Intégrale a écrit : Et c'est pour cette raison qu'on doit nous avertir que le café est chaud, et qu'on doit nous avertir que de se mettre le pénis dans un aspirateur ça fait bobo . On a zéro gros bon sens!


C'est le temps de me le dire, ça m'a pris 15 points de suture!!!Intégrale a écrit : Et c'est pour cette raison qu'on doit nous avertir que le café est chaud, et qu'on doit nous avertir que de se mettre le pénis dans un aspirateur ça fait bobo. On a zéro gros bon sens!
Je suis d'accord que si les Leaders des Associations Étudiantes avaient moins pompé leurs troupes, on n'en serait peut-être pas là!..Consult1 a écrit : [...]
Le blâme est à 100% sur le dos des leaders des associations étudiantes , qui ont "pompé" leurs troupes à coup de slogan du genre "la victoire ou la mort" (c'est une façon de parler)... Ils n'ont pas sû se ménager une marge de manoeuvre et ils sont maintenant coincés entre les promesses irréalistes qu'ils ont faites et la dure réalité.
Maintenant, à cause de la structure de ces associations, il est presque impossible d'en arriver à une solution basée sur un compromis. Ça va se terminer par une loi spéciale imposant la réouverture des classes et contraignant les professeurs à constater l'absence des boycotteurs en leur attribuant la note "zéro" - de la même manière qu'on a forcé le retour au travail des infirmières en les menaçant de congédiement. C'est malheureux mais c'est la seule solution qui marche au niveau logistique.
Je suis absolument d'accord avec toi et s'est tellement bien exprimé.Biche Pensive a écrit : Je suis pour la loi.
Je suis contre les manifestations qui se soldent par des blocages de ponts, des bombes fumigènes dans le métro ou de la violence sous toute ses formes. Selon moi, à la première vitre brisée, au premier méfait, les policiers devraient rentrer dans le tas. Quant à ceux qui sont coupables des actes violents? En prison et que ça presse. Pas pour une soirée, pour 2-3 jours avec une amende très, très salée.
Je sais que c'est extrême comme point-de-vuemais personnellement jamais, au grand jamais je n'approuverais quelques forme de violence qui soit. En s'abaissant à telles tactiques, les étudiants en grèves ont perdu tout le respect que j'aurais pu leur porter. Peu m'importe qu'il ne s'agit que d'une minorité, en acceptant de marcher avec les troubles-fêtes, en refusant de condamner la violence, les étudiants s'y associent par défaut.
Ce qui se passe actuellement à tous les soirs à Montréal est inacceptable et il temps que cela cesse. La loi était un bon début, mais elle a été mal appliquée, mal expliquée et mal présentée. Maintenant, il va falloir de quoi de plus fort. Je suis d'avis que si ça ne se règle pas de sitôt, c'est Val-Cartier qui va débarquer à Montréal et le jour où ça va arriver, je vais être bien contente.
Non mais il y a toujours bien une limite à vouloir faire falloir son point.