Les hommes ne préfèrent ni les blondes, ni les brunes, mais...
Cyberpresse
http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... 5/CPACTUEL
Les hommes ne préfèrent ni les blondes, ni les brunes, mais une taille fine
Les critères de la beauté féminine sont réputés différer selon les époques et les continents, mais une étude comparée des littératures classiques anglaise, chinoise et indienne montre que les hommes ne préfèrent ni les blondes ni les brunes mais avant tout... une taille fine.
La revue britannique Proceedings of the Royal Society B relate ces recherches, qui paraissent donner raison à la thèse selon laquelle l'homme est inconsciemment guidé par le réflexe darwinien de la pérennité des gênes. Et pour cela, le meilleur garant serait une taille fine, indéniable signe de bonne santé, donc d'un corps fertile.
Des scientifiques de l'université du Texas à Austin et de l'université de Harvard ont épluché la littérature anglaise des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, des poèmes chinois et indiens des premiers siècles et ont établi des statistiques.
La poitrine, les fesses et les cuisses - zones érogènes par excellence - figurent certes dans les descrïptions, mais la mention d'une «taille fine» gagne haut la main, selon ces statistiques.
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Les hommes ne préfèrent ni les blondes, ni les brunes, mais une taille fine
Les critères de la beauté féminine sont réputés différer selon les époques et les continents, mais une étude comparée des littératures classiques anglaise, chinoise et indienne montre que les hommes ne préfèrent ni les blondes ni les brunes mais avant tout... une taille fine.
La revue britannique Proceedings of the Royal Society B relate ces recherches, qui paraissent donner raison à la thèse selon laquelle l'homme est inconsciemment guidé par le réflexe darwinien de la pérennité des gênes. Et pour cela, le meilleur garant serait une taille fine, indéniable signe de bonne santé, donc d'un corps fertile.
Des scientifiques de l'université du Texas à Austin et de l'université de Harvard ont épluché la littérature anglaise des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, des poèmes chinois et indiens des premiers siècles et ont établi des statistiques.
La poitrine, les fesses et les cuisses - zones érogènes par excellence - figurent certes dans les descrïptions, mais la mention d'une «taille fine» gagne haut la main, selon ces statistiques.
InFoManII a écritCyberpresse
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Les hommes ne préfèrent ni les blondes, ni les brunes, mais une taille fine
Les critères de la beauté féminine sont réputés différer selon les époques et les continents, mais une étude comparée des littératures classiques anglaise, chinoise et indienne montre que les hommes ne préfèrent ni les blondes ni les brunes mais avant tout... une taille fine.
La revue britannique Proceedings of the Royal Society B relate ces recherches, qui paraissent donner raison à la thèse selon laquelle l'homme est inconsciemment guidé par le réflexe darwinien de la pérennité des gênes. Et pour cela, le meilleur garant serait une taille fine, indéniable signe de bonne santé, donc d'un corps fertile.
Des scientifiques de l'université du Texas à Austin et de l'université de Harvard ont épluché la littérature anglaise des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, des poèmes chinois et indiens des premiers siècles et ont établi des statistiques.
La poitrine, les fesses et les cuisses - zones érogènes par excellence - figurent certes dans les descrïptions, mais la mention d'une «taille fine» gagne haut la main, selon ces statistiques.
Mais où est donc mon flot de prétendants???
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Les hommes ne préfèrent ni les blondes, ni les brunes, mais une taille fine
Les critères de la beauté féminine sont réputés différer selon les époques et les continents, mais une étude comparée des littératures classiques anglaise, chinoise et indienne montre que les hommes ne préfèrent ni les blondes ni les brunes mais avant tout... une taille fine.
La revue britannique Proceedings of the Royal Society B relate ces recherches, qui paraissent donner raison à la thèse selon laquelle l'homme est inconsciemment guidé par le réflexe darwinien de la pérennité des gênes. Et pour cela, le meilleur garant serait une taille fine, indéniable signe de bonne santé, donc d'un corps fertile.
Des scientifiques de l'université du Texas à Austin et de l'université de Harvard ont épluché la littérature anglaise des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, des poèmes chinois et indiens des premiers siècles et ont établi des statistiques.
La poitrine, les fesses et les cuisses - zones érogènes par excellence - figurent certes dans les descrïptions, mais la mention d'une «taille fine» gagne haut la main, selon ces statistiques.
Mais où est donc mon flot de prétendants???
- Niko Bellic
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