Je comprends pas ce que la passion du travail justifie la perte du pouvoir d'achat d'un employé d'État?
Je crois comprendre qu'il faut développer notre petit côté Mère Thérèsa...
Soyez raisonnables», dit Charest aux employés de l'État
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Spirullette
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Blanche Neige
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Beppo a écrit
Je crois comprendre qu'il faut développer notre petit côté Mère Thérèsa...
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Je crois comprendre qu'il faut développer notre petit côté Mère Thérèsa...
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.
Blanche Neige a écrit
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Je relis et relis et je n'en reviens tout simplement pas. Il ne faudrait pas que je laisse aller mes doigts sur le clavier pour te répondre vertement mais je préfère m'abstenir devant tant de mépris. Désolé !
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Je relis et relis et je n'en reviens tout simplement pas. Il ne faudrait pas que je laisse aller mes doigts sur le clavier pour te répondre vertement mais je préfère m'abstenir devant tant de mépris. Désolé !
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Blanche Neige a écrit
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
à te lire faudrait que tlm se contente d'un salaire de 8$/hre ...j'Te ferai juste remarquer qu'y a pas juste les fonctionnaires qui deviennent des produits...et c'est pas tous les fonctionnaires qui sont HAUTS fonctionnaires, un salaire de 35-40,000$ en 2005 c'est pas d'l'argent ca là.
Pis la main qui les nourrisse....y a 300-400$ qui part de leur paie, j'pense qu'y font leur part ;)
et non j'suis pas fonctionnaire provinciale --Message edité par bikeuse le 2005-08-16 21:21:23--
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
à te lire faudrait que tlm se contente d'un salaire de 8$/hre ...j'Te ferai juste remarquer qu'y a pas juste les fonctionnaires qui deviennent des produits...et c'est pas tous les fonctionnaires qui sont HAUTS fonctionnaires, un salaire de 35-40,000$ en 2005 c'est pas d'l'argent ca là.
Pis la main qui les nourrisse....y a 300-400$ qui part de leur paie, j'pense qu'y font leur part ;)
et non j'suis pas fonctionnaire provinciale --Message edité par bikeuse le 2005-08-16 21:21:23--
Concernant les statistiques des revenus moyen, il faut savoir les lire avant de tomber de sa chaise et ainsi s'éviter des blessures inutiles.
Dans un premier temps une moyenne est un calcul qui ne veut rien dire, c'est bête et méchant et mets dans le même panier les extrêmes. Dans un deuxième temps Blanche-Neige tu devrais relever que dans cette moyenne est inclus la population de 15 ans et plus. Ce qui veut dire que les petits pits de 15-16 ans qui gagnent 1000$ par année ou 500$ sont inclus dans la moyenne.
Même les staticticiens s'embourbent quelque fois dans leurs statistiques.
C'est incroyable comment nous pouvons être imaginatif avec des chiffres. Je pourrais toujours remettre ça à un actuaire de mon bureau qui pourrait en faire l'analyse. Par contre au salaire qu'il gagne, c'est mieux qui le fasse en dehors des heures de bureau.
Et oui, pour lui 23 000$ c'est son petit change. Et non je ne m'étouffe pas d'indignation.
Je suis un peu tanné de cette maladie de nivellement par le bas. Ce n'est pas parce qu'un partie de la population a de faibles revenus sans avantages que ça devrait en être autant pour tout les autres.
Je suis sur le marché du travail depuis très, très longtemps et c'est drôle j'ai toujours regardé, heureusement, vers le haut pas le bas. Ça ne m'est jamais passé par la tête de ne pas vouloir de gain parce que l'employé du dépanneur est au salaire minimum.
Pour terminé, un travailleur qui fait sa job, que ce soit dans l'entreprise privé ou public à droit à être rémunéré à sa juste valeur. Et du bénévolat, il y a toujours moyen d'en faire après le travail.
Dans un premier temps une moyenne est un calcul qui ne veut rien dire, c'est bête et méchant et mets dans le même panier les extrêmes. Dans un deuxième temps Blanche-Neige tu devrais relever que dans cette moyenne est inclus la population de 15 ans et plus. Ce qui veut dire que les petits pits de 15-16 ans qui gagnent 1000$ par année ou 500$ sont inclus dans la moyenne.
Même les staticticiens s'embourbent quelque fois dans leurs statistiques.
C'est incroyable comment nous pouvons être imaginatif avec des chiffres. Je pourrais toujours remettre ça à un actuaire de mon bureau qui pourrait en faire l'analyse. Par contre au salaire qu'il gagne, c'est mieux qui le fasse en dehors des heures de bureau.
Et oui, pour lui 23 000$ c'est son petit change. Et non je ne m'étouffe pas d'indignation.
Je suis un peu tanné de cette maladie de nivellement par le bas. Ce n'est pas parce qu'un partie de la population a de faibles revenus sans avantages que ça devrait en être autant pour tout les autres.
Je suis sur le marché du travail depuis très, très longtemps et c'est drôle j'ai toujours regardé, heureusement, vers le haut pas le bas. Ça ne m'est jamais passé par la tête de ne pas vouloir de gain parce que l'employé du dépanneur est au salaire minimum.
Pour terminé, un travailleur qui fait sa job, que ce soit dans l'entreprise privé ou public à droit à être rémunéré à sa juste valeur. Et du bénévolat, il y a toujours moyen d'en faire après le travail.
Blanche Neige a écrit
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Il me plairait de savoir, quel occupation si méritoire et si enrichissante pour notre société tu occupes présentement, nous pourrions en discuter. J'aimerais bien que tu nous parles de l'amour de ton métier, de la passion qui t'anime.
De plus j'aimerais bien aussi savoir si ton salaire est inférieur à la moyenne est ce que tes enfants fréquentent les garderies a 5$, est ce que tu refuses tes retour de taxes TVQ, TPS, tes allocations familiales. Mon salaire me permet rien de tout cà.
Ma petite voiture qui est déjà payée parce qu'elle a 7 ans permet aux employés du dépanneur et aux mécaniciens du garage d'avoir un emploi.
Mon argent qui me permet d'aller déjeuner au resto parce que c'est un petit plaisir que je savoure permet a des serveurs de gagner leur croute ou des placiers de cinéma à avoir un revenu.
Au bout de la ligne, il serait intéressant de savoir qui nourrit qui???
En 10 ans j'ai eu 4 % d'augmentation de salaire dont une parce qu'il avait allongé mes heures de travail.
Je vais survivre à ce que le gouvernement va me donner, c'est peut-être toi qui n'y survivra pas.
Parce qu'en diminuant de beaucoup le pouvoir d'achat de la classe moyenne( les salaires ou les nombreuses taxes imposées) il diminue la consommation, je peux facilement me passer de coiffeuse. de massothérapeute, de petits verres de vin, de souper au resto, ou de gadgets pour la maison, mais est ce que les employés qui travaillent à ces domaines peuvent se passer de moi??????
Au bout de la ligne, ceux qui creveront de faim ne seront pas ceux que tu souhaites, mais tu seras là n'est ce pas pour les nourrir!!!
Quand l’Humain devient un produit :
Alors, continuez à travailler de 9 à 5, payez vos hypothèques et voitures, vivez dans vos maison en regardant les Bougons sans regarder le monde autour de vous, mordez la main qui vous nourrit (contribuable), criez haut et fort SO-SO-SO sans jamais regarder les autres dans les yeux, c’est ça un fonctionnaire par chez nous.
Il me plairait de savoir, quel occupation si méritoire et si enrichissante pour notre société tu occupes présentement, nous pourrions en discuter. J'aimerais bien que tu nous parles de l'amour de ton métier, de la passion qui t'anime.
De plus j'aimerais bien aussi savoir si ton salaire est inférieur à la moyenne est ce que tes enfants fréquentent les garderies a 5$, est ce que tu refuses tes retour de taxes TVQ, TPS, tes allocations familiales. Mon salaire me permet rien de tout cà.
Ma petite voiture qui est déjà payée parce qu'elle a 7 ans permet aux employés du dépanneur et aux mécaniciens du garage d'avoir un emploi.
Mon argent qui me permet d'aller déjeuner au resto parce que c'est un petit plaisir que je savoure permet a des serveurs de gagner leur croute ou des placiers de cinéma à avoir un revenu.
Au bout de la ligne, il serait intéressant de savoir qui nourrit qui???
En 10 ans j'ai eu 4 % d'augmentation de salaire dont une parce qu'il avait allongé mes heures de travail.
Je vais survivre à ce que le gouvernement va me donner, c'est peut-être toi qui n'y survivra pas.
Parce qu'en diminuant de beaucoup le pouvoir d'achat de la classe moyenne( les salaires ou les nombreuses taxes imposées) il diminue la consommation, je peux facilement me passer de coiffeuse. de massothérapeute, de petits verres de vin, de souper au resto, ou de gadgets pour la maison, mais est ce que les employés qui travaillent à ces domaines peuvent se passer de moi??????
Au bout de la ligne, ceux qui creveront de faim ne seront pas ceux que tu souhaites, mais tu seras là n'est ce pas pour les nourrir!!!
lucide a écrit
Il me plairait de savoir, quel occupation si méritoire et si enrichissante pour notre société tu occupes présentement, nous pourrions en discuter. J'aimerais bien que tu nous parles de l'amour de ton métier, de la passion qui t'anime.
De plus j'aimerais bien aussi savoir si ton salaire est inférieur à la moyenne est ce que tes enfants fréquentent les garderies a 5$, est ce que tu refuses tes retour de taxes TVQ, TPS, tes allocations familiales. Mon salaire me permet rien de tout cà.
Ma petite voiture qui est déjà payée parce qu'elle a 7 ans permet aux employés du dépanneur et aux mécaniciens du garage d'avoir un emploi.
Mon argent qui me permet d'aller déjeuner au resto parce que c'est un petit plaisir que je savoure permet a des serveurs de gagner leur croute ou des placiers de cinéma à avoir un revenu.
Au bout de la ligne, il serait intéressant de savoir qui nourrit qui???
En 10 ans j'ai eu 4 % d'augmentation de salaire dont une parce qu'il avait allongé mes heures de travail.
Je vais survivre à ce que le gouvernement va me donner, c'est peut-être toi qui n'y survivra pas.
Parce qu'en diminuant de beaucoup le pouvoir d'achat de la classe moyenne( les salaires ou les nombreuses taxes imposées) il diminue la consommation, je peux facilement me passer de coiffeuse. de massothérapeute, de petits verres de vin, de souper au resto, ou de gadgets pour la maison, mais est ce que les employés qui travaillent à ces domaines peuvent se passer de moi??????
Au bout de la ligne, ceux qui creveront de faim ne seront pas ceux que tu souhaites, mais tu seras là n'est ce pas pour les nourrir!!!
J'ai bien hâte de lire la réplique.
Il me plairait de savoir, quel occupation si méritoire et si enrichissante pour notre société tu occupes présentement, nous pourrions en discuter. J'aimerais bien que tu nous parles de l'amour de ton métier, de la passion qui t'anime.
De plus j'aimerais bien aussi savoir si ton salaire est inférieur à la moyenne est ce que tes enfants fréquentent les garderies a 5$, est ce que tu refuses tes retour de taxes TVQ, TPS, tes allocations familiales. Mon salaire me permet rien de tout cà.
Ma petite voiture qui est déjà payée parce qu'elle a 7 ans permet aux employés du dépanneur et aux mécaniciens du garage d'avoir un emploi.
Mon argent qui me permet d'aller déjeuner au resto parce que c'est un petit plaisir que je savoure permet a des serveurs de gagner leur croute ou des placiers de cinéma à avoir un revenu.
Au bout de la ligne, il serait intéressant de savoir qui nourrit qui???
En 10 ans j'ai eu 4 % d'augmentation de salaire dont une parce qu'il avait allongé mes heures de travail.
Je vais survivre à ce que le gouvernement va me donner, c'est peut-être toi qui n'y survivra pas.
Parce qu'en diminuant de beaucoup le pouvoir d'achat de la classe moyenne( les salaires ou les nombreuses taxes imposées) il diminue la consommation, je peux facilement me passer de coiffeuse. de massothérapeute, de petits verres de vin, de souper au resto, ou de gadgets pour la maison, mais est ce que les employés qui travaillent à ces domaines peuvent se passer de moi??????
Au bout de la ligne, ceux qui creveront de faim ne seront pas ceux que tu souhaites, mais tu seras là n'est ce pas pour les nourrir!!!
J'ai bien hâte de lire la réplique.
Au plaisir!
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Secteur public: pour changer des négociations de «style macho»
PC
Édition du jeudi 18 août 2005
Québec -- La présidente du Conseil du trésor, la ministre Monique Jérôme-Forget, veut éviter des négociations de «style macho» dans le secteur public.
«Autrefois, les négociations se passaient à trois heures du matin, dans le bureau du premier ministre. J'appelle cela le style macho. Moi, j'ai proposé à la place un cadre financier à l'intérieur duquel il y a toute espèce de latitude», a déclaré hier Mme Jérôme-Forget, à son arrivée à la séance hebdomadaire du conseil des ministres.
Le gouvernement Charest a proposé pour les employés du secteur public des augmentations salariales de 12,5 % réparties sur six ans, qui doivent comprendre la compensation pour l'équité salariale.
«C'est ma responsabilité de persuader les dirigeants syndicaux et les citoyens du bien-fondé de notre démarche. Les syndicats vivent dans le même monde que moi, voient la situation du Québec et sont conscients qu'on ne peut pas payer plus cher que ce qu'on offre actuellement», a dit la présidente du Conseil du trésor.
Pour éviter des négociations de «style macho», la ministre a soutenu que, pendant des années, les centrales syndicales et toute la société ont «favorisé» les métiers d'homme. Elle entend rééquilibrer cette situation.
«Je n'ai pas entendu les hommes se plaindre pendant des années. Aujourd'hui, ils doivent se rendre compte qu'on redistribue l'assiette», a dit la ministre Jérôme-Forget.
Elle s'est défendue de défavoriser les employés du secteur public. «On me confie l'argent des contribuables et je le distribue du mieux que je le peux. Je suis devant une situation déchirante. Je traite nos employés de la façon la plus responsable et équitable possible, a-t-elle poursuivi. Je suis très franche. Je joue la carte avec sincérité. Je viens du secteur public moi-même. J'estime et je respecte ce secteur.»
La veille, à l'occasion d'une rencontre de négociations entre les représentants du gouvernement et ceux des centrales syndicales à la suite des vacances estivales, le négociateur en chef du gouvernement, Jean-François Munn, a demandé aux syndiqués du secteur de l'éducation de suspendre leurs moyens de pression pour la rentrée scolaire.
«Nous leur avons demandé de suspendre les moyens de pression. Après tout, les syndiqués de la FTQ n'ont déposé leurs demandes salariales qu'en juin», a rapporté M. Munn. Il juge que de tels moyens de pression à ce stade-ci sont prématurés.
Les deux parties se sont entendues pour fixer l'échéancier des prochaines rencontres de négociations.
Des pourparlers entre l'employeur et les représentants des syndiqués CSN-FTQ auront lieu le jeudi 25 août, puis le mardi 30 août.
Avec la CSQ, le gouvernement et les représentants syndicaux se reverront le mercredi 24 août. Mardi, la sous-ministre de la Fonction publique, Denise Fortin, a eu de longs échanges avec les représentants des syndicats d'enseignants.
Rappelons que quelque 430 000 employés du secteur public sont sans convention collective et sans augmentation de salaire depuis juin 2003.
Réaction
À Montréal, l'ancienne ministre Pauline Marois, qui a déjà été présidente du Conseil du trésor, a déploré la façon dont cette négociation est engagée.
«C'est bien mal parti et bien mal engagé, s'est-elle exclamée. Je crois que l'attitude du chef du gouvernement, de M. Charest, est inacceptable.»
«Quand on veut négocier, il me semble qu'on doit manifester une certaine ouverture. On peut être ferme sur un certain nombre d'orientations, mais toujours manifester de l'ouverture. Or je n'ai pas senti cela de la part du chef du gouvernement et je ne crois pas que ça augure bien pour la suite des choses. Il me semble qu'au contraire, il devrait ouvrir la porte et s'asseoir sereinement avec ceux et celles qui représentent des milliers de travailleurs à travers le Québec et qui méritent tout notre respect», a-t-elle affirmé.
PC
Édition du jeudi 18 août 2005
Québec -- La présidente du Conseil du trésor, la ministre Monique Jérôme-Forget, veut éviter des négociations de «style macho» dans le secteur public.
«Autrefois, les négociations se passaient à trois heures du matin, dans le bureau du premier ministre. J'appelle cela le style macho. Moi, j'ai proposé à la place un cadre financier à l'intérieur duquel il y a toute espèce de latitude», a déclaré hier Mme Jérôme-Forget, à son arrivée à la séance hebdomadaire du conseil des ministres.
Le gouvernement Charest a proposé pour les employés du secteur public des augmentations salariales de 12,5 % réparties sur six ans, qui doivent comprendre la compensation pour l'équité salariale.
«C'est ma responsabilité de persuader les dirigeants syndicaux et les citoyens du bien-fondé de notre démarche. Les syndicats vivent dans le même monde que moi, voient la situation du Québec et sont conscients qu'on ne peut pas payer plus cher que ce qu'on offre actuellement», a dit la présidente du Conseil du trésor.
Pour éviter des négociations de «style macho», la ministre a soutenu que, pendant des années, les centrales syndicales et toute la société ont «favorisé» les métiers d'homme. Elle entend rééquilibrer cette situation.
«Je n'ai pas entendu les hommes se plaindre pendant des années. Aujourd'hui, ils doivent se rendre compte qu'on redistribue l'assiette», a dit la ministre Jérôme-Forget.
Elle s'est défendue de défavoriser les employés du secteur public. «On me confie l'argent des contribuables et je le distribue du mieux que je le peux. Je suis devant une situation déchirante. Je traite nos employés de la façon la plus responsable et équitable possible, a-t-elle poursuivi. Je suis très franche. Je joue la carte avec sincérité. Je viens du secteur public moi-même. J'estime et je respecte ce secteur.»
La veille, à l'occasion d'une rencontre de négociations entre les représentants du gouvernement et ceux des centrales syndicales à la suite des vacances estivales, le négociateur en chef du gouvernement, Jean-François Munn, a demandé aux syndiqués du secteur de l'éducation de suspendre leurs moyens de pression pour la rentrée scolaire.
«Nous leur avons demandé de suspendre les moyens de pression. Après tout, les syndiqués de la FTQ n'ont déposé leurs demandes salariales qu'en juin», a rapporté M. Munn. Il juge que de tels moyens de pression à ce stade-ci sont prématurés.
Les deux parties se sont entendues pour fixer l'échéancier des prochaines rencontres de négociations.
Des pourparlers entre l'employeur et les représentants des syndiqués CSN-FTQ auront lieu le jeudi 25 août, puis le mardi 30 août.
Avec la CSQ, le gouvernement et les représentants syndicaux se reverront le mercredi 24 août. Mardi, la sous-ministre de la Fonction publique, Denise Fortin, a eu de longs échanges avec les représentants des syndicats d'enseignants.
Rappelons que quelque 430 000 employés du secteur public sont sans convention collective et sans augmentation de salaire depuis juin 2003.
Réaction
À Montréal, l'ancienne ministre Pauline Marois, qui a déjà été présidente du Conseil du trésor, a déploré la façon dont cette négociation est engagée.
«C'est bien mal parti et bien mal engagé, s'est-elle exclamée. Je crois que l'attitude du chef du gouvernement, de M. Charest, est inacceptable.»
«Quand on veut négocier, il me semble qu'on doit manifester une certaine ouverture. On peut être ferme sur un certain nombre d'orientations, mais toujours manifester de l'ouverture. Or je n'ai pas senti cela de la part du chef du gouvernement et je ne crois pas que ça augure bien pour la suite des choses. Il me semble qu'au contraire, il devrait ouvrir la porte et s'asseoir sereinement avec ceux et celles qui représentent des milliers de travailleurs à travers le Québec et qui méritent tout notre respect», a-t-elle affirmé.
Je suis pas inquiète... les répliques vont revenir bientôt
Quelques jours encore et les journalistes à sensation vont nous crucifier, au lieu d'informer vraiment de nos conditions de travail. ILs réussiront à trouver un fonctionnaire quelconque ( probablement un ami des gens au pouvoir) qui gagne le gros salaire à rien faire.
Mais cette foir, à moins d'un véritable avancement dans les négociations, les journées de grève sont déterminées, planifiées et organisées et oui malheureusement pour les parents cà va toucher la rentrée scolaire.
Quelques jours encore et les journalistes à sensation vont nous crucifier, au lieu d'informer vraiment de nos conditions de travail. ILs réussiront à trouver un fonctionnaire quelconque ( probablement un ami des gens au pouvoir) qui gagne le gros salaire à rien faire.
Mais cette foir, à moins d'un véritable avancement dans les négociations, les journées de grève sont déterminées, planifiées et organisées et oui malheureusement pour les parents cà va toucher la rentrée scolaire.
Jean Charest maintient la ligne dure
Mise à jour le vendredi 19 août 2005 à 13 h 24
À d'une semaine de la rentrée scolaire, le premier ministre Jean Charest maintient la ligne dure face aux revendications des enseignants et des employés de la fonction publique québécoise.
Interrogé par les journalistes sur l'état des négociations avec les enseignants à quelques jours de la rentrée, Jean Charest a demandé aux syndicats d'être raisonnables et rappelé que les contribuables québécois n'avaient pas les moyens d'accéder à leurs demandes.
Conscient que l'automne sera mouvementé, le premier ministre a également demandé aux enseignants, qui menacent de débrayer à la rentrée, de ne pas prendre les parents et les élèves en otages.
Un automne chaud s'annonce au Québec
.
Selon M. Charest, l'augmentation de 12,6 % sur six ans (incluant l'équité salariale) que propose son gouvernement aux 500 000 employés de l'État coûtera plus de trois milliards de dollars par an de plus au trésor public québécois.
Une offre refusée par les syndiqués qui réclament de véritables négociations avec leur employeur sur leurs conditions de travail.
Plus de 500 000 employés de l'État qui sont sans contrat de travail depuis juin 2003 au terme de plusieurs mois de négociations infructueuses menacent de débrayer massivement cet automne afin de forcer le gouvernement Charest à négocier.
Mise à jour le vendredi 19 août 2005 à 13 h 24
À d'une semaine de la rentrée scolaire, le premier ministre Jean Charest maintient la ligne dure face aux revendications des enseignants et des employés de la fonction publique québécoise.
Interrogé par les journalistes sur l'état des négociations avec les enseignants à quelques jours de la rentrée, Jean Charest a demandé aux syndicats d'être raisonnables et rappelé que les contribuables québécois n'avaient pas les moyens d'accéder à leurs demandes.
Conscient que l'automne sera mouvementé, le premier ministre a également demandé aux enseignants, qui menacent de débrayer à la rentrée, de ne pas prendre les parents et les élèves en otages.
Un automne chaud s'annonce au Québec
.
Selon M. Charest, l'augmentation de 12,6 % sur six ans (incluant l'équité salariale) que propose son gouvernement aux 500 000 employés de l'État coûtera plus de trois milliards de dollars par an de plus au trésor public québécois.
Une offre refusée par les syndiqués qui réclament de véritables négociations avec leur employeur sur leurs conditions de travail.
Plus de 500 000 employés de l'État qui sont sans contrat de travail depuis juin 2003 au terme de plusieurs mois de négociations infructueuses menacent de débrayer massivement cet automne afin de forcer le gouvernement Charest à négocier.
Je ne suis pas au courant de tout le dossier mais d'après ce que je sais, je suis d'accord avec M. Charest.
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients. --Message edité par great2211 le 2005-08-20 02:18:06--
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients. --Message edité par great2211 le 2005-08-20 02:18:06--
Great2211 a écritJe ne suis pas au courant de tout le dossier mais d'après ce que je sais, je suis d'accord avec M. Charest.
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients.
La question que je me pose .... si vraiment il gagne le double de ton salaire est ce que ce sont tes amis qui sont surpayés ou toi qui est sous payé? Le fond du problème est différent non?
Quant au fond de pension... peut etre lire le topic en entier pour revoir que ce sont tes amis qui se paient leur propre fond de pension.
Les journées de maladies plusieurs compagnies privées en ont aussi.
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients.
La question que je me pose .... si vraiment il gagne le double de ton salaire est ce que ce sont tes amis qui sont surpayés ou toi qui est sous payé? Le fond du problème est différent non?
Quant au fond de pension... peut etre lire le topic en entier pour revoir que ce sont tes amis qui se paient leur propre fond de pension.
Les journées de maladies plusieurs compagnies privées en ont aussi.
Great2211 a écritJe ne suis pas au courant de tout le dossier mais d'après ce que je sais, je suis d'accord avec M. Charest.
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients.
Pour autant, est-ce que ça veut dire qu'ils ne font pas de temps supplémentaire ? Personnellement, j'en fais mais je ne suis pas payé et je ne reçois aucune compensation en temps également.
--Message edité par Beppo le 2005-08-20 09:08:37--
C'est sûr que ce n'est pas tous les employés de l'état qui gagne des salaires faramineux et qui a des conditions de travail idéales. Par contre, j'ai quelques amis qui travaillent dans la fonction publique et ce, dans le même domaine que moi (administration) et ils gagnent quasiment le double de moi sans avoir à faire du temps supplémentaire, ils ont un fonds de pension, les congés de maladie payés et une foule d'avantages sociaux que je n'ai pas.
De plus, j'ai souvent affaire à des fonctionnaires et on dirait qu'ils se sacrent de toi. (pas tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier) Je me suis même déjà fait répondre en plein milieu d'un appel téléphonique que je devais rappeler le lendemain, car il était 16h30 et la personne a terminée sa journée... ça c'est du service! En tout cas, je me vois mal dire ça à un de mes clients.
Pour autant, est-ce que ça veut dire qu'ils ne font pas de temps supplémentaire ? Personnellement, j'en fais mais je ne suis pas payé et je ne reçois aucune compensation en temps également.
--Message edité par Beppo le 2005-08-20 09:08:37--Au plaisir!
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NainDeJardin
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