinaire avant toutes ses chirurgies mais là, elle a l'air d'une mutante...J'peux pas croire qu'elle se trouve belle avec son look de Chrystal dans le Coeur a ses raisons...
C'est vraiment triste de voir une fille brillante (pour être productrice d'autant d'émissions, c'est sûrement pas une tarte) se faire défigurer pour respecter les dictats de la mode...
C'est qu'on parle d'injection de botox ici et de chirurgies esthétiques, pas de l'effet normal du passage du temps sur la peau.bestiole78 a écrit : [...]
Tout simplement que lorsque la peau va pendre et rider, ça va donner de drôles de résultats! Ce n'est peut-être pas de la chirurgie esthétique mais ça reste tout de même le même principe: l'altération de l'apparence et disons que c'est définitif alors imaginez sur une peau de 80ans...
Moi je crois seulement qu'elle a dévelopé sur un sujet qui peut sembler connexe au sujet principal..désolée de l'avoir compris ainsi et personne à ma connaissance n'a semblé offusqué de cela..je trouve qu'il y a des moments ou tu sembles te sentir concerné et que tu t'en choque, s'en vouloir te manquer de respct, oui c'est un sujet sur le botox mais si certaines personnes veulent développer sur l'esthétisme en général je ne vois pas où est le problème..je crois qu'il serait bien de demeurer un peu tempéréeMalike a écrit : [...]
C'est qu'on parle d'injection de botox ici et de chirurgies esthétiques, pas de l'effet normal du passage du temps sur la peau.Qu'elle soit colorée ou non elle va se rider et pendre quand même si c'est qui doit arriver. Moi j'en ai un qui a "survécu" à une grossesse, il n'est pas devenu laid ni rien de drôle.
Aussi j'en ai déjà vu de vieux tatouages et non ca ne donne pas de drôles de résultats comme tu dis, c'est la peau un peu ridée point c'est tout comme sur n'importe quelle personne plus âgée, c'est pas plus laid, pas plus beau, c'est juste l'âge. Je pense que tu conclus des choses dans un domaine que tu ne connais pas.
Merci pour le conseil mais je pense que comme n'importe qui ici j'ai le droit de réagir à ce que je lis, puis je ne vois pas où j'ai semblée choquée.bestiole78 a écrit : [...]
Moi je crois seulement qu'elle a dévelopé sur un sujet qui peut sembler connexe au sujet principal..désolée de l'avoir compris ainsi et personne à ma connaissance n'a semblé offusqué de cela..je trouve qu'il y a des moments ou tu sembles te sentir concerné et que tu t'en choque, s'en vouloir te manquer de respct, oui c'est un sujet sur le botox mais si certaines personnes veulent développer sur l'esthétisme en général je ne vois pas où est le problème..je crois qu'il serait bien de demeurer un peu tempérée
Disons que c'est simplement une pensée populaire qui fait rire, de dire que les tatouages ratatinent et deviennent parfois étrange suite aux déformations...Je ne crois pas qu'elle aie voulu affirmer quoi que ce soit de façon sérieuse....Malike a écrit : [...]
C'est qu'on parle d'injection de botox ici et de chirurgies esthétiques, pas de l'effet normal du passage du temps sur la peau.Qu'elle soit colorée ou non elle va se rider et pendre quand même si c'est qui doit arriver. Moi j'en ai un qui a "survécu" à une grossesse, il n'est pas devenu laid ni rien de drôle.
Aussi j'en ai déjà vu de vieux tatouages et non ca ne donne pas de drôles de résultats comme tu dis, c'est la peau un peu ridée point c'est tout comme sur n'importe quelle personne plus âgée, c'est pas plus laid, pas plus beau, c'est juste l'âge. Je pense que tu conclus des choses dans un domaine que tu ne connais pas.
Anya a écrit : Publié le 14 décembre 2010 à 05h00 | Mis à jour à 07h17
Les monologues du plastique
Sylvie St-Jacques
La Presse
Nina Arsenault possède la somme des attributs requis pour rendre vertes de jalousie toutes les filles ordinairement constituées. Des jambes fines et interminables, une crinière de lionne, une silhouette exquise, des lèvres d'Angelina Jolie, une voix sensuelle...
Mais contrairement à la moyenne de ses frangines qui fréquentent le gym en dilettante, se contentent d'une épilation minimale et d'une séance de Botox les jours de fête, mademoiselle Arsenault a consacré à sa métamorphose extrême une énergie qui fait passer Madonna pour une grano négligée. Pour devenir une Geisha occidentale, cette artiste de performance est passée 61 fois sous le bistouri, transformation qu'elle relate dans The Silicone Diaries (qui prend l'affiche du Théâtre La Chapelle à compter de ce soir).
Détail: avant de devenir un incroyable pétard, Nina Arsenault était un mec malheureux au physique ingrat.
«Je n'ai pas eu la chance d'être une beauté naturelle», lâche en toute simplicité ce transsexuel de 36 ans, qui s'est fait un nom en écrivant des chroniques dans le magazine Fab, en apparaissant à la télé canadienne-anglaise et en se donnant en spectacle dans plusieurs festivals queer du ROC.
«Quand j'étais petite, comme la majorité des autres fillettes, Barbie était à mes yeux la plus belle fille du monde. J'adorais les poupées. Plus tard, dans les années 70, j'ai commencé à idéaliser les images pornographiques, les filles dans le Penthouse...» évoque en entrevue celle qui conserve une douce nostalgie des premières années de sa vie passée dans un parc de maisons mobiles de Beamsville, en Ontario.
Nina Arsenault était intimement convaincue d'être un garçon dans un corps de fille, dès l'âge de 3 ans. «J'avais tout en commun avec les filles et rien avec les petits gars de mon quartier.»
Parce qu'elle le méritait bien
Dans The Silicone Diaries, autoportrait théâtral qu'elle a joué à guichets fermés à Toronto, Nina Arsenault raconte sept des aventures les plus singulières de son voyage dans le monde de la chirurgie esthétique. «Je parle notamment de ma vision profonde de ce que cela signifie d'être une fille, je relate aussi mes péripéties dans l'industrie du sexe, puisque j'ai payé mes opérations en travaillant comme webcam girl.»
Or, Nina Arsenault souhaite surtout parler de sa recherche d'harmonie visuelle, dans une paradoxale époque où triomphe le culte de l'apparence, mais où il est considéré comme «superficiel» de vénérer la beauté.
«Je pense qu'il existe des gens à l'esprit très fermé, dans notre monde, qui refusent de croire que la beauté a une portée artistique. Mais quand on s'intéresse à l'histoire ancienne, aux Grecs, aux Égyptiens, aux Aztèques, on constate que l'être humain a toujours été fasciné par la beauté sous toutes ses formes. Associer l'esthétique à la superficialité, à mon avis, est une façon de punir les femmes.»
Artiste dans l'âme, Nina Arsenault a fait de ses transformations physiques le sujet de son oeuvre. «Je pense que mon idéal était de ressembler à une photo de femme.»
En modifiant la courbe de ses hanches, en faisant affiner sa taille, en se dotant d'une poitrine en silicone et en se fardant de beaucoup de maquillage, elle a atteint un point d'extrême féminité. Et à travers son voyage au coeur de la beauté, Nina Arsenault a toujours entretenu un journal où elle s'épanchait sur sa longue traversée vers la beauté idéale.
Est-elle plus heureuse aujourd'hui?
«En définitive, oui. À mes débuts, comme transsexuel, j'ai vécu beaucoup de discrimination, on se moquait de moi dans la rue. Mais au fil des interventions chirurgicales, je suis devenue de plus en plus féminine et ces incidents humiliants arrivaient moins souvent. En devenant plus attirante, j'ai commencé à fréquenter des hommes, à être plus à l'aise sexuellement...»
À compter de ce soir, Nina Arsenault offre en solo au public montréalais le récit de son périple vers son nouveau corps. Barbie peut aller se rhabiller.
http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacl ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Elle est Ontarienne je crois.Moumousse a écrit : [...]
Elle est notre Amanda à nous Québecois!
Rendu à 80 ans ... il n'y a pas grand chose qui ne soit pas naturellement ridé et ratatiné. Oui un tatouage va sans doute avoir l'air bizarre, ce que Bestiole dit est entièrement vrai, par contre là ou Malike a raison, c'est que le reste l'est aussi vu le vieillissement naturel, donc avec ou sans tatouage, ça reste de la peau qui a l'air de ce qu'elle a l'air à 80 ans ...Malike a écrit : [...]
C'est qu'on parle d'injection de botox ici et de chirurgies esthétiques, pas de l'effet normal du passage du temps sur la peau.Qu'elle soit colorée ou non elle va se rider et pendre quand même si c'est qui doit arriver. Moi j'en ai un qui a "survécu" à une grossesse, il n'est pas devenu laid ni rien de drôle.
Aussi j'en ai déjà vu de vieux tatouages et non ca ne donne pas de drôles de résultats comme tu dis, c'est la peau un peu ridée point c'est tout comme sur n'importe quelle personne plus âgée, c'est pas plus laid, pas plus beau, c'est juste l'âge. Je pense que tu conclus des choses dans un domaine que tu ne connais pas.
affreuseAnya a écrit : Publié le 14 décembre 2010 à 05h00 | Mis à jour à 07h17
Les monologues du plastique
Sylvie St-Jacques
La Presse
Nina Arsenault possède la somme des attributs requis pour rendre vertes de jalousie toutes les filles ordinairement constituées. Des jambes fines et interminables, une crinière de lionne, une silhouette exquise, des lèvres d'Angelina Jolie, une voix sensuelle...
Mais contrairement à la moyenne de ses frangines qui fréquentent le gym en dilettante, se contentent d'une épilation minimale et d'une séance de Botox les jours de fête, mademoiselle Arsenault a consacré à sa métamorphose extrême une énergie qui fait passer Madonna pour une grano négligée. Pour devenir une Geisha occidentale, cette artiste de performance est passée 61 fois sous le bistouri, transformation qu'elle relate dans The Silicone Diaries (qui prend l'affiche du Théâtre La Chapelle à compter de ce soir).
Détail: avant de devenir un incroyable pétard, Nina Arsenault était un mec malheureux au physique ingrat.
«Je n'ai pas eu la chance d'être une beauté naturelle», lâche en toute simplicité ce transsexuel de 36 ans, qui s'est fait un nom en écrivant des chroniques dans le magazine Fab, en apparaissant à la télé canadienne-anglaise et en se donnant en spectacle dans plusieurs festivals queer du ROC.
«Quand j'étais petite, comme la majorité des autres fillettes, Barbie était à mes yeux la plus belle fille du monde. J'adorais les poupées. Plus tard, dans les années 70, j'ai commencé à idéaliser les images pornographiques, les filles dans le Penthouse...» évoque en entrevue celle qui conserve une douce nostalgie des premières années de sa vie passée dans un parc de maisons mobiles de Beamsville, en Ontario.
Nina Arsenault était intimement convaincue d'être un garçon dans un corps de fille, dès l'âge de 3 ans. «J'avais tout en commun avec les filles et rien avec les petits gars de mon quartier.»
Parce qu'elle le méritait bien
Dans The Silicone Diaries, autoportrait théâtral qu'elle a joué à guichets fermés à Toronto, Nina Arsenault raconte sept des aventures les plus singulières de son voyage dans le monde de la chirurgie esthétique. «Je parle notamment de ma vision profonde de ce que cela signifie d'être une fille, je relate aussi mes péripéties dans l'industrie du sexe, puisque j'ai payé mes opérations en travaillant comme webcam girl.»
Or, Nina Arsenault souhaite surtout parler de sa recherche d'harmonie visuelle, dans une paradoxale époque où triomphe le culte de l'apparence, mais où il est considéré comme «superficiel» de vénérer la beauté.
«Je pense qu'il existe des gens à l'esprit très fermé, dans notre monde, qui refusent de croire que la beauté a une portée artistique. Mais quand on s'intéresse à l'histoire ancienne, aux Grecs, aux Égyptiens, aux Aztèques, on constate que l'être humain a toujours été fasciné par la beauté sous toutes ses formes. Associer l'esthétique à la superficialité, à mon avis, est une façon de punir les femmes.»
Artiste dans l'âme, Nina Arsenault a fait de ses transformations physiques le sujet de son oeuvre. «Je pense que mon idéal était de ressembler à une photo de femme.»
En modifiant la courbe de ses hanches, en faisant affiner sa taille, en se dotant d'une poitrine en silicone et en se fardant de beaucoup de maquillage, elle a atteint un point d'extrême féminité. Et à travers son voyage au coeur de la beauté, Nina Arsenault a toujours entretenu un journal où elle s'épanchait sur sa longue traversée vers la beauté idéale.
Est-elle plus heureuse aujourd'hui?
«En définitive, oui. À mes débuts, comme transsexuel, j'ai vécu beaucoup de discrimination, on se moquait de moi dans la rue. Mais au fil des interventions chirurgicales, je suis devenue de plus en plus féminine et ces incidents humiliants arrivaient moins souvent. En devenant plus attirante, j'ai commencé à fréquenter des hommes, à être plus à l'aise sexuellement...»
À compter de ce soir, Nina Arsenault offre en solo au public montréalais le récit de son périple vers son nouveau corps. Barbie peut aller se rhabiller.
http://www.cyberpresse.ca/arts/spectacl ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
jojo3couleurs a écrit :Pico! ça fait longtemps!