lolilou a écrit : Ben c'est correct, si tu as des valeurs libérales ou Caquistes... mais quand tu as des valeurs progressistes mais non indépendantistes (et y-en a beaucoup + qu'on pense), tu vas faire quoi? voter libéral même si c'est à l'encontre de tes valeurs, juste parce que tu veux pas qu'un possible référendum ait lieu par peur que le oui passe?
Pis je veuxvois vraiment pas ce qui serait si terrible si le oui passait... franchement. Faut m'expliquer.
Probablement que j'annulerais mon vote...
Et pour la partie en jaune, je réfléchis et j'y reviens.
Edit: J'ai réfléchi

et voici ma réponse
Tu me demande qu'est-ce qu'il y aurait de terrible si le Oui passait? Pauline Marois est un gros facteur qui fait en sorte que j'aurais peur si le Oui l'emportait. Ceci est mon opinion bien personnelle mais j'ai toujours eu l'impression que cette femme n'est pas en politique pour faire avancer les choses mais bien pour avoir le titre de Première Ministre. La première femme à porter ce titre au Québec. Tout avec elle est basé sur les apparences et le pouvoir. Je ne crois pas du tout en ses compétences et pour dire bien franchement, les chicanes internes du Parti l'an dernier prouvent que ce parti est loin d'être assez soudé pour mener à bien un si gros projet de société.
J'ajouterais aussi que je n'ai jamais compris pourquoi le Québec ressentait l'urgent besoin de se séparer du reste du Canada. Oui, nous sommes différents de par notre langue et certaines de nos valeurs. Mais est-ce que le ROC nous empêche de nous définir en tant que peuple? Non. C'est à nous, au provincial, d'établir des normes afin que le français soit respecté (retravailler sur la loi 101 par exemple...) et de travailler à ce que le Québec nous ressemble.
Pour ce qui est des questions économiques ou autres, j'avoue que je ne connais pas assez bien les dossiers pour me prononcer.
La seule chose que je trouve bien désolante, et je ne vise personne en particulier, est que lorsqu'on dit qu'on ne veut pas voter PQ et qu'on est pas séparatiste, on se fait regarder comme si on venait d'une autre planète... Comme si parce qu'on vivait au Québec, on devait absolument vouloir l'indépendance, que c'était le seul choix possible.